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  Messages de la dimension de Lumière  

Le temps semble se rapprocher du non-temps.  

Plus que jamais, l’heure est au choix. En réalité, l’incarnation est toujours affaire de choix. A quelle vision, à quelle intensité de l’énergie, à quelle fréquence choisissons-nous de nous unir ?

Plus que jamais l’image est claire, il n’y a pas qu’une seule Terre, n’est-ce pas ? Chaque être vivant sur la Terre la crée. Chaque être vivant sur la Terre, par sa résonance avec une fréquence vibratoire spécifique, crée la Terre de cette fréquence vibratoire. En ce moment où le temps semble se rapprocher du non-temps, l’attention de bien des êtres offre la guidance, offre le rayonnement vers leur fréquence la plus élevée, la plus noble, celle qui éternellement émerge et se fond dans le silence.

Au niveau spectaculaire on peut parler de vaisseaux, d’êtres ; au niveau de la réalité de ces êtres, on ne parle que du cœur d’unité. Et l’intention ne peut qu’être de s’unir. Un même faisceau de lumière, un même regard. On est loin de l’image de vaisseaux venant bénir l’humanité. La vision est plutôt de l’humain divin qui enfin comprend que pour être béni, on ne peut que bénir.

Cela fait longtemps que l’invitation résonne, ne plus attendre, être la lumière qui s’offre. Cela amène un changement profond dans la structure corporelle. Ce qui fait le corps lumière c’est principalement être l’offrande. S’offrir simplement à l’union avec cette énergie éternelle qui toujours donne.  

 

L’être autoréférant est comme un roc inébranlable.  

L’autoréférence est la référence au Soi. Au lieu que la référence soit une opinion, un point de vue, un être extérieur ou simplement le courant du collectif, l’autoréférence est la référence à soi. Ce n’est pas la référence à une opinion de soi. Cela n’est pas la référence à une pensée de soi. Cela n’est pas la référence à une émotion de soi. Cela n’est pas la référence à une tendance égotique de soi. C’est la référence au Soi.

L’autoréférence implique que l’être autoréférant se réfère toujours à cet océan de conscience, à cette pulsation de silence, à cet infini qui est la nature même du Soi, ce que Je Suis, non ce que je suis exprimé dans des émotions ou exprimé dans un point de vue mental ou égotique, non la référence à une préférence. L’autoréférence est cette référence au Soi. Cela signifie que l’être autoréférant s’appuie en permanence sur le Soi, sur cet océan de silence, cette pulsation de conscience, ce plein du plein qu’est le Soi. En cela, l’être autoréférant est comme un roc inébranlable. Et bien sûr cette autoréférence va influencer, si l’on peut dire, sa référence à tout.

La plupart des êtres, que ce soit par soumission ou par réaction, se réfèrent toujours au courant majoritaire de pensée ou à un courant minoritaire mais à une tendance majoritaire au sein de ce courant minoritaire, c’est-à-dire par exemple la tendance à s’opposer, la tendance à vouloir se démarquer, la tendance à vouloir décider pour un niveau de soi selon des empreintes, qu’elles soient héréditaires, qu’elles soient collectives, qu’elles soient personnelles même.

L’autoréférence est la référence à ce silence plein qui s’accompagne de cette douce clarté du discernement au sein du silence. L’autoréférence est le mode de fonctionnement d’un être ayant tout rendu à l’Être Suprême. L’autoréférence est la base et le point d’appui du mode de fonctionnement le plus libéré de toute influence extérieure, que l’influence extérieure vienne d’un autre ou d’un aspect de soi qui n’est pas aligné avec le Soi, peu importe.

On peut perdre son autoréférence ou ne l’avoir jamais gagnée car la référence passe d’être à l’extérieur de nous, pour se placer vers des aspects de notre être à nous, des aspects à nous qui ne sont pas nécessairement pacifiés, qui peuvent récriminer ou s’opposer à d’anciens modes de fonctionnement. Cela n’est pas l’autoréférence. L’autoréférence est l’état d’être de celui ou celle qui appuie tous les aspects de son incarnation sur le Soi.

Question : si on n’est pas établi dans l’Être on ne peut pas trouver l’autoréférence ?

Non. On peut avoir une référence à une opinion de nous au lieu d’avoir une référence à l’opinion d’un autre. Mais fondamentalement la dépendance est la même.

Une fois que la référence est établie à l’Être, une légèreté s’installe comme un navire qui serait ancré sur une bouée très stable et dont l’assise alors serait inébranlable. Si cette assise au Soi n’est pas établie, il reste une forme de dépendance. Que la dépendance soit envers l’opinion d’un autre, une croyance qui nous appartient, un point de vue, une émotion, la dépendance reste. Et la dépendance par nature est l’opposé de la liberté…

L’autoréférence, la référence au Soi, n’amène que plénitude parce que la relation au Soi n’est que relation de plénitude. L’autoréférence n’amène que vastitude. L’autoréférence est l’assise dans l’infini silence.

 

L’audace d’incarner l’humain divin.  

Oser aller vers le plus ultime. Au-delà des clichés, au-delà de ce qui semble normal, oser l’autodépassement. Oser aller vers la version la plus pure, la plus divine, la plus sacrée.

Si le sacré est dans les temples, alors le temple est le corps, le temple est chaque journée…

Tous ces êtres saints et bénis marchent encore dans ces chemins d’autodépassement bien au-delà des images sclérosées créées par une société tout autant sclérosée dépeignant l’être humain limité, toujours plus limité.

L’être humain peut se déployer toujours plus libre, toujours plus vital, toujours plus heureux, toujours plus créatif, recréant la Terre et la société à l’image du Divin. Cela implique à la fois l’audace et la rigueur. Faire grandir les deux. Ne s’arrêter nulle part. Infinis les potentiels du corps humain. Et les fraternités de la Terre, des étoiles, des régions cosmiques contribuent à éveiller ce potentiel infini, hors des voies sclérosées, hors des voies de ce qui semble être le new-age et qui n’est en fait qu’une réplique de l’ancien âge.

S’éveiller à la sève de toutes les traditions. Se laisser éclore à sa propre grandeur. S’éveiller, cela implique de soumettre totalement l’ego, d’accepter d’être cosmique. Chaque être est cosmique. Vivre cela en conscience et choisir d’adhérer avec passion aux exigences révélées par cette passion comme lors d’un entraînement, la passion et les exigences, la rigueur et l’audace.

Ramener son corps à une vitalité insoupçonnée. L’être humain peut vraiment bondir d’étoile en étoile. Tout est possible pour le corps humain. S’éveiller à l’éveil réel, non celui sclérosé décrit par les egos qui ont récupéré l’éveil comme on récupère un jouet ou un trophée. Suivre les voies des traditions en restant à leur source. Développer son corps, l’accompagner. Retrouver les voies de simplicité…

Ne s’arrêter nulle part. Recréer l’être humain-harmonie. Déployer sa vitalité, sa clarté, sa passion. Déployer l’ardeur à découvrir, à sortir des chemins battus. Et que signifie sortir des chemins battus ? C’est vraiment en sortir. Ce n’est pas remplacer des modes d’indolence par d’autres modes d’indolence mais retrouver cet élan vital à la source de toute créativité, à la source de tout jaillissement. Danser sa vie.

Ils sont nombreux ceux qui accompagnent cet appel à l’éveil. Encore faut-il écouter le vrai appel, non celui sclérosé, non cette matrice créée par les croyances, l’appel à la vie des maîtres. Elle paraît grandiose, elle est naturelle.

Oser retrouver l’audace d’incarner l’humain divin.

La splendeur du suc de tous les événements. 

Voyez, la Terre semble écartelée. L'ouverture est magnifique, la crispation semble intense. Ce qui unit les deux, la splendeur de maintenant. Ceux et celles qui s'accrochent aux histoires, aux rêves, aux grisailles, posent un voile sur la splendeur de maintenant. Sortir le voile...

