Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 9-8-24
Le corps de lumière n’est pas une transformation du corps tridimensionnel.
Le corps physique n’est que le reflet, la précipitation des pensées, des émotions ou des sentiments. Le corps de lumière est la précipitation de ces sentiments les plus fins qui sont l’essence de l’ouverture et l’essence du cœur. Le corps de lumière n’est pas quelque chose que l’on atteint en transformant le corps tridimensionnel, il est l’omniprésence de la réalité de l’être incarné vécu au niveau le plus fin des sentiments. L’expression spontanée des sentiments est le corps d’éternelle lumière. Il est là éternellement maintenant.
Le corps tridimensionnel plus ou moins fluide, plus ou moins vital, plus ou moins vibrant est l’expression de l’union du corps émotionnel, de l’ego, de la sphère mentale. Purifier la sphère mentale, égotique ou émotionnelle par l’attention rivée sur le souffle qui traverse le corps ouvre la porte pour purifier le corps physique, qu’il se fonde dans cette réalité éternelle du corps d’éternelle lumière, parce que le cœur est éternel, parce que les sentiments les plus fins sont éternels. Ainsi le corps d’éternelle lumière, ici et maintenant, est éternel. Quel est le choix ? Que fait l’humanité ?
La clef est l’attention offerte au souffle qui traverse le corps. La clef qui ouvre à la réalité des mondes célestes est cette attention tout offerte au souffle qui traverse le corps car lorsque le corps est lumière, la création est lumière puisque c’est l’attention qui précipite la création.
L’on peut concevoir la simplicité et l’exigence de l’être qui choisit de créer la Terre lumière. Cela n’a rien à voir avec un mental qui s’agite pour condamner des gouvernements, quelque outrage, quelque offense, pour critiquer, pour nourrir de son attention quelque dysharmonie en la condamnant. Cela n’a rien à voir avec l’effort d’un aspirant qui, depuis la sphère mentale, voudrait se hisser vers quelque autre domaine. Cela n’a rien à voir avec le raidissement de l’ego qui aspire tant à devenir. Cela n’a à voir qu’avec le dévot qui s’offre à la seule réalité de la création.
Le souffle est la vie. Le souffle est le verbe. Le souffle est la flamme. L’attention offerte au souffle qui traverse le corps sans mentaliser, sans fabuler, rassemblant l’énergie par cette même attention, permet l’ouverture. Ainsi est animé le corps d’éternelle lumière. Ainsi est précipitée la Terre d’harmonie.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 7-6-24
Ne pas visualiser les chakras comme une ligne droite mais comme une sphère.
Nous ne parlons pas en termes de ligne droite mais d’une boucle. Les chakras souterrains sont unis à la boucle. Rien n’est linéaire, tout est cercle.
Il est plus précis de ne pas visualiser les chakras comme une ligne droite qui s’élance jusqu’au ciel, ou même de visualiser le ciel comme en haut, dans une ligne verticale. Le corps humain, le corps de lumière humain, est en fait une immense sphère, des kilomètres si l’on pouvait parler en termes de distance. Et dans cette sphère, ce que l’on appelle les chakras inférieurs et qui sont sous la plante des pieds, sont en fait unis aux chakras supérieurs parce que le corps humain de lumière n’est pas régi par les critères de la troisième dimension. Donc le raisonnement linéaire de la troisième dimension ne s’applique pas au corps humain lumière. D’autres lois. Et si l’on parlait d’espace, cet espace-là est régi par le cercle et la sphère, et non la ligne droite.
Ce que le mental ne peut conceptualiser, le cœur le sait. La merveille du corps humain lumière est qu’il contient toute la création, non seulement au niveau le plus petit au cœur de chaque cellule, mais au niveau le plus infini. L’humain est divin.
Les chakras qui sont dits être sous la Terre sont superposés aux chakras qui sont dits supérieurs, distincts et superposés, comme une chaîne dont les maillons s’unissent.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 7-6-24
Il ne s’agit pas de rêver la Terre d’harmonie.
Il ne s’agit pas de rêver la Terre d’harmonie ou de créer des fantaisies mentales, mentales subtiles peut-être, mais mentales. Du mental, rien n’est créé. L’on peut s’amuser à des fantaisies, les projeter sur l’écran mental mais cet écran-là n’est visible que dans le monde mental, alors que l’intention est de projeter la vision dans l’écran du cœur et cet écran-là est visible sur tous les plans.
