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Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 10-6-23

Le fil des réincarnations est devenu une croyance.

Il faudrait tout d'abord replacer la réincarnation dans le contexte de la réalité la plus vaste : seul est le temps simultané. Ainsi donc ce fil des réincarnations qui est devenu une croyance à laquelle tant s'accrochent est le point de vue plus limité appartenant au domaine de la troisième dimension du temps linéaire.

Notre vision sort la réincarnation de la linéarité pour la placer dans la simultanéité. Maintenant, chaque individualisation est comme un prisme et chaque facette est une des incarnations de ce prisme. Chaque facette sait qu'elle est le cœur du prisme. Au sein de cette réalité, la partie la plus vaste de l'individualisation a en effet le choix de considérer le souhait de faire l'expérience de la divinité de l'Être à travers une autre facette du prisme, s'identifiant donc, donnant l'énergie, à cette facette vivant dans la simultanéité et apparemment dans la linéarité, une naissance, un déroulement. Ou la partie la plus vaste de l'individualisation peut choisir de retourner en son centre et d'honorer être la source de toutes les incarnations, d'être  le cœur, et de ramener sa structure physique à ce cœur et à ce corps d'immortalité qui ne connaît plus le déroulement mais qui est le jaillissement perpétuel de la perfection.

Tu l'as compris, sœur de lumière, notre accompagnement s'adresse à cette invitation. Chacun comprend selon son point de vue et chaque point de vue est valable. Heureux ceux et celles qui savent honorer et nourrir de leur attention le point de vue le plus ultime. Faire cela est suprême clarté.

Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 22-4-23

L'art de la manifestation, le processus de création. 

Pour comprendre profondément les tenants de ce processus de manifestation, il faut en voir tous les aspects. Tu offres l'intention et tu portes la vision. Cela est clair. Tu le fais depuis ton enthousiasme.

Inhérent à cela, est une autre voix qui ne t'appartient d'ailleurs qu'en partie. Si l'on veut parler en termes techniques ou précis, il faut bien comprendre qu'inhérent à la voix de chaque être humain est sa propre voix et la voix de ce qui est inconscient. Et la voix de ce qui est inconscient - appartenant à soi et appartement à ce collectif qui n'est en fait que la projection de soi et qui s'est cristallisé dans une image - cela aussi parle.

Comment vas-tu donner vie à la voix de ta vision ? C'est en la nourrissant avec passion.

C'est pour cela, comprends-le, que la voie présentée ici est double. L'être est invité à porter la vision et à transmuer toutes les mémoires ou énergies cristallisées qui viendraient entraver la réalisation de cette vision. Cela est réaliste et fonctionnel à partir du moment où, lorsque tu offres tout ce qui semble freiner la réalisation de ta vision, tu le fais en portant la vision. C'est-à-dire que tu cultives ce regard qui ne voit que la vision déjà réalisée, même lorsque tu entres en relation avec ce qui semble être des obstacles, du chaos ou des empreintes.

Il n'y a plus deux. Il n'y a pas la vision de ce tableau achevé et un ressenti d'être complètement bloquée. Tu offres toute ton attention à la vision achevée, même lorsque tu offres le ressenti d'être bloquée. Ce qui fait le pont entre cela est la dévotion. Cela veut dire que de façon répétée, répétée, tu portes la vision. Et chaque fois qu'un ressenti vient, tu l'embrasses honnêtement. Au sein de ce ressenti, tu sèmes la vision. Comprends-tu cela ?

Le temps n'existe pas. Le fait de porter la vision est dans l'absolu. Tu insuffles cet absolu dans le temps qui semble passer. La foi génère la manifestation. La foi n'admet pas l'existence des entraves. Elle peut les contempler et par dévotion son regard reste rivé sur la vision.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 21-4-23

Le temps rentre dans le temple de l’éternel. 

Voyez la beauté, dans ce qui semble ces années, vous avez accepté d’être préparés à l’impréparable. Préparer, cela ne peut qu’être enlever les voiles, les rendre plus transparents pour qu’ils soient déposés couche après couche. La danse cosmique, la danse de la création, couche après couche, après couche, après couche…

Il faut bien que certains acceptent de vivre en conscience, non l’histoire forgée autour de l’ouverture mais l’ouverture elle-même. Car bien des histoires avec les fibres restantes des voiles, se forgent. Et il est vrai, les histoires sont les histoires de voiles plus transparents. La transparence dépose tous les voiles. Alors apparaît la pure simplicité.

Le temps et l’espace, concrètement, s’offrent à l’éternel. « S’offre », l’expression est belle car il s’agit d’une offrande de joie. La maya s’offre à la vérité. Le temps et l’espace retournent à l’éternel. Pourtant les horloges semblent continuer leur course et l’humanité prête peu d’attention. Quelques expressions peut-être deviennent vibrantes dans le collectif humain, « ici et maintenant ». Ici et maintenant. Que signifie ici et maintenant ?

Ici est l’Éternel. Lorsque tout mouvement, tout sens de distance généré par ce regard du Vénérable qui se reconnaît et crée pour la gloire de cette reconnaissance, tout sens de distance accepte de s’emplir pleinement de la saveur de l’éternel. Les lokas alors, les mondes, la création, offrent le plein visage de la nature du Sans-visage. Seule est la félicité. Seule est l’union.

Voyez, il peut rester la danse des formes. Elles sont amenées, par l’attention rivée sur l’éternel en leur sein, à la perfection de l’harmonie. Non cette harmonie qui implique son opposé car au sein de l’éternel, plus d’opposés, seule est l’union, le jeu de la manifestation au niveau le plus subtil, le plus simple, le plus béni.

Ici, la forme est gloire rendue à l’éternel. Très proche de l’immobilité. Pourtant, inhérent à l’éternel est ce sens du mouvement, de la distance, le regard, la reconnaissance, « ah, tu es cela », « oh la beauté de l’éternel ».

Ici et maintenant. Maintenant. Maintenant l’humanité, même si elle aime son addiction à l’histoire du temps, reconnaît bien pourtant - l’on ne peut l’occulter - la saveur du temps est autre, n’est-ce pas ? Ceux qui croient encore en la course du temps courent et s’essoufflent, et ne trouvent plus le temps. « Où est-il ? Avant, j’avais le temps et maintenant je n’ai plus le temps. Où est-il ? » Et l’Éternel sourit.

Le temps rentre dans le temple de l’éternel. Ceux qui sont sages acceptent un autre rythme peut-être, un autre mode. Non celui de l’immobilité absolue car il reste le regard, le regard que le Vénérable s’offre pour se reconnaître. C’est inhérent à sa nature.

Une valeur du temps reste inhérente à l’éternel. Cela permet l’éternité de la création, une autre valeur de la création. Heureux ceux et celles qui savent rendre l’addiction à l’histoire de la course du temps pour rentrer dans une autre relation avec le temps, le regard. Il ne s’agit pas d’immobilisme. Regarder la beauté du dynamisme, l’offrande.

Heureux ceux et celles qui acceptent de positionner leur attention à ce moment de la boucle où tout se rassemble dans le centre. Pourtant, la boucle n’est pas absorbée dans le point d’éternité. Elle reste la danse tel un huit qui s’offre. Danse de la perfection.

Vous avez été préparés. Heureux ceux et celles qui savent écouter, entendre et appliquer. Et cela est dit sans enjeu car la création tout entière dans sa multidimensionnalité joue à la perfection le jeu de la perfection. Alors l’humanité veut-elle bien être authentique à cela et sortir des histoires forgées d’après les concepts qui sont devenus désuets ?

