top of page

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 27-4-24. 

Ouvrir les portes pour l'humanité. 

Encore et toujours la base, le fondement, le prérequis est d'intensifier la présence. Intensifier la présence avec une intensité telle que l'évidence est "I am Je Suis la pure conscience que Je Suis". Ce ne sont pas des mots, c'est une réalité.

Cette réalité porte en elle des signes concrets, le centre d'équilibre, le poids de l'énergie physiquement est le cœur. Ce n'est pas un sentiment, c'est une réalité physiologique. L'énergie rassemblée dans le centre du cœur est dense, comme un poids de lumière. L'aura est expansée, les cellules ouvertes, et surtout le mental est au repos. Les cellules, les canaux d'énergie sont traversés d'une jubilation gratuite. Le corps vibre d'un sens de régénération. Tous les ressentis, tous les signes s'intensifient. Rien n'est statique.

Et parce qu'ainsi "I am Je Suis la pure présence que Je Suis", tout est ouvert. Je peux soit percevoir - si le centre de perception est éveillé - soit pressentir la fraternité lumineuse, les mondes lumineux, les lokas. La dévotion est la réalité au cœur des cellules, entre les cellules, au cœur des organes, dans la circulation sanguine, une réalité physiologique. Cela est une intensité de présence qui n'arrête pas de s'intensifier et qui peut être la base et le point de départ.

Et si pour vous ce n'est pas la réalité, intensifiez la présence. Entraînez votre relation avec l'intense par des exercices physiques qui font dépasser vos limites, par des exercices mentaux qui font dépasser vos limites, en exerçant la maîtrise des émotions. Exercez-vous à l'intense. C'est depuis cette intensité de pure présence que la relation avec les rayons a son sens. C'est depuis cette intensité de pure présence que les affirmations ont leur sens. La relation avec les rayons est relation de la conscience avec les attributs divins. La relation avec l'affirmation est la relation de la conscience avec l'affirmation de l'union avec les attributs divins. La relation avec l'intention est la relation de la pure conscience avec l'intention de l'unicité incarnée.

La question alors ne se pose plus « comment me positionner ? », « est-ce que cela va marcher ? », « est-ce que je dois répéter ? ». Cela est la foi.

L'invitation donc est d'exercer cette intensité de présence sans aucun sens de découragement, avec exaltation parce que c'est la seule clef. Et si cela n'est pas établi avec enthousiasme et dévotion, intensifiez la présence.

Vous l'avez entendu. Vous l'avez appliqué plus ou moins. Vous avez les critères. L'on ne peut tricher avec ces critères. Le mental peut essayer de s'illusionner. Il peut bien y avoir un certain progrès, mais il y a un seuil à établir en permanence. Et nous l'avons dit, le souffle vous aide. Bien sûr, la pure conscience est pure conscience de toute éternité, donc il n'y a point d'enjeu. Pourtant il reste le jeu de l'incarnation. A bien le jouer, l'on ouvre toutes les portes, non seulement pour soi mais pour l'humanité. Il est magnifique le jeu de l'incarnation

 

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-4-24. 

Maintenant contient le futur de la civilisation d’harmonie. 

Vous le savez n’est-ce pas, la base est d’intensifier la présence. Intensifier la présence revient à rassembler l’énergie. Le point d’équilibre est le cœur. Alors est révélée la conscience éternelle.

Vous intensifiez la présence, l’équilibre est restauré. L’attention tout offerte à la présence permet de se décoller de l’identification au mental, à l’ego, aux émotions. La conscience du corps change car le corps est conscience.

Intensifier la présence, vous le savez, n’a pas de fin et mène à la maîtrise. La première étape, vous offrez la lumière aux mouvements qui se manifestent, qu’ils soient mentaux, égotiques, émotionnels. Intensifier la présence, dévoiler que « Je Suis la conscience éternelle », mène à la maîtrise. La conscience embrasse le mental qui se pose et s’immobilise. Alors le mental contemple la conscience. La conscience est le maître, le mental l’adorateur.

Cela demande une joyeuse exigence intérieure. Par amour pour l’amour, rendre justice à la vie et à l’être humain divin. Sans compromis, l’énergie tout offerte à rassembler l’énergie, à intensifier la présence, la conscience embrasse le mental et le mental s’immobilise. La conscience embrasse l’ego, l’ego se soumet et accepte le joyeux inévitable, seul est l’infini. La conscience embrasse les émotions, les émotions se fondent et se dissolvent, rendant grâce aux sentiments, leur source et leur pureté.

Cela est l’être humain divin. Et le mental immobile, silence, contemple la conscience. Du centre du cerveau et d’au-dessus du corps coulent les gouttes de nectar. Elles peuvent s’exprimer en perles d’intuition, ou simplement ce nectar qui pénètre les cellules, pénètre la structure sanguine qui alors est d’or.

L’attention doit être joyeusement sans compromis. Il serait dommage que le mental ou l’ego s’emparent de cet aperçu de la réalité de la conscience et croient se l’approprier. Un mental qui se déguise en clarté de conscience, ridicule n’est-ce pas ? Et pourtant, tant d’humains jouent à ce jeu et croient avoir dévoilé la vérité suprême. Dévoilé peut-être l’espace d’un éclair pour la revoiler de suite, du mental qui accapare, de l’ego qui se dit spirituel.