Vivre pleinement avec authenticité. Et toujours dans la conscience, résonne la question « qui suis-je ? ». Si je réponds que je suis le monde mental, je sais que je mens. Si je réponds que je suis le monde de mes émotions, je sais que je mens. Si je réponds que je suis le monde égotique, je sais que je mens. Bien sûr les mondes mental, émotionnel et égotique sont une partie de moi, mais je ne dirais jamais que je suis dans ma totalité mon petit doigt, n’est-ce pas ? Mon petit doigt est une partie de moi. Mon mental est une partie de moi. Mes émotions, mes ressentis, sont une partie de moi. Qui suis-je ? Dans ma totalité, qui suis-je ?
Ce que Je Suis, c’est le pilier. Ce que Je Suis est inébranlable. On ne peut l’abstraire de moi puisque c’est ce que Je Suis. Il suffit de ne plus le voiler par des fausses identifications. Ne plus le voiler est exigeant peut-être, car il est exigeant d’arrêter de mentir, mais simple, car il est simple d’être authentique à sa propre nature.
Qui suis-je ? Cet Être universel et unique, cette pure présence exprimée par mon unicité. Cela est ce que Je Suis. Et si j’écoute, cela n’est que pur bonheur, l’au-delà des ressentis du bonheur, l’au-delà des ressentis de la paix, l’au-delà de tous les ressentis, Sat-Chit-Ananda.
S’appuyer sur cette pure présence comme on s’appuie sur un roc. Et la relation s’établit car l’attention offerte à la pure présence permet à la pure présence de venir rencontrer tous les aspects de l’individualisation. Elle est riche, cette relation, et belle. Une relation d’amour, comme lorsque l’on chante pour l’être aimé. L’on ne peut chanter du bout des lèvres ou du bout du cœur. L’on chante l’amour pleinement.
L’attention à la pleine présence et le chant offert à la pleine présence de toute l’attention, c’est un don d’amour. Et en réponse, la présence, l’Être, la totalité, le Divin, vient rencontrer l’individualisation. Cette rencontre est pleine, un chant d’amour.
Alors, quel que soit le ressenti, offrez-le à la pleine présence. Quel que soit le ressenti, offrez l’attention à la pleine présence, la pleine attention, sans occulter le ressenti. Il est bienvenu, mais tout comme le petit doigt, il n’est qu’une partie de soi, non la totalité.
La pleine présence est la totalité. Elle peut rencontrer le ressenti, l’entendre et l’aimer, le conforter. Ainsi, la vie est plénitude. Alors que si, par quelque nonchalance ou quelque identification déplacée, on laisse le ressenti envahir tout l’écran, le ressenti devient bien lourd, bien encombrant, bien envahissant. Et pourquoi ? Quel est le gain, l’intérêt ou la valeur ? Aucun, n’est-ce pas ?
Le ressenti est superposé à une réalité. La réalité est neutre. On superpose un ressenti et que fait-on de ce ressenti ? On peut lui donner toute la place, le laisser envahir, il occupe tout l’écran. Ou l’on peut l’offrir à la pleine présence et laisser la pleine présence, ce que Je Suis, le rencontrer, l’entendre, l’aimer, le transmuer. C’est cela la relation juste.
Alors cette question « qui suis-je ? » et la réponse honnête et intègre, je ne peux pas dire que je suis dans ma totalité une partie de moi. Cela serait mentir, n’est-ce pas ? L’attention tout offerte à la pleine présence remet toutes les parties à leur place. Le mental se suspend et laisse la place à l’intellect le plus fin, aux modes de discernement, à la clarté. Les émotions s’apaisent et laissent place aux sentiments. L’ego laisse la place à son maître, l’infini, car l’ego tire toujours vers l’infini, n’est-ce pas ? Plus et plus et plus… alors qu’il retrouve son maître, l’infini.
Il est vrai, tout a sa place. Il ne s’agit pas d’inventer un être sans aucun ressenti ou mouvement intérieur. Ce serait faux, déplacé. Il s’agit de retrouver l’Être qui vient rencontrer les ressentis, les mouvements intérieurs, qui utilise ses fonctions de cognition, de clarté, de discernement, qui danse avec ses sentiments, qui honore l’infini à travers la transparence de son ego. Un être à part entière qui vit pleinement, pleinement. Alors peu importe, les ressentis peuvent être joyeux ou moins agréables. Quels qu’ils soient, ils sont rencontrés dans le même amour et la même présence car Je Suis la pleine présence et Je Suis l’Être que Je Suis.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 7-6-24
La joie n’est pas un ressenti.
Regarde l’inévitable. La joie n’est pas un ressenti. La joie ne peut être accaparée par une personne. La joie n’est pas conditionnée. La joie est ce qui est, ananda… Pour accueillir la joie, intensifie la présence au souffle. Choisis. Non avec une personne qui peut résister, qui veut comprendre. Peu importe la personne, ses raisonnements, ses doutes, ses obstinations, choisis.
