
Messages de la dimension de Lumière
L’on ne peut sortir du monde mental depuis l’intérieur du monde mental.
Il faut bien qu’un jour l’humanité comprenne que ce ne peut être par le biais du mental que l’on sort du monde mental. A créer des concepts, des croyances, des rêves, l’on crée des illusions, des bulles mentales à l’intérieur d’un monde mental. Et certains croient que certaines bulles sont la Terre nouvelle. La Terre d’harmonie est cette Terre qui accompagne l’humanité hors de ce monde mental dans la réalité d’être la pure simplicité d’être au niveau cellulaire, à tous les niveaux de l’individualisation.
L’invitation est simple, grande, intransigeante, l’on ne peut sortir du monde mental depuis l’intérieur du monde mental. L’on ne peut que s’offrir joyeusement à la pleine présence au souffle qui traverse le corps, s’y offrir non de façon fugace mais de façon permanente, une fois la verticalité de l’énergie rétablie de façon authentique. Et cela est vérifié par cette ouverture et cette effulgence du cœur, cette expansion, cette douce clarté rayonnant de la structure cérébrale, ce silence béni qui devient la trame, la permanence, la source. Et de la source, coule l’infini de la joie, non une expérience de joie, mais l’évidence que la vie est joie pure…
Vous vous souvenez, cela a été dit si souvent, l’humanité ne connaît pas l’intense. Seule l’intensité permet de passer de l’autre côté de la bulle mentale pour entrer dans la réalité de la pleine conscience présence lumière. Et la présence au souffle vient nourrir cette clarté, cette évidence, cette lumière. Alors naturellement l’on change de registre. Naturellement, tout en étant pleinement conscient de ce naturel.
Le critère pour établir le naturel n’est pas le critère de médiocrité du monde mental. Le critère est l’excellence du cœur. Le critère est le droit naturel de chaque être vivant d’incarner la perfection de la vie qui est ce que Je Suis, ceci prononcé au nom de chaque parcelle de vivant…
C’est ainsi qu’est transfigurée la Terre. Il faut bien que certains acceptent de cesser de mentaliser pour tout redonner à la réalité. Car la réalité éternellement n’a rien d’un rêve mental… La seule authenticité est que l’humain est divin.
L’union entre cœur et cerveau est le plus beau générateur d’énergie.
Retrouver le contact conscient avec les éléments. Ne plus vivre en mode automatique, savourer la vie. Dans chaque parcelle de vie, l’union est le don des éléments. Dans chaque parcelle de création, les éléments s’offrent, s’entrelacent, dansent. Sacré est le feu, et sacrée la terre. Sacrée l’eau et sacré l’air. Et sacré l’éther qui fait le lien entre tous les éléments. Sacré l’éther qui touche le feu et l’unit à l’eau, à l’air, à la terre.
A retrouver ainsi la relation consciente avec les éléments, on réveille une autre structure corporelle. L’on réveille une autre fluidité. Le corps, vous le savez, n’est pas solide. Le corps est lumière, le corps est son. C’est concret. Et c’est d’autant plus concret que l’être choisit de vivre en conscience, dans le souffle qui traverse le corps, l’union des éléments. Le monde mental n’a accès qu’à si peu. Il convient de le déposer en choisissant la simplicité du souffle qui traverse le corps.
La pleine conscience offerte au souffle est la pleine tendresse offerte au souffle…
Vous le savez, bien des fréquences simultanément. A un niveau le corps peut sembler dense. Lorsqu’il est ramené à l’énergie rassemblée par la puissance de l’attention bienveillante, le corps touche l’infini.
Voyez, certains parlent d’amour, d’autres d’énergie, la même réalité. L’énergie infiniment fluide, l’énergie d’infini de laquelle toute source d’énergie émerge. Il n’est pas nécessaire d’avoir des technologies pour capter l’énergie. Le cerveau, le cœur, et l’union entre cœur et cerveau est le plus beau générateur d’énergie, cette énergie que l’on appelle amour, l’énergie libre.