Par amour pour l'amour, accepter d'être ici pleinement. Poser les courses, poser ce qui semble déception, poser ce qui semble victoire, pour être l'ouverture et rencontrer la fraternité, cette fraternité qui est ici maintenant, qui invite, cette fraternité qui entoure, qui comble et qui s'offre pleinement à la vie.

Plus que jamais s'offrir à l'essentiel. L'essentiel ne connaît pas les histoires, les surcharges, les positions, les fonctions, les victoires ou les drames. L'essentiel est la splendeur de maintenant. Non la splendeur d'événements, la splendeur du suc de tous les événements.

Entre les deux extrêmes de cet écartèlement de la Terre est l'éternité, l'éternité de l'humain divin qui invite. L’on pourrait dire qu’il n'est plus possible de faire de compromis. L’on pourrait dire aussi qu'il n'y a pas d'enjeu puisque de toute éternité l'humain est divin. Et pourtant, dans ce qui semble l'unicité de cette période, il est plus grand cet enjeu, parce que plus intense est l’invitation au choix.

Elle est magnifique cette Terre nouvelle, cette humanité nouvelle qui choisit de tourner le dos aux compromis pour vivre pleinement la simplicité de ce qui est. Il est magnifique ce pouvoir d'organisation inhérent à la splendeur de maintenant qui défie les lois du monde mental pour orchestrer cette autre symphonie de la vie sur Terre. Magnifique ce souffle qu’est l’amour, qui invite à être vécu pleinement pour que le corps s'éveille à sa réalité propre…

Le souffle est l'amour, vous le savez. Non le sentiment, le suc de tous les sentiments…

S’ouvrir pleinement à cette intimité, à cette présence. L’on ne peut continuer dans sa tête le train-train des jours passés ou des jours à venir et se dire pleinement présent ici maintenant. L’on ne peut que se souvenir qu’ici maintenant est la source de tout. Elle est belle cette heure où l'humanité réalise combien le mental est pesant et combien léger cet infini pouvoir d'organisation inhérent à la vie.

Accepter de moins faire pour découvrir le suc de tout faire. Accepter d'honorer cet être de lumière qui est ce que Je Suis et lui donner les rênes.

Elle est belle cette intimité de l’être tridimensionnel avec sa multidimensionnalité. Dire oui maintenant à Je Suis l'Être de lumière que Je Suis. Et rassurer l’être tridimensionnel, plus besoin de s'accrocher aux rênes. Il est la puissance de la vie qui organise. Ecouter le rythme, suivre le rythme, laisser la grandeur se déployer autrement, non en s'accrochant mais en écoutant.

Être écoute du corps de lumière au sein du corps tangible et physique. La lumière est bien plus tangible que le monde physique. Elle en est la source, elle en est l'aboutissement. Et la lumière est un chant, les cellules sont ce chant, le corps de sons. La tradition védique a su préserver cela. L'animer.

Laisser le silence pénétrer les cellules en choisissant la simple présence au souffle. Laisser le silence effacer les programmations anciennes. Laisser le silence reprogrammer.

Hors du temps et de l'espace, faire pourtant de ce moment de maintenant un jaillissement, l'essence du renouveau. S'incliner, se taire et ancrer son regard sur celui de la fraternité. Ainsi naturellement se réharmonisent les cellules, les corps.

Rencontrer le silence, être le silence, être la vie, pleinement présent, pleinement vivant. Embrasser et embraser ce nouveau mode de fonctionnement de la Terre qui a défait ses carcans.

La nuit, avant que le corps ne s'endorme, porter la vision du silence réorganisant la structure corporelle, la structure cérébrale, la structure cellulaire, éveillant le son primordial au cœur de chaque cellule.

La rencontre est intense et authentique à la mesure du oui à être pleine présence.

 

Robotiser l’être humain ou déployer sa divinité.  

 

Se nourrir du silence. Et se nourrir de cette absolue simplicité inhérente au silence. L’ego pourrait jouer bien des rôles, bien des jeux, prendre plein de masques, même les plus spirituels. La simplicité posée au cœur du silence est adoration, tout offerte à cet éternel au-delà...  S’offrir à l’ouverture. Se réjouir. S’offrir éternellement avec toujours plus d’intensité. Ainsi la structure cellulaire s’ouvre, les organes se détendent.

Il est concret que la possibilité est là de s’ouvrir à une autre humanité, non pas cette humanité créée par quelque intelligence artificielle ou quelque technologie. Les deux tendances sont bien là, robotiser un être humain performant, ou se déployer vers sa propre divinité. A chacun et chacune de choisir. Les robots peuvent être très performants, l’être divin simple, infiniment simple, qui s’offre totalement à son propre déploiement. Il ne s’agit pas de compenser quelques manques, mais de déployer tous les pleins, de mettre son attention sur la plénitude, de déployer les possibilités de son corps, de ses muscles, de son cœur, de son cerveau, déployer les possibilités à une échelle inconnue par l’humanité.

Vous le savez, la fraternité est éternellement unie. La Terre n’est en aucun sens isolée. Selon l’intensité de l’attention, on peut rester en apparence enfermé, ou l’on peut s’ouvrir à la confiance que tout est éternelle ouverture, et solliciter dans la joie, et non depuis le manque, solliciter un partage complice avec la fraternité de tous les règnes, un partage complice tissé sur la joie.

Ne jamais vouloir construire quelque chose sur un manque car le manque n’est que l’apparence illusoire d’un enfermement tout à fait illusoire d’un ego qui n’a pas encore compris. Vient le moment pour l’humanité de comprendre qu’il n’y a rien à comprendre, juste à lâcher prise des histoires illusoires, des manques qui se font si réels quand on les nourrit de son attention.

Lâcher prise et servir. Servir le plein, servir la plénitude, servir cette joie si tangible qui tisse un filet de lumière autour de la Terre. Et ce filet de lumière autour de la Terre vient porter une érosion au maillage qui semble si dense de toutes ces croyances et ces concepts basés sur le manque. La dévotion vient nourrir ce filet de lumière. La fraternité vit éternellement. Ceux enfermés dans les maillages croient peut-être qu’elle se lamente ou appréhende quelque futur, pour ceux qui choisissent de servir la joie, il n’y a aucun moment pour se lamenter. Simplement servir et nourrir par l’attention. C’est cela s’offrir.

Il est concret - pour ceux et celles qui veulent bien rendre cela concret - il est concret que la Terre s’ouvre, qu’elle est éternellement ouverture. Elle a offert cet attachement et cette illusion d’engluement à ce qui est dense ou crispé, pour s’ouvrir pleinement aux sphères célestes ou divines, là où réside la fraternité. Là où réside la fraternité, non dans un espace quelconque, au sein de tout car au sein de tout, est la lumière. Au sein de tout sont les mondes célestes, le temple du divin. Accéder à ces temples par l’intensité de l’attention…

Ainsi l’on accède au temple divin, et tous les aspects de la tridimensionnalité et de toutes les dimensions sont lavés, régénérés, réinitiés même, car il s’agit bien d’une autre initiation et d’une autre initialisation.

Si l’on veut bien déposer les visions illusoires pour s’ouvrir à celle de l’ouverture et d’être le dévot de l’ouverture, alors on réalise à quel point ces soi-disant manques sont comme des rêves ou des fumées. Cela n’est pas un concept mais la réalité, cette réalité qui est créée par la puissance de l’attention. Non une attention crispée ou qui a sa base dans un manque, une attention qui a sa base sur l’évidence et la confiance que seule est la lumière…

On est bien loin là de quelque intelligence crispée qui voudrait se perfectionner pour mieux être performant. On est bien loin d’une humanité robotisée. Vous savez, les robots qui font toujours le même geste si bien accompli. Alors il est vrai, la perfection est même dans les robots, et pourtant, que choisit l’humanité ?