C’est comme lorsqu’on veut aller au sommet d’une montagne, quelquefois il y a des tunnels, et l’on marche car l’on veut traverser le tunnel. Et l’on marche, et l’on marche, et l’on marche… Intellectuellement tu dois savoir que seule est la joie. Pour que la petite personne puisse s’unir à cette évidence, choisis d’intensifier la présence au souffle sans même te soucier de la joie. Tu sauras que l’intensité est suffisante pourrait-on dire - bien qu’elle ne soit jamais suffisante car elle doit toujours s’amplifier - lorsque la joie sera naturelle. Un sous-produit, non un ressenti, ce qui est…
Comprends, tu ne peux limiter la joie à un ressenti de joie. De même que tu ne peux limiter la présence à un ressenti de présence. Par nature, la présence et la joie s’autodépassent éternellement, sont un flot, une fréquence. Ce n’est pas quelque chose que l’on peut atteindre. C’est quelque chose que ta création tout entière admire et contemple. Amène cette vibration qui croit être une personne à lâcher prise et à intensifier l’attention et l’intention.
Tu es la lumière, c’est un inévitable, n’est-ce pas ? La lumière est synonyme de la joie. La lumière n’est pas synonyme d’un ressenti de joie. La lumière est synonyme de l’énergie qu’est la joie, de l’infini qu’est la joie, de la joie simplement d’ananda.
C’est cela le triomphe sur la grande illusion. N’accepter aucune autre réalité que la réalité de ce qui est. Ainsi traverser toutes les apparences comme on traverse un tunnel, sans les nourrir de l’attention, en les aimant, simplement, et contempler Sat-Chit-Ananda au sein de toute forme, au sein de tout ressenti, sans emprisonner Sat-Chit-Ananda dans un ressenti. Simplement cette réalité suprême, êtreté, conscience, félicité. Lui offrir la totalité de l’attention en intensifiant la présence à travers le concret de la présence au souffle.
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 6-6-24
L'humain divin, comme une autre race ou l'autodépassement de l'espèce.
Vous vous souvenez, n'est-ce pas, maintenant est le temple. Vous avez déposé les histoires, le passé, le futur, tout ce qui encombre et même tout ce qui semble enrichir, pour être maintenant la présence qui s'offre.
Poser et reposer. Reposer, non pas par opposition à une impression qui pourrait être de fatigue, reposer, poser à nouveau dans sa propre source. Cela peut être la permanence maintenant. Reposé dans sa propre source, l'on est régénéré. Et si la régénération n'est pas totale, alors intensifiez la présence, reposez-vous. Intensifier la présence doit être un acte de joie. L’on rentre dans la demeure de la joie…
Intensifier la présence n'est pas l'énergie durcie du vouloir mais l'enthousiasme de l'être qui s'offre et se repose dans sa source. C'est en intensifiant la présence que l'on se pose et se repose.
L'on ne peut choisir la léthargie. Intensifier la présence est simple et concret, la présence au souffle qui traverse le corps, la présence aux mouvements d'énergie dans le corps, la présence au contact du corps, la présence à l'air qui entoure le corps, la simple présence de ce qui est. Et par l'intensité de la présence à ce qui est, tout s'ouvre et l'Être, ce qui est la source de tout ce qui est, resplendit. Au cœur des cellules, l'Être resplendit…
Sur un plan, les êtres humains s'activent et s'excitent, courant après ils ne savent même plus quoi, dans le silence du cœur l'humanité divine s'ouvre à la splendeur de la vie. Il faut bien qu'un jour l'humanité choisisse.
Bien comprendre, intensifier la présence n'implique pas la rigidité d'une volonté, intensifier la présence est entrer au cœur de la présence en lui donnant l'attention comme une jubilation, et cette impression de jubilation ou de plénitude qui grandit à l'infini détend l'énergie. La pleine présence implique une énergie détendue et pleine. L'attention est offerte au souffle, aux mouvements corporels et ainsi à l'infini car le corps ainsi nourri est ouvert à l'infini. Une autre physiologie, une autre réalité qui ne peut impliquer ni l'effort ni la crispation ni la tension. La plénitude n'est pas tension, elle est ouverture à ce qui est. Et au cœur de tout ce qui est, est l'infini de la joie.
C'est ainsi que s'éveille l'humain divin, comme une autre race peut-être, ou la continuité de l'autodépassement de l'espèce ou le retour aux sources comme une boucle, la réalisation que l'humain est divin, non dans l'abstraction mais dans le concret.
Vous vous souvenez, ici maintenant est le temple. Le temple est le lieu de rencontre. Ici l'on se reconnaît et se reconnecte à sa divinité. Ici l'on se pose, ayant quitté les attaches aux histoires du passé ou à celles du futur, sans histoires, pleinement présent, maintenant.