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 20-4-23

La Terre sort de la linéarité du temps. 

Ecouter le silence. Au cœur du silence est le point du juste milieu. Dans ce point du juste milieu, vous vous reconnaissez. Vous reconnaissez le tout et la source de tout. Dans ce point du juste milieu, vous sortez du temps et retrouvez l’éternel.

Vous le savez, la Terre sort de la linéarité du temps. Comprenez cela concrètement. Bien sûr tous les êtres vivant en mode automatique répliquent la croyance et l’habitude du fonctionnement au sein de la linéarité. Pourtant, tous et toutes peuvent remarquer que la relation au temps change. On semble avoir moins de temps et pendant cette période, le temps semble s’étirer.

La Terre sort de cette croyance de linéarité du temps. Simplement parce qu’elle change de fréquence, de vibration, elle se trouve aspirée, attirée comme par un aimant vers la simultanéité, hors de la linéarité.

Les deux réalités sont parallèles. Les habitudes et les croyances font que seule la linéarité est privilégiée. Et la simultanéité réside comme cachée au point du juste milieu, ce centre qui est la source de tout jaillissement.

La Terre changeant de fréquence, l’accès à la simultanéité, à l’éternité, est plus ouvert. Encore faut-il accepter de déposer les croyances liées au fait que la linéarité est la seule réalité. Elle ne l’a jamais été. Elle est la réalité correspondant à une vibration, à une fréquence. Et là l’éternité semble voilée ou même très cachée. Pourtant de toute éternité, parallèle à linéarité, est la simultanéité du temps.

Le passé n’est pas avant, le futur n’est pas après. Il n’est que maintenant, des milliards de facettes de maintenant. Les croyances dans la linéarité et la vibration correspondant à ces croyances font interpréter le passé et le futur en termes de linéarité. Cela n’est qu’un aspect de la réalité. La Terre changeant de vibration, changeant de fréquence, ouvre à l’évidence de la simultanéité. Ce qui, pour le point de vue de la linéarité, était avant, n’est qu’une autre facette de maintenant. Ce qui, d'après le point de vue de la réalité, est après, est maintenant, une autre facette de maintenant.

Ainsi une autre loi de causes et d’effets. Chaque être est un prisme au millier de facettes. Et la beauté est que l’attention donne vie à la facette correspondant à la vibration de l’attention. Garder les yeux rivés sur l’éternel. Ecouter le silence est donc écouter l’éternité. Ecouter l’éternité est aimer et adorer le-la Vénérable.

Vous le savez, lorsque le temps est ramené à l’éternel, l’espace est ramené à l’infini. C’est ainsi que se fond la notion de distance, d’éloignement. Ecouter le silence est écouter le cœur de la création. Une symphonie de pulsations toutes présentes ici et maintenant.

Ecoutez bien la symphonie de pulsations toutes présentes ici et maintenant. Ainsi chaque parcelle de création peut être rencontrée, peut être appréciée, peut être découverte et adorée ici et maintenant. Ainsi, plus de dimensions, plus de plans, plus de distance, plus d’éloignement. Seule est l’intimité de la symphonie de pulsations du cœur de l’éternité.

Pour que s’opère l’ouverture, pour qu’elle soit, non contenue dans un abstrait mais concrétisée dans la matière de la Terre, il faut bien offrir les habitudes et les croyances qui créent des voiles et des réalités illusoires. Oser cela…

Voyez la beauté, vous abolissez la croyance dans l’espace et dans le temps, et tous les voiles tombent. Cela implique être prêt à offrir les histoires que certains racontent sur le déroulement de l’ouverture inscrit dans le temps et l’espace. Ces histoires ne sont que des reflets très fades de la réalité qui transcende le temps et l’espace. Tout est alors absorbé dans l’ultime simplicité qui est l’ultime intensité, le regard, le regard du Vénérable qui s’offre à lui-même car seul est cela.

Cette offrande du regard est le déploiement de la création. Ce déploiement ne passe pas nécessairement par la croyance dans le temps et l’espace. Ainsi sont actualisées l’éternité et l’immortalité. Ainsi par l’intensité de l’union au sein de ce regard, la matière peut être transmuée et transfigurée. Ce n’est qu’ainsi que s’opèrent les miracles et c’est ainsi que peut être vécue la vie éternelle.

Il conviendrait que l’humanité accepte d’offrir les croyances dans la linéarité et donc dans le devenir. La perfection connaît bien l’autodépassement de façon intrinsèque à sa nature. Cela ne signifie pas le devenir car le devenir implique la linéarité…

Il est réel, pour que l’ouverture soit actualisée, il convient de lâcher prise des habitudes et des croyances qui forgent les histoires, même les histoires décrivant soi-disant l’ouverture. L’on ne peut placer l’ouverture en référence avec le connu, car l’ouverture transcende le connu. La référence ultime est le Un, le retour à l’évidence que seul est le Un et que la fraternité du vivant est ces milliards de facettes du Un qui se projette à l’infini pour découvrir et savourer la perfection de sa nature, la symphonie des battements du cœur, le cœur du Un.

Alors écouter. Ecouter sans projeter. Ecouter simplement; offrant tout voile de croyance, tout voile d’habitude…

Voyez ici et maintenant, se fondent tous les lieux paradisiaques dans l'évidence de cette symphonie de pulsations qu’est la vibration de chaque être, de chaque parcelle de création touchant le cœur de l’éternel, émergeant à peine. Le mental ne peut avoir accès à cela. Le mental est régi par la relation entre le temps et l’espace. Offrir cette relation est bien choisir de le transcender. Alors que tant fabulent sur des histoires d’ouverture forgées à l’image de la réalité mentale, oser s’incliner, se taire et tout déposer.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron

Les mondes célestes ou divins. 

La Terre s'ouvre et les dimensions sont transcendées. Cette ouverture implique un changement fondamental de paradigme, de point de vue. Ne plus placer l'ouverture en termes de linéarité mais la replacer dans son éternité. Ne plus placer son existence en termes de linéarité. Ce sont les croyances qui créent les apparences. Ce grand bouleversement dans la ligne du temps où la ligne retourne à sa source, le point, ne peut que s'accompagner d'une réalité totalement différente.

Cela ne signifie pas nécessairement que l'espace est lui aussi complètement transcendé. Au point où la ligne se fond dans le point, dans sa source, l'espace est le plus subtil, uni à l'infini. L'on nomme cela les mondes célestes ou divins. Là est maintenu le sens de création, même si la création est basée sur d'autres lois, sur une seule loi, celle de la dévotion et de l'adoration.

Ainsi l'on ne peut maintenir la croyance dans la linéarité du temps et acter pleinement l'ouverture. Même au sein du jeu de demain ou d'hier, on peut offrir la plénitude de l'attention à maintenant car ce n'est que cela, maintenant. Au sein de maintenant, offrir la totalité de son attention à ce feu d'amour, ce regard du Suprême sur lui-même qui s'exprime à travers la création. Cela peut sembler abstrait et pourtant c'est cela la création. La ramener à cela par l'attention et l'intention.

Il faut bien déposer les histoires qui ont été forgées autour de l'ouverture. Elles ne sont que des imitations de la réalité connue. Il faut bien oser sortir du connu pour embrasser l'éternel mystère. C'est cela l'ouverture.

Embrasser l'éternel mystère ne peut se faire que par l'amour car pour retrouver cet état d'être, tous les aspects de l'individualisation sont offerts au cœur d'infini. On ne parle même plus de mon cœur mais du cœur, et le cœur est ce regard de l'infini sur lui-même qui se glorifie par la conscience de lui.