Voyez la beauté, la suprême beauté, certains pourraient croire que l’on peut robotiser pour dominer, certains savent que l’on peut adorer pour sublimer et ramener la création à la pure simplicité du paradis incarné. Alors certains pourraient dire « qui gagnera ? ». Les sages savent sortir totalement du rapport de force et établir la réalité que la victoire est éternelle.

 

La fraternité intergalactique. 

Voyez à quel point tout est courant d’énergie. Ainsi l’énergie rassemblée avec tendresse et détermination permet cette ouverture du cœur, cette réalisation de l’éternelle ouverture du cœur. Un autre registre, une autre fréquence, un autre diapason, le diapason de bénédiction. L’être alors naturellement est bénédiction pour la Terre.

Voyez la beauté, lorsque le don est offert à l’aura autour de la Terre, les fraternités se joignent au don. Alors se crée la vraie relation. Car la vraie relation est de partager la même intention de don. Il est tout à fait vain que l’humanité aspire à un contact avec ce qu’ils nomment « extraterrestres » et qui sont, en fait, souvent toutes ces fraternités dont l’énergie est ancrée dans l’aura autour de la Terre. Il est tout à fait vain d’attendre une communication depuis le mode passif. La relation est naturelle lorsque les êtres humains comprennent que l’invitation est de cocréer la vie divine. L’humanité est inhérente à la fraternité. La fraternité ne perçoit pas l’humanité comme des êtres diminués mais comme des êtres cosmiques, nobles et grands qui peuvent cocréer.

La même fréquence, le même diapason. Et la beauté de la vie humaine, c’est ce libre choix.

Sur quel diapason choisit-on de se placer ? Ils sont tous là, ouverts et accessibles. Et l’élan initié par l’intention d’être bénédiction, réveille la puissance. La puissance, vous le savez, bien loin d’être le pouvoir, est cette évidence que tout est possible. Chaque être est pilier de grâce. Et que la grâce coule…

Toujours avec joie intensifier la présence. Être pilier de grâce implique la présence intense ici et maintenant. L’être humain est être cosmique et pilier de grâce. Cela implique que l’être humain est pleinement présent, pleinement participant, bien loin de ce laxisme mental où l’existence est empreinte de passivité, d’habitudes, de compromis. L’être humain est être cosmique et pilier de grâce. C’est ainsi qu’il est membre à part entière de la fraternité du vivant.

La réalité et l’invitation, c’est de s’offrir pleinement à cela, bien loin de ceux ou celles qui par laxisme se disent éloignés de cette réalité qui pourtant est l’omniprésence. Elle ne peut être saisie par l’ego. Elle ne peut être saisie par la réalité mentale. Elle peut être clairement embrassée avec passion et avec exaltation par la réalité qu’est le cœur.

L’être humain ne peut que se réjouir de cette beauté de la fraternité intergalactique, la fraternité des dévots à la lumière, car c’est bien ainsi qu’il faut percevoir ces cercles d’êtres tout offerts.

 

 

Déposer les rêves du devenir pour honorer la réalité de l'éternel autodépassement.  

Elle est belle, n'est-ce pas, la fraternité du Vivant. Seule est la lumière. Cette reconnaissance en soi est un don que nul ne peut s'accaparer, que chacun peut offrir. L'invitation de l'incarnation n'est pas de faire l'expérience que seule est la lumière. La seule invitation de l'incarnation, quel que soit le niveau de l'incarnation, que l'on s'incarne en être humain, végétal, minéral ou céleste, l'invitation est d'être lumière. L'invitation est de tout offrir à ce-cette être Vénérable, cet au-delà des noms qui vibre dans tous les noms et qui rend chaque nom sacré.

Être lumière, c'est s'offrir pleinement au tout. C'est bien cela que sont venus montrer cet Ami qui a marché sur les routes des hommes, il y a un peu plus de deux mille ans, et tous ces frères et sœurs qui ont marché sur les routes des hommes, celles des étoiles ou celles de la Terre intérieure, au-delà de l'espace et du temps, pour rappeler que tout est offert au tout, et qu’il est magnifique de tout rendre à tout, de cesser de prétendre qu'on est une parcelle du tout qui voudrait tant devenir tout. Cela est nier le tout, n'est-ce pas, puisque tout est éternellement tout.

Simplement, l'invitation maintenant est à l'authenticité. Oser vivre cela, non par quelque voie mystique - peut-être aussi par quelque voie mystique - mais primordialement par la simplicité d'être la vie et de rendre hommage à la vie à travers son unicité.

Pour certains ce sera un ressenti, pour autre ce sera une création, pour autre ce sera une implantation. Et peu importe. Chaque être unique dans sa beauté, dans son unicité, offrant le devenir à l'Être et offrant l'Être au devenir pour qu'il s'efface et que resplendisse la gloire de l'éternité de l'Être qui est le pur reflet du-de la Vénérable, du-de la Sans-forme. Être l'hommage vivant.

L'ego se crispe peut-être parce qu'on aurait tant voulu être spécial, devenir quelqu'un. Et là tout s'effondre. Dans la multidimensionnalité, tout s'effondre. Il n'y a que l'union, la complémentarité, la convivialité, le soutien mutuel de la beauté ineffable de chaque être qui s'offre à la beauté de tous les êtres. C'est magnifique n'est-ce pas ?

Quitter le devenir pour être. Et être, c’est être ouvert, c’est être offert, et naturellement c’est partager. Partager la beauté à travers son unicité, partager la splendeur de la vie qui en elle est la nature et la structure du-de la Vénérable. Être le don vivant. Ramener la Terre à sa valeur de lumière éternelle maintenant. Et le plus beau don que l'on puisse faire à la Terre, c'est d'être le don, d'être l'intensité de l'attention offerte à la divinité présente dans chaque parcelle de création puisque seule est la divinité.

Alors si vous le voulez bien maintenant, sur le plateau d'or qu'est le cœur de la Fraternité, déposons les histoires, déposons les rêves du devenir pour honorer la réalité de l'éternel autodépassement qui fait que chaque être grandit éternellement sans rien posséder puisque tout est possédé par le tout qui est le tout, qui est la nature, qui est le seul, la seule, l'Unique.

L'autodépassement inhérent à la structure de la vie. On n'a pas besoin du devenir. Il suffit d'honorer ce don éternel de la vie qui grandit toujours vers son propre infini sans jamais l'atteindre. C'est là la beauté et la gloire, l'infini sera toujours infini. Il l'est toujours, éternellement. Et par sa nature même, l'infini s'autodépasse dans son propre infini, tout en restant infini. Et cela est la vie. Cela est la passion, la passion d'apprendre, de découvrir, de s'enrichir, de se donner, non pour posséder mais parce que cela est la nature de l'Être, et qu’a été donnée à chaque être une structure de perfection, de lumière, d'amour, de beauté. La structure de l'Être divin.

 

 

La Terre entre dans une autre ligne de temps. 

Comprenez bien la multidimensionnalité. Pour ceux qui choisissent l’ouverture, l’ouverture est bien réelle. Pour ceux qui choisissent l’ouverture, l’on peut dire que la Terre entre dans une autre ligne de temps. Vous vous souvenez ou peut-être ne vous souvenez-vous pas, la prédiction des temps anciens, l’ère du second soleil. L’énergie de la fraternité vient s’unir très concrètement à l’énergie physique du soleil. Deux énergies physiques se fondent en une, signe d’ouverture pour ceux qui choisissent l’ouverture.

Cela est fondamental. Il ne s’agit pas de vaisseaux spatiaux qui viennent aider la Terre. Cela fait longtemps que cela est dit et répété, l’heure est à la cocréation. Et pour cocréer, il faut être unis. Il faut être sur la même fréquence, la même longueur d’onde, dans la même salle. Comme dans un orchestre, il faut pouvoir s’écouter, se répondre, regarder dans la même direction.