C'est ainsi que la fraternité se rencontre. L'offrande est celle de la pure présence offerte à l'être humain divin.
Dans le temple, seul est l'éveil, l'éveil nourri par l'attention et mu par l'éternité de l'amour. Pour ceux et celles qui comprennent que rien n'est statique, que tout s'autodépasse éternellement, l'on ne peut que tendre vers l'infini, vers l'éternel. Pour ceux-là, le monde se révèle dans sa multidimensionnalité.
Message de l'Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron le 5-5-24
Maintenant Je Suis la liberté totale par rapport à toute mémoire.
Il est vrai, il est important d’œuvrer sur les mémoires de ce qui semble être le passé, qui n’est encore qu’une facette de maintenant. Et cette œuvre pour dénouer les mémoires est d’autant plus puissante, réelle et porteuse de fruits lorsque l’on s’établit dans maintenant. Cela doit être un inconditionnel. Ne pas attendre que les mémoires soient dénouées pour pouvoir s’établir dans maintenant. Ne pas attendre. Faire de la relation à maintenant, de la pleine présence à maintenant, un objet de dévotion, offrant toute pensée, quelle qu’elle soit, qu’elle soit du passé, du présent ou même du futur, dans la plénitude de maintenant.
Cela établit une dynamique plus puissante encore pour cette œuvre de dénouer les mémoires, qui reste valide, qu’il convient de ramener dans le contexte de maintenant. Maintenant Je Suis la fluidité absolue de mon système. Maintenant Je Suis la liberté totale par rapport à toute pensée, à toute mémoire. Maintenant Je Suis la fluidité de la dévotion qui s’offre à maintenant.
Message de l''Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 5-5-24
Il n’est pas un collectif de la Terre, mais des collectifs.
Tourner son regard totalement sur ce plan de vie qu’est l’humain divin, sur la civilisation de lumière. Et porter son regard implique l’implication de tous les niveaux de l’individualisation. Le cœur porte la vision. Le corps physique, le corps des sentiments, l’aura, les corps subtils, tous s’impliquent dans cette vision. Un autre mode de fonctionnement, d’autres paradigmes.
L’heure est venue où la vision n’est pas abstraite, mais où elle implique tous les aspects du fonctionnement de l’être. Une vie de joie pure, de confiance absolue. L’aura de la Terre saturée de la présence des millions d’anges, saturée de lumière. La structure de la Terre saturée de lumière. La structure du corps humain saturée du soma, cette substance la plus fine générée par les sentiments les plus fins, et les sentiments les plus fins générés par cette confiance absolue dans l’inévitable de la civilisation de lumière maintenant.
Vous le savez, tous les niveaux de vie sont présents simultanément maintenant, tous les plans de vie, tous les univers, toutes les terres. Il y a autant de terres et de créations qu’il y a d’êtres sur la Terre et dans la création. Choisir le plan de vie qui résonne avec sa propre divinité. Ce plan de vie admet uniquement la pure beauté, la présence de la fraternité, la complicité de tous les plans de vie. Le monde minéral, végétal, animal, humain, céleste, divin, tous les plans de vie unis pour incarner la divinité, par dévotion simplement. Tout contribue à tout, et tout participe avec chaque aspect de son individualisation.
Cela implique un autre niveau de dynamisme, une autre perception. Lorsque l’aura de la Terre est saturée de l’aura des anges, de la fraternité, cette vision est pleine et admet cette réalité seulement. Dans d’autres terres peut-être, pour d’autres êtres qui choisissent de mettre leur attention différemment, l’aura de la Terre est saturée d’autres énergies. Chacun choisit.
Mais cela ne veut pas dire occulter une réalité sur la Terre. Il n’y a pas une réalité sur la Terre, il y a des milliards de réalités sur des milliards de terres, projetées par chaque être qui crée sa création.
Heureux et bénis ceux et celles qui font le choix de porter la vision de la Terre lumière, d’incarner l’humain divin et d’impliquer pleinement tous les aspects de son individualisation pour inscrire cela.
Comprenez, il n’est pas Un collectif de la Terre, mais Des collectifs. Ceux qui vibrent la même vibration sont unis dans le même regard pour créer la même création.
La création n’est jamais figée, elle s’autodépasse éternellement vers plus de beauté, plus d’infini, plus d’intensité de lumière, d’intensité de vitalité, de pouvoir créatif, de dévotion. C’est cela la beauté de l’incarnation et de la vie. Être la beauté du vivant, c’est être le divin. Faire le choix inconditionnel de contempler la beauté, de rencontrer la beauté, de créer la beauté, s’unissant à cette vibration de dévotion, la vibration la plus fine, la plus pleine, la plus plénifiée.