Nous le redisons, cela ne nie pas la création mais en amène une autre facette, celle des mondes les plus subtils où la forme chante pleinement le Sans-forme. Ne plus essayer de visualiser l'éternel mystère en termes de ce qui est connu. Donner simplement son attention à la pure présence pleinement, avec toujours plus d'intensité, cette intensité qui est l'amour, et laisser l'inconnu se dévoiler sans préconçu.

Intensifier la présence revient à intensifier l'attention, l'attention sur le cœur de toutes les formes, le cœur de tous les mots, sur le cœur du temps. Dans le cœur du temps est l'éternel, dans le cœur de la forme est l'infini. La forme reste réalité. Au lieu de s'arrêter à la forme, elle est traversée et ainsi révèle l'infini. De même, le temps reste une réalité. Cette réalité est traversée et l'attention s'appuie sur l'éternel. C'est ainsi que peut se concrétiser l'ouverture.

Ainsi le cœur de l'attention est l'infini silence. Et au cœur du silence, se révèlent les sons les plus fins, les harmonies, les mélodies cosmiques.

Toute forme, vous le savez, est vibration de sons. Rencontrer la matière dans cette vibration de sons. Savourer le son et l'offrir à sa source, le silence.

Vous le savez, offrir la pleine attention à la présence revient à rassembler l'énergie. Au nom de la plénitude, actez cela.

Message de Marie-Madeleine reçu par Agnès Bos-Masseron le 14-4-23

Comment offrir et dépasser les peurs ?

Tu demandes comment offrir et dépasser les peurs.

La beauté et la tendresse que tu es te donnent la réponse. L'humanité a trop pris l'habitude d'entrer en référence avec elle-même à travers les masques et les déformations. Il est vrai, souvent les masques parlent et voilent l'autre voix, la voix du cœur du bonheur, la voix de la tendresse. L'on peut à un certain niveau s'en sentir coupé mais tu le sais, le rayon ne peut jamais être coupé du cœur du feu.

Tu réapprends à établir ta relation dans ces termes. Tu sais, les peurs peuvent être comme des bosquets dans un sous-bois. De l'autre côté du bosquet sont la plaine et le plein rayonnement du soleil, et tu sais que tu ne peux t'arrêter à aucun des bosquets. Tu marches simplement, tu traverses, tu traverses. Le but de ta marche n'est aucun des bosquets, c'est le soleil, n'est-ce pas ? Ne regarde que le soleil. Ainsi les bosquets sont là sur la route et bienvenus, pleinement acceptés, pleinement traversés. Et lorsqu'ainsi tu traverses le sous-bois, tu sais que tu n'as pas vraiment d'intérêt à regarder chaque bosquet. Tu les perçois, tu les honores, tu les salues, tu marches et tu traverses.

Ton regard reste rivé sur l'autre côté du sous-bois et le soleil flamboyant. Tu ne le vois pas peut-être mais tu sais, il est là. Il est ce que tu aimes. Il est ce vers quoi tu vas. Et parce que l'attention est comme un aimant, tu donnes ton attention au soleil que tu es. Ainsi tu cesses de nourrir de ton attention les peurs. Elles sont là et bienvenues, et peu importe car lorsque resplendit le soleil, toutes les ombres fondent naturellement. Il est épuisant de chercher à faire fondre l'ombre en ne regardant qu'elle. Il est naturel que l'ombre fonde lorsque le regard attire le soleil.

L'heure est venue pour l'humanité de changer de positionnement.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 21-3-23

Plus que jamais les deux extrêmes cohabitent.

Plus que jamais les deux extrêmes cohabitent. A chacun, à chacune de choisir et de créer sa réalité. Plus que jamais s'efface la réalité d'un collectif uniforme. Plus que jamais chaque être est invité à choisir et à créer sa réalité.

Pour celui ou celle qui choisit de résonner selon une vibration propre, les autres vibrations n'existent pas. L'on ne peut choisir d'écouter plusieurs vibrations à la fois. L'on ne peut choisir d'écouter à la fois la voix de la lumière et celle du chaos. L'on s'y perdrait.

L'on ne peut que faire le choix entre les deux extrêmes, le plus lumineux ou le chaos total. Le choix le plus suprême reste le point du juste milieu, celui qui transcende toute dualité…

L'on choisit donc le point du juste milieu allant au-delà de l'ombre et de la lumière.

L'attention se doit alors de rester sur le simple, sur la clarté. Honorer cette lumière qui transcende le lumineux. Garder son attention sur la pure effulgence, la simple lumière au-delà du duel. L'attention se doit d'être rassemblée. Car si l'on veut s'offrir pleinement à la lumière et que l'on fait attention au chaos du monde, l'on s'écartèle pourrait-on dire…

L'attention reste rassemblée sur la vision. L'on ne peut plus perdre son énergie en mettant son attention sur l'ombre qui bouge et semble réelle. Illusion !…

L'humanité pourrait comprendre qu'il est désuet de vouloir contrôler quelque transition, qu'elle soit écologique, sociale ou à quelque niveau. L'invitation reste de cocréer par son attention en portant la vision et en appliquant les détails de cette vision dans sa vie quotidienne. Car chacun, chacune est le créateur de sa réalité.

Nous le disons et le redisons, l'heure est au choix. Le choix est cosmique et simultanément il s'applique à tous les détails de la vie quotidienne. C'est le choix de l'harmonie inconditionnelle dans tous les aspects de la vie quotidienne qui permet d'ouvrir à la vision cosmique. Il ne s'agit plus d'abstrait mais de création. Il ne s'agit plus de rêve mais de faire entrer dans la réalité la vision la plus vaste de la vie divine.

Vous le savez, la Terre est inondée de lumière avec toujours plus d'intensité. Avec toujours plus d'intensité, elle sort de l'empreinte illusoire du temps et de l'espace pour s'établir dans la réalité de l'éternel et de l'infini. Recevoir ces flots de lumière pleinement dans sa structure physique implique de rendre cette structure physique toujours plus vitale. Il ne s'agit plus d'être éthéré mais d'être incarné. La lumière, le verbe s'est fait chair. Vitaliser les corps, optimiser toutes les voies d'hygiène.

Vous avez sans doute remarqué à quel point la parole et la pensée sont créatrices et cela est joyeux. Il ne s'agit pas de s'effaroucher de la puissance des mots ou des pensées. Il s'agit de s'offrir pleinement à la grande régénération de tous les aspects de la vie humaine où la parole est le verbe, et la pensée la pure clarté unie au cœur choisissant inconditionnellement l'harmonie.

L'on ne peut plus continuer à jouer le jeu des croyances d'être faible ou tiraillé. L'on fait le choix de s'offrir dans la clarté et la pleine vigilance, la pleine conscience du sens profond d'offrir sa pensée, sa parole, son action, ses sentiments, à la pure clarté et la pure harmonie. Cela ne présente rien d'astreignant et cela aligne parfaitement avec cette intention éternelle d'autodépassement qui est la base de la vie incarnée. Et cela en soi est service au cœur divin. Ainsi est actualisée la création de la Terre nouvelle.

L'important est de comprendre que plus que jamais il est vital d'offrir toute passivité, tout laxisme. L'on est bien loin là de ces trains des Anges annoncés pour amener une humanité passive qui se ferait porter vers une autre dimension. Il n'est plus ni espace ni dimensions. Il n'est que le cœur divin qui s'actualise à travers la création et se glorifie. Il n'est que chaque parcelle de création qui s'offre pleinement à cela. Ceci est la gloire de l'humain divin.