Comprenez la multidimensionnalité. Beaucoup semblent continuer sur la même ligne de temps avec les mêmes compréhensions, les mêmes enfermements, le même désir d’ouverture. Désir, l’on ne désire pas ouvrir la porte, on l’ouvre. Qui choisit de l’ouvrir ?

Voyez, ceux et celles qui veulent entendre se préparent, écoutent et appliquent. Nous l’avons dit depuis longtemps, il ne s’agit pas d’attendre mais d’œuvrer. Ce ne sera jamais qu’une force extérieure à chaque être vienne l’extirper de quelque réalité. Ce ne sera jamais qu’une force extérieure à chaque être vienne extirper la Terre et la placer sur une autre réalité. Cela n’est qu’une cocréation.

La beauté, la magie, est que la fraternité vient rencontrer ceux et celles qui sont prêts. Cela est très réel. Et plus que jamais ce qui semblait être des dimensions se fond. Il n’est qu’un seul cœur, n’est-ce pas ?

L’on peut dire qu’une nouvelle ère s’ouvre pour ceux et celles qui sont prêts à la co-ouvrir. Nous avons donné les modes de fonctionnement, les modes de comportement, les routines des civilisations d’harmonie. Qui applique ? Si vous n’appliquez pas encore, appliquez. Dans cette vague immense d’élévation, d’ouverture, appliquez. Et cocréez. C’est la plus grande beauté, n’est-ce pas ? L’humanité n’a jamais été conçue pour attendre et être passive. Chaque être humain, vous le savez, crée sa réalité comme un artiste crée une œuvre d’art. Les pinceaux, les couleurs, les couteaux à ciseler, tout a été offert. Les prendre dans ses mains est sage.

La rencontre est très réelle. Les dimensions se fondent pour ceux et celles qui choisissent de vivre la multidimensionnalité. Cela implique aller rencontrer. L’on ne peut être rencontré si l’on ne va pas rencontrer. Alors rencontrer par l’intention. Par l’attention, rencontrer. Cela veut dire aller vers. Le cœur va vers, vers le cœur d’infini. Ne pas rencontrer au niveau de la tête. Ne pas écouter les histoires. Les histoires ne restent que dans la boîte mentale et cette rencontre-là n’est pas mentale. Rencontrer par l’alignement. Rencontrer par l’attention. Rencontrer par l’hygiène. Rencontrer par l’abstinence, l’abstinence des réflexes mentaux, l’abstinence par rapport à toutes les addictions. Laissez internet autant que vous le pouvez. Laissez tout ce qui est compliqué autant que vous le pouvez. Restez ouvert, centré, simple et audacieux. L’audace d’aller rencontrer l’humain divin, l’audace de vous aligner à l’énergie la plus haute et la plus belle.

Voyez, la grosse erreur souvent est de croire que ces êtres lumineux, bienveillants, ces géants de lumière, viennent embrasser la petite humanité. Grosse erreur car la petite humanité n’est qu’une boîte mentale. La fraternité vient rappeler que l’humain est divin. A chacun de se lever, de prendre son grabat et de marcher. Cela n’a jamais été aussi simple, aussi réel. Encore faut-il s’aligner. L’heure est à la grande convergence, au grand alignement. Aller rencontrer. Rencontrer l’aspect le plus noble de vous-même. Rencontrer la fraternité. Rencontrer le « tout est possible ». Rencontrer la vision la plus noble de votre quotidien, la vision la plus noble de l’humanité, la vision la plus noble de la création.

Pour certains, pour la plupart de l’humanité, cela peut rester encore caché. Heureux ceux et celles qui se lèvent et qui vont rencontrer, ainsi ouvrant la porte pour être rencontrés. La fraternité ne reconnaît que le Divin en tout. Il est important que l’humanité comprenne qu’elle doit sortir de la boîte mentale et cesser de se voir petite ou ayant besoin d’être assistée. Le Divin n’a pas besoin d’assistance, il cocrée.

Belle est cette période de la rencontre de lumière. Comprenez, il s’agit simplement du cœur qui s’offre et non de l’ego qui va ergoter sur quelque nouvel âge, sur quelque race d’êtres qui vient, sur quelque boîte mentale. Il s’agit du cœur qui s’offre, de la simplicité qui s’actualise et s’ancre. Restez unis. Pour ceux qui vont rencontrer, immense peut être l’inspiration, la guidance.

L’ouverture implique de sortir totalement de la passivité, de se réjouir, de danser sur les fréquences cosmiques, de danser le cœur et de courir vers la perfection éternelle de l’Être qui est la création.

Être béni, c’est bénir.

 

Transfigurer les circonstances par la joie. 

Vous le savez, c’est dans le cœur du silence que l’on se rencontre le mieux. Les étoiles s’offrent au silence, particulièrement dans cette période qui, à bien des points de vue, semble empreinte de l’esprit d’ouverture, de douceur, de fluidité, du moins pour ceux et celles qui choisissent d’honorer l’ouverture, la douceur et la fluidité.

Certains parleraient de période auspicieuse, nous disons que chacun crée l’aspect auspicieux de la période par son regard et son positionnement. Elle est belle cette Terre qui précipite la possibilité de retour vers le simple et le divin.

La base, vous le savez, reste d’honorer le silence. Et honorer, c’est incarner, sans choisir en aucune manière de s’approprier quoi que ce soit, et au contraire, en ramenant tout à sa source, et en se définissant comme étant le dévot du silence, le dévot, la dévote de la joie infinie. Ne jamais laisser les circonstances paraître austères, les transfigurer par le choix inconditionnel d’honorer la joie. Pour ceux et celles qui honorent la joie inconditionnellement, la joie est précipitée.

Être écoute de ce chant magnifique d’union qui concrètement unit les étoiles, les planètes, les galaxies, et rendre hommage à tous ces points d’ancrage placés par les civilisations d’harmonie accompagnant la Terre et l’humanité dans ce grand retour à la famille lumière. Oser aller toujours plus loin, toujours au-delà. Il n’y a aucune limite pour l’être humain.

Littéralement, il n’y a aucune limite pour l’être humain, ni au niveau de sa structure corporelle, ni au niveau de son cœur, de son cerveau, de ses émotions. Installer dans la simplicité, retrouver cette évidence que l’humain est divin. Cela reste bien l’ultime aspiration. Et cela s’actualise à travers la simplicité…

Incarner. C’est bien cela l’affaire de l’incarnation, sans jamais oublier de raviver éternellement la passion, l’enthousiasme, la joie vitale, sans jamais oublier de raviver éternellement la vitalité corporelle, le dynamisme, le dynamisme intérieur et celui appliqué à toutes les sphères de vie.

Plus que jamais, l’invitation résonne. Vous le savez, La Terre résonne encore de l’invitation de tous ceux qui ont su suivre la voie. Quelle que soit leur façon de suivre la voie, il n’est qu’une voie, celle du sacré vécu ou appliqué à travers les voies de bien des cultures, des systèmes de pensées, et pourtant coulant toujours à la source et étant l’écho clair, pur et simple de la source.

Plus que jamais il est simple d’écouter, d’entendre et d’appliquer. Et qu’il est sage et beau de profiter de cette ouverture, de cette époque qui se veut auspicieuse, pour actualiser, intégrer, et pour retrouver cet au-delà des limites qui est le standard des êtres humains. Suivre les limites, quelles qu’elles soient, ne correspond pas au standard d’être humain divin. Seuls l’illimité, l’audace infinie d’aller toujours au-delà de soi et de créer sa réalité à l’image la plus belle.

