top of page

 

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 21-8-23

Visualiser cette vie pour toute l’humanité... 

Porter la vision d’une telle vie, des êtres humains au service et à l’écoute de la nature, au service de la vie, offrant à la vie l’addiction au monde mental pour retrouver la pureté et l’ouverture qui ramènent l’innocence. Être écoute. Et lorsqu’un être choisit d’offrir son addiction au monde mental, aux savoirs, aux croyances, aux rôles et aux masques pour être l’innocence de la vie, l’univers tout entier vient à sa rencontre. On ne peut plus parler alors de plans, de hiérarchies. On ne peut que parler du règne du cœur.

La fraternité se rencontre et chaque rencontre anime un de ces temples qui sont les chakras de la Terre et ceux du cosmos. Et ces temples animés animent les temples présents à l’intérieur des chakras du corps humain. Vous le savez, le corps est cosmique. Le corps touche l’infini et tous les points résonnent dans le corps.

Vous le savez, il est une fréquence où la vie n’est que beauté. Encore faut-il se soustraire de la dualité. Ni bien, ni mal. Cela qui est. Et cela qui est est la vibration de pure beauté et s’exprime dans la révélation de la pure beauté. ..

Aller à la rencontre est être le don vivant. Il faut bien que certains osent montrer la voie, la voie de l’audace véritable, celle qui dépose les masques et les rôles pour aller toujours au-delà de soi-même à l’encontre de la pure beauté, sans se l’approprier, sans jamais prétendre la connaître car ce qui est au-delà du duel reste l’éternel inconnaissable.

Aller à la rencontre est s’offrir à cet éternel au-delà. L’on tend vers cela dans la pleine connaissance que cela reste inatteignable. Cela est le jeu de l’amour, l’amour qui se reconnaît dans la pure beauté, dans l’être aimé, contemplant éternellement l’au-delà de soi-même. Se reconnaître implique contempler l’éternel au-delà.

Visualiser cette vie pour toute l’humanité où chaque être choisit d’offrir son addiction au monde mental. Et cela en soi suffit pour que se révèle le monde de vérité, le règne du cœur. Dans cette révélation, tout s’aligne. La vie alors est le concret partage de la fraternité. Le corps s’éveille à une autre valeur de lui-même, tous les chakras unis à des temples cosmiques qui sont les chakras du cosmos.

Ne rien s’approprier. La nature alors s’ouvre. La beauté est la réalisation et la révélation de tous ces temples. La beauté est la réalisation et la révélation offerte par l’éternelle rencontre. La fraternité vient toujours dès que l’on choisit d’offrir l’addiction au monde mental.

Comprenez-le, il n’est qu’un seul mode pour cela. Quelquefois l’ego croit connaître la voie pour offrir les addictions, se voilant la face de l’addiction la plus subtile. Le seul mode est la simplicité absolue. Et la simplicité absolue se révèle de la verticalité absolue. L’absolu, vous le savez, est infini et l’on ne peut l’atteindre, autrement il serait fini. L’on peut l’être, dans la connaissance qu’il reste l’éternel au-delà.

L’attention à la verticalité est donc incessante, infiniment puissante, infiniment innocente et donc pure joie. Elle est gratuite. Ce n’est pas pour atteindre, car joyeusement l'on s’offre à l’inatteignable. Et acceptant de s’offrir à l’inatteignable, on le touche presque. Presque. En cela est l’union. En cela est la liberté.

Le seul mode est de choisir celui de la simplicité absolue. Les masques sont offerts, les traditions ramenées à leur source. Seul reste le rien-tout exprimé de façon unique à travers l’individualisation.

C’est cela le don, cette unicité ramenée à rien-tout. Non la personnalité qui se crée un rôle ou un masque, non l’accroche ou les accroches à quelque savoir, ou la croyance d’avoir atteint. L’on n’atteint pas, l’on sert. Et servir est un acte de joie infinie.

Visualiser une telle vie. La Terre est l’au-delà des paradis. Vivre sur la Terre et vivre au cœur de la Terre, lorsque l’on choisit d’être ainsi la simplicité absolue, c’est ramener la Terre à sa réalité de paradis. Peut-il être un don plus puissant ? Peut-il être un don plus puissant que de marcher ainsi sur les chemins de la montagne sacrée et de laisser les mémoires se réveiller ? Car l’attention réveille les mémoires. De même que l’attention sur le corps de souffrance maintient les mémoires du corps de souffrance éveillées, l’attention sur le corps de gloire, d’harmonie, sur la Terre lumière, réveille les mémoires d’harmonie, de lumière.

Il est bien réel, dans les temples éternellement, les membres des traditions qui se savent offerts à la source des traditions offrent les rituels, offrent les chants et les prières, offrent les rayons. Cette Terre est bien plus réelle que l’apparence tridimensionnelle maintenue par l’addiction au monde mental. Il faut bien que certains acceptent de montrer la voie et d’éveiller les mémoires de la Terre sacrée. C’est ainsi qu’instantanément la Terre pourrait être dépolluée, libérée des chaînes astrales.

Il faut bien oser l’audace de tout offrir. Les modes concrets sont ramenés parce que l’incarnation est œuvre de concret.

Au cœur du silence est l’or.

 

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 20-8-23

La passion d'être vivant. 

L'attention sur la verticalité de l'énergie avec une intensité suffisante permet la révélation de la béatitude, du nectar, dans une simplicité totale. Plus on contemple la béatitude, l'Être, la conscience, l'Être conscience de la joie infinie, plus l'Être est révélé et transfigure tous les aspects de la vie quotidienne.

Un signe sûr et clair de la croissance de l'intensité est cette transformation de tous les aspects de la vie quotidienne, mettant de côté tous ces masques pour se nourrir de sa propre beauté. Et se nourrissant de sa propre beauté, on n'a plus besoin de paraître. Tous les jeux s'arrêtent.

Et la claire transparence de la réalité est révélée.

