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Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 11-11-23 

Message de la Fraternité à l'humanité.

Dans le cœur du silence, porter la vision de la Terre de paix. Dans le cœur de silence, est le cœur de la joie et là porter la vision de la Terre de paix. La vision est précipitée par l’intensité d’attention unie à l’intensité de présence.

Il conviendrait en effet que ceux et celles qui choisissent d’être ferments de la paix fassent abstraction totale de tout ressenti douloureux vis-à-vis de la situation sur la Terre. Car toute attention, toute expression, donne vie. La dévotion invite à voir le visage radieux de la Mère en toutes formes et d’offrir l’attention avec une intensité telle que ce visage radieux de l’amour de la Mère qui est amour, se manifeste partout.

C’est là le plus beau don qui puisse être offert aux apparences de souffrance, le don le plus réel. Regarder la beauté au sein de toutes apparences les transfigure. C’est ainsi que sont accomplis tous les miracles. Ceux qui savent ne contempler que le divin en tout manifestent l’énergie du divin. Comprenez-le, chaque fois qu’un cercle d’êtres s’offre dans cette forme de don d’amour, d’énergie de guérison, la fraternité s’unit.

Bien voir la multidimensionnalité. A un certain niveau, des apparences correspondant à une réalité, à un autre niveau d’autres apparences, d’autres réalités, pour les mêmes individualisations.

Animer par l’attention, la réalité correspondant à la vision de la vie dans la perfection. Ainsi contempler le visage du divin au sein de toutes formes et de toutes apparences, ne nie pas les apparences mais les transfigure. Cela invite à s’autonourrir éternellement du plein du plein.

Cela est l’apogée et la réalisation totale de la vision la plus délicate, car la délicatesse mène à la précipitation de la beauté.

Il est temps que l’humanité comprenne que l’attention sur la souffrance fait grandir la souffrance.

Il est beau d’offrir le rayonnement des rayons. Il est beau de le faire depuis la plénitude. Nourrir de puissance l’attention offerte aux rayons ne peut se faire que depuis l’attention tout offerte à la plénitude. Les rayons ne sont pas des armes pour contrebalancer une apparence mais l’expression du divin, le matériau de base si l’on peut dire, de la précipitation de la création à l’image de la splendeur divine.

Ainsi, lorsqu’en inspirant j’inspire le rayon bleu, qu’en expirant Je Suis le rayon bleu, que je l’offre à la Terre, à tous les êtres vivant sur la Terre, à toutes les formes de vie, pour que le don soit de puissance, il doit être fait depuis la plénitude. Et la plénitude est le sous-produit et l’inévitable de la pleine présence.

Etablir la civilisation d’harmonie s’actualise concrètement en la percevant partout, en la contemplant partout, en l’appelant par cette contemplation, en la précipitant par l’attention offerte à elle depuis le plein du plein. C’est ainsi qu’œuvrent les maîtres et la fraternité.

Ainsi il convient mieux de ne pas encombrer les structures énergétiques, émotionnelles, mentales ou égotiques par l’attention offerte à des faits ou des images. Dans la multidimensionnalité, dans une autre réalité, les faits sont autres. Cela n’enlève rien de la pleine compassion, de la solidarité, de l’amour offert à toutes les formes de vie, toutes les apparences et toutes les réalités. La beauté d’offrir la compassion, la solidarité, l’amour fraternel est de percevoir seulement le divin en tout.

Puisse l’humanité comprendre la puissance d’un cercle, quelle que soit la taille de ce cercle, qui choisit avec authenticité de vivre la puissance de l’amour fraternel, la puissance de cela pour la relation entre tous les êtres de la Terre. Puisse l’humanité comprendre la beauté et la puissance d’un cercle qui choisit de se nourrir de la vision du beau et du bien par dévotion pour la vie.

Être affecté par des apparences ou des situations qui semblent si réelles, c’est se priver du droit naturel à être le don de soutien inconditionnel.

Puisse l’humanité comprendre l’importance du choix de chaque moment. Se lamenter, s’affliger n’est pas le don suprême de compassion. Le don suprême de compassion s’offre en déversant les flots de la joie sur toute situation, sans aucun jugement. Bien sûr, la vision reste que chaque être, chaque enfant, chaque adulte, chaque animal, chaque forme de vie, soit éternellement nourrie, protégée, aimée par dévotion. L’on ne peut quitter cette vision, même l’espace d’une seconde. Ainsi la réalité peut se transmuer dans cette autre version d’elle-même qui au cours de la multidimensionnalité est déjà présente.

Vous vous souvenez, le temps est une illusion. Ainsi cette chaîne du devenir est aussi une illusion. Tous les plans de réalités, toutes les formes de réalités sont présentes instantanément maintenant. Réunir toutes ces formes dans la divinité et la félicité de la vie en harmonie, se fait par animer la plus puissante de ces formes, celle qui est pure lumière. Choisir l’inconditionnel de la joie n’est pas se désolidariser. Au contraire, c’est être activement les pionniers, les créateurs, les fondateurs de l’humanité nouvelle. Il faudrait que l’humanité l’entende.

Et simultanément, l’époque actuelle invite à intensifier encore l’attention à l’hygiène à tous les niveaux de la vie. L’on ne peut se permettre d’avoir des mouvements d’irritation ou d’agacement pour quelques petits détails, et ne pas comprendre que ces tout petits mouvements vont s’attirer les uns les autres par la force de l’attraction et créer une bombe ou une explosion.

Les événements qui existent à la surface de la Terre ne sont pas le produit de quelques fous mais de la folie humaine qui choisit de se laisser emporter pour des petits détails insignifiants, non existants. L'ego s’énerve. Le corps de souffrance s’irrite, et quoi encore ? Et l’on s’étonne des explosions. Et l’on en rend responsable une minorité. Et la majorité de l’humanité, que fait-elle ? Choisit-elle la maîtrise ou l’esclavage à des habitudes de fonctionnement ?