Et si les petites personnes continuent à jouer le jeu de se sentir incapables ou indignes, alors offrez-leur le feu de l'amour et amenez-les sur les rives vitales de ceux et celles qui sont créateurs de leur réalité.

Voyez, l'actualisation du paradis sur la Terre est cocréation. Elle ne peut plus être accompagnée d'une vision d'une humanité passive qui attendrait d'être sauvée. Chaque être est pleinement cocréateur.

Et nous le redisons car cela, dans ce moment qui se veut transition, est vital, ne mettez pas les pieds dans deux bateaux à la fois. Vous ne pouvez à la fois regarder la lumière relative et l'ombre relative. Choisissez votre camp et servez-le. Et surtout placez-vous dans ce point du juste milieu qui transcende le duel. Dans le corps humain, le cœur est ce point. Car le cœur transcende le bon et le mauvais, le bien et le mal, transcende les opposés, transcende le duel pour être le pur reflet du cœur divin.

Il est vrai, la Terre s'ouvre. L'humanité peut comprendre le sens profond de cela. Ne pas attendre, créer.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-2-23 

Jamais la fraternité ne considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main.

 

La base, nous l’avons dit et le redisons et le redisons, et cela est bien. Il est bien de le dire et de le redire et de le redire pour que cela s’imprime dans la trame de la physiologie et que cela rayonne au sein de l’aura. La base est la passion d’être la vie. La base est la certitude du tout est possible. Rien ne peut empêcher le jaillissement de l’être qui modèle l’unicité de sa perfection.

L’ouverture est la puissance du jaillissement de cette évidence. Le choix clair et conscient est que cela ne peut s’accompagner des habitudes de laxisme qui sont le mode de fonctionnement à tous les niveaux de l’humanité. Il vaut mieux attendre, n’est-ce pas ? Cela semble moins contraignant et puis cela va bien venir, et puis tout est déjà accompli…

Cela aussi à un certain niveau est erroné. Pourtant il est vrai, tout est accompli. La perfection ne peut qu’être perfection. La vie ne peut qu’être la vie. Et la joie d’être le jaillissement, cela est éternel. Et la joie de l’autodépassement de l’être qui à travers l’incarnation retrouve un modèle toujours plus beau de l’éternelle perfection. C’est cela le moteur.

Contrairement à ce que bien des courants disent ou insinuent, la facilité reste exclue des modes de l’incarnation…

Jamais la fraternité n’a pu concevoir que l’aide qu’elle apporte à l’humanité est parce qu’elle considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main, et peut-être que la petite humanité parviendra à lever la sienne… Non, cela n’a jamais été la vision qu’a la fraternité des êtres humains. La fraternité considère chaque être dans la perfection du Vénérable. Elle lui rappelle "lève-toi, prends ton grabat et marche. Marche ! Tes jambes sont saines ! Tous les aspects de toi sont la perfection de l’Être. Marche. Je ne te porte pas. Tu es trop beau, tu es trop belle. Jamais je ne te porterai, mais marche. Ressens le don de la Terre, ressens le don des étoiles et ressens ce temple éternel qu’est le cœur, le point du juste milieu, le temple."

Là est le creuset de l’alchimie, et là est le feu.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 25-2-23 

Lorsque les êtres humains appellent comme l’on supplie, personne n’entend. 

La fréquence juste est l’infini de la joie, la joie gratuite. Ainsi s’établit ce sens de la fraternité. Et lorsque dans un cercle d’êtres incarnés dans un corps humain, la fraternité est tangible, toutes les fraternités sont attirées et se joignent, car la fraternité est le vivant.

Cela est votre collectif. Il n’est pas limité à une élite. Il est le droit naturel de chaque être qui choisit de s’harmoniser à la vie. Et la vie est l’infini de la joie.

Lorsque les êtres humains se croient petits et enfermés et appellent comme l’on supplie, personne n’entend. Quand on n’est pas sur le bon registre, la nature ne peut traduire le chant et le laisser résonner. Le registre de l’ouverture est le registre de la joie. Basez votre joie sur cela. La vie est fraternité. Elle est magnifique. De cette certitude, au sein de cette certitude, résonne l’infinie de la joie gratuitement parce que la joie est la fibre qui structure la vie. Dans cette fréquence, tous les êtres peuvent être invités.

Sacrée est l’incarnation. Il suffit d’en connaître les modes de fonctionnement, les modes de déploiement. Et si l’on veut parler du temps linéaire, l’heure peut être très proche où les écoles enseigneront cela, non des savoirs absurdes qui desservent la vie, mais les clefs des modes de fonctionnement, l’art de l’incarnation.

La base, vous le savez, est la pure présence. L’inconditionnel est le dynamisme car la vie est une danse, et sans mouvement tout se fige et se sclérose. La base est aussi la simplicité. Déjouer tous les masques qui veulent compliquer. Déjouer tous les masques qui voudraient faire croire à quelques drames ou histoires. La simplicité unie à la détermination d’être le pur reflet de la splendeur de la vie.

La clarté vigilante est ce jaillissement de l’amour dont l’intention est de servir la vie. Avec elle, vous déjouez toutes les habitudes stériles et toutes les fausses excuses pour ne pas laisser le jaillissement de la vie danser à travers votre incarnation. Cela n’implique que l’attention déterminée à être unie au jaillissement de la joie, l’énergie rassemblée à honorer toutes les parcelles de vie, observant une éthique et une hygiène sans faille. Car vous voyez, lorsque l’énergie est rassemblée, le cœur est le temple. Le temple ne peut qu’être empli de paroles, de sentiments, d’actes nobles, simples et purs.

Et peu importent les autres puisqu’ils n’existent pas. Il n’y a que l’Être qui crée sa création comme l’artiste face à sa toile crée pour la simple joie de créer, la simple joie de créer une création qui soit à l’image et à la ressemblance du-de la suprême Seigneur. Cela implique une éthique et une hygiène dans l’art de manier les pinceaux, de garder la toile vierge si ce n’est par ce que l’on souhaite inscrire. Et cela est la joie d’être offrande.

Lorsqu’on est mû par la passion, cela est la joie. Rien ni personne ne pourrait faire croire que cela est ardu. Il suffit de s’établir au registre juste. Il faut bien que l’humanité dépose la croyance dans la lutte ou le difficile. L’autodépassement nourri par le dynamisme entraîne la passion. Et s’anime le feu de l’amour et danse le feu de l’amour qui nourrit le dynamisme. Ainsi s’autodépasse l’Être dans la simplicité de la vie.

Dans cette fréquence, dans ce registre, la fraternité se rencontre, s’entraide, s’accompagne, s’honore et s’aime, sans masques, sans voiles. Il n’est aucune distance entre le monde des dieux et le plan terrestre. Il n’est aucune distance entre les retraites des maîtres et le plan terrestre. Les fréquences sont les lieux de rencontres si l’on peut dire.

Et le choix, comprenez-le, est gratuit de par la multidimensionnalité. Et bien que gratuit, le choix reste générateur de passion. Rassembler toutes les dimensions de soi dans l’ultime offrande. L’ultime offrande se traduit lorsque le corps s’embrase et que la structure matérielle est le feu de l’amour. Le sang alors est d’or. Les os sont nectar. Un tel corps ne connaît aucune limite. Tout est ouvert. Les planètes ne sont que les amis. Les fraternités sont bien réelles… Dans le cœur de la joie, la relation est très réelle.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 25-2-23 

Sortir des modes compulsifs de comportement. 

