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Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 31-12-22 

Maintenant est le temps.

Porter la vision de la Terre lumière, une civilisation de bienveillance, de bonté, de jaillissement de joie. Maintenant, sans qu’il soit besoin d’une grande transition, porter la vision de chaque être faisant le choix gratuit d’honorer la bonté, d’honorer la bienveillance, d’offrir pleinement au cœur d’infini toutes ces habitudes de jugement, de critique, de condamnation. Porter la vision de chaque être soutenant pleinement chaque être, sans aucun jugement. Porter la vision de la Terre chantant le chant de la fraternité du vivant. Et chaque être participe à ce chant, et chaque être s’offre pleinement à ce chant.

Porter la vision de l’humanité qui retrouve le respect pour la vie et le respect pour toutes les formes de vie. Porter la vision de l’humanité qui se souvient que les animaux sont des maîtres, que la nature est un maître, que les planètes sont des maîtres. Porter la vision de l’humanité qui se souvient que chaque être est enfant de l’univers. Porter la vision de l’humanité qui s’offre pleinement à la bienveillance, à la pure bonté.

Et voyez, cela suffirait pour dépolluer totalement la planète. Il n’est pas nécessaire de trouver des solutions. Il n’est pas nécessaire de chercher des moyens. Il suffit que chaque être choisisse la bonté, la bienveillance. C’est cela qui fait changer la fréquence de la Terre. C’est cela qui fait changer la vibration de l’univers et tout rentre dans l’ordre.

C’était bien cela l’intention de Gaïa lorsqu’elle s’est offerte pour recevoir la vie humaine. Une planète de joie. Une planète sur laquelle chaque être honore chaque être. Une planète où la simplicité est adorée. Une planète où chaque être choisit d’écouter et de parler le langage du cœur.

Il n’y a pas de secret perdu. Il n’y a pas de trésor perdu. Il n’y a que ce choix à faire pour chaque individu, d’honorer la bonté et la bienveillance.

Vous le savez, ils sont nombreux ceux qui ont marché à la surface de la Terre, accomplissant des miracles. C’est ce qui a rendu cela possible, une absence totale de jugement, de critique, le regard uniquement rivé sur le beau et le bon.

Et si maintenant était le temps ? Et si maintenant, 2023, était le temps pour l’humanité de choisir cela ? Savez-vous la puissance d’un être qui choisit cela ? Lorsqu’un être choisit de s’abstenir totalement de critique, de jugement, lorsqu’un être choisit de ne regarder que le beau et le bon, que le divin et le simple dans chaque forme de vie, sa fréquence vibratoire se transforme tellement qu’il devient le feu de l’amour qui embrase la Terre. Et si maintenant était le temps ?

Dites cela à l’humanité parce que maintenant est le temps. La transition n’a pas besoin d’être longue ni compliquée. Il n’y a pas de solution à trouver. La fréquence du feu de l’amour d’un être qui choisit d’être pleinement offert au silence, à la bienveillance, à la bonté, à la créativité, et qui choisit par dévotion de ne regarder que la beauté en lui et dans toute forme de vie, sa fréquence s’élève tellement instantanément que cet être entraîne avec lui ou elle l’humanité, la Terre, la création.

Il est vrai, la planète est planète de libre arbitre, et chaque être a le choix. Mais l’humanité n’existe pas. La création n’existe pas. La société n’existe pas. Il n’est que chaque être qui fait le choix de projeter une création à l’image de son intention la plus profonde.

Maintenant est le temps. Le plus beau don que l’on puisse faire à la création, à la Terre, à la relation entre la Terre et la création, est ce choix de s’offrir pleinement à l’harmonie, au silence, à la joie simple de retrouver cette simplicité du quotidien d’êtres qui sont plénifiés parce qu’ils choisissent de ne regarder que la beauté, et qu’ainsi tout est émerveillement. Ainsi ces êtres embrasent la Terre. 

 

Message de Melchisédech reçu par Agnès Bos-Masseron le 29-12-22

La Lune est-elle artificielle ?

Si la Lune était artificielle, la Terre ne serait pas. La Lune, bien plus qu’une planète, un océan de nectar. La Lune, bien plus qu’une planète, un être. La Lune régissant les rythmes, dont le regard est relation. De ce regard, jaillit le rythme des marées. De ce regard, jaillissent des torrents de tendresse, de pureté, de nectar.

Traverser tous les points de vue et rencontrer l’Être.

Primordial le don de la Lune dans l’énergie orchestrant les naissances. Primordiale la relation entre la Lune, le Soleil et les autres planètes. Pleine de sa propre nature.

N’écoutez pas ceux qui défigurent. Nourrissez-vous de la relation directe.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 28-12-22

L’année nouvelle est porte ouverte. 

Une année se fond, une année s’ouvre, l’éternité est honorée et célébrée. Le temps semble appartenir à l’humanité, la nature ne connaît que l’éternité. Et pourtant, de tous les points de l’espace, de toutes les galaxies, dans tous les règnes, ce moment d’éternité est célébré.

Au-delà du temps marqué par les calendriers humains, il est une convergence d’énergie. Presque l’effondrement de la création qui dans un moment de grâce se repose dans sa source. Et de là jaillissent de nouveaux courants de vie, car alors que tant croient que l’année qui s’ouvre ressemble à l’année qui vient de s’écouler, très peu sont conscients des nouveaux courants de vie offerts à l’aurore de chaque année.

Ceux qui ont la conscience de cela honorent et choisissent de recevoir les courants de vie, de les laisser les traverser, de s’offrir pleinement à eux pour que l’année nouvelle soit non la réplique de l’année qui vient de s’écouler mais le jaillissement du meilleur de soi, le jaillissement de l’hommage à la perfection qu’est sa propre incarnation.

On est bien loin là de l’ego qui voudrait bien faire ou mieux faire. Nous parlons là de l’hommage le plus profond de l’être qui s’harmonise au courant de vie, vous savez, comme les surfeurs habiles dans vos océans qui prennent la vague sans se battre avec elle, la chevauchant, se fondant dans cette énergie infinie pour danser la danse de la vie.