Cela, l’humanité qui souhaite ardemment créer la paix, devrait le comprendre et l’appliquer maintenant. Car à force de créer des petites mèches, l’explosion devient grande.

Ne pas s’étonner ou s’affliger, créer. Créer avec une telle intensité, une telle passion qu’il n’y a plus de place pour s’affliger ou pour créer autre chose que la civilisation d’harmonie. Cela est le don de l’amour et le don de la dévotion.

L’heure pour l’humanité est à la maîtrise. Et la maîtrise n’est pas forcément de cultiver des grands pouvoirs, des grands siddhis, des grands exploits. La maîtrise la plus belle est le choix inconditionnel de l’harmonie. C’est le choix inconditionnel de ne plus aller par toutes ces habitudes puériles et stériles qui pourtant s’accumulent comme aimantées entres elles par la force de l’attraction. Vous savez, les oiseaux d’un même plumage volent ensemble, les énergies irritées se coagulent, où l’on croit pouvoir se permettre d’être un peu irrité, n’est-ce pas, parce que la machine à laver ne marche pas… Et l’on oublie que des milliers de personnes à la surface de la Terre qui s’irritent parce que la machine à laver ne marche pas, ou tout autre détail tout aussi insignifiant, s’aimantent entre eux et créent une tension. Et les tensions perdurent dans l’atmosphère et s’attirent les unes aux autres. Et vous avez compris là comment sont créées les bombes.

Alors tous ces êtres magnifiques, passionnés d’harmonie et de paix peuvent faire le choix de changer radicalement les modes de fonctionnement. Il suffit de respirer et d’offrir la lumière à ces petits mouvements qui semblent insignifiants ou ces petites émotions qui semblent traîner et que l’on reprend par habitude, vous savez, comme les enfants et leur doudou, ils amènent le doudou partout. Et l’humanité traîne ses émotions partout et ses anciens modes de fonctionnement, et ses fausses importances à des petits détails alors que la seule importance, tout le monde le sait n’est-ce pas, c’est le soleil de l’amour, c’est le regard d’un enfant qui se sait empli de l’amour de l’humanité, c’est le regard d’un animal qui se sait honoré et nourri par l’amour et le respect. C’est bien cela la seule importance, n’est-ce pas ?

Alors combien faudra-t-il d’enfants qui meurent pour rappeler à l’humanité la seule importance ? Combien faudra-t-il de guerres pour que l’humanité comprenne que ce n’est pas l’autre, et que l’humanité choisisse, être par être, et dans son collectif, de cultiver la paix ?

Ce n’est qu’une question de choix et bien souvent de petits détails. Car même au niveau des guerres existantes, après tout, elles ne sont générées que par des petits détails. Qui pourrait croire d’importance l’appartenance d’une partie de terre ou d’une population, par rapport à l’importance du regard d’un enfant qui se sait nourri par l’amour d’une humanité. Quelle proportion ?

Alors oui, l’invitation est double : ne cultivez que le bonheur, ne regardez que le bonheur.

Choisissez de n’offrir que le bonheur, que l’amour et que la joie. Quittez les modes des afflictions. Et simultanément choisissez l’hygiène suprême, l’hygiène suprême et simple d’un être qui se sait divin.

Alors si la voiture refuse de démarrer, l’amour et la joie peuvent la faire démarrer. Il est hors de question, par amour pour l’humanité, de s’emporter. Et si le voisin déplaît, il est hors de question, par amour pour l’humanité, de s’emporter ou même de juger ou de critiquer, parce que c’est précieux le regard d’un enfant qui se sait nourri inconditionnellement par l’amour de l’humanité. C’est cela le trésor, n’est-ce pas, car chaque enfant est Dieu.

Il faudrait que l’humanité comprenne, et particulièrement ces êtres magnifiques qui portent la flamme de l’amour et le manteau de la paix. Pour offrir cette flamme, ce manteau, offrez-lui toute l’attention et que l’humanité cesse maintenant, irrévocablement, irrémédiablement, de créer les petites mèches qui viennent se coaguler et s’aimanter entre elles pour devenir des explosifs.

L’heure est venue où l’humanité peut se dresser en offrant le manteau de la paix et la flamme de l’amour, non à travers des paroles qui voudraient exhorter quelque peuple ou quelque gouvernement, mais à travers son incarnation, à travers la vibration et le rayonnement.

Ne plus jamais, par amour pour l’amour, par l’amour pour l’humanité, par amour pour le regard d’un enfant, ne plus jamais s’irriter. C’est un choix. Offrir inconditionnellement la paix, la joie et l’amour, par choix conscient. Ce qui donne accès à ce choix est la pleine présence. Car la pleine présence permet d’offrir ses modes addictifs, ses comportements.  "Après tout, nos pères l’ont fait et les pères de nos pères, et c’est comme ça"… Non, ce n’est plus comme cela. Cela peut être autrement si chacun le choisit.