La vie dans sa nature est pure béatitude. Alors cette attention offerte à intensifier la présence est nourrie par la béatitude saturant les cellules, saturant tous les points de la création. Le processus est sans fin.

Si on remarque un tel mode de fonctionnement, alors on continue à intensifier la présence étant donné que le processus est sans fin. La présence grandit toujours en intensité car c'est la nature de la vie. Et avec cela, la passion d'être vivant grandit en intensité. C'est ainsi qu'est créée la société de liberté.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 19-8-23

Il ne s’agit plus de rêve. 

Dans l'au-delà des traditions, toute expression du divin est profondément vénérée sans qu’elle ne soit attachée à quelque dogme, croyance ou appartenance à une tradition. A la source de toutes les traditions, chaque expression est vénérée. Comprenez-le, dans ce temple éternel qui est la source de toutes les traditions, chaque parcelle de création est vénérée dans sa divinité. La vie est un temple.

Ramener la magie de la vie vécue depuis le cœur de la dévotion. Chaque geste une danse sacrée, chaque parole une offrande. Savoir vénérer la forme tout en contemplant le Sans-forme. Dans ce temple qu’est la source et le cœur de toutes les traditions, chaque expression de vie est vénérée.

Retrouver cette intensité de présence qui permet cette ouverture qu’est l’union. Du cœur de l’union, naît la dévotion. Et la dévotion est pratiquement et concrètement exprimée dans chaque petit moment du quotidien. L’intensité de présence permet irrémédiablement de quitter les voies de la survie pour adorer la vie à travers son incarnation. Adorer la vie. Être incarné, c’est être le dévot, la dévote, non dévot au sein d’un dogme ou de croyances figées, dévot au sein de la danse de dévotion qu’est la vie. Choisir de cultiver l’intense. Choisir de cultiver la pleine présence, cela est le service rendu envers la vie. Car sans l’intensité, sans la pleine présence ici maintenant, dans chaque moment l’offrande du souffle… Car le souffle est sacré, le souffle est le feu, la flamme éternelle. L’attention tout offerte au souffle. Tout signifie le cœur est chant vivant.

Rester à la source de toutes les traditions et donc les honorer toutes.

Voyez concrètement, car il ne s’agit plus de rêve. Tant que la présence n’a pas trouvé l’intense, la vie est un rêve. Même si l’on rêve de spiritualité, le rêve reste un rêve. L’incarnation n’est pas de l’ordre du rêve mais de l’éternité. Chacun depuis l’intensité de présence crée une réalité à l’image de son intention la plus profonde. Tout est possible, tout est permis. Tout est possible.

Le cœur de l’intense sait que tout est possible, se rit des croyances stériles et des limites illusoires qui pourraient limiter le divin. Seul est le divin. Alors pourquoi ne pas retrouver cette simplicité de l’enfance éternelle qui crée la pure beauté à travers son incarnation, de façon unique.

Redécouvrir la splendeur d’être la vie. Chaque journée est plénitude. Chaque journée s’offre à son propre infini. Le temps s’offre à l’éternel. Et chaque journée est consacrée avec passion et vénération à l’autodéploiement pour que son visage reflète parfaitement le Sans-visage, l’autodéploiement pour que tous les aspects de cette divinité qu’est l’être humain soient honorés. Tous les aspects.

Vous le savez, les Ecritures l’ont dit, l’être humain est enfant d’immortalité, et ce frère qui éternellement marche sur la route des hommes, l’a rappelé à l’humanité "Lève-toi et suis-moi".

L’autodéploiement est le service ultime offert à la vie, car la vie humaine est semblable à l’instrument le plus précieux pour jouer la symphonie divine, l’harmonie de tous les aspects de l’individualisation. On ne peut en ignorer aucun. Il est passionnant, n’est-ce pas, d’être cet instrument et de jouer la symphonie divine, magnifiquement seul, magnifiquement un, magnifiquement uni à toutes les expressions de la vie, chacune honorée à l’infini, vénérée même.

Ainsi s’ouvre le tout est possible. Car pour celui ou celle qui choisit la voie sacrée, celle de l’autodéploiement, le registre du tout est possible est ouvert. Ne jamais accepter moins que cela. Se réjouir, s’incliner, se dresser, rassembler l’énergie, se taire et être le chant vivant. Pour que jaillisse le chant, il convient de commencer par se taire et surtout taire les faux savoirs, taire les croyances et les dogmes qui enferment et resserrent. Rester la source vivante, celle qui honore et vénère chaque expression de la vie. Ne jamais accepter d’être moins que cela.

Accepter le tout est possible ne peut être qu’à travers l’autodéploiement pour que concrètement la vie quotidienne soit l’hommage à tout est possible. C’est pourtant l’évidence, n’est-ce pas ? Pour le divin tout est possible et seul est le divin. C’est l’évidence, n’est-ce pas ? Alors vivre en adéquation avec l’évidence. Cela est la fontaine de l’infinie joie.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 19-8-23

Les voiles illusoires s’estompent. 

Plus concrète que jamais est l’union au sein de la fraternité. L’union car seul est le Un, cette magnifique vénérable Présence, Père-Mère-Tout. Seul est cela. L’union car les voiles illusoires s’estompent.

Il est réel - bien plus réel que les relations de surface -, il est réel que les êtres humains, les anges, les êtres que l’on dit ascensionnés marchent main dans la main dans les routes du cœur. Cela n’est pas poésie. Il suffit de s’établir à la fréquence juste. La fréquence juste n’a rien à voir avec un sentiment. Le sentiment en est le sous-produit. La fréquence juste a à voir avec l’attitude juste de l’incarnation. L’énergie rassemblée, les fonctions cérébrales reposant dans leur source, le cœur, les émotions apaisées dans leur source et leur pureté, le cœur, l’ego offert à la transparence de l’infini, alors sont coupées les chaînes avec les histoires, quelles que soient les histoires, sont coupées les chaînes avec les attachements soi-disant dictés par le corps de souffrance.