La pleine présence reste la base. Et sur la base de la pleine présence, la joie est le moteur, la joie qui est la résonance du choix clair et conscient de ses circonstances de vie à l’image de ses aspirations les plus profondes, et la joie du simple fait d’être la joie et de résonner avec cet océan de félicité qu’est la trame de la création.

Sans aucun compromis, choisir les circonstances qui expriment le mieux ses aspirations les plus profondes. Tout est possible. Et sans aucun compromis, s’aligner et s’ajuster éternellement à la vibration, à la fréquence la plus ultime. Regarder son existence avec la vision vaste. Regarder ce plan de l’incarnation, et sans concession et sans jugement, évaluer avec quelle intensité l’on suit ce plan…

Pour ceux et celles qui choisissent la voie sans compromis, les étoiles déversent les flots de soma.

 

 

Hors de la cage du temps linéaire. 

Le retour à cette évidence de l’inévitable de la multidimensionnalité nous amène à vivre en conscience à quel niveau nous nous identifions. Vous le savez, le temps linéaire n’est qu’illusion, seul est le temps simultané et l’attention donne vie à quelque fréquence. L’attention ne peut être mentale. Si elle est mentale, elle reste enfermée. L’attention ouvrant à la multidimensionnalité se doit d’être ouverte, hors de la cage du temps linéaire. C’est le silence qui ouvre la porte de la cage, l’attention profondément ancrée dans la pleine présence…

Le souffle permet cela. Car l’attention tout offerte au souffle permet de ramener la circulation juste de l’énergie dans le corps, permet de ramener le centre d’équilibre, le cœur, au niveau énergétique. Il ne s’agit pas des sentiments mais d’équilibre énergétique, d’ouverture, et donc en sous-produit des sentiments les plus fins qui résonnent dans la fréquence de l’ouverture.

Alors vient l’évidence de l’appartenance à cette fraternité, la fraternité du vivant. Tout est honoré comme étant le tout. Tout est honoré comme étant le Divin puisque cette fréquence ne perçoit que cela. Alors ces différents plans de l’individualisation superposés sont révélés, l’attention reste à traverser tous ces plans pour être offerts au-à la Vénérable, à cet Être Suprême, la source de toutes les sources, l’aboutissement de tous les aboutissements, au-delà des traditions, et surtout au-delà des croyances, car l’humanité trop souvent ne fait que des croyances nouvelles qui remplacent d’autres croyances mais qui restent croyances. La croyance n’est que mentale.

Ainsi s’appliquer à être la simple présence au souffle qui traverse le corps… Ainsi hors de la cage du monde mental, l’être œuvre et vit au service de la vie joyeusement, légèrement, uni à la vision de la Terre nouvelle, Terre d’éternité, éternellement présente pour ceux et celles qui choisissent de s’harmoniser à la même fréquence.

Être ouverture et découvrir éternellement la beauté du vivant. Rien n’est statique, rien n’est figé, rien n’est un concept, tout est éternellement nouveau, neuf et éternel. C’est cela la beauté.

 

L’on ne peut sortir du monde mental depuis l’intérieur du monde mental. 

Il faut bien qu’un jour l’humanité comprenne que ce ne peut être par le biais du mental que l’on sort du monde mental. A créer des concepts, des croyances, des rêves, l’on crée des illusions, des bulles mentales à l’intérieur d’un monde mental. Et certains croient que certaines bulles sont la Terre nouvelle. La Terre d’harmonie est cette Terre qui accompagne l’humanité hors de ce monde mental dans la réalité d’être la pure simplicité d’être au niveau cellulaire, à tous les niveaux de l’individualisation.

L’invitation est simple, grande, intransigeante, l’on ne peut sortir du monde mental depuis l’intérieur du monde mental. L’on ne peut que s’offrir joyeusement à la pleine présence au souffle qui traverse le corps, s’y offrir non de façon fugace mais de façon permanente, une fois la verticalité de l’énergie rétablie de façon authentique. Et cela est vérifié par cette ouverture et cette effulgence du cœur, cette expansion, cette douce clarté rayonnant de la structure cérébrale, ce silence béni qui devient la trame, la permanence, la source. Et de la source, coule l’infini de la joie, non une expérience de joie, mais l’évidence que la vie est joie pure…

Vous vous souvenez, cela a été dit si souvent, l’humanité ne connaît pas l’intense. Seule l’intensité permet de passer de l’autre côté de la bulle mentale pour entrer dans la réalité de la pleine conscience présence lumière. Et la présence au souffle vient nourrir cette clarté, cette évidence, cette lumière. Alors naturellement l’on change de registre. Naturellement, tout en étant pleinement conscient de ce naturel.

Le critère pour établir le naturel n’est pas le critère de médiocrité du monde mental. Le critère est l’excellence du cœur. Le critère est le droit naturel de chaque être vivant d’incarner la perfection de la vie qui est ce que Je Suis, ceci prononcé au nom de chaque parcelle de vivant…

C’est ainsi qu’est transfigurée la Terre. Il faut bien que certains acceptent de cesser de mentaliser pour tout redonner à la réalité. Car la réalité éternellement n’a rien d’un rêve mental… La seule authenticité est que l’humain est divin.

 

L’union entre cœur et cerveau est le plus beau générateur d’énergie.

Retrouver le contact conscient avec les éléments. Ne plus vivre en mode automatique, savourer la vie. Dans chaque parcelle de vie, l’union est le don des éléments. Dans chaque parcelle de création, les éléments s’offrent, s’entrelacent, dansent. Sacré est le feu, et sacrée la terre. Sacrée l’eau et sacré l’air. Et sacré l’éther qui fait le lien entre tous les éléments. Sacré l’éther qui touche le feu et l’unit à l’eau, à l’air, à la terre.

A retrouver ainsi la relation consciente avec les éléments, on réveille une autre structure corporelle. L’on réveille une autre fluidité. Le corps, vous le savez, n’est pas solide. Le corps est lumière, le corps est son. C’est concret. Et c’est d’autant plus concret que l’être choisit de vivre en conscience, dans le souffle qui traverse le corps, l’union des éléments. Le monde mental n’a accès qu’à si peu. Il convient de le déposer en choisissant la simplicité du souffle qui traverse le corps.

La pleine conscience offerte au souffle est la pleine tendresse offerte au souffle…

Vous le savez, bien des fréquences simultanément. A un niveau le corps peut sembler dense. Lorsqu’il est ramené à l’énergie rassemblée par la puissance de l’attention bienveillante, le corps touche l’infini.

Voyez, certains parlent d’amour, d’autres d’énergie, la même réalité. L’énergie infiniment fluide, l’énergie d’infini de laquelle toute source d’énergie émerge. Il n’est pas nécessaire d’avoir des technologies pour capter l’énergie. Le cerveau, le cœur, et l’union entre cœur et cerveau est le plus beau générateur d’énergie, cette énergie que l’on appelle amour, l’énergie libre.

Le corps a toutes les capacités. Le corps est le champ de « tout est possible ». Le cerveau peut chercher des moyens de capter l’énergie, le cerveau uni au cœur connaît la source infinie de l’énergie. Et connaissant la source infinie de l’énergie, le cerveau uni au cœur guérit tout ce qui semble être disharmonie. Vous prenez l’infini qu’est le cœur, l’énergie rassemblée avec tendresse, et vous l’amenez à toute zone du corps qui semble avoir besoin de l’attention- amour, avec tendresse, clarté et puissance et en portant la vision de la perfection de cette partie du corps ou de cet organe. Le souffle est le moyen d’offrir l’amour.

Le corps est le champ du « tout est possible ». Par le don de l’amour, le corps lui-même est le champ de toute guérison. C’est ainsi que le corps se régénère, rajeunit, se revitalise.

 

Il ne s’agit pas d’imaginer mais d’incarner.  