Porter dans son cœur, non le regard de souffrance d’un enfant, mais le regard de bonheur de l’enfant qui se sait nourri par l’amour de l’humanité inconditionnellement et qui sait le droit inconditionnel de l’enfance à la protection, à la joie. Porter cela dans son cœur avec une telle dévotion que cette image triomphe de toute addiction à l’affliction, à l’irritation ou à la dépression. Infinie est la puissance de l’être humain, et infinie la puissance d’un collectif. Et ces êtres magnifiques qui portent dans leur cœur le rêve de la Terre nouvelle, peuvent être ce collectif qui transfigure tout. Encore faut-il être honnête à son aspiration…

..En inspirant, j’inspire l’union des rayons. En expirant, Je Suis l’union des rayons et je l’offre particulièrement aux zones qui semblent troublées à la surface de la Terre, que ce soient les pays en guerre quels qu’ils soient, ou les familles en guerre ou les entreprises en guerre ou les êtres humains en guerre contre eux-mêmes. Car quelle que soit la guerre, quelle que soit l’agression ou l’irritation, c’est une mèche qui vient s’aimanter à toutes les autres mèches de la même énergie. Qui pourrait s’étonner des explosions ?

En inspirant j’inspire l’union des rayons. En expirant, Je Suis l’union des rayons et je l’offre au cœur sacré de la fraternité dans l’infinie gratitude de son omniprésence dans toutes les fibres de la Terre et de la création, pour que chaque être maintenant sente la beauté de ce cœur, se sente nourri et fasse le choix de créer uniquement des énergies qui honorent le sacré, le beau, le pur. Pour que tout être, quel que soit son règne, sache l’inconditionnel du bonheur, de l’amour, se sache membre de la fraternité du cœur divin.

Porter cela dans chaque souffle est la dévotion suprême. C’est en cela qu’œuvre la fraternité.

Dites-le à tous.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le  10-11-23

Il n'est pas concevable de se croire suffisamment présent. 

Eternellement la fraternité se rassemble. Encore faut-il comprendre le positionnement juste permettant cette union. La base, vous le savez, est l'intensité de présence. Alors que la distraction caractérise l'existence dans la troisième dimension, la présence caractérise l'union de toutes les dimensions qui s'offrent à l'au-delà des dimensions. Car vous le savez n'est-ce pas, les dimensions aussi sont illusions. L'intensité toujours accrue de la présence ouvre à l'intensité de l'union, à l'intensité de l'éternité. La rencontre n'est pas inscrite dans le temps ni dans l'espace mais dans l'éternel et l'infini.

L'attention s'offre à la pleine présence et le fait toujours de façon active. Il n'est pas concevable de se croire suffisamment présent. La présence s'autodépasse éternellement. Et plus la présence s'intensifie, plus le plein soleil qu'est la vie s'offre et s'ouvre. Et la danse est éternelle, la danse de donner et de recevoir. Deux mouvements et pourtant l'un seul. Vous le savez n'est-ce pas, le soleil qui illumine la Terre est un reflet de ce grand soleil qui est la vie, la vie illuminée.

Accroître l'intensité de la présence par l'attention et l'intention permet à la structure physique de s'ouvrir à une autre réalité. Les cellules ne sont pas fermées, elles ne sont pas denses, elles sont la danse de la vie, et chaque cellule est l'infini.

Accroître l'intensité de la présence ouvre à la réalisation de l'infini de chaque parcelle de vie de façon toujours plus intense. Et si pour certains, cet infini n'est pas de l'ordre du ressenti, peu importe puisque l'attention est tout offerte à intensifier la présence. Il n'est plus nécessaire de fragmenter l'ego qui pourrait se raidir, le mental qui pourrait analyser, les émotions qui pourraient s'accaparer. Par cette attention de vivre la pleine présence, tout est ramené à sa source. Et la source, vous le savez, est le cœur. Et le cœur, vous le savez, est l'infini. Ainsi est la danse de la vie. Eternellement tout naît du cœur. Eternellement tout retourne vers le cœur. Le cœur reste l'ouverture, omniprésent.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 10-11-23

L'heure est venue des flots de la grâce. 

Voyez la beauté. Pour accompagner l'ouverture, les Fauteuils ont été précipités à la surface de la Terre. Un don unique. Rien ne peut être comparé à cette unicité. Il ne s'agit pas d'instruments énergétiques, thérapeutiques ou quoi ? Il s'agit de portes pour que coule le flot de la grâce et que l'humanité retrouve la mémoire que l'humain est divin, retrouver la mémoire jusque dans la structure du corps.

Le corps, vous le savez, est bien plus grand, bien plus étincelant, bien plus fluide, bien plus vibrant que ce qui a semblé jusqu'à présent être le corps physique. Le corps est lumière. Chaque parcelle de création est lumière, cela est concret.

C'est dans cette intention de ramener le concret de la divinité de l'humain que les Fauteuils ont été précipités, précipités à travers les mains du frère constructeur. Tout a été inspiré. La moindre forme du bois, la présence d'énergie, la géométrie sacrée, tout a été inspiré. Puis les Fauteuils ont été initiés. Et pour accompagner le don de la grâce à travers ces portes de lumière, nous offrons l'inspiration et la vision de ce qu'est la vie lumière. Car la vie n'est que lumière.

Maintenant vous le savez, l'ouverture semble s'accélérer pour ceux et celles qui choisissent. Car il convient de choisir et d'accepter d'être accompagné pour sortir des paradigmes étriqués, peut-être un peu moins étriqués mais tout de même. Il est la magnifique clarté de la vision de la fraternité et cette union de la fraternité du vivant qui éternellement est hommage à la vie à travers son incarnation. Il ne s'agit pas de partir dans des mondes éthérés mais de réaliser la pure vibrante lumière qu'est l'incarnation, la pure beauté qu'est la vie humaine divine.

Les dons sont ramenés. Etape après étape, l'accompagnement s'intensifie. L'heure est venue des flots de la grâce. L'heure est venue de retrouver la beauté de la vie divine sur Terre. Sur Terre et partout car l'être pleinement déployé est partout, est tout.