Le corps a toutes les capacités. Le corps est le champ de « tout est possible ». Le cerveau peut chercher des moyens de capter l’énergie, le cerveau uni au cœur connaît la source infinie de l’énergie. Et connaissant la source infinie de l’énergie, le cerveau uni au cœur guérit tout ce qui semble être disharmonie. Vous prenez l’infini qu’est le cœur, l’énergie rassemblée avec tendresse, et vous l’amenez à toute zone du corps qui semble avoir besoin de l’attention- amour, avec tendresse, clarté et puissance et en portant la vision de la perfection de cette partie du corps ou de cet organe. Le souffle est le moyen d’offrir l’amour.
Le corps est le champ du « tout est possible ». Par le don de l’amour, le corps lui-même est le champ de toute guérison. C’est ainsi que le corps se régénère, rajeunit, se revitalise.
Il ne s’agit pas d’imaginer mais d’incarner.
Précipiter la civilisation d’harmonie. Hors du monde mental, seule est l’harmonie. Il serait vain de créer des concepts comme tant le font, de la civilisation d’harmonie. Un concept n’est qu’un vent mental. Sortir de la sphère des concepts et des croyances pour être dans le monde de l’évidence. L’évidence est la pure clarté, lorsque l’équilibre de l’énergie dans le corps est rétabli.
Il ne s’agit pas d’imaginer ou de penser à, il suffit d’incarner. Il est vrai, cela prend l’intensité de l’attention, de s’établir pleinement dans cette attention au souffle qui rétablit l’équilibre. Rétablissant l’équilibre au niveau du corps, on le rétablit au niveau de la Terre et de l’univers. Car vous le savez, il n’est pas une Terre mais des milliards de Terres, il n’est pas un univers mais des milliards d’univers. Seul est le silence. Seul est le silence et chacun précipite sa réalité selon sa vibration, sa fréquence. Faire le choix clair et conscient de précipiter la fréquence lumière par ces actions, par ses intentions, par ses pensées, ses paroles et surtout par son rayonnement. Et le rayonnement est déterminé par la fréquence de l’attention qui est déterminée par l’intensité d’énergie. Cette intensité peut être dans la sphère cérébrale, dans la sphère du cœur. Etablie dans la sphère du cœur, les centres de perception subtile naturellement sont nourris. L’attention reste sur aller au-delà, sans s’arrêter à aucune perception. Aller au-delà simplement pour être l’offrande vivante d’harmonie par son rayonnement sans fixer aucun concept, aucune croyance, sans fixer quoi que ce soit de rigide ou de soi-disant solide. Tout est énergie, vibration. Le solide n’est pas, il n’est qu’un concept, le concept d’un mental enfermé. Libérer. Libérer l’intention, libérer l’énergie, être la beauté de la vie. L’attention offerte au souffle est prédominante, primordiale. Il suffit de choisir inconditionnellement un choix demandant, intransigeant peut-être. Il est pourtant l’invitation. Ainsi s’alignent les différentes fréquences de la multidimensionnalité. Ainsi s’efface cet aveuglement généré par la vision mentale, comme s’il n’y avait que cela et que l’on doive tendre vers d’autres fréquences alors qu’elles sont là, prêtes.
Il suffit de faire le choix. Le choix est intransigeant, exigeant peut-être, magnifique et passionnant. Mais n’est-il pas passionnant de retrouver le sens vrai de l’incarnation ? Ne pas attendre, œuvrer.
Le corps pulse au rythme du souffle cosmique.
Inscrire dans les cellules du corps que la croyance dans la possibilité de maladie est un grand mensonge inculqué dans le collectif de l’humanité, la grande tromperie. Avec tendresse, avec amour, entrer en relation depuis la verticalité de l’énergie, cela est fondamental. Si la verticalité de l’énergie n’est pas établie, alors l’intention reste un concept et le concept n’est que mental. Le monde mental a perdu la puissance. Par l’attention offerte au souffle, rassembler énergie tranquillement, avec tendresse, confiance, et montrer aux cellules « vois ta grandeur d’infini, tu es divin, divine ». Imprimer cela dans la structure des organes par l’intention simple.
Le mental veux toujours contrôler, comprendre, le cœur sait l’évidence. Le cœur offre la confiance, l’authentique confiance. Car tout est affaire d’authenticité. La base est la verticalité de l’énergie qui traverse le corps. La Terre donne l’amour, le soleil donne l’amour, les éléments donnent l’amour. Où l’amour peut-il manquer ? Les cellules donnent l’amour, les organes donnent l’amour, l’ossature donne l’amour. Où l’amour peut-il manquer ?