Sortir des modes compulsifs de comportement. Cela signifie être Être de choix conscient…

Et œuvrer avec passion et enthousiasme à vivre en conscience, à choisir le comportement le plus idéal qui correspond à votre unicité, avec passion et enthousiasme.

L’une d’entre vous l’a dit, cela peut sembler astreignant. Pour sortir du mode compulsif en effet, il faut choisir la claire vigilance. L’on ne peut suivre les modes endormis et aspirer à l’éveil. L'on ne peut que s’offrir à la plus belle version de soi dans son unicité et œuvrer pour honorer cette beauté dans chaque moment de l’incarnation.

Cela implique la claire vigilance et le choix d’ajuster et de réajuster, et de réajuster avec passion, tel un artiste qui œuvre à apprendre son art. Ajuster et réajuster ses pensées, ses paroles, ses modes de comportement, ses postures corporelles, ses modes d’hygiène, ses modes alimentaires.

Rien n’est figé. Tout ne peut que s’autodépasser et cela est la passion d'être humain. Car l’humain a le privilège et la grâce d’être être de libre arbitre absolu. Tout est possible ainsi. Tout peut se régénérer. Tout peut être reconstruit. Rien ni personne ne doit limiter cela.

Ne laissez aucune croyance vous amener à vous sentir enfermés dans quelque condition ou quelque circonstance qui vous empêcherait d’être le jaillissement de votre propre beauté. C’est cela le mode d’ouverture. L’ouverture est créée par ceux et celles qui savent écouter, se taire, œuvrer et être l’éternelle victoire "I am Je Suis l’Eternelle Lumière".

Chacun et chacune honorant son unicité, chacun et chacune œuvrant pour rentrer en relation avec son unicité non depuis l’ego ou les modes figés d’un mental ou d’émotions qui croiraient se connaître. L’on ne se connaît jamais car seul est l’inconnaissable et l’inconnaissable est l’éternelle perfection à qui est offerte toute la dévotion. Entrer en relation avec son unicité depuis la simplicité et la clarté du cœur.

L’ouverture permet que soient déposés la personnalité et tous les masques pour que jaillisse l’unicité de l’essence et qu’avec passion, persévérance, chaque être soit l’artiste de la plus belle œuvre d’art qui puisse être conçue : son unicité.

Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 25-2-23 

Le collectif  n'a aucune influence sur l’unicité de chaque être.

La clef est de couper la croyance que tu es influencée par le collectif. Cette croyance est engrainée très profondément dans le cerveau, la physiologie et les cellules de tous les êtres humains. Et lorsque nous te disons cela, c’est à l’humanité que nous le disons.

Le collectif en soi est une illusion. Et l’illusion est générée par la croyance dans son existence. Ou plutôt l’assemblée, la société, la fraternité existent bien, mais pour celui ou celle dont le positionnement est vertical, l’assemblée, la fraternité, n’ont aucune l’influence sur l’unicité de chaque être.

La croyance est l’emprisonnement. Et ce qui génère l’apparence correspondant à la croyance, est de pouvoir admettre d'être influencé par un collectif pesant. Cela n’existe que dans la réalité des modes laxistes. Cela ramène toujours à l’invitation : sortir des modes laxistes. L’humanité va dire "c’est trop dur, c’est astreignant, presque impossible". Pourtant, pourtant nous rappelons encore et toujours le sens profond d’être humain.

Beaucoup sont venus marcher sur les routes des hommes, ont été appelés maîtres et considérés comme à part, des élus, des bénis. Chaque être est élu et béni. Le moteur pour couper cette croyance et être en conscience porté par la fraternité au lieu de freiné par ce collectif illusoire - même si, nous en sommes conscients, l’illusion est bien agrippante - le moteur pour réaliser cela est de continuer à intégrer les dons, d’intensifier la verticalité, d’intensifier la présence, de choisir les modes de l’hygiène la plus pure à tous les niveaux en ajustant par la joie de l’artiste… L’incarnation est une œuvre d’art. L’on cisèle, l’on donne les coups de pinceaux et l’on émet les notes musicales qui permettent de créer sa propre unicité...

Apprendre l’art de l’incarnation, cela suscite la plus grande des passions. Le secret est de vivre depuis la passion et non depuis la croyance qu’il puisse être compliqué, difficile, presque impossible de sortir de ce laxisme qui correspond à la fréquence de ce collectif qui semble enfermé. C’est pour cela qu’encore et toujours nous invitons au dynamisme, à cultiver le dynamisme à tous les niveaux, à la vigilance, à la clarté, aux choix conscients. Sortir de la boue du laxisme.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 24-2-23

La beauté de l’ouverture est que chaque être retrouve sa souveraineté.

La beauté de l’ouverture est que chaque être retrouve sa souveraineté. La condition sans aucune exception de vivre l’ouverture est d’accepter de retrouver sa souveraineté. Nous voulons dire par là déposer dans le temple du cœur, déposer dans le feu qu’est le cœur, toute croyance d’impossible, de limite, de petitesse. Déposer et accepter le choix de la noble dignité, celle qui embrasse l’autodépassement et l’autodéploiement avec la passion de l’être qui se sait honoré et qui sait honorer le-la Vénérable en acceptant d’être cet autodépassement.

Nous l’avons toujours dit, la voie sacrée n’est pas offerte aux faibles mais à ceux qui rient de la faiblesse, non nécessairement parce qu’ils se sentent forts mais parce qu’ils s’offrent au courant infini de la vie qui est la force de l’amour. Pour un tel courant, tout est possible.

Nous redonnons concrètement les modes de l’ouverture. Ces modes s’appuient sur la noblesse de l’être. Ces modes s’appuient sur l’harmonie, sur l’écoute et le respect de chaque être pour le tout. Ces modes s’appuient sur l’offrande inconditionnelle de la croyance que quoi que ce soit puisse bloquer le plein déploiement de chaque être. Cela est croyance erronée.

Le collectif n’est que la précipitation de sa propre vision. Il est autant de collectifs qu’il est d’humanités. Il est le collectif de la fraternité. Tous les règnes y sont unis. Tous partagent l’infini respect et l’écoute infinie des besoins de chacun. Tous sont offerts au feu de la joie. Aucun d’entre eux n’aspire à s’approprier la joie par quelque ressenti. En conséquence de cela, la joie danse dans leur structure corporelle et dans toutes leurs structures. C’est la joie qui est le moteur de l’énergie, de la vitalité. C’est la joie qui est à l’origine de l’abondance et de la prospérité. C’est la joie qui honore le sacré.

L’ouverture implique le lâcher-prise. Vous êtes préparés à cela. A chacun, le choix.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 21-2-23

Certains croient que l'ouverture amène plus de facilité…

La terre s'ouvre et libère les feux de la joie, de l'amour. Aller la rencontrer dans cette ouverture et cette libération, c'est choisir la maîtrise, la simple maîtrise sur tous ces mouvements impulsifs, que ce soient les humeurs, les émotions, les appétits, la simple maîtrise, la simple maîtrise qui ouvre à La Maîtrise.

Plus que jamais, choisir. Dans chaque moment, choisir d'actualiser son appartenance à l'évidence d'être lumière. Choisir d'être créateur du monde d'harmonie ou choisir les anciens modes, ceux des esclaves de leur propre léthargie, ceux qui acceptent les limites de l'impulsivité.

Choisir d'être le feu de la joie. Choisir l'autodépassement. Choisir d'écouter dans l'amour tous les mouvements intérieurs et choisir la maîtrise. Embrasser ce qui va dans le sens des anciens modes d'inertie, de léthargie ou d'impulsivité. Choisir d'embrasser les appétits, les impatiences, les humeurs, les émotions pour être le feu du sentiment qui embrase la Terre.