Aucune année n’est semblable à aucune autre, et particulièrement dans le temps de maintenant. L’année nouvelle est porte ouverte. Et la question n’est pas de savoir si l’humanité saura percevoir que la porte est ouverte car l’humanité n’existe pas. Il n’est qu’un seul être, chaque être qui projette sa création.

A chaque être le choix, et ce choix est sacré et gratuit. Sacré car rien n’est plus sacré pour la vie que d’honorer les courants de la vie. Se laisser entraîner par eux pour grandir, et grandir de son propre infini. Gratuit, car quel que soit le choix de l’être, la vie éternellement grandit, se magnifie, s’embellit, se glorifie, à l’image de celui et de celle, à l’image du tout qui éternellement s’autodépasse et joue à merveille le jeu de la perfection.

Il ne s’agit pas simplement de créer une société un peu meilleure, un peu plus humaine, un peu plus fraternelle. Il s’agit de s’offrir pleinement à l’infini de l’amour qui est la vie. Et s’y offrant pleinement, on la sert. Et s’y offrant pleinement, on se reconnaît en elle. La simplicité de la grandeur, car la grandeur est simplicité. Il ne s’agit pas d’une société qui se marginalise, croyant être spéciale ou croyant acquérir quelque pouvoir, il s’agit d’une humanité qui se normalise et réalise l’unité de tous les êtres, de tous les règnes au service de la vie.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 13-12-22

Le fossé se comble entre le concret de la matière et la lumière.

Vous le savez, la période qui s’ouvre est unique en intensité, intensité de dons, de rayonnement, d’ouverture. Dans ce qui semble être le temps linéaire, cette transition d’une année à l’autre s’offre comme un tremplin. Plus que jamais, ce tremplin invite à des sauts cosmiques.

L’ouverture est très réelle pour ceux qui choisissent de s’y aligner. Une autre réalité se dessine, une autre humanité qui s’installe dans sa souveraineté, sous-produit de l’acceptation totale à être dévotion. De par cette ouverture, les dons de rayonnement seront d’autant plus intenses. Durant cette période, il est beau de se regrouper pour recevoir les dons et être le don vivant.

L’heure est venue pour l’humanité d’actualiser ses rêves. Cela passe par une application claire et déterminée du choix conscient d’honorer l’évidence que Je Suis l’éternelle lumière, une évidence qui s’honore non dans l’abstrait de la conscience mais aussi dans le concret de chaque acte, de chaque pensée, de chaque parole.

L’ouverture est bien réelle. Et simultanément à cette ouverture, doivent être offertes toutes les habitudes de fonctionnements compulsifs. S’aligner à l’évidence d’être lumière s’accompagne d’un comportement diamétralement opposé aux comportements compulsifs, un comportement de choix conscient et joyeux, sans effort. Choisir d’honorer la partie la plus noble de soi, et l’honorer dans le concret de chaque geste, de chaque parole, de chaque pensée, de chaque acte. L’honorer dans sa relation au grand magnifique silence.

Je Suis l’éternelle lumière. L’affirmation peut emplir l’aura. Et l’affirmation se doit de résonner au cœur des paroles, des pensées, des actes. Le comportement est la résonance de l’affirmation. La résonance est la vibration même de l’affirmation.

Bien comprendre le sens profond d’être cocréateur de sa réalité. En harmonie avec l’éternel créateur de tout, en résonance avec son intention et sa manifestation, cocréer sa réalité dans sa version la plus belle et la plus noble.

Je Suis éternelle lumière implique Je Suis le choix éternel d’exprimer, d’incarner, de rayonner, d’être éternelle lumière. L’heure est à l’incarnation concrète de l’affirmation dans la structure du corps, de la vie extérieure, de la société, dans la structure de la Terre, du cosmos.

Je Suis éternelle lumière. De l’affirmation, jaillit la création et ce jaillissement est choix conscient. Chaque être façonne sa réalité, non seulement avec cette intention que l’on pourrait nommer globale mais aussi avec chaque parole, chaque pensée, chaque mouvement. Tout est sacré. Tout a une réverbération, une résonance, une répercussion. La civilisation de lumière est civilisation de choix conscient, de don conscient de sa réalité intérieure, offert à chaque parcelle de création.

Nous vous l’avons dit souvent, le rythme se doit d’être ralenti. L’humanité ne peut passer sa vie à courir après des chimères. L’invitation est de poser chaque pas pleinement, consciemment, dignement.

L’ouverture est très réelle. On est bien loin de ce concept de l’ouverture apportée sur un plateau d’or sans aucune participation ou cocréation. L’être faisant le choix conscient d’honorer "Je Suis l’éternelle lumière" imprime cette réalité à travers chaque geste ou chaque immobilité, chaque parole ou chaque silence, chaque pensée, chaque action. Et la réalité ou la magie de l’actualité de maintenant est ce fait d’imprimer cette intention la plus noble et la plus subtile, la plus vaste, la plus simple, Je Suis l’éternelle lumière, et la création n’est que cela. La puissance du choix conscient initie la précipitation de cette réalité.

S’unir pour cocréer une empreinte de pure puissance qui se réverbèrera dans l’aura de chaque être.

Voyez, on est bien loin d’une humanité infantilisée qui attendrait d’être sauvée. Il est vrai, certains ont montré la voie. Ils ont surtout montré l’art d’être créateur et cocréateur, l’art de précipiter la vision la plus vaste pour l’humanité, la Terre et la création.

Transformer la Terre en temple, c’est offrir une perle de dévotion dans chaque pensée, dans chaque parole, dans chaque geste, dans chaque immobilité, dans chaque silence, simplement à travers la simplicité du quotidien. C’est ainsi que la Terre redevient le temple.

L’heure approche de cette célébration cosmique de la naissance de l’éternel non-né. Plus que jamais, l'infinie puissance des dons dans ce qui semble être un moment et qui est l’éternité de la grâce. Il est beau de se préparer à vivre cela dans la pleine conscience. Il est beau de se rassembler pour porter la vision de la Terre temple.