Le cœur est le centre, le cœur est l’or, le cœur est lumière. Du cœur jaillit le corps. Du cœur jaillissent les cellules. Dans le cœur, se fond le corps et se fondent les cellules. Le corps n’est pas solide, il est lumière.
De la plénitude du cœur, jaillit la structure corporelle, jaillissent les centres d’énergie, jaillissent les organes. L’on peut choisir de les ramener à leur perfection par la simple intention basée sur la verticalité, dans la pleine confiance de l’interaction, de l’intercorrélation, de l’infinie entraide de tout point de l’univers à tout point de l’univers. Il n’y a que cela…
Le corps pulse. Le corps n’est pas solide. Éternellement il entre dans le grand silence, sort du grand silence au rythme du souffle cosmique. Entré dans le grand silence, il est silence. Sortant du grand silence, il jaillit. Accompagner son jaillissement dans la perfection.
L’ouverture de la Terre est à la mesure du choix de chaque être.
Depuis la pleine présence, déjouer tous les automatismes, les automatismes de pensée, de compréhension, tous ces automatismes qui font toujours retourner dans les mêmes rails, les rails de la méfiance, des interprétations erronées, des habitudes, des actions compulsives. « L’humanité a toujours fait cela, alors je fais cela. » Déjouer ces modes de fonctionnement pour retrouver la liberté du choix d’être à l’image de son intention la plus profonde, du choix d’être le pur reflet de sa divinité, du choix d’être un être unique qui choisit à chaque moment sa réalité.
Il est réel que la Terre s’ouvre. Il est réel aussi que cette ouverture est à la mesure du choix de chaque être, non pour la Terre elle-même mais pour chaque être puisque chaque être perçoit la Terre qu’il ou elle crée puisque seul est le silence et que la création est la projection de celui qui la perçoit.
Retrouver la réalité d’être créateur renverse, si l’on peut dire, le contexte du mode de fonctionnement. L’être alors sait qu’il ou elle crée sa réalité. Le poids de l’attention n’est pas tant sur les apparences de cette réalité mais sur l’intention qui est à la source et qui accompagne le jaillissement des apparences de réalité.
Toujours appuyer le poids de son attention sur l’attention offerte au silence, non de façon statique mais pleinement dynamique. L’attention offerte au silence est une relation, une relation d’amour car le silence est conscience, le silence est la vie, le silence est l’Être vénérable. Et reconnaître, au cœur du souffle, le silence. Ainsi le souffle est le pilier et nous ramène toujours à la source éternelle.
Au cœur du souffle, contempler le silence et toujours s’émerveiller. S’émerveiller de la beauté du pouvoir d’organisation de l’infini silence… S’émerveiller éternellement.
Et s’émerveiller amène au choix conscient, ce choix conscient qui permet justement de sortir de ce tissage de pensées, de formes-pensées, de croyances, de certitudes qui enferment et semblent masquer la simple réalité de ce qui est.
Choisir sa réalité en choisissant la fréquence à partir de laquelle sont générées les perceptions. Certains peuvent percevoir une réalité et d’autres une autre qui semble diamétralement opposée. La réalité perçue est toujours à l’image de la fréquence à partir de laquelle elle est émise. Et simultanément, la fréquence détermine la perception car l’on ne voit que ce que l’on est.
L’invitation est, au sein de l’émerveillement, de grandir encore et toujours en conscience, de grandir encore et toujours dans cette perception raffinée qui permet de percevoir avec toujours plus d’acuité ce qui est un simple automatisme programmé par ce tissage de formes-pensées ou ce qui est la simple réalité unique correspondant à l’unicité de la fréquence que l’on émet. C’est là qu’est la passion d’être vivant, émettre une fréquence unique.
Pour développer cette acuité de perception, de conscience, de vigilance-amour, il est beau encore et toujours de vivifier toutes ses structures que ce soit la structure corporelle, celle énergétique ou sensorielle, ou même relationnelle. A partir d’où est-ce que je base ma réalité ? A partir d’où est-ce que j’émets la fréquence qui projette cette réalité ? A partir d’où toujours… Trop souvent l’humanité croit diriger les rênes. Embrasser la vision la plus vaste et la plus belle est acte de dévotion.