Certains croiront peut-être que l'ouverture amène plus de facilité, elle amène certes plus de simplicité. Elle amène aussi plus de clarté. Elle amène l'invitation à choisir avec plus d'acuité.

Faire de ce choix un acte d'amour intransigeant.

Le choix n'est qu'entre soi et soi-même car l'être qui choisit la maîtrise sait qu'il ou elle est créateur de sa réalité et sait ne plus projeter sa propre vision sur ceux et celles avec qui il ou elle entre en relation.

Aller rencontrer l'ouverture c'est choisir dans chaque moment. L'ouverture ne peut effacer les tendances léthargiques. Chaque être doit agir et choisir. Il est vrai, le choix peut être facilité par la montée d'énergie. Le choix doit rester choix. Le libre arbitre reste absolu. Et que choisit chaque être ? Les anciens modes ? L'impulsivité face au désagrément ? Ou le mode de la noble maîtrise ?

L'ouverture n'implique pas le facile. Cela accroît le simple et cela accroît l'invitation à faire le choix de noblesse dans chaque choix. Le libre arbitre reste la loi absolue et c'est le libre arbitre envers soi-même qui fait choisir la léthargie des anciens modes ou la noble implication par son comportement, par ses pensées, par ses actes, la noble implication de la lumière qui se sait créatrice d'un monde de lumière. Pour un tel être, l'univers sourit et comble des dons de bénédiction.

La Terre s'ouvre. Le plus beau don est d'aller rencontrer l'ouverture avec la beauté de son intention traduite en action. C'est cela qui fait que chaque être devient cocréateur. Cocréer n'est plus acte d'héroïsme, il est acte de simplicité car le choix d'honorer la noblesse et de quitter les anciens modes est le choix le plus simple, le plus grand, le plus beau don qui puisse être fait à l'ouverture.

Le choix prépondérant n'est plus dans l'action mais dans le comportement et la relation. Entrer en relation avec soi et son environnement depuis le choix d'être noblesse.

L'ouverture permet aux relations d'être plus serrées, aux connexions plus intimes. La relation et la connexion de l'être avec lui ou elle-même, la connexion ou la relation entre les êtres, la connexion ou la relation entre chaque être et tous les points du cosmos.

La montée en énergie, en puissance vibratoire, invite à une plus grande simplicité. Garder comme on garde un trésor, une hygiène impeccable à tous les niveaux, corporel mais aussi alimentaire, en faisant le choix d'aliments simples et qui honorent le corps.

Les choix, vous l'avez peut-être senti, sont plus répercutants. Les effets des choix sont plus grands, que ce soit au niveau du choix de ce qui nourrit et embellit, ou au niveau du choix de ce qui alourdit ou masque. Faites le choix d'offrir tous les masques.

Ne laissez pas des émotions masquer le choix de vos aliments. Laissez le cœur vous guider par le choix d'aliments simples et pleins de vie. Ne laissez pas la léthargie guider vos modes de vie, que la léthargie soit physique, corporelle ou qu'elle soit émotionnelle ou même égotique.

Dynamisez les corps. Dans la simplicité, dynamisez les corps. Cela aussi contribue à aller à la rencontre de l'ouverture. Le plus beau don de cette ouverture est de sortir l'être humain de la passivité. Le plus beau don de l'ouverture est que chaque être ne peut que voir en conscience qu'il ou elle est créateur de l'ouverture, non par des actes héroïques mais par les choix de chaque moment.

Il faut bien qu'une page se tourne. Et pour la tourner pour le collectif de l'humanité, il faut bien qu'un certain nombre d'êtres choisissent de la tourner. La page qui est tournée est celle de la passivité, de la compulsivité, de l'impulsivité, de la médiocrité, car rien n'est plus médiocre que de faire le choix de léthargie à quelque niveau que ce soit.

L'ouverture amène la puissance de la lumière pour baigner les choix conscients d'être lumière. Et cette relation entre les choix conscients et la lumière fait croître la lumière. Cela se doit d'être accompagné éternellement de choix conscients…

L'ouverture implique l'offrande de l'amour au silence et le respect aux noms et aux paroles, pour que le cerveau s'ouvre pleinement, libère les codes des grandes lignes de rayonnement et se reconnecte.

Voyez la beauté du silence. Ecouter le silence comme on écoute un ami qui parle peut-être une autre langue mais le cœur sait décrypter.

Enrichissez-vous des flots de gratitude. Allez chercher la gratitude. Ne jamais attendre d'être submergé. Accueillir en rencontrant.

La Terre s'ouvre. Pour répondre à cette ouverture, chaque être ne peut qu'être bénédiction. La fréquence qui s'harmonise à l'ouverture est la gratitude. Le choix d'être gratitude n'est plus motivé par des circonstances mais est le choix conscient de chaque être qui s'offre à être lumière. L'ouverture s'accompagne d'un choix de clarté d'éternel renouveau, d'éternel autodépassement. Cela est la nature de l'ouverture et de la lumière.

Pour inscrire l'ouverture dans le concret de la réalité qui transforme, chaque être avec passion fait le choix d'être ouverture. Chaque être, jusqu'à ce qu'un nombre suffisant d'êtres faisant ce choix précipitent le collectif à un autre niveau. Le choix restera celui de chaque être.

Ne pas attendre, créer.

La pureté va toujours de pair avec la simplicité, la simplicité avec l'écoute, l'écoute du tout à travers chaque partie dans l'harmonie et le plus grand respect. Le choix est entre soi et soi-même. Il peut transfigurer la réalité terrestre. Faire le choix inconditionnel de pureté, et cela, dans le registre de la joie.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 1-1-23 

Personne ne viendra transformer la Terre, elle est la projection de ce que vous êtes.

 

Nous vous donnons les clefs pour que l’invitation soit réalité. La première clef, vous le savez, est l’absolu de l’ancrage. Il ne s’agit pas de frôler l’ancrage quelquefois. Vous savez que l’ancrage est réel lorsque physiquement l’énergie repose dans le chakra de vos cœurs qui alors est le centre. Tant que l’énergie, à quelque moment que ce soit, s’accumule soit dans la sphère mentale, soit dans les émotions ou l’ego, cela veut dire que l’ancrage n’est pas réalisé. Alors vous continuez et continuez et continuez. La Terre vous offre des racines et le Ciel une flamme, reliées au cœur du Ciel et au cœur de la Terre, concrètement.

La vie, vous le savez - ou l’humanité l’a peut-être oublié - la vie n’est pas d’être tremblotant, balloté par les émotions, par le collectif ou par les babillages mentaux. La vie invite à recentrer l’énergie pour être la vie. La vie invite à être pleinement ancré car c’est lorsque vous êtes pleinement ancrés que vous pouvez savourer la vie. Beaucoup parlent d’ouverture du cœur, oubliant que le cœur est naturellement ouvert lorsqu’il est nourri de l’énergie et de l’attention.

Vous savez que vous êtes ancrés lorsque tout est ouvert et que vous êtes offerts. Alors tout parle, communique, et vous entendez les voix des arbres et des forêts, des herbes et des planètes, les voix de la fraternité, et vous entendez la voix du cœur du silence. Lorsque vous êtes ancrés, tout s’ouvre et tout est possible.