Vous le sentez n’est-ce pas, le temps se tisse toujours plus intensément dans l’intemporel et l’éternel. L’année semble glisser, aller vers sa fin, l’éternel resplendit plus que jamais, n’est-ce pas ? Peu importe si le temps s’accélère ou se ralentit tant qu’il se pose dans l’éternel. Garder le regard rivé sur l’éternel.

Dans la simplicité de son quotidien, choisir de cocréer la réalité de la Terre temple. La préparation est dans l’alignement. S’aligner avec une passion toujours plus grande et donc une détermination toujours plus puissante à l’énergie la plus cosmique qui est ce que Je Suis.  

L’alignement, vous le savez, est dans le concret de chaque moment, et particulièrement dans le concret de la structure physique. Veillez sur elle avec dévotion comme l’on veille sur le corps du divin, car c’est bien cela, n’est-ce pas ? Le corps physique est divin.

La beauté de l’ouverture est que le fossé est comblé entre le concret de la matière et la lumière. La dévotion crée le pont et permet la fusion.

Dans cette période de transition, être don de dévotion. Porter la vision c’est l’inscrire dans chaque phase du concret de son incarnation.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-8-22

Cette civilisation qui se croit avancée est retournée bien en deçà de la préhistoire.

Ne laissez jamais s'installer la croyance que ce qui semble être des ans qui passent peut restreindre le fonctionnement corporel. Lorsque vous marchez en pleine conscience dans le temple nature, le corps ne peut qu'être régénéré. Lorsque vous vivez en pleine conscience dans le temple qu'est la vie, le corps ne peut qu'être éternellement régénéré. Le ramener à la vitalité infinie de l'éternelle jeunesse.

Vous avez les outils, l'outil du dynamisme qui se cultive, l'outil de vision. Lorsque vous regardez vos corps dans les miroirs, regardez l'empreinte de l'éternelle jeunesse. Regardez cette empreinte avec passion, non la passion de quelqu'un qui voudrait s'accrocher à vouloir voir son corps rajeunir, mais la passion de ceux qui savent que la seule réalité du corps lumière est l'éternelle jeunesse. Le reste n'est que masques, et comme tous masques, il convient de les déposer.

Vous le savez, les apparences ne sont que les résultantes des croyances et de l'attention. Pour que les apparences changent, changez les croyances et votre mode d'attention. N'attendez jamais que les apparences changent pour changer vos croyances, car cela n'est pas la loi. La loi est que les apparences ne sont que la résultante des croyances et de la façon dont l'attention est offerte, et de l'objet de l'attention.

Gardez votre attention sur le corps de lumière. Cela paraît peut-être abstrait mais l'attention donne vie. Dynamisez les corps. Ne cultivez jamais les croyances que les ans qui semblent passer peuvent amener de façon irrévocable une diminution des fonctions corporelles. Cela n'est pas le cas.

Souvenez-vous, souvenez-vous des civilisations d'harmonie. La nature est le lieu de demeure, et les êtres par pure joie cultivent le dynamisme du corps. L'on peut sauter jusqu'aux étoiles. Cela n'est pas une image, cela fait partie des possibilités corporelles. L'on peut aller explorer le fond des océans. Cela n'est pas une image, cela fait partie des capacités corporelles. Le corps est lumière, le corps est le temple. La vie est le temple et l'être est le temple vivant…

…Si vous choisissez de déposer les croyances dans l'inévitable de la venue de restrictions corporelles, et que vous choisissez d'aimer le corps comme on aime le divin, de le dynamiser par passion, service et joie, de le ramener avec patience infinie, l'écoutant à l'infini, l'entraînant avec la pleine vigueur de ceux et celles qui se savent la flamme vivante, alors le corps rajeunit et tout se régénère.

Souvenez-vous, les apparences ne sont que la résultante des croyances. Ne laissez jamais des croyances se forger par les apparences. Apprenez à comprendre en conscience quelles sont les croyances puisque les apparences en sont les résultantes. Et si les apparences ne correspondent pas à vos intentions profondes, alors changez les croyances. Déposez-les avec vigueur. Tranchez les cordons qui vous relient aux croyances, et particulièrement les croyances de ce collectif de l'humanité qui a oublié ou choisi d'occulter que l'humanité est divine, que le corps est lumière et que la nature tout entière s'est faite temple.

La Terre, vous le savez, s'est faite temple pour que l'être humain vive cette grandiose expérience de la pleine conscience de sa divinité. La Terre n'a jamais choisi de se faire temple du corps de souffrances ou de restrictions. La Terre est temple, et les temples des hommes n'en sont que des répliques lorsqu'ils ont oublié qu'il n'est point besoin de construire des murs car l'infini n'est jamais enserré dans des murs. Elle chante au cœur des pierres, des rocs, des arbres, des herbes, des fleurs, de l'union entre Terre et Soleil. Elle chante l'hymne de louanges à la vie. Et c'est bien cela qu'est un corps, n'est-ce pas ?

L'hymne de louanges à la vie, ramenez-le à cela. Ramenez-le à cela. Rien ni personne ne peut vous en empêcher, si ce n'est le laxisme qui fait qu'on oublie et qu'on laisse des facultés corporelles s'amoindrir. Car la stagnation ne fait pas partie du mode de fonctionnement du corps humain. Le corps humain est fait pour être nourri de vitalité, d'enthousiasme, de passion, de joie, de mouvement, de tendresse. Le corps humain est le temple. Alors ramenez-le à sa pleine vigueur et choisissez de marcher chaque pas dans la joie. Choisissez la marche de la vigueur, à l'écoute du sacré au sein du corps qui rencontre le sacré au sein du temple qu'est la nature.