La relation de la conscience et du mental est traduite par l’immobilité du mental. Cela veut dire le silence. Grand est le fossé entre un mental qui spécule, imagine ou croit connaître, et la conscience claire qui est lumière sagesse, dont le langage est l’intuition pure.

Il est beau de collaborer, d’offrir éternellement le mental au silence, l’ego à l’infini, les émotions aux sentiments. Un don d’amour. Et qui fait le don ? La conscience, et la personne qui reconnaît que seule est la conscience et qui arrête de jouer les jeux tout ridicules des déguisements. C’est ainsi qu’est créé le nouveau monde. Bien des sages l’ont pressenti, ont offert leur vie à l’actualiser. Et maintenant est la grande ouverture. L’heure est au « tout est possible ».

Porter la vision d’une société composée d’êtres dont le mental silence contemple la conscience et s’offre dans l’immobilité. Porter la vision d’une société composée d’êtres dont l’ego s’incline et se fond dans sa source, l’infini. Porter la vision d’une société composée d’êtres dont les émotions laissent la place aux sentiments. Certains diront que cela est difficile car les émotions, l’ego et le mental semblent des maîtres exigeants et dominateurs. Cela n’est qu’illusion. Si l’ego, le mental, les émotions sont exigeants et dominateurs, c’est parce que l’être laisse la domination.

Pour s’offrir pleinement en dévot de la vie, il s’agit d’être exalté, joyeusement exalté, passionné et déterminé. Cela a toujours été dit, la tiédeur n’a pas sa place. La tiédeur n’a pas sa place. Être humain divin implique la joie vitale de l’être qui s’offre pleinement au divin à travers son incarnation.

Pour que s’opère la maîtrise, le corps se doit d’être vital. Voyez la relation très étroite entre le corps et le mental, le corps et l’ego, le corps et les émotions. Pour que triomphe la détermination sur le laxisme, le corps se doit d’être vital. C’est pour cela que dans toutes les sociétés d’harmonie, la vitalité est cultivée avec ardeur et enthousiasme. Un corps vital offre la vitalité à la maîtrise et accompagne le mental qui s’offre à la clarté de l’intellect serein.

Pour tenir l’attention, la vitalité est requise. Pour tenir l’attention, la simplicité est requise. Cesser de donner de l’importance à ce qui n’en a pas pour s’offrir pleinement à ce qui est la seule importance.

C’est ainsi qu’est créée la société d’harmonie. Ce n’est pas par des manifestations, de grands discours ou de grands changements, c’est par l’offrande. L’offrande du temps à maintenant. L’offrande du mental à la clarté infinie de l’intellect serein. L’offrande de l’ego à l’infini. L’offrande des émotions aux sentiments les plus fins. Il suffit de lâcher prise avec détermination et de choisir d’être la conscience qui est la maîtrise.

Offrir la lumière aux mouvements intérieurs est la première étape. Ce n’est qu’une étape. Le mental peut être immobilité, contemplation… Le mental alors touche l’intellect serein, la clarté, la conscience, se fond en eux, est pur discernement, immobile. On est bien loin de ces gambadages ou cabrioles du mental déchaîné qui toujours croit devoir gamberger, inventer, projeter. Voyez, le mental immobile, le mental silence, c’est l’attention pure de l’être qui se reconnaît comme étant la conscience.

La permanence reste d’intensifier la présence. Cela n’est jamais acquis car cela est infini. Toujours plus intense. Toujours plus plein. La joie est infinie. La présence ouvre la porte à la joie, cette joie inconditionnelle, irraisonnée. Tout alors est plaisant.

Nous redisons, à travers l’attention offerte aux mouvements corporels, intensifier la présence. Cela est infini. Cela veut dire que la présence peut être toujours plus intense, toujours plus intense. Baser sur cela la relation avec tous les mouvements intérieurs. Sortir de la croyance en l’esclavage pour vivre l’évidence d’être liberté et cultiver la maîtrise.

Jusqu’à un certain niveau, la nature du mental est de vagabonder. Puis le mental s’offre, et sa nature alors est d’être miroir de la clarté, d’être discernement de la conscience qui se reconnaît dans chaque phase d’incarnation, dans chaque perception, dans chaque mouvement. La caractéristique de cela est le silence vibrant. Ramener l’ego à l’infini et se reconnaître comme la conscience du tout à travers chaque parcelle de création. Être les sentiments purs et nobles, épurés, offrant ainsi la paix aux émotions. Cela est la seule guérison. Faire de cela un inconditionnel.

Alors que la plupart du temps les êtres humains croient que la paix est conditionnelle à quelque guérison, il en est autrement. La seule guérison est d’offrir les émotions aux sentiments les plus fins, de choisir la maîtrise.

La première étape est d’offrir la lumière, puis s’établit la maîtrise. Les émotions nourries par les sentiments les plus fins sont guéries et sanctifiées. Contempler le corps d’un tel être, naturellement il s’expanse. Les cellules s’ouvrent. Le sang est d’or. Les planètes, les galaxies sont unies par des fils d’or aux centres d’énergie. Et Dieu créa l’être humain à son image.

Voyez, portez la vision d’une société composée d’au moins une poignée de ces êtres qui ont fait le choix de créer la Terre nouvelle. Ce n’est pas par les paroles ni de nouveaux concepts qu’elle est créée cette Terre nouvelle, mais par retour de l’humain à l’humain divin.