Précipiter la civilisation d’harmonie. Hors du monde mental, seule est l’harmonie. Il serait vain de créer des concepts comme tant le font, de la civilisation d’harmonie. Un concept n’est qu’un vent mental. Sortir de la sphère des concepts et des croyances pour être dans le monde de l’évidence. L’évidence est la pure clarté, lorsque l’équilibre de l’énergie dans le corps est rétabli.

Il ne s’agit pas d’imaginer ou de penser à, il suffit d’incarner. Il est vrai, cela prend l’intensité de l’attention, de s’établir pleinement dans cette attention au souffle qui rétablit l’équilibre. Rétablissant l’équilibre au niveau du corps, on le rétablit au niveau de la Terre et de l’univers. Car vous le savez, il n’est pas une Terre mais des milliards de Terres, il n’est pas un univers mais des milliards d’univers. Seul est le silence. Seul est le silence et chacun précipite sa réalité selon sa vibration, sa fréquence. Faire le choix clair et conscient de précipiter la fréquence lumière par ces actions, par ses intentions, par ses pensées, ses paroles et surtout par son rayonnement. Et le rayonnement est déterminé par la fréquence de l’attention qui est déterminée par l’intensité d’énergie. Cette intensité peut être dans la sphère cérébrale, dans la sphère du cœur. Etablie dans la sphère du cœur, les centres de perception subtile naturellement sont nourris. L’attention reste sur aller au-delà, sans s’arrêter à aucune perception. Aller au-delà simplement pour être l’offrande vivante d’harmonie par son rayonnement sans fixer aucun concept, aucune croyance, sans fixer quoi que ce soit de rigide ou de soi-disant solide. Tout est énergie, vibration. Le solide n’est pas, il n’est qu’un concept, le concept d’un mental enfermé. Libérer. Libérer l’intention, libérer l’énergie, être la beauté de la vie. L’attention offerte au souffle est prédominante, primordiale. Il suffit de choisir inconditionnellement un choix demandant, intransigeant peut-être. Il est pourtant l’invitation. Ainsi s’alignent les différentes fréquences de la multidimensionnalité. Ainsi s’efface cet aveuglement généré par la vision mentale, comme s’il n’y avait que cela et que l’on doive tendre vers d’autres fréquences alors qu’elles sont là, prêtes.

Il suffit de faire le choix. Le choix est intransigeant, exigeant peut-être, magnifique et passionnant. Mais n’est-il pas passionnant de retrouver le sens vrai de l’incarnation ? Ne pas attendre, œuvrer.

 

 

Le corps pulse au rythme du souffle cosmique. 

Inscrire dans les cellules du corps que la croyance dans la possibilité de maladie est un grand mensonge inculqué dans le collectif de l’humanité, la grande tromperie. Avec tendresse, avec amour, entrer en relation depuis la verticalité de l’énergie, cela est fondamental. Si la verticalité de l’énergie n’est pas établie, alors l’intention reste un concept et le concept n’est que mental. Le monde mental a perdu la puissance. Par l’attention offerte au souffle, rassembler énergie tranquillement, avec tendresse, confiance, et montrer aux cellules « vois ta grandeur d’infini, tu es divin, divine ». Imprimer cela dans la structure des organes par l’intention simple.

Le mental veux toujours contrôler, comprendre, le cœur sait l’évidence. Le cœur offre la confiance, l’authentique confiance. Car tout est affaire d’authenticité. La base est la verticalité de l’énergie qui traverse le corps. La Terre donne l’amour, le soleil donne l’amour, les éléments donnent l’amour. Où l’amour peut-il manquer ? Les cellules donnent l’amour, les organes donnent l’amour, l’ossature donne l’amour. Où l’amour peut-il manquer ?

Le cœur est le centre, le cœur est l’or, le cœur est lumière. Du cœur jaillit le corps. Du cœur jaillissent les cellules. Dans le cœur, se fond le corps et se fondent les cellules. Le corps n’est pas solide, il est lumière.

De la plénitude du cœur, jaillit la structure corporelle, jaillissent les centres d’énergie, jaillissent les organes. L’on peut choisir de les ramener à leur perfection par la simple intention basée sur la verticalité, dans la pleine confiance de l’interaction, de l’intercorrélation, de l’infinie entraide de tout point de l’univers à tout point de l’univers. Il n’y a que cela…

Le corps pulse. Le corps n’est pas solide. Éternellement il entre dans le grand silence, sort du grand silence au rythme du souffle cosmique. Entré dans le grand silence, il est silence. Sortant du grand silence, il jaillit. Accompagner son jaillissement dans la perfection.

 

L’ouverture de la Terre est à la mesure du choix de chaque être. 

Depuis la pleine présence, déjouer tous les automatismes, les automatismes de pensée, de compréhension, tous ces automatismes qui font toujours retourner dans les mêmes rails, les rails de la méfiance, des interprétations erronées, des habitudes, des actions compulsives. « L’humanité a toujours fait cela, alors je fais cela. » Déjouer ces modes de fonctionnement pour retrouver la liberté du choix d’être à l’image de son intention la plus profonde, du choix d’être le pur reflet de sa divinité, du choix d’être un être unique qui choisit à chaque moment sa réalité.

Il est réel que la Terre s’ouvre. Il est réel aussi que cette ouverture est à la mesure du choix de chaque être, non pour la Terre elle-même mais pour chaque être puisque chaque être perçoit la Terre qu’il ou elle crée puisque seul est le silence et que la création est la projection de celui qui la perçoit.

Retrouver la réalité d’être créateur renverse, si l’on peut dire, le contexte du mode de fonctionnement. L’être alors sait qu’il ou elle crée sa réalité. Le poids de l’attention n’est pas tant sur les apparences de cette réalité mais sur l’intention qui est à la source et qui accompagne le jaillissement des apparences de réalité.

Toujours appuyer le poids de son attention sur l’attention offerte au silence, non de façon statique mais pleinement dynamique. L’attention offerte au silence est une relation, une relation d’amour car le silence est conscience, le silence est la vie, le silence est l’Être vénérable. Et reconnaître, au cœur du souffle, le silence. Ainsi le souffle est le pilier et nous ramène toujours à la source éternelle.

Au cœur du souffle, contempler le silence et toujours s’émerveiller. S’émerveiller de la beauté du pouvoir d’organisation de l’infini silence… S’émerveiller éternellement.

Et s’émerveiller amène au choix conscient, ce choix conscient qui permet justement de sortir de ce tissage de pensées, de formes-pensées, de croyances, de certitudes qui enferment et semblent masquer la simple réalité de ce qui est.

Choisir sa réalité en choisissant la fréquence à partir de laquelle sont générées les perceptions. Certains peuvent percevoir une réalité et d’autres une autre qui semble diamétralement opposée. La réalité perçue est toujours à l’image de la fréquence à partir de laquelle elle est émise. Et simultanément, la fréquence détermine la perception car l’on ne voit que ce que l’on est.

L’invitation est, au sein de l’émerveillement, de grandir encore et toujours en conscience, de grandir encore et toujours dans cette perception raffinée qui permet de percevoir avec toujours plus d’acuité ce qui est un simple automatisme programmé par ce tissage de formes-pensées ou ce qui est la simple réalité unique correspondant à l’unicité de la fréquence que l’on émet. C’est là qu’est la passion d’être vivant, émettre une fréquence unique.

Pour développer cette acuité de perception, de conscience, de vigilance-amour, il est beau encore et toujours de vivifier toutes ses structures que ce soit la structure corporelle, celle énergétique ou sensorielle, ou même relationnelle. A partir d’où est-ce que je base ma réalité ? A partir d’où est-ce que j’émets la fréquence qui projette cette réalité ? A partir d’où toujours… Trop souvent l’humanité croit diriger les rênes. Embrasser la vision la plus vaste et la plus belle est acte de dévotion.