Et si cette année pouvait être l’année du tout est possible ? Comprenez-le, tout est possible lorsque vous le créez. Personne d’autre ne le créera jamais pour vous. Personne ne viendra transformer la Terre car la Terre n’est que la projection de ce que vous êtes et vous la percevez comme vous êtes. Certains la voient comme un feu de lumière et de dévotion. Certains la voient comme le théâtre du tout est possible. D’autres la voient autrement et peu importe. Ce que les autres voient n’est pas votre réalité. Votre réalité est ce que vous projetez.

La base, nous le répétons toujours, est donc la pleine présence à soi. Et l’on ne peut être présent à soi et en même temps être balloté par les émotions, le mental ou l’ego. La présence à soi est la présence au cœur. La présence au cœur est l’ouverture. La présence au cœur est le corps nourri de cette lumière qu’est la vie avec une telle intensité que l’équilibre est rétabli.

L’énergie repose dans le cœur. Le cœur alors est soleil de lumière. Et ce soleil éclaire et vous percevez tout. Et ce soleil éclaire et vous entendez tout. Tout vous entend, tout vous écoute. Et vous savez que ceux qui vous écoutent entendent la voix du tout à travers votre voix, et que ce que vous entendez est la voix du tout à travers chaque voix. C’est cela la vie. Simple, plein, concret, car l’incarnation n’est pas de rêver une vie idéale. L’incarnation est de vivre l’idéal de sa vie maintenant…

Voyez, le cœur est soleil de lumière et nul n’a besoin de se préoccuper de comment résoudre les problèmes que le mental imagine. Lorsque le cœur est vécu concrètement comme soleil de lumière, la puissance de soleil se fait torrent et cascade, et vient inonder toutes les situations et toute la planète. Tout est harmonisé, tout est résolu, tout est nettoyé, tout est orchestré.

La seule attention donc est de faire concrètement du cœur ce soleil de lumière, cette flamme éternelle. Elle l’est de toute façon cette flamme éternelle. Simplement l’incarnation est bien d’actualiser cela. Non une petite flamme vacillant à chaque vent des émotions, le feu de l’amour, le soleil éternel, stable. Et coulent des cascades et des torrents de lumière dans la structure corporelle jusqu’au cœur de la Terre et jusqu’au cœur du Ciel. C’est cela le centre de l’attention car lorsque cela est réalisé, tout est accompli. Lorsque cela est réalisé, l’être danse pleinement la danse de la vie, pleinement actif, simplement actif,  infiniment confiant, parce que la vie n’est que générosité et la vie n’est que bonté et bienveillance.

Alors, dans la pleine confiance que tout ne peut qu’être donné, vous donnez et vous recevez. Le cœur n’a jamais besoin de se soucier des soi-disant problèmes que le mental imagine. Et le comprenez-vous, même la pollution de la planète est un problème imaginé par le mental parce que le cœur sait qu’avec une intensité totale d’amour, d’attention, de lumière, de présence, instantanément la Terre est nettoyée.

L’équilibre, c’est l’amour qui le donne. L’harmonie, c’est l’amour qui la crée. Et l’amour est la joie. C’est pour cela que s’il est un message que nous aimons murmurer, chanter et répéter, c’est le chant de la pleine présence. Les autres n’existent pas. Ils sont la projection de sa réalité intérieure. La création n’est que la projection de la réalité de chaque être.

Et si cette année nouvelle était l’année où chaque être accepte pleinement d’être le créateur de sa réalité, ne trouvant plus aucune excuse qui pourrait empêcher la pleine présence à soi ?

Il est vrai, beaucoup disent être entraînés par les flots du mental ou des émotions. Nous disons tout est un choix. Si vous voulez vivre la vie cosmique, faites le choix de ramener le corps à son état originel. Le cœur, soleil de présence et soleil d’amour, déverse des torrents et des cascades de lumière dans tous les organes, dans tous les membres, jusqu’au cœur de la Terre et jusqu’au cœur du Ciel. L’être ainsi infiniment connecté, éternellement est un éclat de rire offert au Divin, et cela dans le cœur du silence et de l’énergie rassemblée.

Voyez, nous ne parlons pas de poésie ou d’abstraction. Nous parlons de la vie sur la Terre telle qu’elle est conçue originellement. Et c’est maintenant qu’elle est conçue, maintenant. Dans ce jour ou cette année qui s’ouvre, maintenant, dans cette éternité qui est. Faire de cette année la réalisation de cela.

Comprendre qu’il est une intensité de présence qui est la clef du tout est possible. Par cette intensité de présence, le corps change de fréquence, change de densité. Traverser des murs, se téléporter, aller au cœur des étoiles ou au cœur des océans, cela fait partie du tout est possible. La clef pour cela est l’intensité de présence.

Vous continuez ainsi à intensifier la présence. Vous faites de cela le cœur de votre dévotion. Ainsi tout s’harmonise. Tout est donné. La vie est bonté et bienveillance. La vie est le flot de la grâce. Imprimez cela dans le cœur du collectif de la Terre et de l’humanité.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 1-1-23

L’heure est révolue des transformations progressives.

Glorieux est le choix de l’incarnation. Glorieux est le choix de créer éternellement sa création. La créer depuis la vision la plus vaste. Il est glorieux de rappeler à l’humanité qu’à travers le passage du temps, l’éternité est célébrée. Ainsi, le temps retrouve sa gloire. Ainsi, chaque moment retrouve sa pure beauté dans la simplicité.

Prendre cette année qui s’ouvre comme une page vierge dans laquelle chaque être écrit la gloire de l’éternel simplement. Il n’est pas besoin de grands accomplissements. Avoir l’authenticité d’être simplement la beauté de l’Être. Avoir l’authenticité de tout offrir, de se taire, pour être le jaillissement du chant vivant. Partout, ne contempler que la beauté. Dans chaque moment de maintenant, ne contempler que la beauté. Puisse chaque être entendre cela.

L’heure est révolue des conflits, des critiques, des oppositions, même sous le parapluie de haute spiritualité. L’heure est révolue de séparer l’ombre de la lumière. Il n’est que la lumière et l’ombre n’est pas.

Puisse cela être inscrit au cœur de cette page vierge qu’est l’année qui démarre. Il n’est que la lumière et l’ombre n’est pas. L’apparence d’ombre est créée par le regard que certains mettent sur elle. Le triomphe de la lumière est manifesté par la dévotion de ceux et de celles qui choisissent de ne servir qu’elle, de ne voir qu’elle, de la contempler, de l’incarner, de l’offrir inconditionnellement. Inconditionnellement. Et peu importent les sociétés et les transitions. Peu importe, chaque être crée sa réalité et peut choisir de tout offrir pour incarner la plus sublime, celle de l’union qui va bien au-delà de l’harmonie entre les êtres. L’harmonie entre les êtres est le sous-produit naturel d’une civilisation qui choisit de reconnaître que seul est le Un. Le sous-produit naturel.

L’heure est révolue de transformations progressives. Ce ne peut qu’être un changement total de paradigme. L’heure est venue d’offrir à l’humanité la voie sacrée, une humanité basée sur la réalisation que l’incarnation est adoration. Une humanité qui choisit de ne servir que la beauté en ne regardant que la beauté, partout, en tout, en soi, en l’autre, en les autres, dans les sociétés. Ainsi resplendit la face du Sans-visage à travers chaque face.

Puisse l’humanité, dans ce moment de célébration de l’éternel, se rappeler que chaque être, seul, est créateur de sa réalité. Ce n’est pas la société. Ce ne sont pas les gouvernements. Des milliers ou des milliards de mondes superposés, chacun étant la projection de chaque être. Et chaque être vit dans le monde qu’il crée. Heureux ceux qui choisissent de créer un monde de dévotion, de simplicité absolue, d’hommage. Chaque être qui fait ce choix transfigure les mondes de tous les êtres. Puisse l’humanité comprendre cela.