Nous pourrions dire que bientôt il n'y aura plus besoin de tous ces moyens de transports, de ces énergies fossiles. Mais que signifie bientôt ? A chacun et chacune de le déterminer. Oser aller au devant de soi, au-dedans et au-delà. Oser tout ce qui semble impossible. Oser surtout déposer toutes les croyances dans les limitations. Il n'est aucune limitation si ce n'est celle que le mental humain conçoit. Oser recréer la simple magie du "tout est possible". Oser vivre la pleine abondance en la créant par sa vision. Oser retrouver le pouvoir et la puissance de la vision qui conçoit et crée. Cela a toujours été la réalité, simplement la conception est devenue bien limitée et la réalité s'ajuste à la conception limitée.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 10-11-23 

La réalité d’une civilisation revient à animer la même fréquence. 

Sortir de la linéarité la notion des civilisations d’harmonie. Le point de vue du temps linéaire est une illusion. Dans l’éternité de maintenant, toutes les civilisations. Animer, éveiller. La réalité d’une civilisation revient à éveiller ou animer la même fréquence, la même vibration d’énergie.

Sortir de l’illusion de l’espace. Ne plus se croire enfermé dans un lieu précis. Vivre l’évidence avec intensité toujours croissante, de l’omniprésence de l’Être et de sa capacité à focaliser sa forme par la simple intention dans un lieu particulier.

La beauté, voyez-vous, est d’intensifier la présence. C’est une intensité optimale de présence qui permet à l’Être de dématérialiser ou de rematérialiser sa structure corporelle, lorsqu’il le veut, où il le veut, quand il le veut, non par fantaisie personnelle mais par amour pour la gloire de-de la Vénérable.

Car c’est l’amour qui est la substance, la structure et la base de cet au-delà du temps et de l’espace. C’est l’amour qui est l’arrière-plan et le premier plan de la vie dans la société d’harmonie, l’amour libéré de tout autre objet si ce n’est le plus vaste.

Choisir de s’établir là maintenant, dans cet au-delà des dimensions, revient à intensifier l’amour offert au-à la Vénérable. Ainsi rendre justice à la vie. Non plus une personne qui tendrait vers bien faire ou bien aimer. La personne s’offre à l’Être, l’Être par nature est l’amour qui s’offre.

Cela en soi génère un autre mode dans la physiologie. Cela en soi génère une autre fréquence. Il faut bien que l’être humain accepte de faire le pas hors de ses enfermements dans des cages qu’il a créées lui-même, qui sont de toute façon illusoires sauf lorsqu’il, par son attention, leur donne vie.

Être tout tourné vers l’incarnation de l’amour. Et cette incarnation concrètement amène à une autre structure corporelle, un autre paradigme, un autre regard. Ne plus regarder à travers les œillères des yeux du mental ou de l’ego, contempler la splendeur divine dans chaque forme.

L’intensité de l’amour offert à l’amour, élève la fréquence vibratoire, accélère même la rotation des cellules.

Ainsi dans l’amour, rencontrer le silence. Ainsi se révèlent les codes sacrés de l’incarnation. Alors que l’être humain s’acharne dans les voies du contrôle, capturant ces voies avec toujours plus de ténacité…

…Ainsi s’éveiller à tous les aspects de soi, à tous les potentiels. Vivre à la rencontre de ses potentialités et non dans le regret de leur absence. Vivre à la rencontre de la plénitude, à la rencontre de l’émerveillement, à la rencontre de la beauté, la beauté céleste étant le reflet de la beauté suprême, celle qui transcende tous les mondes célestes, la beauté du silence lumière, vibrant, amour. L’infini se contemple à travers l’incarnation…

…La fraternité se rencontre dans cette intensité de l'union. L'attention est tout offerte à être le regard qui contemple.

Pour vivre établi dans ce que certains nomment les mondes célestes, il convient éternellement de les traverser pour tout offrir au Suprême. Être le feu de l’amour.

La rencontre ne peut qu’être au sein de l’union. L’union invite à tout traverser.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 7-11-23

Le choix d’être plénitude détend profondément les structures et mène à un autre état de la physiologie. 

 

Être plénitude simplement. Faire de cela la priorité. Au lieu d’attendre que les circonstances mènent à la plénitude, choisir de servir la plénitude par son attention. Choisir de l’incarner. Cela en soi est un tremplin pour le beau déroulement du succès dans toutes les avenues de la vie.

Ce choix d’être plénitude, en soi, mène à un autre état de la physiologie car le choix d’être plénitude détend profondément les structures. Au lieu de se tendre vers un état plénifié, offrir la pleine attention à la plénitude. L’inviter, la reconnaître, l’honorer. Ainsi créer la base adéquate pour le déploiement de toutes les avenues du quotidien.

L'une des erreurs pour l’humanité a été d’attendre que quelques circonstances viennent justifier l’accès à la plénitude. Cela n’est jamais le cas.

Lorsque le souffle est qualifié de la plénitude, le souffle vécu en conscience intensifie le ressenti de plénitude puisque l’attention donne vie. Bien ramener dans la conscience la puissance du souffle dans l’art de la précipitation, l’art de la création, l’art de vivre au cœur de la création.

Lorsque l’attention s’appuie sur la plénitude, tout s’ouvre. Les cellules alors s’emplissent de cette autre fréquence, la fréquence de l’amour. Les cellules jubilent. Alors elles intensifient la connexion avec ces fluides sacrés qui peuvent nourrir la structure cérébrale, la colonne vertébrale et tout le corps. Pour les éveiller, il suffit d’être pleinement la plénitude. Non l’acte mental de quelqu’un qui penserait à la plénitude mais l’être qui s’incline dans sa totalité pour reconnaître que Je Suis Cela, Je Suis la plénitude.