Vous voyez la beauté de l'exaltation qu'est la marche. Lorsque vous marchez, unissez-vous au sacré au sein du corps qui vient rencontrer le sacré qu'est le temple de la nature. Tout toujours peut se régénérer. Et n'oubliez pas, ne laissez pas des apparences consolider des croyances. Servez-vous des apparences pour ramener en conscience des croyances et les déposer. Et cultivez la vitalité. Cultivez la vigueur et surtout, surtout, cultivez la tendresse et la joie…

… Cela est l'un des faits très erroné de cette civilisation qui se croit avancée et qui est retournée bien en deçà de la préhistoire. De quoi sont fiers des êtres humains qui acceptent de concevoir que le corps qui est lumière doit inévitablement vieillir et arrêter son fonctionnement après si peu d'années. Car même quatre-vingts ans, vous le savez, ce n'est que très très peu d'années par rapport à ce qu'est la longévité normale d'un être humain. Ils disent que quatre-vingt-dix ans est un âge très mûr. Non. Pour l'humanité, nous pourrions dire que cent-cinquante années s'approchent de la maturité parce que cela permet aux ans qui passent de rejoindre l'éternité et au corps de se glorifier jusqu'à retrouver l'inévitable de l'immortalité.

Il faut bien un temps de maturation. Cette maturation ne peut se faire que dans une vitalité toujours accrue. Entraînez vos corps. Nourrissez-les de croyance vraie. La seule croyance est que seule est la lumière, que le corps est lumière et que l'une des grandes lois de fonctionnement du corps est la loi du mouvement, et que la stagnation n'a jamais fait partie des lois de l'incarnation ou de la vie.

Déposez les habitudes de stagnation ou de laxisme. Elles n'ont permis à l'humanité que de retourner en deçà de la préhistoire, peut-être quelques soi-disant progrès qui n'ont amené que déséquilibre des lois naturelles. Car l'on ne peut contrôler la puissance de la vie. L'on peut s'y harmoniser, on peut l'écouter, on peut la servir, mais qui oserait croire la contrôler ?

Retrouvez le sens normal de l'être humain. Le corps alors s'élance et grandit. Très grands sont les corps éveillés, tels les corps de ces membres de la fraternité qui viennent vous rencontrer pour vous ramener, et à travers vous pour ramener à l'humanité le vrai visage de l'humain divin et la réalité du corps lumière.

Ne laissez jamais des apparences justifier les croyances et justifier des modes de comportement qui pourraient accepter quelque impossible. Marchez le pas qui régénère. Le pas qui régénère est celui qui est à l'écoute du temple au sein du corps, venant rencontrer le temple de la nature. Le pas qui régénère est celui qui offre la joie et la vitalité à chaque cellule, à chaque organe, à chaque particule du corps. Lui offrir éternellement la joie et la vitalité par l'intention et l'attention. Cela est le pas qui régénère et qui rajeunit. Ainsi vous pourriez marcher toute la surface de la Terre et vous retrouver embrasé, éveillé, régénéré, ayant ramené votre corps à l'éternelle jeunesse.

Ne laissez jamais les apparences justifier les croyances. Les apparences ne sont que les résultantes des croyances. Offrez les croyances. Eveillez-vous. Ramenez la vision juste, cent-cinquante ans peut être, pour que mature la pleine puissante de la structure du corps.

Ainsi le temps rejoint l'immortalité. La dégradation, le vieillissement n'ont jamais fait partie du plan originel du corps humain. Jamais. Déposez la croyance.

Et régénérez en marchant simplement et en offrant la joie et la vitalité à chaque partie qui semble dégénérée. Offrez la joie, la vitalité, l'amour et la tendresse, et gardez la vision de ces corps élancés, le corps humain divin.

Ne laissez pas le collectif qui s'est rabaissé en deçà même du standard humain de la préhistoire, servir de standard. Ils ont oublié. Le collectif humain est un collectif de grande amnésie. Ils ne savent plus les lois. Ils croient avoir compris le contrôle. Le contrôle n'a jamais fait partie du plan de l'incarnation. Qui pourrait contrôler la pleine puissance, alors qu'il suffit d'être en harmonie avec la pleine puissance ? La servir, la laisser couler en soi, l'amplifier, l'honorer à travers son incarnation, l'écouter, en exulter, être exalté et ainsi régénérer son corps avec toujours plus d'ardeur, de vigueur, de joie.

Le collectif de l'humanité est en grande amnésie. Effacez en conscience de vos structures, de vos neurones, de vos cellules, les croyances de ce collectif en grande amnésie. Ils ont oublié toutes les lois. Ils ne leur reste que celles du contrôle, et voyez où les amène le contrôle, un corps qui dégénère à peine après quelques dizaines d'années. A peine.

Quatre-vingts ans n'est pas la vieillesse, c'est le temps du début de la maturation vers le jaillissement. Quatre-vingts ans est le temps de la pleine énergie. C'est le temps où les cellules ont suffisamment appris la danse de l'harmonie pour danser avec les étoiles. C'est le temps de la joie, de la jeunesse éternelle. C'est le temps de l'ouverture au tout est possible. Déposez les croyances de ce collectif amnésique. Ils ont tout oublié sauf les lois du contrôle. Ils ne savent plus ce qu'est un corps. Ils ne savent plus quelles sont les lois.

Déposez leurs croyances. Vous le pouvez si vous comprenez que le plus grand frein est la stagnation et le laxisme. Vous le pouvez si vous choisissez dans tous les moments de votre vie la marche de la joie, que ce soit à travers la marche du corps, celle du fonctionnement mental, celle des sentiments les plus fins ou celle de l'ego qui exulte lorsque la vie est offerte à l'infini.

Ne laissez plus les croyances des civilisations amnésiques tout occulter. Souvenez-vous, des apparences ne peuvent jamais justifier les croyances. Elles ne sont qu'un signe que les croyances sont à transformer, être offertes, être remplacées par la vision claire de ce qu'est l'humain divin.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 24-8-22

Ce n'est pas la situation qui cause le ressenti, mais la fréquence à laquelle on s'harmonise. 

L'amour est la clef maîtresse, et l'art de la relation ne peut qu'être basé sur l'amour. Ce n'est jamais l'amour de l'autre, mais l'amour de l'amour. L'autre n'est que la projection de soi. A aimer l'amour, on aime l'amour en l'autre, sans aucun jugement. A aimer l'amour, à travers sa vie on ne voit que l'amour.