Toujours être rayonnement. Toujours être pleinement participant à cette fraternité qui incessamment bénit. A travers chaque souffle, à travers chaque mouvement, chaque silence, bénir éternellement. C’est bien le plus beau mode de fonctionnement, n’est-ce pas ? Et l’unique correspondant à la vibration la plus haute. Bénir éternellement sans aucun jugement, sans aucune autre implication que d’être cette source éternelle, ce jaillissement du cœur qui s’exprime à travers chaque apparence de vie. Ce simple acte de bénir peut transfigurer les réalités.
Pour accompagner ce choix conscient de chaque moment, oser dynamiser les structures corporelle, mentale, émotionnelle, bien au-delà de ce qui est entendu normalement par dynamiser. Le corps se doit d’être pulsation de vitalité. Tous les corps se doivent cela aussi, toutes les parcelles de l’être.
Intensifier le dynamisme, ainsi multiplier à l’infini la fréquence de la vibration d’émerveillement. Ainsi simplement bénir la Terre dans chaque moment.
S’émerveiller parce que le cœur est le temple et que concrètement cette conscience que le cœur est le temple est la gratitude offerte à tous les jaillissements projetés de ce temple-cœur. Tout cela multiplie la plénitude d’être le corps-lumière. La plénitude multipliée permet à la fréquence de s’élever. La fréquence plus élevée ouvre à la réalité correspondante qui va aussi s’élever.
Plus que jamais, faire le choix conscient d’optimiser la relation avec son corps, avec son environnement, avec la nature. Honorer les arbres. Ils sont maîtres. Ils opèrent la tendre reliance, la tendre reconnexion par leur simple présence et leur simple exemple d’être le rayonnement de verticalité du vivant.
L’un des fondements de la vie sur Terre est de ne regarder que la beauté, de s’émerveiller de la beauté au sein même de la beauté, ainsi de n’animer que cela, de magnifier cela, d’en être l’élève et le maître.
L’heure est venue d’incarner l’éternité de la victoire, l’émerveillement devant la splendeur d’être créateur et de créer sa réalité à l’image du-de la Vénérable. Sacré est le don de l’incarnation.
Vivre de louange.
Au cœur du silence, vivre de louange. Au-delà même des mots, au cœur de l’énergie qui est ce que Je Suis, au cœur du souffle, au cœur du cœur, vivre de louange. Contempler la beauté, l’exprimer, la laisser jaillir, reflet de la seule beauté, celle de l’immuable. Vivre de louange, vivre de plénitude, adorant à travers chaque expression de beauté, adorant à travers la création de la beauté, l’Immuable, l’Unique, le-la Vénérable. Vivre de louange, car Le-La reconnaître au sein des papillons, des oiseaux, des fleurs, des êtres, des cailloux.
Aller chercher la beauté dans chaque parcelle de création. Et si des apparences semblent être autres que celles de la beauté, aller chercher la beauté au sein des apparences pour ainsi la matérialiser. Laissant les voies dépassées de ceux dont le regard reste sur les apparences, œuvrer par le regard pour que les apparences soient celles de la pure beauté, contemplant la beauté au sein des apparences. Car c’est le regard qui crée l’apparence.
Imaginez l’effet pour Mère Terre, de ces milliards qui regardent des apparences en se plaignant d’elle, en se lamentant. Ils croient que les apparences sont maître, elles ne le sont jamais. Pour celui et celle qui honore le-la Vénérable au sein de chaque parcelle de vie, seule est la beauté.
Voyez la générosité de Mère nature, la générosité, cette beauté qu’elle offre, cette beauté que le cosmos offre. Offrir au nom de chaque être humain, offrir la beauté et le regard qui matérialise la beauté. Et vivre de louange, car cela est le seul sens de la vie, la louange.
Remercier, bénir, s’effacer, car seul est l’Un, l’Unique, le-la Vénérable. Et remarquer, pour la structure corporelle, la puissance de transfiguration du fait de vivre de louange. C’est bien ainsi que le corps a été conçu pour fonctionner, non pour se lamenter, se crisper, récriminer, s’approprier, mais pour louer. Appliquez cela concrètement dans chaque moment de maintenant, concrètement, et sentez comme le corps jubile, comme les cellules s’ouvrent et s’éveillent, comme le sang se fluidifie.