Lorsque l’attention est tout offerte à être plénitude, l’énergie dans les chakras se fluidifie. La rotation de l’énergie monte en fréquence. Ainsi aussi est transmuée la structure cellulaire, la structure de la matière, pour que la matière retrouve pleinement la mémoire de Je Suis lumière.

Lorsque l’attention reste centrée sur l’évidence que seule est la plénitude, la structure cérébrale retrouve son appui naturel et offre l’appui à la structure du cœur. Les deux sont une seule entité. Ainsi, de par cette fréquence accrue, cette fluidité accrue dans la structure des cellules, dans la structure cérébrale, dans la structure du cœur, le corps s’éveille à une autre intensité de fréquence, à une autre intensité de simplicité.

Naturellement lorsque le corps est fluidifié par l’attention offerte à la plénitude, dans la pleine présence d’être plénitude, la relation avec tout ce qui est rencontré se fluidifie. Naturellement l’Être que Je Suis nourrit tout ce qui est perçu.

C’est ainsi que je projette une réalité à l’image de mon intention première. La Terre, la société, le monde, sont plénitude. Voyez la beauté de l’action de ce positionnement sur tout ce qui est rencontré. Là est un des plus grands ferments de transfiguration et de transformation. Encore faut-il que cette attention offerte à la plénitude soit depuis la pleine présence. La pleine présence se doit d’être cultivée avec toujours plus d’enthousiasme, d’intensité de présence, la présence à la présence.

C’est dans cet état d’ouverture, lorsque la physiologie est offerte à cet autre état, à cette autre structure, que l’art de la précipitation d’une intention peut être activé.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 28-10-23  

La régénération spirituelle ramène la spiritualité dans l'au-delà des concepts. 

Porter la vision dans le monde, sur la Terre, la spiritualité régénérée. C'est cela une société d'harmonie. L'humanité a oublié ce que signifie spirituel. Elle a fait de la spiritualité un ensemble de dogmes, de concepts ou de croyances. L'on ne peut humaniser l'esprit. L'esprit est le divin. Cette étincelle divine omniprésente, c'est l'esprit. Et par esprit, nous voulons dire l'union cœur-esprit, ce qui est au-delà du monde mental, au-delà de l'ego, cette splendeur le l'Être qui se contemple et cette vérité de la précipitation de l'Être dans toutes les expressions de la vie. C'est cela la spiritualité.

Dans l'absolu, il ne serait nul besoin de la régénérer, pourtant dans la réalité, tout le monde ou presque a oublié ce qu'est la spiritualité. Même ceux qui se disent spirituels la rabaissent. Ce qui peut être appréhendé par le mental humain, ils nomment cela spirituel. La régénération spirituelle ramène la spiritualité dans l'au-delà des concepts.

La régénération spirituelle implique la régénération de l'homme divin, le retour à cet état naturel de la vie vécue depuis l'union de l'esprit, l'union de l'esprit au sein de tout. C'est bien cela que la fraternité a pour intention de ramener.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 28-10-23

Lien entre le corps de lumière et le corps physique. 

La porte de l'au-delà du temps et de l'espace est la pleine présence au corps, la pleine présence de l'amour qui éternellement s'emplit de sa nature au sein de la structure corporelle qui est sa nature. Ainsi par la pleine présence naturelle, l'espace est transcendé. Ce que certains nomment les autres plans se trouvent naturellement ouverts. Ainsi lorsque la pleine présence s'accroît avec toujours plus d'intensité, le lien entre le corps de lumière et le corps physique s'accroît.

Cet accroissement d'intensité ne répond pas à une explication mentale. Il ne s'agit pas d'un corps de lumière dans quelque autre espace au-dessus de la tête qui descendrait dans le corps physique, il s'agit de cette autre réalité hors du temps et de l'espace où la matière révèle sa multidimensionnalité. La lumière est partout, simplement la pleine présence intense, détendue et intense, permet au corps de se révéler dans sa fluidité et de ramener ce qui paraissait être la densité du corps physique à cette fluidité. Cela est le principe de l'autoguérison.

Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 28-10-23

Y a-t-il un mode d’emploi pour débusquer les croyances ?

Belle est la question et nous sommes heureux d'exprimer de nouveau cette réponse que tu connais déjà mais qui invite pour être intégrée à être répétée.

Le mode d'emploi est la plénitude. La plénitude amène à la pleine présence au souffle. La pleine présence au souffle amène à être établi dans maintenant, ayant déposé l'avant et l'après maintenant.

Maintenant je suis en relation avec tous les aspects de moi. Maintenant je suis la plénitude qui est la source de toutes les expressions de tous ces aspects. Et l'intensité de plénitude permet que tout puisse être perçu. Pour que cette perception et cette clarté croissent, intensifie la plénitude. Intensifie la présence au souffle. Intensifie la présence au corps. Sois là maintenant, établie dans cet inévitable de bonheur et de grâce qui est le sous-produit naturel d'être plénitude.

Tout se révèle. Et ce mécanisme d'intuition et de cognition qui permet que tout soit perçu, aimé et embrassé, devient le mode naturel de fonctionnement.

Accroître l'assise dans la plénitude. Accroître la présence au souffle peut être un processus qui croît dans le temps. Comme lorsque tu marches et montes les marches d'un escalier, apprécie chaque marche. Apprécie chaque petit signe de progrès. Apprécie le cheminement. Ainsi tu grandis en plénitude. Fais du chemin un outil pour sa finalité.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 27-10-23 

L'invocation des rayons. 

L’utilisation des rayons n’est pas du ressort de la sphère mentale ou égotique. L’invocation des rayons est l’intention de vivre en conscience le don éternel.

Invoquer un rayon c’est aller rencontrer l’énergie qui coule éternellement, car la pure conscience est précipitée dans cette union des rayons et chaque rayon du sein de cette union peut être particulièrement invoqué et ainsi rencontré.