Souvenez-vous des quatre illusions. Le temps est une illusion, l’espace est une illusion, le déterminisme est une illusion, la souffrance est une illusion. Tels les magiciens, les êtres humains jouent avec les illusions, leur donnant l’apparence de leur réalité. Et toujours, dans le temple du cœur, le-la Maître de tous les magiciens murmure la voix de la réalité.

Lorsque l’on quitte l’attachement aux histoires, aux masques, aux soi-disant drames, aux soi-disant victoires, il reste la simplicité d’être la simple gloire de la vie. Alors les dimensions, les plans, se fondent. La structure de la matière est ramenée à sa source. Tout scintille de l’or de la conscience. Le nectar est l’état fondamental de la matière. Le nectar est la source des sentiments les plus fins.

Plus que jamais l’heure est au choix, le choix de jouer les jeux des illusions avec les masques et tout ce qui va avec, le choix d’être de liberté. Il faut bien qu’un jour on accepte de changer les règles du jeu pour retrouver les lois de l’incarnation. Cela implique changer les modes de l’incarnation. Quitter ce qui semble être la voie des masses pour s’établir dans celle d’une masse encore plus grande, la lumière.

Simplifier. Choisir de rythmer son quotidien au rythme de la nature, levé très tôt, couché très tôt. Emplir sa journée de dynamisme, le simple dynamisme. Cultiver la vitalité corporelle. Cultiver la vitalité de l’esprit. Etudier, découvrir, se passionner. Découvrir des habiletés artistiques qui nettoient et raffinent le fonctionnement du cœur. Cultiver la simplicité de relations basées sur l’unité, sur le respect total du libre arbitre. Libérer les masques. Boire l’eau pure et saine. Manger des aliments purs et vivants. Cultiver avec extrême attention l’art du verbe créateur, de la parole pure, élevante, inspirante.

Ne jamais mettre son attention sur ce que l’on ne désire pas ou ce qui a semblé douloureux. Déposer cela. Se nourrir de la vision de ce que l’on veut. S’en nourrir en lui offrant toute l’attention. On ne peut à la fois avoir son attention sur ce que l’on ne veut pas et sur ce que l’on veut. L’on ne peut que prendre la plus belle des terres et façonner le pot de son incarnation, adorant dans le pot le vide intérieur car c’est bien ce vide intérieur qui donne la vie au pot.

Plus que jamais, offrir une attention passionnée à l’expression, à la pensée, à l’alignement. Ainsi réaliser que seul est l’infini de la joie.

 

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 18-8-23

Nous aimons donner les codes et les clefs. 

L’amour est la puissance de guérison. Qu’est-ce que l’amour ? Le sentiment connu comme étant l’amour est l’expression de la réalité de l’amour, non sa nature. La nature de l’amour est la vie. Lorsque nous disons que l’amour est la puissance de guérison et la puissance de transmutation - que ce soit au niveau personnel, au niveau de la Terre, de la société, du cosmos - nous ne parlons pas d’animer un sentiment. Il est beau que naturellement le sentiment d’amour soit la permanence. Cela est le sous-produit d’être positionné dans l’évidence que Je Suis la vie.

Nous aimons donner les codes et les clefs. La clef maîtresse reste l’union de l’intention, de l’attention et de l’amour. Toute l’attention offerte à l’intention d’être la plénitude de l’amour. Non pas de ressentir la plénitude de l’amour, le ressenti s’aligne naturellement lorsque tout est ramené dans son état naturel.

Tout ramener dans son état naturel signifie que le corps, ce temple, est ramené à son plein équilibre, à sa pleine harmonie, ramené à l’état d’être silence. Et être silence, c’est être le chant, cette vibration de son qu’est l’adoration. Notez bien, la vibration de son, non le sentiment. Les sentiments sont beaux et nobles. Ils ne sont que le sous-produit. Cultiver un sentiment sans avoir établi sa source et sa base est amener le sentiment à un niveau de vibration plus excité, plus proche du corps des émotions. Ainsi le sentiment perd de sa puissance.

L’amour uni pleinement à sa source est la vibration physique résultant de la pleine harmonie. L’harmonie n’est pas l’absence de disharmonie, elle est l’assise dans la perfection. La perfection est l’état naturel de la vie et l’état naturel de l’incarnation. La perfection ne peut être quelque chose vers lequel l’on tend dans une ligne de devenir comme lorsqu’on apprend un art et que l’on tend à le parfaire. Ce que l’on apprend c’est l’art de l’incarnation. Cet art, l’on tend à le parfaire. L’art de l’incarnation étant ramené dans sa plénitude, la vie révèle qu’elle est perfection.

Et comment ramener l’art de l’incarnation à sa plénitude ? Cela est inscrit dans l’art de l’incarnation lui-même car l’incarnation est un art. Cet art a pour base la pleine vitalité, le plein enthousiasme à servir la nature de la vie. Cette vitalité et cet enthousiasme sortent des habitudes laxistes, qu’elles soient personnelles ou héritées de l’hérédité ou du collectif.

A chaque moment se démarquer. Se démarquer en cultivant cet art de l’incarnation comme un sculpteur soigne sa création. Cultiver son corps, le laisser pleinement vital et pleinement reposé, les deux simultanément. Lui offrir l’eau pure, les aliments vivants et porteurs de vie. Lui offrir la paix émotionnelle et égotique. Lui offrir l’inspiration, l’élévation. Lui offrir l’ouverture, la découverte.

Tout cela semble peut-être éloigné du domaine du corps et pourtant le corps n’est que vibrations. Et ces vibrations sont générées par l’état de vitalité et de repos, par la pureté des aliments, la pureté des sentiments auxquels sont offertes inconditionnellement les émotions, la pureté de la transparence offerte à l’ego comme sa plénitude, la pureté de l’inspiration, de la parole, de la pensée, de ce à quoi l’on s’associe, de ceux avec qui l’on s’associe.