Car de par la loi des vibrations, tout vibre à différentes fréquences. L'on choisit de s'harmoniser à telle ou telle fréquence. Mettant l'attention sur n'aimer que l'amour, on choisit de s'harmoniser à la fréquence la plus noble et la plus haute. Ainsi, l'on ne rencontre que l'amour à travers chaque rencontre. Pour la même situation, quelqu'un qui choisirait de s'harmoniser à une autre fréquence, celle d'émotions peut-être, rencontrerait cette même émotion ou son opposé dans la rencontre avec l'autre. Ne jamais croire que ce choix est compulsif. Tout choix est choix.

Ramener tout ressenti, toute perception, à la relation entre soi et soi-même pour la guérir par la puissance de l'amour. Ce simple regard. Tu exprimes un ressenti de souffrance. Je Suis l'amour qui guérit. Tout est bienvenu, tout ressenti. Je Suis l'amour qui guérit.

Je ne saurais choisir de justifier un ressenti de souffrance par telle ou telle situation, car cela est erroné. La même situation peut être vécue selon telle ou telle fréquence. La même situation peut être vécue comme étant sublime ou comme étant souffrance. Ce n'est pas la situation qui cause le ressenti, mais la fréquence à laquelle on s'harmonise. Et ce n'est pas le corps de souffrance qui détermine la vibration à laquelle on s'harmonise, sauf si on lui laisse les rênes. Laisser les rênes au corps de souffrance, revient à laisser les rênes à un cheval incapable de tirer la charrette. Cela ne peut mener nulle part. Le seul cheval permettant de tirer la charrette est l'amour. L'amour est partout et tout. Cela est su abstraitement. L'incarnation est de traduire cela dans le concret du quotidien.

Sortir radicalement de toute habitude de jugement. Le jugement n'est qu'une errance mentale, causée peut-être par le corps des émotions ou le corps de l'ego. Cela reste une errance mentale. Être la pleine conscience de ce qui invite à être guéri et le guérir parce que Je Suis l'amour que Je Suis, parce que seul est l'amour, parce que seul est cela.

L'on ne peut abstraire l'amour d'aucune parcelle de création. Il est la nature, la substance, la réalité. Choisir par choix conscient d'entrer en relation avec soi-même avec une telle intensité d'amour jusqu'à ce que la création ne reflète plus que le visage de l'amour. Cela est l'art de l'incarnation.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 11-6-22

Pourquoi cette guerre en Ukraine ?

On ne pourrait répondre à pourquoi ce besoin, car il n’est aucun besoin. Il n’est que le libre arbitre qui fait que chaque être choisit de s’identifier à quelque couche. Il n’est que cette nature de l’être qui grandit en conscience de lui ou d’elle par ses expériences de tous les niveaux de la création.

Est-ce que cela justifie le fait d’être en guerre ? Non. Rien ne peut justifier le choix de violence. On peut l’expliquer par le fait de ce laxisme, cette indolence de tant d’êtres qui choisissent consciemment de créer des petites poches de violence par leur attention, par leurs mots. Oh, cela peut être anodin. Une petite impatience, on peut bien se permettre ça. Après tout, on n’est pas en train de tuer quelqu’un. On n’a qu’un peu d’impatience parce que la machine à laver est cassée ou la voiture ne marche plus ou l’autre devant ne va pas assez vite ou trop vite ou quoi ? Et le gouvernement… et le covid… Et l’humanité accepte des accès de légères violences.

Vous savez comme dans l’air, quelquefois il se crée des phénomènes qui peuvent être légers mais qui, attirés les uns par les autres, s’accumulent et font des orages d’une incroyable violence. C'est cela les guerres. C’est cela le laxisme de chaque être qui se laisse entraîner par quelque addiction. C’est plus facile, n’est-ce pas, de s’impatienter que d’apprendre la voie de la maîtrise. Là maintenant à travers ce petit incident, je peux choisir de respirer dans mon impatience ou de la laisser exploser. Ce n'est pas grave, n’est-ce pas ?

Pourtant les êtres humains veulent qu’il n’y ait aucune guerre. Veulent-ils avoir le comportement qui permet cela ? C’est trop facile en fait d’accuser quelque gouvernement ou le gouvernement mondial peut-être ? Ou quiconque ? Des petites explosions s’accumulent et créent des grosses guerres. L’addiction aux peurs, aux événements, s’accumulent et créent des grosses guerres. Le fait d’entretenir l’addiction à la tristesse, au désespoir, au désarroi s’accumule et crée, pas la guerre peut-être, mais pour sûr la confusion qui fait que plus personne ne peut faire le choix de clarté.

C’est cette leçon que l’humanité peut apprendre maintenant. Apprendre le choix de la verticalité. Apprendre le choix de la dévotion pour ne plus être cocréateur de situations de guerres ou de confusions, mais être cocréateur de la société d’harmonie.

Cette guerre vient troubler l’Europe. Il faudrait que l’Europe sache qu’il n’est qu’une seule nation, qu’une seule fraternité. Il n’y a ni loin, ni près. L’effet de chaque guerre sur Terre est aussi pesant pour chaque point de la Terre. L’effet de chaque dispute, l’effet de chaque confusion, l’effet de chaque joie, l’effet de chaque générosité, l’effet de chaque choix de clarté, l’effet de chaque choix de verticalité a le même impact pour tous les points, pour tous les êtres, pour toute la création. Il est temps que l’humanité réalise la puissance de chaque choix.

Il est beau que tu puisses réaliser la puissance du choix d’être verticalité, d’être verticalité à tel point que tu ne peux plus être ombragée par quelque guerre, par quelque disharmonie, par quelque événement ou quelque circonstance, car tu fais le choix d’être dévotion et d’être le don de la dévotion à toutes parcelles de création, l’attention rivée sur le-la Suprême Seigneur, le-la Vénérable.

Retrouver l’art de l’incarnation, l’art de la verticalité de l’énergie avec toujours plus de passion, toujours plus de finesse et de clarté. Cela seul doit être l’objet de ton attention.