L’aura de la Terre, pour ceux qui choisissent de contempler cela, est saturée de la présence de million d’anges qui, à l’unisson, honorent la beauté du Vénérable. Cela est plénitude infinie. Cela est réel, très réel, tangible. Encore faut-il aller le rencontrer par son attention, et ne pas altérer son attention par l’attention sur d’autres réalités, d’autres point de vue, d’autres plans de vie, d’autres vibrations. Garder sa vibration toujours plus élevée, par la dévotion offerte à incarner la pure beauté du-de la Vénérable.
L’heure est à l’ouverture et l’heure est au grand choix. Honorer cela.
Message de Marie reçu par Agnès Bos-Masseron le 4-5-24
Intimité avec son ange et ses guides.
Porter la vision concrètement de cette intimité exprimée, cette intimité qui est l’inévitable puisque chaque être est très intimement lié, uni, en résonance et dans l’échange avec son ange et ses guides. Comprenez que la vie, l’existence, ne saurait être sans cette intimité.
Porter la vision, cela veut dire reconnaître l’inévitable de cette intimité et être écoute de ces signes si nombreux qui montrent à quel point cette intimité est concrète. Non établir l’illusion qui semble pourtant si réelle, d’une absence de communication, d’intimité ou de possibilité d’écoute, mais rétablir l’évidence de l’inévitable de cela.
La communication avec la dimension angélique, avec la fraternité, est permanente. Apprendre à l’écouter et à l’entendre. Cela ne passe pas toujours par apprendre à entendre des mots, cela passe par reconnaître l’inévitable de cette communication, de cette relation. La remercier et la discerner. La discerner à travers tous ces signes, tous ces clins d’œil, tous ces langages.
Il y a bien des formes de langage, la parole humaine, la télépathie, les synchronicités, le langage de la nature. La fraternité se sert de tous pour communiquer. La fraternité ne considère pas la possibilité qu’il n’y ait pas de communication. Elle sait que chaque être entend.
Là aussi, il y a bien des niveaux d’écoute. Il n’y a pas que la perception de l’oreille tridimensionnelle, il y a ce monde magique et merveilleux de la nuit. Il y a ce monde magique et merveilleux des intuitions qui émergent, langage de la lumière. Il a ce monde magique et merveilleux des synchronicités.
Tu es établi dans la confiance et la gratitude, car la magie de la vie implique l’union… Seule est la plénitude de l’union entre un être humain, son ange, ses guides, la plénitude de la complicité, la plénitude de l’échange.
Pour discerner avec clarté l’authenticité de cet échange, il convient de visualiser ou de conceptualiser toutes les possibilités de formes de communication. Il convient de remercier et de créer le pont de la communication en allant vers, en s’exprimant, en invitant, en écoutant, en donnant. Rire avec, s’émerveiller avec, cela tisse le pont. Alors devient évidente la relation.
Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 4-5-24
J’ai le sentiment qu’on arrive en incarnation largué sans mode d’emploi.
La beauté de cette fraternité du vivant et de la guidance que nous offrons réside dans le regard que nous offrons en même temps que cette guidance. Nous ne voyons que la lumière, ne regardons que la lumière, ne célébrons que la lumière. Lorsque nous te guidons notre attention reste sur cet être de lumière qui est ce que tu es, ainsi l'animant, l'éveillant, la rendant concrète.
La première invitation donc est à te souvenir. Fais de même. Quel que soit le ressenti, tu peux choisir d'honorer et d'affirmer "Je Suis l'Être de lumière que Je Suis". Bien sûr, tu ne voudrais pas l'affirmer depuis le mental, l'ego ou des émotions. Mais même si tu le faisais, au moins tu nourrirais cela, infimement peut-être puisque pour que l'affirmation, la vision, porte ses fruits elle doit être exprimée et portée depuis la pleine présence. Pourtant comprends, tu es être de détermination, tu pourrais donc te déterminer au-delà de tout ressenti à cette simple affirmation en permanence « Je Suis l'Être de lumière que Je Suis ».
Je le redis, si cette affirmation n'est pas exprimée depuis la pleine présence, elle aura peut-être une valeur infime mais pourtant une valeur, alors que si tu occultes cette réalité par quelque ressenti qui te fait croire que tu es une pauvre personne larguée dans une planète hostile, c'est cela que tu crées, et l'environnement va te refléter ce qu'est ta création.
L'incarnation est « fait de création ». L'être retrouve la pleine mémoire de la splendeur de l'Être à travers l'incarnation. La dévotion c'est d'adhérer à cela avec tous les aspects de soi, même lorsque quelques ressentis viennent en apparence occulter cela.