Comprenez la beauté, tout est là, disponible. Tout se complète et tout est uni. Comprenez la beauté de cultiver la vitalité corporelle, ainsi renfonçant la vitalité mentale pour que le mental ait l’audace de faire le choix de l’immobilité. Tout est simplifié alors. On retourne à la simple clarté de l’être qui se sait divin parce que tout est divin.

Voyez la beauté d’épurer la structure physique. Cultiver la vitalité. Purifier la structure physique. La nourrir d’aliments simples et vivants, la fortifier par le mouvement pour qu’elle serve de pilier pour l’immobilité du mental, la sérénité des émotions, l’infini du regard de l’ego qui s’est fondu et se reconnaît. Tout est uni, tout est sacré.

Ainsi se crée la Terre d’harmonie. Cela implique ne faire aucun compromis. Cela implique l’offrande totale et joyeuse car cette offrande est plénitude. Qui pourrait déplorer la fin de ce babillage incessant du mental qui crée des fausses importances et s’accroche à des histoires sans queue ni tête. Pour quoi ? Pour qui ?

Voyez la beauté des sentiments les plus fins qui pacifient totalement la sphère émotionnelle. La vie alors est pure sérénité. Totale est la guérison. Ainsi des cellules, s’élève un son, l’harmonie pure unie au son des étoiles, des planètes. Et la matière est lumière, et le corps est conscience. Pour qui, pour quoi s’accrocherait-on à des histoires qui n’ont ni queue ni tête, qui appartiennent au passé qui n’existe pas puisque seul est maintenant ?

Maintenant contient le futur de la civilisation d’harmonie. Contempler les enfants, contempler leur beauté, comme ils sont grands déjà, des corps élancés, vibrants, rayonnants.

Rendre justice à l’être humain c’est ramener la société de l’humain divin. Rendre justice à l’Être divin c’est ramener la société de l’humain divin, tout cela dans la conscience pure que seul est le silence. Chaque être projette sa création. La création glorifie le silence.

 

 

Message de Siddharta le Bouddha reçu par Agnès Bos-Masseron le 25-2-24

Comment concilier l'impermanence enseignée par le Bouddha et l'éternité ?  

L'enseignement bouddhiste n'enseigne qu'une partie de mon enseignement. Comme toutes les religions, l'enseignement a été reçu avec sincérité et très très peu ont su l'entendre dans sa totalité. J'ai ramené l'enseignement de l'éternité.

Lorsque j'ai retrouvé l'éternité, cela a été pour moi le triomphe par rapport à ce qui semblait l'inévitable de la souffrance. J'ai pu montrer à l'humanité de s'appuyer sur l'éternel pour vivre les cycles de la naissance et de la mort. Tout naît, tout meurt, l'Être reste éternel. C'était le triomphe et le début de l'enseignement.

L'enseignement a mûri et j'ai enseigné que l'éternel est au cœur de toutes les formes, que l'éternité est la nature de ce qui vit, de ce qui meurt.

L'enseignement a mûri et je n'ai plus pu voir la mort ou la naissance. Je ne vois que l'éternité. Les religions et les enseignements sont beaux comme de belles vagues. Il vaut mieux rester à la source de toutes les religions et de tous les enseignements.

Je ne vois que l'éternité. L'éternité est le fil sur lequel sont enfilées les perles du mala de la vie relative. Sans le fil, pas de mala et les perles perdent leur sens.

Je suis la continuité. L'enseignement mûrit éternellement. 

Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 24-2-24

Incarner la joie.  

Deux plans simultanés et parallèles. L’un la joie profonde, la félicité, la nature de l’Être. Elle ne peut qu’être omniprésente. Elle ne peut qu’être partout. Elle ne peut qu’être la vie. Elle est ce qui est. Et puis les expressions de la joie, les empreintes des civilisations qui ont altéré la relation avec la joie. Comme si la joie, au lieu d’être l’inévitable, devient un trophée à gagner. Les corps émotionnels et égotiques entrent ainsi en relation avec les expressions de la joie depuis une lutte, quelque chose à conquérir, quelque chose à incarner. Il conviendrait d’offrir cela et de s’établir dans l’inévitable que seule est la joie.

Ce Maître qui est venu changer les concepts de l’humanité, Maharishi, l’a dit. Il est descendu des Himalayas pour rappeler à l’humanité que la vie est la joie profonde. C’est cela qu’il convient d’animer. Non pas une lutte pour conquérir une expérience de joie, mais offrir tous les voiles qui feraient douter que la joie est un inévitable. Exactement comme pour la réalisation de l’Être, l’Être n’est jamais à atteindre. Il suffit d’offrir tous les voiles qui voileraient l’inévitable de sa nature.

Ainsi l’attention est portée différemment. Animer, inviter ce caractère inévitable de la joie profonde parce que, par évidence, l’infini ne peut qu’être la joie profonde. L’infini, l’absolu, ne peut qu’être l’océan du bonheur. De cet océan naissent les opposés, les expériences, l’océan reste l’océan. L’océan contient toutes les expériences, tous les opposés. Il en est la synthèse, le nectar. Cela est l’évidence.

La nature de l’absolu est d’être félicité. C’est un fait. Ramener cela comme une évidence et offrir sans même les disséquer ou entrer dedans, tous les voiles qui pourraient faire douter de cette évidence ou montrer que la relation avec la joie doit être celle d’un conquérant envers une conquête

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron. 