Vous le savez, il n’est pas une création mais des milliers ou des milliards. Même dans les pays en guerre, il est des êtres qui ne vivent pas la guerre car leur attention est offerte sur un autre plan. Même dans des pays en paix, il est des êtres qui vivent en guerre car leur attention est offerte sur le plan correspondant. Choisir d’être pilier de lumière, de verticalité, de présence, tout offert à ramener l’évidence que seul est Cela.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 22-3-22 

Ce dont on vous informe n’est jamais que le reflet d’une intention bien précise.

Bien des pays semblent secoués. Il est ce dont on parle et ce dont personne ne parle. Et pourtant, un être humain qui traverse l’apparence d’être coupé du don de l’amour - et dans le même niveau de l’apparence, l’humanité tout entière se trouve coupée - pourtant la dévotion reste de garder l’attention centrée sur la vision d’être l’amour, sur la vision de la création comme une fraternité.

Ne pas donner du poids aux apparences en leur donnant de l’attention. Beaucoup croient devoir rester informés, ne comprenant pas qu’ainsi ils se désinforment car ce dont on vous informe n’est jamais que le reflet d’une intention bien précise. Pour s’informer, garder la vision de la Terre d’harmonie car l’information est l’écoute des empreintes engrainées dans la structure de la création. L’information est l’écoute du plan originel, c’est l’écoute de l’intention primordiale et c’est l’énergie qui permet de précipiter cette intention primordiale. Pour cela, garder la vision de la Terre d’harmonie, et même si cette vision semble vague, l’attention donnant vie, la vision se révèle…

Vous le savez, la Terre s’ouvre. Cela ne se place pas dans un absolu mais dans le choix conscient de chaque être ou d’un groupe d’êtres à être ferment d’ouverture. Cela implique quitter radicalement les anciens modes et embrasser l’éternel nouveau, une vie de simplicité, de beauté, de bonté, une vie qui tient en compte la vision vaste et l’intérêt de chacun et du tout dans chaque mouvement, dans chaque choix.

La création par nature est symphonie, et tous les instruments suivent la même partition. Tous les instruments se sentent soutenus par tous les autres instruments. Ainsi est l’énergie de la société d’harmonie, l’énergie de chaque groupe, de chaque pays, de chaque continent même, soutenue, renforcée, choyée…

Chaque culture, chaque ethnie, chaque être, dans son unicité, uni au cœur de sa culture, ayant dépouillé la culture de tous les artifices, de toutes les faussetés, la ramener à l’essence de la simplicité. Chaque culture, pure expression de l’amour offert au divin. Et par culture, nous entendons toutes les expressions de la vie, tous les modes de fonctionnement, tous les modes de communication, tous les modes de relation avec ce grand magnifique silence.

Cela est le cœur du déploiement de l’expression de chaque culture. Cela est inclus dans la vision. La vision peut être la projection ou la précipitation dans le détail du sens profond de la civilisation d’harmonie. La vision est de garder tous les êtres, quels que soient les règnes, unis. Unis tout en exprimant leur unicité. Unis tout en étant la pleine conscience du Un.

Comprenez la puissance de l’union de l’intention de porter cette vision. A ce cercle, s’unissent les fraternités.

Infuser cette vision dans la structure subtile de la création. La placer par l’intention, joyeusement comme on place un trésor dans le cœur de chaque être…

Ne jamais laisser quelque apparence ou circonstance nous éloigner de la vision. Cela serait la plus grande illusion. Porter la vision avec passion, avec une intensité telle que toutes les apparences et les circonstances s’alignent à la vision. Rien n’est plus puissant que cela. Cela est le ferment de la création. Ne jamais laisser l’attention se diluer ou être détournée par quelque apparence ou circonstance. Etabli dans la verticalité, offert à l’infini silence, dans la simplicité et la puissance totale, porter la vision.

Choisir d’être pleinement présent à tout moment et garder cette vision de l’offrande à l’harmonie. Être cette offrande. Voyez comme le silence peut être contemplation quand la pleine présence ouvre le cœur. Le cœur est la contemplation de l’amour par l’amour.

C’est à travers ce choix conscient d’être silence offrande que les dons peuvent s’ancrer et rayonner pour toute l’humanité.

Il est réel que la Terre s’ouvre. Cela se doit d’être au rythme et selon l’intensité de l’ouverture de ceux qui font le choix de servir cette même ouverture. Pour cela, changer radicalement les modes de comportement.

Porter la vision et l’infuser de l’énergie de la joie, gratuitement, simplement parce que la vie dans son essence est joie pure.

Dans cette vision, rencontrer le cœur du Un à travers le cœur de chaque être et faire le don de l’infini de la joie, non par un ressenti mais par cette claire réalisation que seul est cela…

Porter la vision implique être cette vision jusqu’au cœur des cellules. Vous le savez, l’incarnation n’est pas affaire d’intense au sens usuel de l’intensité. L’intense auquel nous nous référons a une saveur d’absolu. Encore et toujours intensifier l’intense. Intensifier la présence dans la simplicité. Honorer le silence. Honorer la paix en la servant.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron reçu le 11-2-22

Si tout est Un, pourquoi parler d'êtres extérieurs, archanges, anges etc. ? 

Cette difficulté peut être offerte à la joie du Un de s'exprimer par des milliards de facettes pour se glorifier. S'exprimant par ces milliards de facettes, est le jaillissement de la création. Et la création exprime le Un dans des milliards d'unicité, des milliards de formes, des plans, des modes. Tous restent le Un. Rien n'est extérieur. Au cœur de chaque cellule réside toute la création, tous les plans, tous les êtres.

Chaque être est un prisme et ce prisme a toutes les facettes. Chaque être trouve une expression de lui ou elle-même dans le règne angélique, cosmique, animal, divin, minéral, végétal. C'est cela qui rend très concrète cette intimité entre tous les plans et tous les règnes.

Il ne s'agit pas d'expression extérieure à soi mais d'expression à travers tous les modes, toutes les formes et tous les plans de la gloire de l'Être qui jaillit dans chaque unicité. Et chaque unicité, tel un prisme, a une facette tridimensionnelle, une facette multidimensionnelle bien sûr, une facette divine, une facette ascensionnée, une facette d'un être animal, une facette d'un être végétal,  une facette d'un être minéral, une facette d'un être angélique, une facette d'un être archangélique.