Comprends, plus l'identification s'intensifie, plus l'univers renvoie une image correspondant à ce qui a été projeté ou créé. La croyance de « je suis une personne larguée dans un univers hostile » crée la réalité apparente « je suis une personne larguée dans un univers hostile ». C'est une loi, ce qui est dit, pensé, ressenti, se reflète comme la réalité.
Vois-tu, lorsque tu dis « je suis une personne larguée dans un univers hostile », tu pétris la pâte de l'énergie d'être larguée dans un univers hostile. Alors la création est forte parce que tu la pétris avec la pâte correspondant à cette énergie. Lorsque tu dis « Je Suis l'Être de lumière que Je Suis », si tu le dis depuis le mental, l'ego ou les émotions sans être pleinement établie dans la pleine présence, tu pétris une pâte qui n'est pas totalement homogène. Pourtant l'impact de par la puissance du verbe créateur « Je Suis la Lumière que Je Suis », l'impact reste au niveau de « la Lumière que Je Suis », faiblement peut-être puisque tu donnes des contre-signaux. Pourtant, l'être s'en trouve renforcé, vivifié.
Notre guidance est accompagnement. Nous avons un respect infini pour la divinité de chaque être. Nous n'allons pas interférer avec le libre arbitre. Nous accompagnons, nous guidons, nous clarifions, nous inspirons. A chacun de comprendre, ce n'est qu'un film. Tu n'es pas un être tridimensionnel largué, tu es ce prisme divin et cosmique multidimensionnel. Et l'une des facettes du prisme a choisi la gloire de la tridimensionnalité pour retrouver d'un autre moyen, la maîtrise. Ce n'est qu'une des parties de toi. Tu ne peux pas prétendre que c'est le tout de toi. Où le peux-tu ?
Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 4-5-24
Porter la vision c’est la savoir déjà réalisée.
Porter la vision. Porter la vision de la Terre d’harmonie. Porter la vision est concret. Ce n’est pas dans l’abstraction. Porter la vision a sa base et son assise dans la pleine présence. Et qu’est-ce que la pleine présence ? La pleine présence mène à un autre mode de fonctionnement. Le mental est suspendu. Le cœur est le point d’équilibre. De ce point d’équilibre, se répand la douce clarté. C’est dans le cœur, depuis le cœur et par le cœur, que la vision est portée. Elle est créée puis portée par la puissance de l’attention nourrie.
Le mental est suspendu. Il ne s’agit pas de penser au sujet d’une intention, mais d’une vision claire et concrète générée par le cœur, au sein du cœur, pour le cœur, nourrie par la douce clarté.
La vision est installée entre le cœur et le centre du front. Du centre du front, sont générés des rayons qui viennent rencontrer la vision.
Porter la vision c’est la savoir déjà réalisée. On ne porte pas la vision pour qu’elle soit réalisée, on la porte dans la certitude qu’elle est déjà réalisée. Cela est en fait l’authenticité, car c’est l’énergie de l’être qui sait dans la pleine confiance que l’intention et la vision suffisent pour la réalisation. C’est cette énergie qui génère la réalisation.
La vision est installée dans l’évidence qu’elle est déjà réalisée puisqu’il n’est que maintenant. Maintenant la graine est semée. La graine ne peut que donner des fleurs et des fruits. L’épanouissement de cette graine est instantané au moment où elle est plantée dans le sol de la douce clarté…
Le secret de la réalisation de la vision est la certitude et l’évidence que la vision n’est pas une image qui sera réalisée au cours d’un dur labeur dans un temps incertain, qu’elle est la précipitation naturelle de l’intention de l’être uni au-à la Vénérable, offert au-à la Vénérable.
La base, vous le savez, est la pleine présence, cette présence qui a des caractéristiques précises et spécifiques. L’intensité de la présence est amplifiée, et permet au cœur de redevenir le centre énergétique, le point d’équilibre énergétique qui absorbe tout. Du cœur, se répand la douce clarté, cette clarté qui est la conscience vibrante. Plus de pensée, le mental est suspendu. La physiologie est établie dans le calme serein. C’est là qu’est posée la vision comme on sème une graine, et qu’elle est portée, nourrie de l’attention maintenant.
Et peu importe s’il est des milliers de maintenant pour porter la vision, l’une des grandes caractéristiques de la civilisation d’harmonie est que l’addiction au jugement en fonction des apparences est offerte. Seule est la puissance de l’intention qui se pose dans maintenant et qui reste posée dans l’éternel de maintenant. Ainsi naturellement jaillit la précipitation de la vision. Et simultanément dans chaque point de maintenant, l’attention est offerte aux synchronicités, aux signes, à la guidance, tout en gardant l’évidence que la vision est déjà réalisée.
Message de l''Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 4-5-24.
Juger ou critiquer c'est entrer dans la création d'un autre.