L’intention est le Verbe de la dimension de lumière. 

La dimension de lumière est régie par l’intention. L’intention n’est pas régie par les lois du temps linéaire. Si les êtres humains ont cru placer une intention et accepter un laps de temps entre l’intention et la réalisation, c’est qu’ils ne connaissent plus la nature de l’intention.

L’intention pourrait être considérée comme étant le verbe de la dimension que l’on nomme lumière - certains parlent de quatrième ou de cinquième dimension - cette dimension qui ne connaît plus la linéarité du temps.

Accepter de retrouver cette simultanéité entre l’intention et sa réalisation. Cela se fait en portant la vision. Vous placez l’intention et vous portez la vision de l’intention réalisée. Porter une vision est vivide, incluant autant de sens que cela est possible. On peut voir la vision réalisée, en sentir le parfum, en sentir la vibration, la texture, en entendre le chant.

Ce qui crée le laps de temps, c’est la croyance dans l’inévitable de ce laps de temps. Parce que la Terre change de fréquence, le temps s’effondre, sauf si on le maintient par une action mentale, par la croyance qu’il est inévitable qu’il y ait un délai. Ce qui se nomme miracle s’opère par cette vision nourrie d’une telle intensité de présence et d’amour que simultanément la vision est précipitée en forme.

Vous vous souvenez, n’est-ce pas, lorsque celle qui est connue sous le nom de Marie sortait de l’enfance, pendant qu’elle contemplait la beauté d’une rose, un infirme a marché devant elle, et parce qu’elle était absorbée par la beauté de la rose, elle a vu la beauté dans cet homme qui s’est trouvé guéri de son infirmité.

En hommage à l’Être, rééduquer sa vision. Au cœur de toute apparence, contempler la beauté. Au cœur de toute vision, contempler la beauté de la réalisation de cette vision, sans admettre qu’il puisse y avoir un laps de temps. Et même si l’apparence ne semble pas suivre l’intention, continuer à nourrir la vision de l’inévitable de sa réalisation maintenant. Le fait de cesser de régir son quotidien par les apparences est acte de dévotion, la dévotion offerte à l’Être et l’Être est perfection, la dévotion offerte au beau, au bon, et ainsi, de cette attention tout offerte au beau et au bon, jaillit naturellement la réalisation de la vision.

Cela s’applique à l’harmonie pour la Terre. Cela s’applique à quelque domaine où vous voulez l’appliquer, quelque intention, quelque désir. Vous portez la vision. Bien sûr, le désir alors est sorti du contexte égotique. Il ne s’agit pas d’êtres humains gâtés qui veulent la réalisation d’un désir comme un enfant veut un jouet. Il s’agit de cette intention profonde de l’acte créateur qu’est le désir exprimé en intention, nourri par la puissance de l’attention dans la vision que l’intention est déjà réalisée. C’est cela une vision.

Dans le monde mental, une intention est posée et l’on accepte toute une succession d’événements qui s’écoulent dans une durée du temps avant la réalisation de cette intention. Dans le monde lumière, l’intention est posée et nourrie par la claire vision que cette intention est déjà réalisée. Et l’énergie que l’on émet ou que l’on offre à la vision ne contient aucun doute, aucune déception quand l’apparence ne semble pas suivre, aucune déception car seule la personne pourrait ressentir de la déception.

L’Être n’a qu’une seule intention, c’est d’aimer et de servir l’Être. Aimer et servir l’Être à travers son incarnation. Et cela génère la joie profonde. La joie profonde est offerte à l’intention et à la vision que l’intention est déjà réalisée.

Faire abstraction irrémédiablement de l’attachement à l’apparence car l’attachement à l’apparence consolide l’apparence, alors que l’amour tout offert à la vision déjà réalisée, ne considérant aucune apparence jusqu’à ce que la vision soit précipitée dans le monde concret et matériel, simplement parce que cela est l’art de la réalisation et que lorsque l’on joue le jeu de la création, l’on veut suivre les règles de l’art, n’est-ce pas ?

Cela s’applique à la Terre d’harmonie. Cette attitude ne peut que s’accompagner d’une éthique ultime. Parce que la Terre maintenant est harmonie, le choix de l’être ne peut qu’être de servir l’harmonie en n’émettant que des pensées, des sentiments, des actions purs reflets de l’harmonie.

Le choix est clair et conscient. Le choix est initié par la joie parce que maintenant la Terre est harmonie. Au lieu du laxisme consistant à se lamenter parce que le gouvernement ou les autres, "les autres", génèrent la disharmonie, le dévot de la vie porte la vision de la Terre d’harmonie, n’admettant aucun laps de temps entre sa vision et la réalisation puisqu’il n’est que maintenant, et offre en don gratuit le choix conscient de servir l’harmonie par chaque parole, chaque acte, chaque sentiment.

C’est cela l’invitation pour ceux qui se nomment les artisans de lumière. Et servir l’harmonie s’applique à tous les niveaux de la vie. Ce n’est pas uniquement prononcer des paroles harmonieuses, c’est agir en phase avec l’harmonie dans tous les niveaux de l’individualisation, en phase avec l’harmonie puisque l’harmonie est une fréquence, celle du cœur.