Le fait de connaître ou de ne pas connaître l’action spécifique de ce rayon n’interfère pas à partir du moment où l’on a choisi le positionnement réel correspondant au don des rayons. C’est-à-dire, il ne s’agit pas d’une personne qui parle ou qui appelle un rayon mais de l’être pleinement ancré qui, depuis le cœur, offre l’intention d’aller rencontrer le rayon. La personne peut participer à cela, mais la personne a choisi d’être unie à la pleine présence, à la pleine clarté, à la pleine intention.

Le monde de lumière est monde d’intention. L’intention amène à l’intégration. Il reste agréable ou utile pour certains aspects de l’individualisation de reconnaître l’action de ces rayons. L’action est souvent sur plusieurs plans. Selon le plan considéré, une action sera exprimée.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 27-10-23 

Une croyance est un amas d’inertie rigidifiée dans la structure corporelle. 

La Terre s’ouvre. La Terre est au cœur de chaque cellule. Bien sûr, les vieilles habitudes pourraient continuer à nous faire croire dans l’inévitable du non possible. La seule authenticité, la seule sincérité, la seule vérité même, est que seul est Cela. Seul est Cela, l’éternelle lumière qui est ce qui est, qui est ce que Je Suis. Seul est Cela. La structure de la création est Cela. Peut-être que, parce que ce que l’humanité a cru être authenticité et qui n’est que croyances, croyances dans les limites ou le non-possible, est la loi, et que les croyances forgent la réalité… La réalité ne forge pas les croyances, les croyances forgent la réalité.

Et qu’est-ce qu’une croyance ? Un amas d’inertie rigidifiée dans la structure corporelle, dans la structure cérébrale, mais également dans la structure de toutes les cellules du corps. Et de par cette rigidité, les cellules répètent les mêmes fonctionnements. Et de par cette rigidité, le cerveau répète les mêmes croyances, ce même amas d’inertie qui est la structure même de la croyance. Ainsi se répètent les boucles infernales à laquelle l’humanité croit, d’où découle le temps linéaire, d’où découlent toutes les addictions. Car il est des addictions bien plus collantes que les addictions traitées par la civilisation.

La fraternité offre les modes de briser les jougs des addictions aux croyances. Il faut bien un jour briser le cercle. Ainsi, comprenant que les croyances forgent la réalité, l’attention n’est plus tant sur la réalité, elle est sur la transformation de cette réalité. Cela implique bien une attitude très active, une attention très engagée pour transformer les rigidités des luttes contre. L’on lutte contre les fermetures, l’on lutte contre les abus sociaux, l’on lutte contre le temps même, l’on lutte contre son corps même. Transformer tout cela dans le don de l’amour…

Peu importe ce que les addictions aux croyances pourraient faire perdurer comme apparente réalité. Je sais que seul est Cela. Le mental n’a pas besoin de s’accrocher à cela, ni l’ego, ni les émotions. L’Être que Je Suis sait, et ma structure physique est la précipitation de l’Être que Je Suis. Ainsi sont offerts et dénoués les vieux rouages.

Souvenez-vous, l’attention est le don de l’amour. Il faut bien un jour oser donner l’amour à ces rigidités qui croient pouvoir régner et contrôler. Avec tendresse leur offrir la lumière "Je te donne ma lumière, reconnais-toi dans cette lumière". Telle est la seule relation du cœur avec tous les mouvements intérieurs.

Cela invite bien à l’intense présence. Si cela ne semble pas naturel, intensifier la présence et rire de la croyance que je sais la présence. Si je sais la présence, je suis le feu de l’amour. Le corps est cosmique. Il est le corps de l’Être cosmique que Je Suis maintenant. Et cela est la réalité en vertu du fait que c’est cela que j’anime par le don de l’attention. Si cela ne semble pas la réalité, le seul positionnement, le seul choix conscient, la seule offrande à toute croyance, à tout charabia mental, à toute apparence forgée par les croyances, à toute crispation, "Je te donne ma lumière, reconnais-toi dans cette lumière". Ainsi par la vertu de cette attention qui est le don de l’amour, la structure se fluidifie…

Les croyances, souvenez-vous, sont amas rigides de stagnation. Elles vont toujours vouloir ramener à la stagnation. Mais qu’est-ce que je choisis, moi, l’Être de lumière et de perfection que Je Suis maintenant ? Ainsi rien ne peut interférer.

Ainsi se fluidifie la physiologie. Les courants d’énergie dans la colonne vertébrale sont danse, la danse de l’amour qui s’offre au Suprême. Les courants d’énergie dans la structure cérébrale sont danse, la danse de l’amour qui s’offre au Suprême. Les courants d’énergie dans la structure des cellules sont danse, la danse de l’amour qui s’offre au Suprême. Et si quelque amas de stagnation aimerait me faire croire que cela n’existe pas car je ne le ressens pas, "Je te donne ma lumière, reconnais-toi dans cette lumière". Par authenticité pour l’Être que Je Suis, je choisis de n’honorer que le vrai.

Message de Douce Mère reçu par Agnès Bos-Masseron le 7-10-23

L'expérience de l'époque de Douce Mère et Sri Aurobindo permet l'ouverture de maintenant. 

Oui Sri Aurobindo et la Mère jubilent. Continuez l'exploration. Continuez l'émerveillement et le partage de ces réalisations. Lorsque nous étions dans le corps tridimensionnel, peu ont su écouter et entendre. Il n'y en avait peut-être que quelques-uns et quelquefois qu'un seul, et peu importe. L'expérience s'est imprimée dans le collectif et dans les cellules du corps humain. Et si je fais semblant de jouer le jeu du temps, l'expérience de cette époque permet l'ouverture de maintenant. C'est un jeu, vous le savez n'est-ce pas. ? Maintenant nous jubilons, nous, l'humanité.