Oser être la flamme unique qui crée sa réalité par son positionnement. Et qu'est-ce que le positionnement ? C'est l'incarnation de la réalité correspondant à la vibration inhérente à sa structure, à sa nature, à son unicité. Se positionner, c'est oser être à l'écoute et en harmonie avec la vision la plus vaste de son individualisation et incarner cela. Ainsi je créé une réalité à l'image de cette vibration, à l'image de ce point de vue qui est le point de vue à partir duquel je crée la réalité. Car chaque être crée sa réalité. Se positionner est embrasser pleinement ce point de vue et s'embraser de la vibration de ce point de vue. Et oser.
Il se doit d'être établi que, pour être authentique à ce positionnement, à cette vibration, l'être que Je Suis ne peut en aucun cas laisser entrer la moindre trace de jugement, la moindre trace de critique.
La situation sur la Terre est telle que certains incluent dans leur positionnement ce qui, pour le positionnement de l'autre, paraît mensonge. Deux positionnements différents. Celui qui, aux yeux de l'autre, semble mentir, justifie ce mensonge par quelque point de vue qui lui appartient. Celui qui considère que l'autre ment, justifie son positionnement par un point de vue qui lui appartient. Deux vibrations différentes, deux mondes différents. Reconnaître que l'expression de l'autre n'entre pas dans la trame de ce qui semble vrai dans notre point de vue, et donc ne pas accepter cela dans la trame de sa création, est un fait. Cela est l'expression de la clarté intérieure. Si celui qui perçoit qu'une vibration n'est pas en adéquation avec la vibration de sa création, et s'il se permet de juger ou de critiquer, il entre totalement dans la vibration de l'autre et sort de la trame vibratoire correspondant à sa réalité.
Le nouveau monde, la civilisation d'harmonie, la Terre de gloire est Terre de rayonnement. Chacun par la clarté discerne ce qui vibratoirement correspond à sa vision et sert cela. C'est entre soi et soi-même parce que je crée ma création.
Il ne convient pas d'entrer dans la création d'un autre. Juger ou critiquer c'est entrer dans la création d'un autre. Pour créer et précipiter la réalité à l'image de la vision la plus vaste, je l'incarne. Je l'incarne en osant totalement l'incarner sans conflit, sans m'opposer même. Je sais que la puissance d'organisation de l'univers ne peut que servir cet élan infini de l'être qui sert sa réalité. L'expression de son point de vue n'est ni critique ni jugement. L'incarnation de son point de vue n'est ni critique ni jugement. La critique, le jugement, la condamnation, peu importe à qui cela s'adresse, peu importe dans quelle situation, génèrent une énergie qui dessert la vision. Créer la civilisation lumière, c'est retrouver l'exemple de ces civilisations d'harmonie qui jamais ne critiquent, qui incarnent et se dressent, flammes vivantes, et rayonnent. Et de ce rayonnement est projetée la précipitation de la vision…
Quand tu vis une situation, ce que tu exprimes dans le moment présent ne peut être clairement que l'expression de ton point de vue et non d'une vérité, puisqu'il n'y a aucune vérité. Il n'y a que des points de vue. Il y a des milliards de créations, autant de créations que d'êtres créés qui précipitent leur création. Chaque création génère des lois qui appartiennent à cette création, des jeux de conséquences et d'effets qui appartiennent à cette création.
La création des autres, si je reste dans l'audace d'incarner ma création, ne me concerne pas, ne peut me toucher, ne peut s'appliquer à moi.
Message de l''Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 3-5-24
Intensifier la présence n’a rien d’austère, c’est un don de joie.
Depuis la pleine présence, porter la vision de la civilisation d’harmonie… Il est beau que lorsqu’un être porte une vision pour sa propre individualisation, simultanément, il porte la vision pour le tout, porte la vision au nom de l’humanité, de la Terre-lumière, de la Terre de paix, de la Terre hommage à l’Être divin.
Rassembler l’énergie, comprenez-le bien, est une attention permanente. L’on ne peut croire que l’énergie est rassemblée et porter son attention ailleurs. Inhérente à l’attention offerte au souffle est l’attention offerte à rassembler l’énergie. Inhérente à l’attention offerte au souffle est l’attention offerte à intensifier l’intense, intensifier la présence. Et cela est don de joie. Il n’y a rien d’austère. Cela est don de joie.
La voie sacrée répond à une exigence intérieure qui émerge de la plénitude. La voie sacrée s’accompagne d’un mode de vie simple et sain, sans aucun compromis pour les intentions émergeant de la plénitude du cœur, en respect absolu pour le corps, la nature. Le corps se doit d’être vivifié. Le corps se doit d’être nourri d’aliments simples, sains et vivants, et dynamisé, vivifié. Vivifier le corps permet de vivifier la structure mentale qui peut se suspendre, laissant place à l’intellect le plus fin, baignant dans la douce clarté.