Tout offrir au cœur. Le mental peut résister, l’ego se rebeller, le cœur sert l’harmonie. Le mental peut argumenter, l’ego se raidir ou se gonfler, le cœur sert l’harmonie. Les émotions peuvent rabâcher de vieilles histoires, le cœur sert l’harmonie. Le cœur sert l’harmonie en projetant la vision de la création d’harmonie. Le cœur sert l’harmonie en étant fidèle et loyal à cette vision. Et lorsque le mental argumente, que l’ego se rebelle ou se gonfle, que les émotions rabâchent de vieilles histoires, le cœur leur offre l’harmonie.

Il est vital de réaliser la puissance de l’attention. L’attention sur des raideurs, sur des laps de temps, sur des apparences, sur des ressentis, les fait grandir. C’est une loi. L’attention sur l’harmonie la fait grandir. C’est une loi. La loi de la création est que l’attention donne vie. Cela va bien au-delà de ce que la plus grande partie de l’humanité comprend. Si l’humanité comprenait, elle choisirait autrement.

Heureux ceux et celles qui peuvent entendre et comprendre, et appliquer.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 23-2-24

Le temps se courbe pour se fondre dans l’infini. 

L’heure est à l’ouverture, l’heure est au grand éveil. Et cette ouverture et ce grand éveil impliquent de retrouver l’art de l’incarnation, bien loin des codes de survie qui régissent l’existence des êtres humains, bien loin même des croyances véhiculées dans les domaines spirituels. Bien sûr, il peut y avoir des degrés de pureté de vie, d’hygiène, d’éthique.

Le grand éveil, l’ouverture, c’est le retour à l’âge d’or. L’âge d’or, l’humanité sait-elle ce que cela signifie ? Il est un état de vie dans lequel la physiologie est ramenée à une fréquence vibratoire telle que le sang est d’or. Porter cette vision.

Les sages de tous les temps ont décrit cette vision. Beaucoup ont aspiré à ramener les codes. Et beaucoup, dans cette illusion du temps linéaire, savaient que l’heure n’était pas venue. Ils ont ramené une vision, des concepts, et cela était beau. Ils ont fait de leur vie des laboratoires d’expérience et cela était beau.

Maintenant, la physique le dit, le temps se courbe pour se fondre dans l’infini. L’infini est maintenant. Maintenant, une autre potentialité. Encore faut-il accepter de déposer les croyances, les concepts et surtout les faux savoirs.

Dans le laboratoire de la conscience, il convient d’analyser les données physiologiques et de voir quel est l’état de la physiologie, quel est l’état des ondes cérébrales, quel est l’état de la composition du sang, quel est l’état de clarté des organes. Le corps est-il une pulsation de lumière qui émerge du silence, retourne au silence ?

Regardez-le ce corps, contemplez-le. Le cerveau, le cœur, les organes sont pure lumière. Les rayons unissent les organes au cosmos, aux planètes, au Grand Soleil Central. Tout dans sa structure est pure joie.

Comprenez-le, il ne s’agit pas d’une personne qui aspirerait à ramener son corps à cette réalité puisque cette réalité est éternelle. Il s’agit d’accepter l’honnêteté suprême, non mentalement, non égotiquement, non émotionnellement, par ce sentiment le plus fin qui est le soma, l’énergie-sentiment-pureté qui est la vie et qui nourrit le corps lumière.

L’heure est venue concrètement à ramener la multidimensionnalité, concrètement. La Douce Mère, les grands sages l’ont pressenti. La multidimensionnalité est l’évidence de maintenant. La linéarité accompagne le monde mental tridimensionnel. La Terre est maintenant paradis de lumière. La dévotion, le service, l’incarnation, c’est d’accepter cela, de servir cela, non mentalement, non émotionnellement, non égotiquement, mais en unissant le fonctionnement mental, émotionnel, égotique, au sentiment le plus fin qui est le soma, la substance la plus fine qu’est le corps.

Alors puisque l’invitation reste au concret de l’incarnation, quelle est la clef ? La clef est révélée depuis l’éternité. Elle est la pleine présence, maintenant. La pleine présence inclut en elle tout un programme de vie, tout un style de vie. Honorer son incarnation en l’offrant à l’ultime, l’ultime incarné. Ramener sa structure corporelle au plein jaillissement pour que l’évidence soit que le corps est lumière.

Vous le voyez, ce phénomène que beaucoup nomment ascension et qui est exprimé depuis tant de niveaux et tant de points de vue, ce phénomène, cet état d’être, cet état de vie, est l’ultime du grand éveil.

On ne peut pas par honnêteté accepter que l’Être soit pure lumière, infini, éternel, et que la matière soit périssable. Où serait la logique ? Quel aveuglement a permis que cela devienne la norme de la compréhension ? Il faut bien que l’Être s’expérimente à travers tous les états comme l’eau peut s’expérimenter sous forme de glace, d’eau courante, d’eau stagnante, de vapeur, de lumière, car tous les éléments ont leur source dans la lumière.

L’ultime honnêteté est de tout rendre et d’accepter les règles ou les lois qui régissent la vie lumière. Cela passe par la pleine présence, la pleine présence au corps lumière. Cela passe par honorer le corps lumière en acceptant cette réalité corporelle uniquement.

Cela est exaltant, magnifique et exigeant car l’on ne peut plus alourdir le corps, l’encombrer, le laisser en stagnation, l’alourdir d’émotions puériles. On ne peut plus si l’on dit oui. Il n’est pas honnête de dire oui tout en disant non. Une évidence, n’est-ce pas ? Un choix, oui ou non. Et ce oui ou non lui aussi est illusoire puisque de toute façon, de toute éternité seule est la lumière et le corps est lumière. Seule est la multidimensionnalité.