Certaines de ces facettes sont des collectifs, d'autres une expression isolée. Tu vois la beauté et tu vois pourquoi il existe une telle intimité entre tous les plans, tous les règnes et tous les modes. Et tu vois à quel point il est illusoire de croire que l'être humain est plus évolué que quelque animal, que quelque plante, et peut contrôler. Tu vois la beauté de l'incarnation. La transparence amène à cette intimité vécue de façon concrète.

Les traditions ont voulu exprimer cette intimité en parlant par exemple d'animal totem ou de plantes qui expriment la même essence que le corps physique, ou de minéraux qui expriment la même essence que la planète qui est ce que Je Suis, ou d'être divins ou angéliques, anges gardiens par exemple, une autre facette de soi, archanges.

On parle là d'un collectif dans lequel se fondent plusieurs individualisations, toujours dans la seule intention d'être le reflet du Sans-reflet, d'être adoration. Tu vois la beauté de ce respect absolu de chaque être qui se reconnaît dans tous les règnes et qui honorent tous les règnes comme une facette de soi.

R : Merci beaucoup. C'est merveilleux.

C'est merveilleux, tu l'as dit. Merveilleuse est l'incarnation. Comment l'humanité peut-elle se limiter à se justifier à quel ego récriminant quelque fonction ou se croyant devoir contrôler, supérieur ? Supérieur, inférieur, tout se fond dans l'union.

La beauté est qu'il suffit d'une voix ou de quelque voix - car il n'est pas qu'une seule voix, il est quelques voix - qui murmurent pour que chacun dans sa fréquence, dans son plan de développement entende, puisse percevoir, et choisisse le oui vivant. Les voix sont une. La beauté est d'être le oui vivant.

Merveilleuse est la création car elle est le chant de gloire de l'incréé.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 11-2-22

Le noyau d'harmonie entraîne l'humanité comme dans une spirale.

Comprenez qu'il est vital maintenant qu'un noyau se forme qui choisisse d'être transparent à l'harmonie, qui choisisse de choisir le beau, le sain, le simple, et de laisser les compromis. C'est ce noyau qui entraîne comme dans une spirale, l'humanité. C'est ce noyau qui active les modes de fonctionnement des technologies qui sont amenées en don pour nettoyer la Terre, nettoyer les corps et rétablir la fréquence la plus haute de la vibration de Gaïa.

Voyez, la Terre s'ouvre. L'invitation est au dynamisme et à l'enthousiasme du oui vivant. Simple et non facile. Ce qui est facile est de suivre les voies des addictions et de croire que l'on peut tergiverser avec des aliments qui polluent, des pensées qui polluent, des paroles qui polluent, des actions qui polluent, tout en gardant l'aspiration. Où est l'aspiration alors ?

Car l'Être, ce que Je Suis, est pleinement exprimé dans chaque choix d'incarnation. C'est là la beauté de l'incarnation et c'est là la beauté de l'élévation. Vous avez la vision, ces sociétés d'harmonie, chacun et chacune choisit d'être écoute, écoute du beau, du pur, du noble, de l'infini de la joie.

Il est vrai, au fur et à mesure que la Terre s'ouvre, ces fraternités se font plus tangibles. Certains peut-être ne les perçoivent pas, il suffit d'une voix qui l'exprime pour que tous choisissent d'écouter et de suivre la simplicité de leur modèle d'incarnation. La beauté est que ce choix de ne pas tergiverser, ce choix du don total et complet rapproche de la vibration de ces fraternités et les rend plus tangibles.

Ce qui crée les voiles est principalement les addictions. L'on croit devoir s'identifier aux modes addictifs de nos ancêtres peut-être, ou de nos vies passées peut-être, oubliant qu'il n'est qu'un seul diamant, un seul trésor, maintenant le choix.

Cela ne demande pas de capacité extrasensorielle, cela demande la simple détermination et l'offrande de soi à soi. Il est vital qu'un noyau se forme. Et ce noyau, vous le savez, n'inclut pas que ce cercle bien sûr. Il inclut tous ceux et celles qui choisissent la même fréquence. D'autres cercles dans d'autres plans peut-être, ou d'autres cercles humains ou animaux, végétaux, ou intraterrestres, ou des planètes, ou angéliques, tous unis dans le service de cette même fréquence. C'est cela la fraternité du vivant.

Magnifique l'opportunité de dire oui à cette convergence et à l'actualisation de cette fraternité. Encore une fois, il ne s'agit pas de rêve, de rencontre quelque part dans d'autres sphères pour que l'humanité reçoive des dons qui viendraient tout résoudre… Non, l'humanité est divinité. La seule transition, le seul basculement, la seule dissolution des apparences d'ombre vient du choix conscient de cette humanité qui accepte d'être le noyau qui attirera en spirale le reste de la fraternité.

Et le reste de la fraternité est perçu dans sa divinité. Ce n'est pas une élite qui fait le choix pour attirer les moins dotés, il ne s'agit que du dévot qui choisit de ne regarder que la dévotion, que la divinité. Aucune critique, aucun jugement, jamais.

L'invitation est vaste, audacieuse, nous l'espérons irrésistible. Car irrésistible est le don qu'offre la fraternité à l'humanité, le don de l'invitation à ce grand rappel "Eveillez-vous à vous !"

Vu que l'Être est éternel, s'éveiller à soi se résume à délaisser ses modes addictifs qui nourrissent les voiles. Cela demande, il est vrai, une autre intensité d'attention et de maîtrise qui amène à un autre mode de fonctionnement cérébral, qui amène à un autre mode, un autre état des cellules, qui amène à une autre ouverture de l'aura et des corps subtils.

Vous voyez où est la base. Beaucoup ont vu les choses à l'envers, attendant une certaine évolution de leurs corps subtils, de leur vibration, du monde, qui faciliterait quoi que ce soit pour délaisser les modes addictifs. Cela est erroné. C'est le choix d'être dévotion offert à sa propre perfection et de la sculpter tel un artiste ou un orfèvre à travers chaque moment de l'incarnation sans jamais aucun jugement, sans jamais rien d'autre que ce feu d'enthousiasme d'être le dévot d'ananda. C'est ainsi que se crée l'union, c'est ainsi qu'est vécu concrètement l'esprit de la fraternité. Et c'est ainsi que coulent les dons avec toujours plus d'intensité.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 3-1-22

Le prisme qu'est chaque être.