L’énergie rassemblée, tout est ouvert. L’attention tout offerte à actualiser l’union, le regard est alors fondu dans celui de la fraternité qui contemple éternellement le visage du Sans-visage. Alors s’ouvre une autre humanité : l’humain divin. Et cela ne peut qu’avoir une caractéristique propre au niveau de la vibration, au niveau de la structure corporelle. L’humain divin. Son sang est or. Son sang est dévotion, non la dévotion d’une personne offerte à l’Être Suprême, la dévotion inhérente à la nature de l’Être Suprême puisque l’humain divin a tout offert à cette reconnaissance que seul est le Tout.
Le corps est lumière. Actualiser cela passe par un changement radical de relation avec le corps. La matière ne peut plus être considérée comme inerte, elle est lumière. Le corps est alors le temple et à travers la relation d’infini respect, d’amour infini offert au sein de la structure corporelle, la création tout entière est honorée. Tout se doit d’être considéré par le regard du cœur et dans celui de cet autodépassement inhérent à la nature de l’Être.
Sortant des automatismes, l’être choisit en conscience ce qui est juste et bon. Sortant des automatismes, se réalise une autre relation avec le corps physique, avec les corps. L’attention est offerte tout autant à l’infini dynamisme, au profond repos, en harmonie avec le rythme des jours et des saisons, en harmonie avec les cycles du soleil, ceux de la lune, en harmonie avec le chant de la Terre.
Le corps se trouve nourri dans la simplicité du repos profond. Il se trouve nourri dans le déploiement de l’infini dynamisme, bien au-delà des critères normaux. Et la norme du dynamisme corporel, bien au-delà des critères normaux, est la norme de la relation avec le corps. Et parce que l’univers tout entier pulse dans le corps, à travers la relation avec le corps, une autre relation avec le corps, avec tous les points du cosmos, une relation de respect, d’écoute et d’échange vivant, la conscience que Je Suis entre en relation avec la conscience que sont les planètes, tous les points du cosmos, toutes les fraternités, au sein de la structure corporelle.
Toujours intensifier la présence simplement. Tout le reste est sous-produit de la pleine présence. Jamais on ne peut croire que la présence est un acquis, car la présence est infinie. On ne peut que tendre vers l’infini. Ainsi simplement sont ouverts les mondes, les règnes. Dans la voix du cœur, résonnent toutes les voix. L’attention reste offerte à la source de toutes les voix, à la source et à l’aboutissement de tous les enseignements, la simplicité absolue, la grandeur absolue, l’humain divin.
Le corps est rayonnement d’or. De l’union des rayons, les cellules dansent. Le sang est lumière et or. La structure s’étire et la matière des organes, des cellules, de tous les aspects du corps dans sa structure, tout s’offre à l’évidence que seule est la lumière. Alors entre la vie dans le domaine du « tout est possible », car tout est possible.
La base de tout cela est l’intensité de l’amour, l’évidence que seul est l’amour, et que l’amour n’est pas une émotion conditionnée, que l’amour est la vie et le regard que le Divin s’offre à lui-même. L’amour est ce qui est. L’intensité de l’amour, du cœur de la source, est le plus bel agent de transfiguration de la structure physique. Puissent les humains se souvenir de la multidimensionnalité. L’on ne devient jamais, l’on actualise l’une des facettes du prisme par la puissance de son attention.
Maintenant la porte est ouverte. La porte est ouverte parce que maintenant un cercle d’êtres fait le choix de l’ouvrir. Car l’ouverture ne peut venir de l’extérieur, ni pour l’être individuel, ni pour le collectif de l’humanité. Il était vain d’attendre que le train des Anges vienne porter l’humanité sur un autre plan, une autre dimension. Les dimensions se juxtaposent dans le point de maintenant. Et c’est à chacun de faire le choix conscient d’actualiser l’ouverture. Le choix conscient.
Faire le choix conscient de ramener la norme au sein de la relation avec la structure physique. Et la norme est bien loin de ce qui semble la norme pour l’humanité endormie. L’humanité endormie prend des normes endormies, l’humanité éveillée prend pour norme le jaillissement de vitalité. C’est cet autodépassement qui mène chaque être vers la pleine réalisation de sa perfection, même si maintenant la perfection est déjà réalisée. Les deux simultanément. Tel est le jeu de l’incarnation.
Naturellement, de par l’intensification de la présence, s’établit cet autre mode physiologique, d’autres lois, d’autres relations entre le corps physique et les corps subtils, entre le corps physique et les points du cosmos, une autre intensité de rayonnement, une autre structure cellulaire. Le corps est lumière. La base pour cela est d’intensifier la présence avec passion et joie.