Permettre la complétude et l’épanouissement de ce qui a semblé une œuvre folle entreprise par authenticité envers la voie intérieure qui ne pouvait pas accepter le mensonge de la petitesse. Maintenant vient l'épanouissement. Il est très réel que nous accompagnons ce déploiement maintenant. Et s'il faut clamer et chanter qu'il n'y a pas d'avant ni d'après, alors Sri Aurobindo et la Mère sont pleinement présents dans cette ouverture.

Ce que la plupart n'ont pas compris, c'est que nous ne voulions pas conceptualiser. Nous voulions vivre la transformation cellulaire, la révolution des consciences qui ne cantonne pas les cellules à une matière plus ou moins inerte, mais qui par la conscience offerte aux cellules les éveille et leur permet de se révéler. Savez-vous la beauté des cellules ? La conscience se précipite, et la perfection de la conscience se structure dans cette réalité que l'on pourrait dire matérielle qui est la cellule, qu'elle soit la cellule du corps individuel, la cellule de la matière, la cellule du corps cosmique de l'humain.

L'humain a bien un rôle privilégié en cela. C'est l'être humain qui par sa conscience peut réveiller la structure cellulaire, l'animant, la faisant vibrer à une autre fréquence car naturellement lorsque la conscience s'éveille et que la présence s'intensifie, la fréquence monte, l'état vibratoire change, la fréquence, l'état vibratoire de la cellule, peut vibrer à toucher l'infini. L'être humain, en le faisant pour sa structure, le fait pour la création tout entière. Car vous le savez n'est-ce-pas, le cosmos tout entier est présent dans la cellule. Et si Sri Aurobindo et la Mère restent passionnés pour ramener la réalité de la vie cellulaire, c'est parce qu'ils voient dans la cellule le temple au Suprême, le Suprême qui se fait temple pour s'honorer.

Alors quelle est la marche à suivre, pourrait-on dire ? Quitter les voies du laxisme. Oser se dresser, flamme vivante, quittant les voies du vouloir pour entrer dans le sillage de l'énergie déterminée qui se révèle elle-même par joie pure d'être authentique. L'humanité s'est endormie, et lorsque l'on dort il faut bien s'éveiller. L'éveil est le mouvement, n'est-ce pas ? Le mouvement est la danse. La danse est générée par l'amour, la conscience pleine d'être l'amour change l'intensité vibratoire. Ce changement de la vibration, de l'intensité de la vibration, change la structure physique de la cellule qui se dérigidifie, qui se fluidifie, qui est le champ vivant de l'amour, non offert au Suprême, que le Suprême s'offre à lui-elle.

Alors il est vrai, le mental n'a pas accès là. Le cœur y a accès. La voie du cœur le comprend, cet intellect le plus fin, ce regard du cœur qui perçoit, comprend, conçoit, intègre la clarté de la conscience. Cette clarté est réveillée par l'intensité de la présence.

Lorsqu'en apparence j'étais présente dans l'ashram, je les voyais dormir et ils croyaient m'aimer. Sincèrement ils croyaient m'aimer, endormis, ignorant même ce qu'est l'amour. L'amour est le jaillissement total, le don total. Le don le plus suprême est de rompre avec l'enfermement dans la croyance d'être limité, d'oser être le feu de la présence. L'intensité, presque personne ne l'acceptait. Ils dormaient et marchaient comme des somnambules croyant venir vers moi. Ceux qui viennent vers moi sont ceux qui choisissent d'être flamme vivante. C'est simple, exigeant mais simple, comprenez-vous ? Il suffit d'être présence, et qu'est-ce que la présence ? C'est la flamme éternelle, c'est le feu vivant. Alors les voiles s'écartent, les mensonges tombent, la fréquence vibratoire change. Vibrer à l'infini.

Ils ont cru cela trop difficile car ils n'avaient pas compris. Pourtant il avait tout dit, ce Frère que nous aimons tant. L'on ne peut mettre les pieds sur deux barques à la fois, il faut bien choisir sa barque avec enthousiasme. Ils ont cru pouvoir choisir de garder un pied dans la léthargie et un pied dans l'approche de l'enseignement. Cela n'amène pas à la transformation. Cela peut amener une certaine compréhension plus ou moins mentale, plus ou moins éclairée. Et l'on se croit riche. La seule richesse est d'être le dévot, la dévote de l’éternelle flamme, cette énergie qui consume tout dans la présence et l’offrande de soi à soi, l'offrande de soi au Suprême. Il ne peut y avoir d'offrande s'il y a séparation. Ce n'est que simagrée.

Oser le choix de l'union. Cela veut dire déposer toutes les croyances, toutes les habitudes, toutes les apparences, tous ces faits préétablis par le collectif, par la dualité.

Cela implique déposer aussi l'attachement aux ressentis. Lorsque l'on s'enflamme, la flamme vivante consume l'attachement aux ressentis, l'attachement aux ressentis, le savez-vous, est peut-être l'une des plus grandes causes de la souffrance. Et la souffrance, le savez-vous, est l'un des plus grands mensonges. Ce n'est pas le ressenti qui peut guider la barque de la vie, mais le feu vivant d'être le-la dévot-dévote du Suprême et cela ne peut qu'être au sein de l'unité.

Maintenant continue l'accompagnement. La beauté est que l’ashram s'est étendu bien au delà de Pondichéry. Inutile d'aller à Pondichéry. Le Pondichéry, le temple, est présent partout pour ceux et celles qui choisissent de vivre l’invitation inhérente au temple.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 3-10-23

Être le premier signe de l’éclosion de la divinité au cœur de l’humanité. 