C’est une des raisons pour lesquelles ce moment de retraite… ce temps inscrit dans l’apparence du temps et de l’espace, et qui ramène à l’évidence que le temps et l’espace sont illusions, ce temps est infiniment précieux. La puissance de la retraite est en partie due à ce grand réajustement vibratoire causé par l’exposition à des pensées pures uniquement, des sentiments élevés, une inspiration profonde qui offre l’ultime de la vision.

Ainsi peut se créer une reprogrammation, vous savez, comme dans les disques durs des ordinateurs, quelquefois l’on reprogramme. Toutes les données sont effacées et sont réimprimées dans leur valeur pure.

En cultivant ainsi l’art de l’incarnation… pour ceux et celles qui choisissent cela, la vie se reprogramme dans sa pureté. La vibration qu’est le corps est élevée et rétablie dans son état originel. Alors en sous-produit l’amour pur - cet amour, le nectar au-delà du sentiment - devient la permanence. L’unité en est le sous-produit.

La vision juste d’être la vie au sein de l’unité, d’être le cœur du-de la Vénérable, est rétablie. De là sont générés ces sentiments les plus fins d’où est précipitée la création, puisque vous le savez, le nectar précipite la création et précipite ce corps de lumière qui est la permanence, l’état naturel du corps de lumière.

Le corps de lumière est présent maintenant. La vibration sur laquelle l’on met son attention le manifeste ou manifeste une valeur plus dense. Le corps de lumière permet la guérison instantanée de tout et pour tout.

Nous aimons ramener l’art de l’incarnation.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 18-8-23

Seul l’amour guérit, n’est-ce pas ? 

La base reste la verticalité de l’énergie qui traverse le corps et l’intensité de la présence. Et qu’est-ce qui initie cette verticalisation de l’énergie et cette intensité de présence ? C’est l’amour. Par amour pour l’amour, par amour pour le-la Vénérable, rassembler l’énergie. Ainsi naturellement l’énergie se verticalise. Ainsi naturellement la présence s’intensifie.

Et naturellement lorsque l’énergie est rassemblée et lorsque la présence a ce niveau d’intensité qui se nomme intense - non pas un peu plus intense ou beaucoup plus intense, comparé au laxisme qui règne parmi l’humanité, alors un peu plus intense paraît intense - le critère est que la présence intense amène automatiquement cette assise dans le cœur qui ouvre tout, amène automatiquement ce silence intérieur qui initie la clarté du discernement. Ce n’est plus la tête qui essaie de savoir mais la clarté qu’est le centre du front qui connaît et reconnaît.

L’intense présence signifie que le corps s’élance. Le corps humain, le savez-vous, s’étend à plusieurs kilomètres. Car le corps humain, vous le savez, est loin d’être limité à la coquille dense tridimensionnelle. Celle-là est nourrie par le corps de lumière.

Ce qui ramène le contact conscient du corps de lumière avec le corps physique, ce qui permet de réaliser que le corps physique est corps de lumière, c’est l’amour. Et l’amour est la pleine présence. L’amour est la plénitude de la vie qui sait qu’elle est la vie. L’amour est la plénitude du tout qui se reconnaît à travers chaque parcelle de création et qui s’émerveille parce que la vie n’est qu’émerveillement.

L’intense présence est cette spontanéité de l’amour qui est transparence et qui révèle la simple gloire de la vie. L’intense présence est la réalité du tout est possible, parce que tout est possible à celui et à celle qui choisit d’être humain divin. Tout est possible.

Bien sûr, selon les lois du laxisme, l’être humain est esclave et victime de ses propres chaînes et de ses propres enchaînements. Et la loi du laxisme a généré les croyances dans l’inévitable de l’enfermement ou des limites. Il est plus judicieux de reconnaître l’état de laxisme et de choisir d’intensifier la présence incessamment car l’intensité de la présence ouvre à l’infini de la présence. L’on n’arrive jamais. L'on tend vers l’infini avec passion et enthousiasme et tout se simplifie.

L’intense est le plein du plein. Il ne s’agit pas d’un peu plus intense, d’un peu moins laxiste, il s’agit de la vie qui se rend hommage. Et la vie est éternel jaillissement, la vie est éternel émerveillement, et la vie est la simple grandeur de l’être qui, en tout et partout, reconnaît le visage du-de la Vénérable concrètement, simplement parce que son corps est flamme de lumière. Tous les aspects de l’individualisation alors sont nourris.

Aimer. C’est tellement beau d’aimer, n’est-ce-pas ? Alors pourquoi ne pas choisir d’aimer la vie passionnément au point de lui rendre sa perfection ? Pourquoi ne pas choisir d’aimer son corps passionnément au point de lui rendre la perfection de son fonctionnement, la perfection de sa beauté ? C’est beau d’aimer, n’est-ce pas ? Alors qui et quoi pourrait empêcher l’humanité de dire oui à cet acte d’amour qui donne à chaque cellule la plénitude. Parce que  seul l’amour guérit, n’est-ce pas ? Seul l’amour plénifie. Aimer, c’est donner et redonner ce rythme cosmique qui est le chant de la vie, le chant de la création qui chante dans les cellules.

Voyez, la présence s’intensifie. Les individualisations se fondent. Il n’est qu’un seul Être, qu’un seul cœur, qu’un seul corps.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 17-8-23

Rien n'est figé si ce n'est la croyance que quoi que ce soit puisse être figé. 

La pleine présence ramène cette évidence que l'intention est la force gouvernant la création. Ainsi pour changer une apparence, pour guérir un symptôme, l'attention est tout offerte à la vision de la perfection de cet organe, de cette partie du corps. L'apparence n'est jamais la ligne directrice. La ligne directrice est l'intention à laquelle est offerte l'attention nourrie par l'amour. L'union des trois est précipitée en rayonnement qui est précipité en énergie concrétisant la réalisation du rayonnement.

L'heure est venue pour l'humanité de quitter les œillères des apparences et de déposer la croyance d'être victime d'une apparence, pour pleinement retrouver la puissance créatrice de créateur de sa propre réalité. Ainsi par cette science de l'intensité de présence d'où naît la puissance d'une intention précipitée en un rayon, de cela tout émerge.