La beauté est que dans le jeu du temps qui semble s’étirer, vient le moment de la grande courbe. Le temps entre dans l’infini. Le temps entre dans l’éternel. L’espace entre dans l’infini. L’espace entre dans l’éternel. Toutes les aspirations sont tournées vers ce moment du temps. Et puisqu’il reste quelque illusion du temps qui passe, pourquoi ne pas offrir cette illusion à sa source ?

Concrètement, au-delà de l’abstraction de la pure conscience, concrètement la relation avec la matière peut être dans ce regard que la matière est lumière, ce regard exaltant, magnifique et exigeant.

Les codes ont été redonnés, les codes de l’incarnation qui vont bien au-delà des standards un peu améliorés de ce qui se veut être le nouvel âge ou ce qui se veut être la vie spirituelle, bien au-delà des standards normaux un peu améliorés. C’est cela la beauté car il est fatiguant n’est-ce pas, de monter les marches du progrès. Il est bien plus simple et plus vital de tout rendre et d’accepter de vivre son quotidien selon les lois lumière.

Le soleil est le guide. Le matin, l’heure est à la vitalité. La relation avec tous les plans, tous les niveaux de l’individualisation, est relation d’amour et de respect. Tout est rendu à la source éternelle. Le matin est offert à la vitalité et au silence car la vie quotidienne est cette alternance de silence et de vitalité.

L’hygiène ne peut qu’être absolue. L’hygiène vis-à-vis de l’extérieur n’est qu’un reflet de l’hygiène vis-à-vis de l’Être que Je Suis, ceci exprimé au nom de chaque être. Être en phase simplement avec la réalité de la beauté de l’Être. Non pas une personne qui voudrait monter les marches d’une amélioration, le lâcher-prise total de la personne qui s’offre à l’éternité de la noblesse de l’Être.

Ainsi, tout comme une symphonie, l’outil, l’instrument, doit rester accordé, parfaitement accordé. Cela ne nécessite qu’une oreille fine et l’exigence du musicien ou de la musicienne. Dès une petite déviation, l’instrument est de nouveau accordé joyeusement, car c’est magnifique un instrument qui joue juste la symphonie de la vie.

L’hygiène est donc unie à la plus grande vigilance, et la vigilance est unie au plus grand amour, à la plus grande exaltation. Ainsi, parce que tout est offert et tout est uni à ce plus grand amour, à cette plus grande exaltation, tout est nourri. Plus d’effort, plus de tension, la joie d’être vivant et de rendre hommage à la vie.

Cette hygiène s’applique à tous les niveaux. La relation au corps, celle des sentiments, la relation à l’ego qui sans cesse ne peut que s’offrir pour déposer les voiles, les voiles du faire semblant. Faire semblant d’être spirituel, faire semblant d’être évolué, faire semblant d’être intelligent. Faire semblant et quoi encore ?

C’est bien plus beau que cela l’incarnation, c’est rendre hommage à la pure spiritualité de la vie qui est lumière, et la matière est lumière. Rendre hommage au sentiment le plus fin et offrir tous les voiles des émotions qui pourraient obstruer ces sentiments les plus fins, du moins en apparence. Rendre hommage au corps lumière et servir la lumière dans la relation avec le corps.

La lumière est la vie. Ainsi choisir les modes de vie, les aliments regorgeant de vie et laisser les modes de vie qui sont les sous-produits de la croyance qu’il puisse y avoir dissociation entre matière et lumière.

Entrer en relation avec le corps, le nourrissant de joie, de dynamisme, d’amour et d’aliments vivants, et rendant hommage à son infinie intelligence puisque le corps lumière s’autoguérit, s’autonourrit même, de façon ultime.

Entrer en relation avec la sphère mentale en lâchant prise du contrôle de l’ego qui sert le fonctionnement mental au lieu de le laisser s’unir à la source de l’intuition, la lumière qu’est le cœur. Et là encore accorder avec toujours plus de finesse, accorder, car même s’il est dans la courbe du temps des millions et des millions et des millions d’années lumière où l’humanité se sait être lumière, ce petit laps de temps dans l’illusion de la densité a généré des habitudes, des illusions, un ego qui croit devoir tout diriger et qui récupère, et qui récupère… Et c’est cela, n’est-ce pas, qui a généré la pauvreté de bien des enseignements spirituels, car les êtres croient savoir, croient comprendre, et l’ego récupère. La compréhension, le savoir lumière est placé dans un cadre et coupé de sa source. Bien sûr, rien ne peut être coupé de sa source et simultanément le libre arbitre fait que les illusionnistes génèrent des illusions, comme les magiciens.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 30-1-24 

L'année du grand éveil. 

Pour ceux et celles qui sont prêtes ou prêts à le vivre, à le créer, ce peut être l’année du grand éveil.

Vous le savez, les paradigmes changent. Il devient plus clair pour ceux et celles qui aspirent à l’infinie clarté que chaque moment est choix. La multidimensionnalité devient une réalité plus tangible, ainsi que l’au-delà de l’espace et du temps.