L’on ne peut comprendre cela mentalement. Il ne s’agit pas de l’Être d’un côté et de la création de l’autre, ni de voyages astraux. Il s’agit de ce prisme qu’est chaque être.

Au cœur du prisme est l’essence, et toutes les facettes du prisme sont la multidimensionnalité. Une facette est inscrite dans la tridimensionnalité. En fait plusieurs des facettes sont inscrites dans la tridimensionnalité puisque chaque essence peut vivre plusieurs lignes de temps, plusieurs expressions tridimensionnelles simultanément. D’autres facettes sont offertes à ce qui correspond à la réalité de quatrième dimension ou d’autres de la cinquième. Cela correspond à des niveaux de sentiments toujours plus purs et donc toujours plus infinis, jusqu’à la facette du prisme qui est le corps d’éternelle lumière, le corps d’éternelle jeunesse, le corps d’immortalité, le corps de son.

Tout cela est simultané. Ce n’est pas que l’on va à travers un devenir de l’un vers l’autre puis l’autre, puis l’autre. Tout est simultané. Et parce que l’attention donne vie, l’attention offerte au corps d’immortalité l’actualise et infuse les propriétés de ce corps dans tous les autres corps. Cette attention ne peut être une attention mentale, elle ne peut qu’être induite par l’attention à s’offrir toujours le rayonnement des sentiments les plus fins. Et lorsque nous disons s’offrir, nous disons l'offrir à toutes ses structures.

C'est comme la loi de la résonance, si l’on s’expose à une certaine résonance, on attire tous les plans de vie résonnant la même résonance. C’est ainsi que l’on peut vivre simultanément la troisième dimension et tous les plans des mondes subtils. Ce qui est le trésor du monde subtil, c’est la subtilité du sentiment.

Vous le savez, nous le disons toujours, la seule réalité est d’être adoration. Cela ne peut être une réalité mentale. Et cette réalité peut être induite par la perception directe, par les choix, les modes de vie, l’attention offerte à l’éthique. Des techniques aident, le Fauteuil accompagne, la base reste le choix conscient de chaque être à s’ouvrir au niveau le plus fin de toutes les couches de son individualisation.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron reçu le 3-1-22

La bienveillance ouvre au raffinement de la physiologie et à la multidimensionnalité. 

Quitter complètement les modes de jugement. Pour l’humanité, cela semble presque invraisemblable tant l’humanité, que ce soit de façon exprimée, primaire ou très subtile, est enfermée dans des modes de jugement. Offrir sur le plateau d’or ces habitudes d’avoir établi un critère pour l’expression, pour la pensée, pour la parole, pour les ressentis même.

Faire le choix inconditionnel de s’unir à l’intention des autres, sans porter ces jugements la plupart du temps subtils qui font que si l’autre n’agit, ne s’exprime ou ne pense pas selon nos critères à nous, une porte se ferme et la tête se moque, les émotions se raidissent et l’ego sait mieux. Pour que le corps atteigne les niveaux les plus subtils de son fonctionnement, ces modes-là doivent être déposés.

Le jugement n’est pas uniquement à son niveau le plus primaire. Le jugement s’insinue souvent quand on oublie d’écouter depuis son intention la plus fondamentale, l'intention la plus fondamentale de l’autre et de le respecter. Comme les fleurs dans la création, certaines ont beaucoup de pétales et d’autres peu. Certaines émettent un parfum puissant et d’autres pas. Qui pourrait juger quelle est la fleur la plus belle ? S'émerveiller. S’émerveiller du comportement des autres parce qu’on s’émerveille de la divinité de leur intention.

Cela implique un lâcher-prise presque constant et total de ce qu’on croit qui devrait être. Cela implique surtout d’honorer dans son absolu la bienveillance, la bienveillance et la bonté qui part de cette absence totale de jugement et qui reçoit l’autre pleinement dans l’émerveillement, laissant la place à l’autre ainsi de s’élever à son intention la plus profonde. La bienveillance est le respect absolu de l’unicité de chacun. Ainsi, de par cette bienveillance et cette pure bonté, on s’ouvre à une possibilité de raffinement de la physiologie qui ne pourrait jamais être possible s’il reste quelques habitudes de jugement ou d’enfermement dans des croyances "il faudrait que ce soit comme cela".

C’est de ce raffinement de la physiologie que s’ouvre l’évidence même de la multidimensionnalité. Ce raffinement de la physiologie tire son origine du fait que le niveau le plus fin du sentiment est une substance physique qui nourrit le corps et que cette substance physique n’est générée que lorsqu'on choisit d’incarner la pleine bienveillance.

Cela est quelque chose uniquement entre soi et soi-même, car ceux qui restent enfermés dans les modes de jugement vont toujours croire que les autres n’ont pas compris ou ne font pas assez bien ou devraient faire… Pour ouvrir pleinement la porte à la société d’harmonie, chaque être doit faire ce choix pour lui ou elle-même, inconditionnellement.

Ainsi, on ne peut plus dire aucune critique. Peut-être que le comportement de l’autre ne correspond pas au nôtre, de la même façon que le déploiement des pétales d’une fleur ne correspond pas au déploiement des pétales d’une autre fleur, et c’est tout. C’est à cela que l’on peut voir que quelqu’un est mûr pour s’ouvrir à l’autre monde, car la base d’une société d’harmonie est l’absolue bienveillance et le respect infini.

Fossé 13-12-22
Préhistoire 26-8-2
Fréquence 24-8-22
Ukraie 11-6-22
Informe 22-3-22
Etres extérieurs 11-2-22
Spirale 11-2-22
Prisme 3-1-22
Bienveillance 3-1-22
Lune 29-12-22
Maintenant 31-12-22
Année porte 28-12-22
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