Rien n'est figé si ce n'est la croyance que quoi que ce soit puisse être figé. La matière du corps est la danse des cellules. Les cellules ne sont pas figées. Elles sont éternellement le mouvement de la vie.

Entrer en relation correcte depuis la puissance de la pleine présence d'où émerge l'union de l'intention, de l'attention et de l'amour. Cela est la clef du tout est possible et de l'éternelle régénération. La pleine présence permet naturellement l'écoute des lois naturelles qui régissent le bien-être et la croissance de la vie. La pleine intelligence de l'être cosmique qu'est l'être humain s'offre au déploiement de sa plénitude. La base est toujours d'intensifier l'attention et d'éternellement de déposer les croyances, les certitudes, les faux savoirs.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 2-8-23

Réveiller les mémoires sacrées. 

De même que dans les fibres de la Terre sont inscrites les mémoires de gloire, ces civilisations d’harmonie, tout s’offre à la perfection et la perfection resplendit à travers tout. On ne peut en parler au passé. La perfection n’existe qu’au présent et les civilisations d’harmonie inscrites dans l’au-delà du temps et de l’espace, inscrites dans la multidimensionnalité appartiennent au présent. De la même façon, les fibres du corps d’immortalité murmurent, chantent et resplendissent dans les cellules du corps humain. Le texte de sagesse l’a dit "les êtres humains sont fils d’immortalité".

Réveiller les mémoires sacrées. Les laisser ressurgir, s’en nourrir, s’en inspirer et ainsi modeler son incarnation comme le sculpteur modèle son œuvre d’art.

Voyez la beauté, vous vivez au cœur de la vallée, au cœur de la fraternité, vous œuvrez, vous offrez, vous éveillez, et parallèlement les mémoires sacrées sont animées et éveillées, animées au cœur des cellules, au cœur de la structure osseuse. Car au cœur de la structure osseuse est le nectar d’immortalité.

Voyez la beauté, les dons sont offerts à bien des niveaux. Lorsque vous partagez dans la simplicité, simultanément et en parallèle les mémoires sacrées sont animées. Lorsque vous vous reposez ou que vous marchez, lorsque vous chantez, simultanément les dons sont offerts. Entrer dans la multidimensionnalité et vivre en conscience ces multiples facettes des dons car tout est don.

Il est un niveau de vie, vous le savez, qui transcende le positif ou le négatif, le bien ou le mal. Il est une lumière qui est bien au-delà de celle qui s’oppose à l’obscurité. La lumière source, splendeur de l’être, est au-delà du duel. Ainsi sont offerts les dons. La fraternité œuvre. C’est lorsque tout est tourné vers l’au-delà du duel que la porte est ouverte pour recevoir les dons et pour être le don vivant.

La fraternité se rassemble, non en se regardant dans les yeux mais en regardant tous du même regard cette lumière qui transcende le duel, cet Être vénérable, source de tous les êtres vers lequel coule l’infini de l’amour, de la dévotion, de l’adoration. Et chaque être se reconnaît et exulte dans sa propre unicité. Oser vivre pleinement son unicité, c’est offrir le don le plus splendide à la création.

Au cœur de la moelle osseuse est le nectar. Au cœur des cellules, le feu. Au cœur de la Terre, le feu. Le cœur des cellules et le cœur de la Terre sont unis, sont un. Tel est le mystère et la magie. La Terre est la mère pour chaque être, le temple.

Se reconnaître ainsi. A travers cette union, la fraternité se rassemble. Le regard est offert et uni. L’intensité de dévotion au sein de l’union ouvre les portes pour que se réveillent les mémoires sacrées, le sens profond de l’humanité.

L’attention, vous le savez, donne vie. Quoi que vous fassiez, où que vous soyez en ces moments sacrés de l’éveil des mémoires d’harmonie, d’union, de perfection, gardez l’attention, la multidimensionnalité. Ainsi l'on peut chanter pleinement, partager pleinement, marcher pleinement et infuser les dons. Oser incarner la splendeur de l’essence, le plus beau don que l’on puisse faire à la fraternité, au-à la Vénérable, à la Terre.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 1-8-23

La puissance d’un être humain divin est infinie. 

Pour que s’éveille l’humanité nouvelle, rassembler l’énergie. Ne jamais sous-estimer la puissance d’un être qui choisit de vivre la vie sacrée et de suivre à travers son existence, la voie sacrée. C’est ainsi que s’ouvre le nouveau paradigme, lorsque l’humanité choisit de quitter les voies du laxisme et de la dispersion pour suivre celle de l’intense et de l’énergie rassemblée. La puissance d’un être humain divin est infinie.

Vous le savez, Dieu a créé l’être humain à son image. Par son incarnation, restaurer la ressemblance parfaite à cette image. Cela veut dire principalement rassembler l'énergie pour que les fonctions cérébrales soient irriguées de façon nouvelle, que s’éveillent les facultés innées mais endormies, que l’union entre le cerveau et le cœur soit amplifiée, amplifiée peut-être par cent ou mille, que l’énergie rassemblée soit soleil. Ainsi tous les rayons s’ancrent au cœur de ce soleil. Ainsi chaque pensée est graine de puissance. Infinies les possibilités de l'être humain divin, infinie la joie de l’incarnation.

C’est ainsi que peut se créer la société lumière. Elle ne peut jamais déboucher d’une attente passive. Personne d’autre que chaque être ne peut agir, agir pour créer, cocréer. Encore faut-il comprendre ce que signifie le fait de ramener l’incarnation à sa nature sacrée. Cela ne peut se faire par vague pensée. Cela est au-delà des concepts, au-delà des dogmes.

La porte et l’ouverture est de recréer le corps de son, corps d’immortalité, corps de dévotion. Cela est le sous-produit d’un être dont l’énergie est pleinement rassemblée car cela est le plan initial de la création de l’être humain divin.

Nous sommes heureux de ramener les voies, les secrets de l’incarnation.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 1-8-23

Ainsi naît une autre société. 