Toujours être rayonnement. Toujours être pleinement participant à cette fraternité qui incessamment bénit. A travers chaque souffle, à travers chaque mouvement, chaque silence, bénir éternellement. C’est bien le plus beau mode de fonctionnement, n’est-ce pas ? Et l’unique correspondant à la vibration la plus haute. Bénir éternellement sans aucun jugement, sans aucune autre implication que d’être cette source éternelle, ce jaillissement du cœur qui s’exprime à travers chaque apparence de vie. Ce simple acte de bénir peut transfigurer les réalités.

Pour accompagner ce choix conscient de chaque moment, oser dynamiser les structures corporelle, mentale, émotionnelle, bien au-delà de ce qui est entendu normalement par dynamiser. Le corps se doit d’être pulsation de vitalité. Tous les corps se doivent cela aussi, toutes les parcelles de l’être. 

Intensifier le dynamisme, ainsi multiplier à l’infini la fréquence de la vibration d’émerveillement. Ainsi simplement bénir la Terre dans chaque moment.

S’émerveiller parce que le cœur est le temple et que concrètement cette conscience que le cœur est le temple est la gratitude offerte à tous les jaillissements projetés de ce temple-cœur. Tout cela multiplie la plénitude d’être le corps-lumière. La plénitude multipliée permet à la fréquence de s’élever. La fréquence plus élevée ouvre à la réalité correspondante qui va aussi s’élever.

Plus que jamais, faire le choix conscient d’optimiser la relation avec son corps, avec son environnement, avec la nature. Honorer les arbres. Ils sont maîtres. Ils opèrent la tendre reliance, la tendre reconnexion par leur simple présence et leur simple exemple d’être le rayonnement de verticalité du vivant.

L’un des fondements de la vie sur Terre est de ne regarder que la beauté, de s’émerveiller de la beauté au sein même de la beauté, ainsi de n’animer que cela, de magnifier cela, d’en être l’élève et le maître.

L’heure est venue d’incarner l’éternité de la victoire, l’émerveillement devant la splendeur d’être créateur et de créer sa réalité à l’image du-de la Vénérable. Sacré est le don de l’incarnation.

 

 

Vivre de louange. 

Au cœur du silence, vivre de louange. Au-delà même des mots, au cœur de l’énergie qui est ce que Je Suis, au cœur du souffle, au cœur du cœur, vivre de louange. Contempler la beauté, l’exprimer, la laisser jaillir, reflet de la seule beauté, celle de l’immuable. Vivre de louange, vivre de plénitude, adorant à travers chaque expression de beauté, adorant à travers la création de la beauté, l’Immuable, l’Unique, le-la Vénérable. Vivre de louange, car Le-La reconnaître au sein des papillons, des oiseaux, des fleurs, des êtres, des cailloux.

Aller chercher la beauté dans chaque parcelle de création. Et si des apparences semblent être autres que celles de la beauté, aller chercher la beauté au sein des apparences pour ainsi la matérialiser. Laissant les voies dépassées de ceux dont le regard reste sur les apparences, œuvrer par le regard pour que les apparences soient celles de la pure beauté, contemplant la beauté au sein des apparences. Car c’est le regard qui crée l’apparence.

Imaginez l’effet pour Mère Terre, de ces milliards qui regardent des apparences en se plaignant d’elle, en se lamentant. Ils croient que les apparences sont maître, elles ne le sont jamais. Pour celui et celle qui honore le-la Vénérable au sein de chaque parcelle de vie, seule est la beauté.

Voyez la générosité de Mère nature, la générosité, cette beauté qu’elle offre, cette beauté que le cosmos offre. Offrir au nom de chaque être humain, offrir la beauté et le regard qui matérialise la beauté. Et vivre de louange, car cela est le seul sens de la vie, la louange.

Remercier, bénir, s’effacer, car seul est l’Un, l’Unique, le-la Vénérable. Et remarquer, pour la structure corporelle, la puissance de transfiguration du fait de vivre de louange. C’est bien ainsi que le corps a été conçu pour fonctionner, non pour se lamenter, se crisper, récriminer, s’approprier, mais pour louer. Appliquez cela concrètement dans chaque moment de maintenant, concrètement, et sentez comme le corps jubile, comme les cellules s’ouvrent et s’éveillent, comme le sang se fluidifie.

Vivre de louange passe par la verticalité de l’énergie, le cerveau uni au cœur, l’attention tout offerte à cette flamme d’infini qu’est la vie. Vivre de louange, nourrissant le corps de la pleine présence et la pleine présence qualifiée de la louange. La plus belle alchimie pour la structure corporelle, la plus belle alchimie.

Ne contempler la Terre qu’à travers sa beauté, ne contempler la vie qu’à travers sa beauté, cela doit être un absolu. Pour la grande ouverture, cela doit d’être un absolu. Lâcher prise irrémédiablement de toute crainte, lamentation ou déception, critique ou de quoi que ce soit qui ne soit la beauté. La contemplation est la louange. C’est ainsi que se précipite la Terre d’harmonie.

Alors bien sûr beaucoup diront « oui mais les enfants qui peut-être souffrent, ou les femmes, ou les hommes, ou les guerres ».  Ne contempler que la beauté. Cela ne veut pas dire occulter, cela veut dire alchimiser. Car quel que soit l’être qui regarde quelque circonstance avec le regard depuis la pleine présence, qui loue le Divin, cet être-là transfigure et alchimise toute circonstance de vie. C’est comme cela que se produit la grande alchimie. Ce ne sera jamais en se lamentant, ou en critiquant, ou en déplorant. Certains l’ont étudié, la valeur de l’attention transfigure les circonstances, et aucune énergie n’est plus belle que celle de la louange.

La louange est le silence magnifié. La louange est la glorification.

Il faudrait que l’humanité comprenne l’art de créer la Terre d’harmonie. Vivre en pleine conscience et solliciter la beauté en toute circonstance. Vivre avec une éthique impeccable et solliciter la beauté au sein de l’éthique. Ne pas faire de compromis car ceux qui critiquent souvent oublient de se regarder eux-mêmes.

Ne regarder que cela, l’impeccabilité de sa propre éthique, les choix conscients de simplifier, les choix conscients d’honorer la vie à travers chaque acte, chaque parole, chaque pensée.  Chaque pensée. À travers le silence, au-delà des pensées, vivre de louange. C’est un acte concret qui instaure la louange, non comme un mot, mais comme une circonstance de vie, et qui ainsi annule tout le reste. Alors éclosent les roses du cœur…

Vivre de louange est un acte concret. La base est la pleine présence. La pleine présence permet au regard d’être louange et contemplation de la pure beauté.

De là jaillissent les flots d’abondance, de plénitude, de prospérité, de sagesse, de créativité. Là est la source de la joie.

Vivre de louange concrétise que seul est le Un, car vivre de louange ne peut être inscrit dans la dualité.

 

Tous les messages 

 

La Terre entre dans une autre ligne de temps. 

Le temps semble se rapprocher du non-temps. 

Transfigurer les circonstances par la joie.

L'être autoréférant est comme un roc inébranlable. 

L'audace d'incarner l'humain divin. 

La fraternité intergalactique. 

La splendeur du suc de tous les événements.

Vivre de louange.

Déposer les rêves du devenir pour honorer la réalité de l'éternel autodépassement. 

L’on ne peut sortir du monde mental depuis l’intérieur du monde mental. 

Hors de la cage du temps linéaire. 

Il ne s'agit pas d'imaginer mais d'incarner.

L'union entre cœur et cerveau est le plus beau générateur d'énergie. 

Le corps pulse au rythme du souffle cosmique. 

Le corps est le pilier d'où peut jaillir la Terre nouvelle. 

Les points forts de rayonnement se réveillent. 

Le nectar d'immortalité, contrepartie physique des sentiments les plus fins. 

La réalité concrète de la Terre lumière.