Vivre de louange passe par la verticalité de l’énergie, le cerveau uni au cœur, l’attention tout offerte à cette flamme d’infini qu’est la vie. Vivre de louange, nourrissant le corps de la pleine présence et la pleine présence qualifiée de la louange. La plus belle alchimie pour la structure corporelle, la plus belle alchimie.
Ne contempler la Terre qu’à travers sa beauté, ne contempler la vie qu’à travers sa beauté, cela doit être un absolu. Pour la grande ouverture, cela doit d’être un absolu. Lâcher prise irrémédiablement de toute crainte, lamentation ou déception, critique ou de quoi que ce soit qui ne soit la beauté. La contemplation est la louange. C’est ainsi que se précipite la Terre d’harmonie.
Alors bien sûr beaucoup diront « oui mais les enfants qui peut-être souffrent, ou les femmes, ou les hommes, ou les guerres ». Ne contempler que la beauté. Cela ne veut pas dire occulter, cela veut dire alchimiser. Car quel que soit l’être qui regarde quelque circonstance avec le regard depuis la pleine présence, qui loue le Divin, cet être-là transfigure et alchimise toute circonstance de vie. C’est comme cela que se produit la grande alchimie. Ce ne sera jamais en se lamentant, ou en critiquant, ou en déplorant. Certains l’ont étudié, la valeur de l’attention transfigure les circonstances, et aucune énergie n’est plus belle que celle de la louange.
La louange est le silence magnifié. La louange est la glorification.
Il faudrait que l’humanité comprenne l’art de créer la Terre d’harmonie. Vivre en pleine conscience et solliciter la beauté en toute circonstance. Vivre avec une éthique impeccable et solliciter la beauté au sein de l’éthique. Ne pas faire de compromis car ceux qui critiquent souvent oublient de se regarder eux-mêmes.
Ne regarder que cela, l’impeccabilité de sa propre éthique, les choix conscients de simplifier, les choix conscients d’honorer la vie à travers chaque acte, chaque parole, chaque pensée. Chaque pensée. À travers le silence, au-delà des pensées, vivre de louange. C’est un acte concret qui instaure la louange, non comme un mot, mais comme une circonstance de vie, et qui ainsi annule tout le reste. Alors éclosent les roses du cœur…
Vivre de louange est un acte concret. La base est la pleine présence. La pleine présence permet au regard d’être louange et contemplation de la pure beauté.
De là jaillissent les flots d’abondance, de plénitude, de prospérité, de sagesse, de créativité. Là est la source de la joie.
Vivre de louange concrétise que seul est le Un, car vivre de louange ne peut être inscrit dans la dualité.

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L’on ne peut sortir du monde mental depuis l’intérieur du monde mental.
Il ne s'agit pas d'imaginer mais d'incarner.
L'union entre cœur et cerveau est le plus beau générateur d'énergie.
Le corps pulse au rythme du souffle cosmique.
Le corps est le pilier d'où peut jaillir la Terre nouvelle.
Les points forts de rayonnement se réveillent.
Le nectar d'immortalité, contrepartie physique des sentiments les plus fins.
La réalité concrète de la Terre lumière.
La relation entre le dense et le subtil est la plus belle histoire d'amour.
La beauté de la relation avec le temps lorsque l'éternel est vénéré.
La mission maintenant est par le rayonnement.
L'ouverture de la Terre est à la mesure du choix de chaque être.
Aimer ne signifie pas qu'on pose un bon jugement.
Maintenant sont tous les événements, tous les lieux.
Il n'y a jamais eu de bataille.
La Terre lumière ne se visite par aucun voyage.
St Germain
L'invitation n'est jamais d'attendre mais de créer
Choisir la version la plus parfaite de chaque moment.
L'histoire de l'humanité a une base erronée.
Comme les disques durs, de temps en temps il faut faire un reset.
Pour changer l'humanité, s'établir dans la fréquence de l'union.
Infiniment puissante est l'unité cœur-cerveau.
L'heure est venue de sortir des concepts pour embrasser le réel.
Il n'y a pas de sens à chercher à ouvrir son cœur.
L'être humain est fils d'immortalité.
Le corps de lumière n'est pas la transformation du corps tridimensionnel.