L’éveil n’est plus un concept mais une réalité qui s’inscrit au cœur des cellules, au cœur de tous les aspects de l’individualisation, qui éclaire et illumine tous les aspects du réel de cette lumière qui n'a ni source ni aboutissement.

L’heure est venue du grand choix et de l’audace de ramener la vie humaine à cette clarté infinie, à cette puissance infinie, à cette joie infinie.

Au-delà des concepts, l’éveil ne peut qu’être quelque chose qui transfigure tous les aspects de la vie, comme la lumière qui éclaire une pièce et tous les angles de la pièce prennent un autre aspect, sont perçus différemment.

C’est bien cela en fait, question de perception, car l’éveil est éternel. L’Être est l’éternel éveillé. La vie est éternelle éveillée. Chaque être dans sa multidimensionnalité est déjà l’Être de perfection qu’il ou elle rêve de devenir. Avoir l’audace, la joie, la détermination d’actualiser cela.

L’éveil ne peut rester un concept abstrait. Il ne peut qu’être cette lumière qui illumine tous les aspects de la vie et notre relation avec tous les aspects de notre vie. Le corps s’en trouve transfiguré, ainsi que la structure mentale, émotionnelle, égotique.

La beauté de l’invitation qui est faite est de ne plus se baser sur les critères passés mais sur la vision d’un futur qui, en fait, est maintenant puisqu’il n’est que maintenant.

C’est peut-être cela, la plaque tournante. Jusqu’à présent l’humanité a créé ses points de vue en fonction des expériences passées. Maintenant l’heure est venue de comprendre que le passé n’est pas, que le futur n’est pas, qu’il n’est que maintenant. Et maintenant porter la vision de la vie la plus vaste, non en fonction des critères passés, mais en fonction de cette dictée de la voie du cœur qui montre toujours la voie de la perfection.

Infinies sont les possibilités de la vie. Infinies les possibilités du corps physique. Infinies les possibilités de l’intellect. Et bien sûr, infinie la réalité du cœur. Accepter cela et aller dans l’enthousiasme de tous ces infinis et de tous ces possibles. Et s’éveiller avec toujours plus d'émerveillement à des couches toujours nouvelles, toujours plus vastes du "tout est possible" appliqué à chaque sphère de la vie, appliqué au corps physique, appliqué au fonctionnement de l’intellect, appliqué au fonctionnement du cœur, appliqué au fonctionnement avec l’ego. Des ouvertures toujours plus grandes qui invitent dans l’émerveillement à toujours plus d’audace pour dire oui.

L’heure est venue pour l’humanité d’intégrer que la norme est un autre état de vitalité, une autre relation avec le corps physique, avec la matière, une autre relation avec le soleil et les planètes, non en fonction des critères passés ou de savoirs acquis mais en fonction de cette découverte toujours éternelle.

Nul ne peut dire connaître l’éveil. L'on ne peut que s’éveiller. Et s’éveiller est éternel. L'on peut bien prendre pour référence la vie telle qu’elle est illustrée, guidée, démontrée par la fraternité, non par des concepts mais par le vécu, par l’invitation. On ne peut dire du futur que le fait qu’il est plein du "tout est possible" sans connaître le "tout est possible". Car nul ne sait jusqu’où s’étend le "tout est possible". Le "tout est possible" est niché au cœur de l’infini.

L'on ne peut que dire que la découverte se situe dans le registre de cet éternel au-delà et dans la simplicité. Car la vie est simplicité, grandeur et simplicité.

Alors que, jusqu’à présent, les critères étaient au niveau de sensations, d’événements, de pouvoir, maintenant s’ouvre la simple puissance d’être le vivant avec un corps qui est pure lumière et qui ne peut qu’être ramené, couche après couche, niveau après niveau, à l’infinie vitalité.

L’éveil permet de déposer la croyance dans l’âge, dans les limites, pour oser accompagner avec ardeur, avec intensité, avec passion, cet autodépassement qui fait que la matière ne peut qu’aller au-delà de sa propre beauté. Et ce qui est la réalité du corps, est la réalité de la Terre. Ainsi la vision est d’une Terre toujours plus éclairée de l’infinie lumière qu’est la vie, une Terre nourrie, une Terre d’harmonie dans laquelle chaque être offre l’infini de l’harmonie, du respect.

L’éveil de la structure mentale amène le fonctionnement au niveau de l’intellect le plus fin, cet intellect qui touche le cœur. Bien loin des concepts, émerveillement de l’éternelle découverte du pressentiment, de l’intuition. L’intellect alors n’est plus séparé du sentiment. L'ego repose dans la transparence de son propre infini.

Tout est harmonieux, uni à tout, comme une symphonie dans laquelle tous les instruments s’écoutent mutuellement, s’enrichissent, se respectent. Cet être alors nourrit la Terre par la puissance de son souffle, de son regard, de son attention et de cet infini respect pour la vie qui fait que l’on ne peut que croître, s’étendre.

Ramener tous les aspects de l’individualisation à la perfection de l’harmonie pour être l’hommage vivant de la vie à travers son incarnation…

…Ne baser sa vie sur aucun des registres passés. Être ouvert au merveilleux de maintenant et s’autodépasser éternellement dans la joie et l’évidence que tout s’ouvre, tout s’éveille. 

Message de Cagliostro reçu par Agnès Bos-Masseron. 

Ressenti de perte de repères.  