L’invitation reste toujours d’être la pleine présence d’être. Bien sûr, l’Être est inévitable. En faire l’évidence, lui offrir la dévotion jusqu’à ce que chaque phase de l’incarnation soit le pur reflet de cette perfection d’Être. L’invitation reste encore et toujours d’intensifier cette union de l’intention, de l’attention et de l’amour qui reste le moteur de l’incarnation.

Déjouer tous les masques. Ne s’arrêter sur aucun concept, aucun dogme. Aller toujours au-delà avec cette intensité qui est propre à la nature de l’Être, une intensité telle que la structure corporelle se trouve transfigurée, que les cellules s’ouvrent. La matière est lumière, puisque seule est la lumière.

Quitter les mondes des abstractions, des concepts et des dogmes. Quitter tout attachement à toute tradition pour se retrouver simple et transparent, à la source de toutes les traditions, et offrir à cela son incarnation. Ainsi, ouvrir la porte vers cette autre humanité qui est l’humanité éternelle, cette autre société qui vibre et chante au sein de la multidimensionnalité.

Offrir irrémédiablement la croyance dans le devenir pour retrouver l’audace d’incarner l’autodépassement. Car offrir la croyance dans le devenir est bien loin d’une acceptation de quelque stagnation. La vie naturellement s’autodépasse éternellement pour révéler son visage toujours plus simple, toujours plus sacré. Révéler cela, non dans l’abstraction mais dans tous les niveaux de l’individualisation.

Ainsi naturellement, s’accorder à cette fraternité d’êtres qui sont tout offerts à l’adoration de l’Être, car seul est Cela, n’est-ce pas, le Un, le-la Vénérable. L’humanité a voulu retranscrire la réalité de la fraternité en termes tridimensionnels. Offrir la tridimensionnalité à la transparence d’être multidimensionnel. Et ainsi réaliser à quel point cette fraternité d’êtres sont tout offerts à révéler la splendeur de l’Être.

Il ne s’agit plus de jouer les jeux de la dualité ou de la diversité. Il s’agit simplement d’offrir la diversité au service de l’unité, et d’offrir son incarnation au service de l’unité. Et cela se doit d’être révélation d’un autre mode, d’une autre intensité de vitalité, d’une autre intensité de clarté, de transparence et de joie. Car l’incarnation reste éternellement l’offrande à la perfection divine, et l’unité est déclinée très concrètement à travers chaque fibre de diversité.

Vous avez vu à quel point le fait de retrouver la puissance de l’unicité de chaque être lui permet de s’aligner à cette autre fréquence, à cet autre regard. Tout est Cela.

Tout est Cela ne peut rester une abstraction. Tout est Cela, vous l’avez vu, peut - comme si c’était par un coup de baguette magique - effacer l’illusion de la souffrance, celle du déterminisme, pour rétablir l’évidence de la grâce. Car la vie est pure grâce.

Retrouver, avec clarté et authenticité, la nature de son unicité permet de s’établir au niveau de l’ouverture et de la résonance avec cette fraternité qui sait offrir la diversité au cœur de l’unité.

Ainsi non seulement honorer la beauté de l’Être dans son abstraction, mais l’honorer pleinement à travers son incarnation, le concret de son incarnation. Tout offrir et laisser l’expression unique et divine résonner clairement aux pieds du-de la Vénérable. Au-delà du personnel et de l’impersonnel, le-la Suprême, l'Innommable, inconcevable même et pourtant l’évidence qui est par nature l’autodépassement. Car par nature ce-cette Être Suprême ne peut jamais être défini.

On ne peut que s’émerveiller, s’incliner, se taire et choisir l’offrande totale. L’offrande est de dire oui à être Cela, tout en réalisant qu’il-elle reste l’éternel au-delà. On ne peut ni l’atteindre, ni le-la connaître, on ne peut que s’offrir à l’Être, tout en le-la reconnaissant comme étant l’éternel mystère. Ainsi résonne un autre chant d’incarnation.

Toutes les parcelles de création alors sont reconnues comme Cela, sont vénérées, et tous les aspects de son individualisation s’harmonisent. Infinie la splendeur d’un tel Être !

Le corps pulse l’éternelle jeunesse, l’infinie vitalité, l’enfance divine. L’ego est transparence à cet infini qui éternellement s’autodépasse. Le cœur est dévotion, et le corps des émotions est rentré dans sa source, ce cœur qui par nature est dévotion. La structure mentale est la clarté de cet intellect qui discerne, et discernant, adore.

Ainsi naît une autre société. Elle naît et pourtant reste éternelle car elle défie les illusions du temps et de l’espace. Il n’est ni temps ni espace, il est maintenant la splendeur d’être offrande. Ainsi née, est révélée cette société éternelle et nouvelle d’êtres qui font le choix d’honorer que l’humain est divin et que la divinité ne saurait être jouée au diapason de la dualité ou de la diversité. La dévotion ne peut qu’être sur la base de l’unité car seul est Cela, n’est-ce pas ?...

…Ce retour à l’évidence que seul est Cela ne peut rester une abstraction, et ne peut se traduire concrètement qu’à travers toutes les phases de l’incarnation. Tout est Cela. La matière est lumière. Tout est chant à la gloire de Cela. C’est bien cela l’incarnation, n’est-ce pas, un chant de gloire.

La clef, vous le savez, est d’intensifier la présence et d’intensifier l’énergie. Le souffle est l’ancre. Vous avez vu, n’est-ce pas, à quel point la simple attention offerte au souffle avec pleine authenticité rassemble l’énergie et ouvre à cet autre regard qui ne reconnaît que Cela en tout et partout. Vous transcendez alors les jeux illusoires, tous les jeux illusoires.

L’heure est venue d’offrir cet attachement à l’abstraction car l’heure est venue de glorifier l’incarnation.

Vous le savez, la méditation ne peut être une pratique qui amène vers. La méditation est l’offrande totale de l’amour à l’amour, et la contemplation de cet amour par l’amour.