Robotiser l'être humain ou déployer sa divinité.

La relation entre le dense et le subtil est la plus belle histoire d'amour.

​​​​

La beauté de la relation avec le temps lorsque l'éternel est vénéré. 

​​​

La mission maintenant est par le rayonnement. 

L'ouverture de la Terre est à la mesure du choix de chaque être. 

Aimer ne signifie pas qu'on pose un bon jugement. 

Maintenant sont tous les événements, tous les lieux. 

Il n'y a jamais eu de bataille.

El Morya

​​

La Terre lumière ne se visite par aucun voyage. 

La plus grande illusion est de croire qu'il y a un corps physique enfermé et un corps lumineux ailleurs.

Lorsque l'orage éclate.

St Germain

L'invitation n'est jamais d'attendre mais de créer

Choisir la version la plus parfaite de chaque moment. 

L'histoire de l'humanité a une base erronée.

​​

​​​​​​​Comme les disques durs, de temps en temps il faut faire un reset.

​​​​​

Pour changer l'humanité, s'établir dans la fréquence de l'union. 

Infiniment puissante est l'unité cœur-cerveau.

L'heure est venue de sortir des concepts pour embrasser le réel.

Il n'y a pas de sens à chercher à ouvrir son cœur.

​​​

L'être humain est fils d'immortalité.

On est bien loin des croyances de l'union des puissances célestes pour permettre à la Terre de sortir du chaos.

Le corps de lumière n'est pas la transformation du corps tridimensionnel.

​​​​​​

La réalité des espaces célestes transcende la notion d'espace tridimensionnel.

​​

Tous les états de la Terre sont là maintenant.

Ne pas visualiser les chakras comme une ligne droite mais comme une sphère.

Il ne s'agit pas de rêver la Terre d'harmonie.

La joie n'est pas un ressenti.

L'humain divin, comme une autre race ou l'autodépassement de l'espèce.

Maintenant Je Suis la liberté totale par rapport à toute mémoire. 

Il n'est pas un collectif de la Terre, mais des collectifs. 

​​​

Intimité avec son ange et ses guides. 

El Morya le 4-5-24 

J'ai le sentiment qu'on arrive en incarnation sans mode d'emploi, largué. 

​​

Porter la vision c'est la savoir déjà réalisée. 

Juger ou critiquer c'est entrer dans la création d'un autre. 

 

Intensifier la présence n'a rien d'austère, c'est un don de joie. 

L'humain divin. 

Comment retrouver de la valeur à mes propres yeux ?

reçu d'El Morya​

Ouvrir les portes pour l'humanité. 

Maintenant contient le futur de la civilisation d’harmonie. 

​​

Enfin les traditions s'unissent

Impermanence ou éternité ? 

Incarner la joie. 

L'intention est le Verbe de la dimension de lumière. 

Le temps se courbe pour se fondre dans l'infini.

L'année du grand éveil. 

Ressenti de perte de repères. 

La matière n'est régie par aucun savoir figé.

 

Jouer le jeu de l'abondance. 

L'Être le 31-12-23

Plans de vie. 

L'Être le 29-12-23

Sortir des habitudes addictives de l'humanité. 

L'Être le 29-12-23

Pour la création, l'heure est au grand alignement. 

L'Être le 28-12-23

L'humanité sacrée est prête à émerger. 

St Germain le 17-12-23

Transition de l'année et mondes parallèles. 

L'Être le 5-12-23

Par l'attention exclusive à l'ouverture, les craquements cessent. 

L'Être le 11-11-23

Message de la Fraternité à l'humanité 

L'Être le 10-11-23

Il n'est pas concevable de se croire suffisamment présent.

L'Être le 10-11-23

L'heure est venue des flots de la grâce.

L'Être le 10-11-23

La réalité d’une civilisation revient à animer la même fréquence. 

L'Être le 7-11-23

Le choix d’être plénitude détend profondément les structures. 

L'Être le 28-10-23

La régénération spirituelle ramène la spiritualité dans l'au-delà des concepts. 

L'Être le 28-10-23

Lien entre le corps de lumière et le corps physique.

El Morya le 28-10-23

Y a-t-il un mode d'emploi pour débusquer les croyances ?

L'Être le 27-10-23

L'invocation des rayons.

L'Être le 27-10-23

Une croyance est un amas d'inertie rigidifiée

Douce Mère le 7-10-23

L'expérience de Douce Mère et Sri Aurobindo

L'Être le 3-10-23

Être le premier signe de l’éclosion de la divinité au cœur de l’humanité. 

L'Être le 21-8-23

Visualiser cette vie pour toute l’humanité...

L'Être le 20-8-23

La passion d'être vivant. 

L'Être le 19-8-23

Il ne s'agit plus de rêve. 

L'Être le 19-8-23

Les voiles illusoires s'estompent. 

L'Être le 18-8-23

Nous aimons donner les codes et les clefs. 

L'Être le 18-8-23

Seul l'amour guérit, n'est-ce pas ? 

L'Être le 17-8-23

Rien n'est figé si ce n'est la croyance que quoi que ce soit puisse être figé. 

L'Être le 2-8-23

Réveiller les mémoires sacrées. 

L'Être le 1-8-23

La puissance d'un être humain divin est infinie. 

L'Être le 1-8-23

Ainsi naît une autre société. 

L'Être le 31-7-23

L'ascension n'est pas une envolée que l'on attend passivement.

 

L'Être le 30-7-23

Le oui total à la plénitude permet à la structure du corps d'être transfigurée. 

El Morya le 10-6-23

Le fil des réincarnations est devenu une croyance. 

El Morya le 22-4-23

L'art de la manifestation, le processus de création. 

L'Être le 21-4-23

Le temps rentre dans le temple de l'éternel. 

L'Être le 20-4-23

La Terre sort de la linéarité du temps. 

L'Être le 18-4-23

Les mondes célestes ou divins. 

Marie-Madeleine le 14-4-23

Comment offrir et dépasser les peurs ? 

L'Être le 21-3-23

Plus que jamais les deux extrêmes cohabitent. 

L'Être le 26-2-23

Jamais la fraternité ne considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main.

L'Être le 25-2-23

Lorsque les êtres humains appellent comme l’on supplie, personne n’entend. 

L'Être le 25-2-23

Sortir des modes compulsifs de comportement. 

L'Être le 24-2-23

La beauté de l'ouverture est que chaque être retrouve sa souveraineté. 

El Morya le 25-2-23

Le collectif n'a aucune influence sur l’unicité de chaque être.

L'Être le 21-2-23

Certains croient que l'ouverture amène plus de facilité

 

L'Être le 1-1-23

Personne ne viendra transformer la Terre. 

L'Être le 1-1-23

L'heure est révolue des transformations progressives. 

L'Être le 31-12-22

Maintenant est le temps. 

Melchisédech le 29-12-22

La Lune est-elle artificielle ?

L'Être le 28-12-22

L'année nouvelle est porte ouverte. 

L'Être le 13-12-22

Le fossé se comble entre le concret de la matière et la lumière. 

L'Être le 26-8-22

Cette civilisation est retournée bien en deçà de la préhistoire. 

 

L'Être le 24-8-22

Ce n'est pas la situation qui cause le ressenti mais la fréquence à laquelle on s'harmonise. 

L'Être le 11-6-22

Pourquoi la guerre en Ukraine ? 

L'Être le 22-3-22

Ce dont on vous informe est le reflet d’une intention bien précise.

 

L'Être le 11-2-22

Si tout est Un, pourquoi parler d'êtres extérieurs, anges... ? 

L'Être le 11-2-22

Le noyau d'harmonie entraîne l'humanité dans une spirale. 

L'Être le 3-1-22

Le prisme qu'est chaque être. 

L'Être le 3-1-22

La bienveillance ouvre à la multidimensionnalté. 

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