Ce ressenti fait partie du processus et d'un aspect presque inévitable de l'ouverture et de la reprogrammation, d'une façon très spécifique de retrouver la programmation initiale.

De par l'ouverture, de par l'attention, de par le fait de s'offrir à son propre infini, des connaissances, des bribes de sagesse s'impriment et permettent de vivre un peu comme un palier. Puis vient la porte vers un autre palier. Il convient alors que tout soit effacé pour qu'un autre niveau d'intensité soit gravé. Un peu comme le vent vient effacer les œuvres éphémères pour que l'artiste puisse créer une autre œuvre toujours plus belle, toujours plus à l'image de sa propre beauté.

Cela est lié aussi à l'ouverture de la Terre et du collectif de l'humanité. L'heure est venue pour l'humanité de lâcher prise de tout un ensemble de repères, de données, de croyances, pour pouvoir s'établir dans un autre niveau de vastitude, un autre niveau de limpidité, de simplicité, de vérité, vérité entendue dans le sens de transparence à la source.

Donc ceux qui ont développé une sensibilité peuvent ressentir ce lâcher-prise inévitable, ce fait que les données sont effacées pour que d'autres puissent être gravées.

Cela en soi est beau, peut-être déstabilisant. Mais celui ou celle qui se sait le dévot du beau et du bon, du noble et du vrai, sait lâcher prise et toujours regarder vers son propre infini pour accepter que les croyances ancrées soient effacées, que les certitudes le soient aussi, pour que se grave une autre programmation. Un peu comme l'on apprend un autre alphabet, et il y a beaucoup d'alphabets, tu le sais.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 27-1-24  

La matière n’est régie par aucun savoir figé. 

La vie humaine est divine. Elle n'est régie par aucun dogme, par aucun savoir figé. Aucune parcelle de matière ne correspond et n’est régie par un savoir figé. Chacune a son originalité, son unicité. A chaque être de découvrir cela et d’oser régir sa vie par cette unicité. La matière ne réagit jamais de la même façon lorsqu’exposée à telle ou telle condition car la matière est lumière et la matière est la projection de l’unicité de la création de celui qui la crée. Cela est la base du "tout est possible". Si l’on essaie de comprendre la réaction de la matière en fonction d’un savoir figé, l'on projette une limite, un cadre. Chaque être est le jaillissement unique du-de la Vénérable. La matière, le corps, tous les aspects de la création de chaque être sont régis par l’unicité. A la base de cette unicité, est le feu de l’amour.

Si l’attention est tout offerte à être le feu de l’amour, ce feu révèle l’unicité et révèle principalement cet éternel autodépassement, cette éternelle découverte, ce déploiement unique. Inscrire dans le registre de sa vision de la vie le "tout est possible". Cela est la base. Cela demande une intensité d’attention telle que l’adhérence des croyances collectives s’en trouve émoussée et fondue. L’on crée alors sa réalité  depuis la puissance du regard de l’amour. L'on crée la relation de chaque expression de sa vie à chaque expression de la vie sur la base de la puissance du feu de l’amour. Le corps alors est embrasé et régi par d’autres lois, d’autres modes de fonctionnement…

…Par la puissance de l’attention offerte à être dévotion, quitter les adhérences aux modes erronés de croyances figées. Aucun corps, aucune individualisation ne réagit de la même manière à une même exposition. On ne peut qu’apprendre et réapprendre à être le feu vivant, à tout offrir, à s’incliner.

La base, vous le savez, est de cesser de vivre dans la linéarité mais de prendre chaque journée comme un tout, comme la plénitude de maintenant. Et dans cette plénitude de maintenant, tout peut être déployé, tout est possible. Tout est possible. Aucune limite, aucun ressenti figé, aucune croyance. L'émerveillement est la liberté de laisser le déploiement s’autodépasser éternellement dans le champ du tout est possible. C’est bien cela l’incarnation, n’est-ce pas ? 

 

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-1-24

Jouer le jeu de l'abondance. 

L'heure est venue pour l'humanité de considérer différemment sa réalité à tous les niveaux.

L'intention ne peut jamais être d'accepter le manque, mais de porter la vision de la plénitude. L'argent, les finances, n'ont rien à voir avec une attention matérielle. L'argent est énergie, l'argent est l'amour.

L'intention peut être que chaque être hôte de sa conscience la possibilité du manque d'argent et porte la vision, et nourrisse la vision par la plénitude de son attention, de la plénitude de l'abondance financière… 

La fraternité ne considère jamais les êtres humains comme des êtres étant tributaires d'un manque. La fraternité considère les êtres humains comme les créateurs de leur réalité.

A porter la vision de l'abondance, l'abondance se manifeste. A se sentir enfermé dans un carcan de manque ou de pénurie, la pénurie se manifeste.

Particulièrement maintenant, l'heure est à la grande ouverture et à la réalisation pour l'humanité que tout est possible depuis la vision. C'est la vision, c'est l'intention qui précipite la manifestation...

La vision implique le fait d'offrir pleinement le doute, d'offrir pleinement la croyance qu'il puisse manquer. L'argent est librement précipité par la puissance de l'amour…

La magie s'opère. La vie est magie pour celui ou celle qui accepte de la voir dans la plénitude de cette vision de magie.

L'humanité peut offrir ce carcan dans les croyances de conditions matérielles étriquées et jouer pleinement le jeu de l'abondance, le jeu de la création. 

Transformations 1-1-23
bottom of page