Choisir d’offrir tout attachement à tout esprit de séparation ou de ségrégation. L’intention primordiale à chaque tradition est d’être la voie de l’union à travers l’unicité propre à chaque être, restant offert et tourné vers cette source qui est le tout. C’est ainsi que sont offerts les dons des rayons. Lorsque la fraternité offre les rayons, elle reste offerte au non-duel, car seul est Cela.

La beauté et la grâce d’être uni en conscience à cette fraternité que beaucoup nomment Maîtres et qui se disent frères, car seule est la Fraternité du Vivant. Et le vivant ne peut qu'être vécu en offrande et comme étant la pure expression de l’Innommable, chaque fibre de création déclinant la beauté de façon unique de ce qui ne peut être nommé, tout en restant offert pleinement à cet Innommable, non dans un regard de dualité. La dualité n’est qu’illusion.

Ainsi sont offerts les dons, offerts par l’amour infini qui se contemple et se reconnaît comme étant l’infini de l’amour à travers chaque visage, chaque facette, chaque don. C’est bien cela la grâce, n’est-ce pas ?...

…L'agent et le maître de l’alchimie est l’intensité de ce regard qui, parce qu’il se sait pure lumière, ne peut que contempler en tout la pure lumière, et ainsi redonne à chaque fibre de création sa structure et son apparence de lumière, car seul est Cela, n’est-ce pas ?

Il faut bien qu’au sein du temps et de l’espace, on choisisse de cesser les jeux de la dualité et ceux des grandes illusions, ainsi ramenant l’espace à l’infini, le temps à l’éternel, la souffrance à la félicité, le déterminisme à la liberté pure. Ceux-là sont les grands fondements de l’incarnation.

Aller avec toujours plus de passion et d’authenticité, se reconnaître dans le cœur du silence, être la plénitude du cœur du silence. Ne s’arrêter nulle part. Offrir encore et toujours tous les dogmes, même les plus fins, les certitudes. La seule certitude est que seul est Cela qui ne peut être nommé ni défini, et que l’incarnation est la glorification de Cela qui par la simple vertu de l’incarnation peut être savouré, honoré, adoré.

L’unicité permet de donner un visage à ce qui est éternellement et reste le Sans-visage, et le visage, pure transparence, s’offre au Sans-visage.

Il est passionnant d’être vivant, passionnant d’être la vie. Voyez ainsi comme est belle cette rencontre du silence au cœur du silence.

L’attention éternellement offerte avec toujours plus d’intensité au souffle qui traverse le corps verticalement permet d’offrir avec clarté, dévotion et sans aucun compromis, tous les restes d’identification, de concepts, d’attachement à quelques dogmes. Retrouver la splendeur de son unicité et sa transparence.

C’est dans cette intensité d’attention qu’a lieu la rencontre. C’est cette intensité d’attention qui selle l’union de la fraternité tout offerte à glorifier le non-duel.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 31-7-23

L'ascension n'est pas une envolée que l'on attend passivement. 

Dans la plénitude d'être silence, se souvenir, se souvenir de soi, se souvenir de la gloire d'être la vie, se souvenir de la gloire d'être l'éternité de la vie.

Comment l'humanité a-t-elle pu croire que la vie peut être limitée ou connaître un déclin ?

Rendons hommage à cette infinie intelligence qu'est la vie. Changer radicalement les paradigmes pour retrouver le dessein fondamental d'être vivant.

Le corps est le temple et cet instrument magnifique et glorieux qui soutient et exprime la gloire unique de chaque être. Saturer les cellules de la pleine présence. Ainsi éveiller le chant des cellules. Les cellules éveillées ainsi à la vibration de dévotion, s'ouvrent et révèlent une géométrie sacrée, un arrangement cosmique. Et la beauté est de voir tous les points de la création reliés au cœur de chaque cellule. Cela n'est pas de la poésie. Une structure qui pourrait sembler infiniment complexe mais qui en vérité est la structure de la simplicité pure.

Dans la simplicité de chaque moment, le sacré peut être révélé. Et l'attention offerte au sacré éveille cette autre structure corporelle, le corps de dévotion, corps de vibration, corps de pure lumière, corps de corrélation infinie. Splendide en est la beauté. Ce corps est divin.

Il ne s'agit pas de quitter une structure corporelle pour en endosser une autre mais de ramener la structure du corps à ce point où la matière touche le silence, où la matière est chant de dévotion. C'est cela la réalité de la matière. C'est cela la réalité de la création. Ainsi sont les lieux célestes. Ainsi sont les corps célestes.

Il n'est pas exact de dire qu'il est le règne humain et le règne lumineux. Le règne humain est lumineux. Encore faut-il actualiser cela, non dans l'abstraction ou la poésie mais bien concrètement. L'heure est venue pour cela.

Ce phénomène connu sous le nom d'ascension n'est pas une envolée quelconque que l'on attend passivement peut-être, c'est le choix conscient de tout offrir à être dévotion, à être lumière. Être lumière signifie être dévotion car la lumière dans sa nature est dévotion.

Il est vrai que l'on offre la dévotion aux précipitations de la lumière. Il est fondamental de réaliser que l'on offre la dévotion à ce qui est dévotion. Car la création n'est que la dévotion, le chant de gloire exprimé par le silence à son éternel au-delà, au Vénérable. C'est de là que naissent les structures corporelles, c'est de là que naît la création.

Maintenant, tout retourne à cela, cette même structure qui semblait tridimensionnelle, qui semblait sujette aux aléas du temps et de l'espace, retrouve la mémoire. Le temps ne peut offrir aucun aléa car il est l'éternité, et l'espace aucune limite car il est l'infini.

Cela implique la pure présence, pure présence à soi, pure présence au souffle qui est la vie, qui est le feu, la flamme. Cela implique l'authenticité totale de rassembler son énergie et de dire oui à la réalité de la vie...

… Très concrètement, lorsque l'intensité de l'attention est pleine, la matière est ramenée à sa structure de lumière parce que l'intensité de l'attention change la fréquence vibratoire.