La réalité des espaces célestes transcende la notion d'espace tridimensionnel.
Tous les états de la Terre sont là maintenant.
Ne pas visualiser les chakras comme une ligne droite mais comme une sphère.
Il ne s'agit pas de rêver la Terre d'harmonie.
La joie n'est pas un ressenti.
L'humain divin, comme une autre race ou l'autodépassement de l'espèce.
Maintenant Je Suis la liberté totale par rapport à toute mémoire.
Il n'est pas un collectif de la Terre, mais des collectifs.
Intimité avec son ange et ses guides.
J'ai le sentiment qu'on arrive en incarnation sans mode d'emploi, largué.
Porter la vision c'est la savoir déjà réalisée.
Juger ou critiquer c'est entrer dans la création d'un autre.
Intensifier la présence n'a rien d'austère, c'est un don de joie.
Comment retrouver de la valeur à mes propres yeux ?
reçu d'El Morya
Ouvrir les portes pour l'humanité.
Maintenant contient le futur de la civilisation d’harmonie.
Enfin les traditions s'unissent
L'intention est le Verbe de la dimension de lumière.
Le temps se courbe pour se fondre dans l'infini.
La matière n'est régie par aucun savoir figé.
Plans de vie.
Sortir des habitudes addictives de l'humanité.
Pour la création, l'heure est au grand alignement.
L'humanité sacrée est prête à émerger.
Transition de l'année et mondes parallèles.
Par l'attention exclusive à l'ouverture, les craquements cessent.
Message de la Fraternité à l'humanité
Il n'est pas concevable de se croire suffisamment présent.
L'heure est venue des flots de la grâce.
La réalité d’une civilisation revient à animer la même fréquence.
Le choix d’être plénitude détend profondément les structures.
La régénération spirituelle ramène la spiritualité dans l'au-delà des concepts.
Lien entre le corps de lumière et le corps physique.
Y a-t-il un mode d'emploi pour débusquer les croyances ?
L'invocation des rayons.
Une croyance est un amas d'inertie rigidifiée
L'expérience de Douce Mère et Sri Aurobindo
Être le premier signe de l’éclosion de la divinité au cœur de l’humanité.
Visualiser cette vie pour toute l’humanité...
La passion d'être vivant.
Il ne s'agit plus de rêve.
Les voiles illusoires s'estompent.
Nous aimons donner les codes et les clefs.
Seul l'amour guérit, n'est-ce pas ?
Rien n'est figé si ce n'est la croyance que quoi que ce soit puisse être figé.
Réveiller les mémoires sacrées.
La puissance d'un être humain divin est infinie.
Ainsi naît une autre société.
L'ascension n'est pas une envolée que l'on attend passivement.
Le oui total à la plénitude permet à la structure du corps d'être transfigurée.
Le fil des réincarnations est devenu une croyance.
L'art de la manifestation, le processus de création.
Le temps rentre dans le temple de l'éternel.
La Terre sort de la linéarité du temps.
Les mondes célestes ou divins.
Comment offrir et dépasser les peurs ?
Plus que jamais les deux extrêmes cohabitent.
Jamais la fraternité ne considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main.
Lorsque les êtres humains appellent comme l’on supplie, personne n’entend.
Sortir des modes compulsifs de comportement.
La beauté de l'ouverture est que chaque être retrouve sa souveraineté.
Le collectif n'a aucune influence sur l’unicité de chaque être.
Certains croient que l'ouverture amène plus de facilité
Personne ne viendra transformer la Terre.
L'heure est révolue des transformations progressives.
Maintenant est le temps.
La Lune est-elle artificielle ?
L'année nouvelle est porte ouverte.
Le fossé se comble entre le concret de la matière et la lumière.
Cette civilisation est retournée bien en deçà de la préhistoire.
Ce n'est pas la situation qui cause le ressenti mais la fréquence à laquelle on s'harmonise.
Pourquoi la guerre en Ukraine ?
Ce dont on vous informe est le reflet d’une intention bien précise.
Si tout est Un, pourquoi parler d'êtres extérieurs, anges... ?
Le noyau d'harmonie entraîne l'humanité dans une spirale.
Le prisme qu'est chaque être.
La bienveillance ouvre à la multidimensionnalté.