Ecouter le silence, s’en nourrir et s’en réjouir. Ecouter la plénitude du silence et se reconnaître.

Non pas le silence comme séparé de nous mais le silence, le plein du plein, la source éternelle, le jaillissement perpétuel.

Comme à une nouvelle saison sur la Terre, l’éclosion pour ceux et celles qui choisissent d’éclore, se fait toujours plus profonde, plus intense, générant ainsi la création de cette société lumière sur la Terre lumière. Cette éclosion invite à un accompagnement lui aussi toujours plus intense, pour ne jamais s’arrêter en chemin, ne pas tomber dans des ornières.

Quel est le sens profond de ce retour à l’être humain divin, quelle est l’implication profonde de sa quête dans ce retour. Ne pas se perdre dans les mirages des décors. Rester centré sur le cœur du cœur. Ramener tout à la source éternelle, le Un. Tout offrir à ce-cette Vénérable qui est le tout. Tout offrir. Être l’offrande et celui ou celle qui offre, et rester le cœur du silence.

L’heure est venue où la transition se fait concrète pour ceux et celles qui choisissent de la vivre. Beaucoup restent enfermés dans les mêmes modes de fonctionnement, les mêmes modes de compréhension, les mêmes modes de pensée et de paroles. Heureux celui ou celle qui s’invente éternellement.

Prendre le temps de savourer l’or du temps au cœur de chaque moment.

Vous le savez, l’union pour la fraternité est dans l’adoration. Aimer au cœur du Un, ce-cette Vénérable. Le-la garder au-delà des noms et pourtant lui donner tous les noms saints ou sacrés. Au sommet de la pyramide tous les points de la pyramide se fondent, s’unissent et sont Un. Honorer toutes les traditions tout en restant l'au-delà des traditions.

L’heure est venue pour l’humanité de se souvenir que chaque moment est sacré, et chaque geste un rituel. Cultiver la beauté, honorer la beauté. Choisir ce rythme simple et clair, plein dynamisme et plein repos. Choisir les aliments qui portent la vie. Et choisir de déployer tous les aspects de soi, les déployer par offrande car la plus belle offrande est de déposer au cœur du-de la Vénérable la perfection de son propre déploiement redevenu le miroir de la splendeur unique.

Simplifier à tous les niveaux. Simplifier sa pensée, ses émotions, ses paroles, ses actes, ses mouvements. Dynamiser et simplifier, hors de la stagnation de l’inaction, le repos au sein du dynamisme. Et chaque impulsion est créatrice, créatrice de paix, de bénédiction du bon et du beau à travers chaque parole, chaque pensée, chaque intention. Bénir passe par le simple. Être l’infinie bienveillance et l’infinie sérénité de l’être qui contemple sa création et en tout, reconnaît la beauté.

Oser, tout en simplifiant, prendre des voies encore inexplorées. Oser créer ses rêves et les inscrire dans le concret de la matière, et porter la vision de la Terre d’harmonie, non dans l’abstraction mais dans le concret de l’incarnation.

Être le premier signe de l’éclosion de la divinité au cœur de l’humanité. Cela implique simplement extrême authenticité, simplicité, détermination. Et de là, naît la joie profonde.

Il est fondamental de comprendre que pour créer la société d’harmonie l’on ne peut porter sa vision que sur l’harmonie. Il est fondamental de comprendre que pour incarner la plénitude du divin humain, il est fondamental de garder son attention uniquement sur le divin humain. Ne pas éparpiller son attention ou son énergie.

Les Maîtres des rayons offrent les rayons.

Du cœur de St Germain, coule le feu violet. En inspirant j’inspire le feu violet, en expirant Je Suis le feu violet et je l’offre à tous les aspects de mon individualisation.

Le feu violet est la puissance de l’amour qui transmue. Accompagner et nourrir le feu, de l’amour, de l’attention, de l’intention jusqu’à ce que le corps s’embrase.

Rester présent. Rester présence, ouvert, offert dans la simplicité, la simplicité de celui ou celle qui offre la simplicité de l’amour qui transmue le feu violet à tous les aspects de l’individualisation. Cela est don d’amour.

Melchisédech offre le feu blanc, l’énergie de sagesse et de pureté. En inspirant j’inspire le feu blanc, en expirant Je Suis le feu blanc et je l’offre à la totalité de mon individualisation.

Ce qui tient l’énergie, c’est la joie. Ce qui anime la joie est la pleine présence. Le souffle vous aide en cela.

Ainsi éveillant les points de son corps, le fossé se comble entre rêve et réalité car il ne s’agit pas de rêver de la Terre lumière mais de la créer.

Marie offre les pétales de rose et chaque pétale est son.

Accepter pleinement les dons. Les accepter pour les rayonner. Les accepter pour les incarner. L’être complet incarne la plénitude de l'union des rayons.

Ainsi concrètement offrir, au cœur du silence, l’être humain divin, la société d’harmonie, non comme un rêve mais par l’intention et l’attention consciente et cocréatrice.

Continuer à dynamiser les corps, les esprits, les cœurs. Simplifier et dynamiser, épurer et s’embraser du feu de la joie, gratuitement, sans attendre, vous le savez, qu’il y ait une cause à la joie. La joie est la cause de la création. La joie est la cause, la source et l’aboutissement. Gratuitement, cultiver la joie et laisser se déployer la richesse des relations entre tous les points du cosmos qui reflètent la perfection du Un.

Concevable 10-1123
10-11-23 flots de grâce
7-11-23 plénitude
28-10-23 régénération
28-10-23 lien
28-10-23 El Morya
27-10-23 rayons
10-11-23 civilisation
27-10-23 croyance
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