Ne jamais accepter les modes de dispersion. Ainsi comme l'exprimait le poète, tout ce qui semble geste anodin est hommage au divin. Tout lieu peut se faire temple. C'est ainsi qu'est savourée la beauté de la vie, sa divinité et son sacré. C'est ainsi que l'on réalise la pure beauté ici et maintenant de ce monde céleste qu'est la création.

Voyez, l'union du cerveau et du cœur se fait feu. Même si vous ne le voyez pas, peu importe, tendez vers cette intensité de présence sans tension. Car la présence n'est pas la tension, elle est la pleine attention offerte à ici et maintenant. Et pour que soit offerte la pleine attention, il ne peut y avoir de tension. La tension densifie, la pleine attention fluidifie. Offrir les tensions pour embraser l'attention.

Soyez bénis.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 30-7-23

Le oui total à la plénitude permet à la structure du corps d'être transfigurée. 

L'heure est passée de désirer simplement recevoir. Heureux ce moment de maintenant où l'attention est offerte à cocréer une réalité toujours plus belle. Heureux ce moment de maintenant où chaque être choisit de s'ouvrir au sens profond de l'incarnation. Heureux ce moment de maintenant où l'humanité offre radicalement la croyance dans la possibilité de séparation. Heureux ce moment de maintenant où le sens profond est retrouvé de la fraternité du vivant, hors des ségrégations, hors du concept même de dimensions, le cœur d'infini, et tous s'offrent à la fréquence la plus élevée de leur propre vibration, s'unissant ainsi à celle du Cœur Divin, et cela, à travers la structure corporelle.

Savourez le silence, le silence d'où tout naît. Le silence, vous le savez, est plein de cette plénitude qu'est l'infini de l'amour. Le savourer en l'incarnant, incarnant ainsi la plénitude.

C'est le oui total à la plénitude qui permet à la structure du corps d'être transfigurée et de retrouver sa nature d'être lumière. C'est le oui total à être plénitude qui permet à tous les aspects de l'individualisation d'être pure transparence à la splendeur divine. C'est le oui total à la plénitude qui ramène tous les aspects de la vie à la simplicité absolue et à la grandeur infinie d'être divin. Car seul est cela, n'est-ce pas, l'amour divin qui jaillit à travers la création pour s'appréhender de façon toujours plus consciente et plus infinie dans tous les prismes de sa nature.

N'oubliez pas, dire oui à être plénitude est être service vivant à la joie en l'incarnant, en l'exprimant, en la rayonnant, cette joie qui est l'océan de la joie, la pure félicitée, la nature de l'être divin…

…Vous le savez, l'heure est venue pour la fraternité d'œuvrer dans l'unité du cœur. Bien au-delà des hiérarchies, tous unis pour adorer cet Être Vénérable qui est le Tout, la Vie et la Source de la Vie. La seule façon d'honorer est d'incarner la source du rayonnement.

Vous vous souvenez, l'aide, l'outil, le centre d'attention, reste le souffle. Le souffle vous ancre et vous emplit. Le souffle ramène la verticalité de l'énergie qui traverse le corps. Le souffle en conscience unit aux niveaux les plus fins de la création. Être la pure conscience du souffle qui s'offre.

Oser s'ouvrir à l'au-delà de tous les concepts. Oser saturer par choix conscient, par cette attention qui est don, toutes les cellules de la réalité de Sat-Chit-Ananda : l'Êtreté, la Conscience et la Félicité. Les trois sont un. Le souffle permet d'ancrer cela. Faire de cela le centre de l'attention.

Vous le sentez n'est-ce pas, à intensifier l'attention sur la simplicité, sa nature propre Sat-Chit-Ananda, les cellules s'illuminent. L'humanité qui s'éveille, s'éveille à une autre physiologie et cela de façon très concrète. La vitalité alors est infinie, et la joie exulte.

N'oubliez pas, encore et toujours, intensifier l'attention. Il ne s'agit pas de laisser l'énergie se disperser mais de la recentrer depuis la plénitude d'être lumière. Dans cette attention, la fraternité se rassemble. 

Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 10-6-23

Le fil des réincarnations est devenu une croyance.

Il faudrait tout d'abord replacer la réincarnation dans le contexte de la réalité la plus vaste : seul est le temps simultané. Ainsi donc ce fil des réincarnations qui est devenu une croyance à laquelle tant s'accrochent est le point de vue plus limité appartenant au domaine de la troisième dimension du temps linéaire.

Notre vision sort la réincarnation de la linéarité pour la placer dans la simultanéité. Maintenant, chaque individualisation est comme un prisme et chaque facette est une des incarnations de ce prisme. Chaque facette sait qu'elle est le cœur du prisme. Au sein de cette réalité, la partie la plus vaste de l'individualisation a en effet le choix de considérer le souhait de faire l'expérience de la divinité de l'Être à travers une autre facette du prisme, s'identifiant donc, donnant l'énergie, à cette facette vivant dans la simultanéité et apparemment dans la linéarité, une naissance, un déroulement. Ou la partie la plus vaste de l'individualisation peut choisir de retourner en son centre et d'honorer être la source de toutes les incarnations, d'être  le cœur, et de ramener sa structure physique à ce cœur et à ce corps d'immortalité qui ne connaît plus le déroulement mais qui est le jaillissement perpétuel de la perfection.

Tu l'as compris, sœur de lumière, notre accompagnement s'adresse à cette invitation. Chacun comprend selon son point de vue et chaque point de vue est valable. Heureux ceux et celles qui savent honorer et nourrir de leur attention le point de vue le plus ultime. Faire cela est suprême clarté.

Passion 20-8-23
Rêve 19-8-3
Voiles 19-8-23
Codes 18-8-23
Amour guérit 18-8-23
Figé 17-8-23
Mémoires 2-8-23
Humain divin 1-8-3
Société 1-8-23
Oui 30-7-23
Ascension 31-7-23
bottom of page