Le rayonnement d’un être qui choisit d’être l’ouverture infinie, l’hommage vivant dans la transparence et la simplicité totale, le rayonnement de cet être transfigure tous les mondes. Il est vrai, chaque être crée sa réalité. Il est une création qui est don pour chaque parcelle. Puisse l’humanité choisir de faire ce don. Puisse l’humanité choisir inconditionnellement de faire de cette année un hymne à la joie…

Ainsi, naturellement, sans même devoir mettre son attention sur des détails, transfigurer les milliards de mondes car chaque être choisissant de vivre la voie sacrée, la voie de l’unité, offre un don d’une puissance infinie à tous les mondes, simplement par son rayonnement, la plus grande puissance de transmutation et de transfiguration.

Puisse l’humanité choisir inconditionnellement d’être le chant vivant de la paix. Le chant peut être chanté dans le silence. S’il n’est accompagné d’aucun contre-signal, il a la puissance d’un raz-de-marée. Puisse l’humanité avoir l’humilité de se rappeler sa puissance.

El Morya 22-4-23
Temple éternel 21-4-23
Linéarité 20-4-23
MMadeleine 14-4-23
2 extrêmes 21-3-23
Humanité non déchue 26-2-23
Modes compulsifs 25-2-23
Non influence collectif 25-2-23
Ouverture 21-2-3
Terre projection 1-1-23
Transformations 1-1-23
Mondes célestes
Souveraineté

Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron

Le fil des réincarnations est devenu une croyance.

Il faudrait tout d'abord replacer la réincarnation dans le contexte de la réalité la plus vaste : seul est le temps simultané. Ainsi donc ce fil des réincarnations qui est devenu une croyance à laquelle tant s'accrochent est le point de vue plus limité appartenant au domaine de la troisième dimension du temps linéaire.

Notre vision sort la réincarnation de la linéarité pour la placer dans la simultanéité. Maintenant, chaque individualisation est comme un prisme et chaque facette est une des incarnations de ce prisme. Chaque facette sait qu'elle est le cœur du prisme. Au sein de cette réalité, la partie la plus vaste de l'individualisation a en effet le choix de considérer le souhait de faire l'expérience de la divinité de l'Être à travers une autre facette du prisme, s'identifiant donc, donnant l'énergie, à cette facette vivant dans la simultanéité et apparemment dans la linéarité, une naissance, un déroulement. Ou la partie la plus vaste de l'individualisation peut choisir de retourner en son centre et d'honorer être la source de toutes les incarnations, d'être  le cœur, et de ramener sa structure physique à ce cœur et à ce corps d'immortalité qui ne connaît plus le déroulement mais qui est le jaillissement perpétuel de la perfection.

Tu l'as compris, sœur de lumière, notre accompagnement s'adresse à cette invitation. Chacun comprend selon son point de vue et chaque point de vue est valable. Heureux ceux et celles qui savent honorer et nourrir de leur attention le point de vue le plus ultime. Faire cela est suprême clarté.

Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 22-4-23

L'art de la manifestation, le processus de création. 

Pour comprendre profondément les tenants de ce processus de manifestation, il faut en voir tous les aspects. Tu offres l'intention et tu portes la vision. Cela est clair. Tu le fais depuis ton enthousiasme.

Inhérent à cela, est une autre voix qui ne t'appartient d'ailleurs qu'en partie. Si l'on veut parler en termes techniques ou précis, il faut bien comprendre qu'inhérent à la voix de chaque être humain est sa propre voix et la voix de ce qui est inconscient. Et la voix de ce qui est inconscient - appartenant à soi et appartement à ce collectif qui n'est en fait que la projection de soi et qui s'est cristallisé dans une image - cela aussi parle.

Comment vas-tu donner vie à la voix de ta vision ? C'est en la nourrissant avec passion.

C'est pour cela, comprends-le, que la voie présentée ici est double. L'être est invité à porter la vision et à transmuer toutes les mémoires ou énergies cristallisées qui viendraient entraver la réalisation de cette vision. Cela est réaliste et fonctionnel à partir du moment où, lorsque tu offres tout ce qui semble freiner la réalisation de ta vision, tu le fais en portant la vision. C'est-à-dire que tu cultives ce regard qui ne voit que la vision déjà réalisée, même lorsque tu entres en relation avec ce qui semble être des obstacles, du chaos ou des empreintes.

Il n'y a plus deux. Il n'y a pas la vision de ce tableau achevé et un ressenti d'être complètement bloquée. Tu offres toute ton attention à la vision achevée, même lorsque tu offres le ressenti d'être bloquée. Ce qui fait le pont entre cela est la dévotion. Cela veut dire que de façon répétée, répétée, tu portes la vision. Et chaque fois qu'un ressenti vient, tu l'embrasses honnêtement. Au sein de ce ressenti, tu sèmes la vision. Comprends-tu cela ?

Le temps n'existe pas. Le fait de porter la vision est dans l'absolu. Tu insuffles cet absolu dans le temps qui semble passer. La foi génère la manifestation. La foi n'admet pas l'existence des entraves. Elle peut les contempler et par dévotion son regard reste rivé sur la vision.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 21-4-23

Le temps rentre dans le temple de l’éternel. 

Voyez la beauté, dans ce qui semble ces années, vous avez accepté d’être préparés à l’impréparable. Préparer, cela ne peut qu’être enlever les voiles, les rendre plus transparents pour qu’ils soient déposés couche après couche. La danse cosmique, la danse de la création, couche après couche, après couche, après couche…

Il faut bien que certains acceptent de vivre en conscience, non l’histoire forgée autour de l’ouverture mais l’ouverture elle-même. Car bien des histoires avec les fibres restantes des voiles, se forgent. Et il est vrai, les histoires sont les histoires de voiles plus transparents. La transparence dépose tous les voiles. Alors apparaît la pure simplicité.

Le temps et l’espace, concrètement, s’offrent à l’éternel. « S’offre », l’expression est belle car il s’agit d’une offrande de joie. La maya s’offre à la vérité. Le temps et l’espace retournent à l’éternel. Pourtant les horloges semblent continuer leur course et l’humanité prête peu d’attention. Quelques expressions peut-être deviennent vibrantes dans le collectif humain, « ici et maintenant ». Ici et maintenant. Que signifie ici et maintenant ?

Ici est l’Éternel. Lorsque tout mouvement, tout sens de distance généré par ce regard du Vénérable qui se reconnaît et crée pour la gloire de cette reconnaissance, tout sens de distance accepte de s’emplir pleinement de la saveur de l’éternel. Les lokas alors, les mondes, la création, offrent le plein visage de la nature du Sans-visage. Seule est la félicité. Seule est l’union.

Voyez, il peut rester la danse des formes. Elles sont amenées, par l’attention rivée sur l’éternel en leur sein, à la perfection de l’harmonie. Non cette harmonie qui implique son opposé car au sein de l’éternel, plus d’opposés, seule est l’union, le jeu de la manifestation au niveau le plus subtil, le plus simple, le plus béni.

Ici, la forme est gloire rendue à l’éternel. Très proche de l’immobilité. Pourtant, inhérent à l’éternel est ce sens du mouvement, de la distance, le regard, la reconnaissance, « ah, tu es cela », « oh la beauté de l’éternel ».

Ici et maintenant. Maintenant. Maintenant l’humanité, même si elle aime son addiction à l’histoire du temps, reconnaît bien pourtant - l’on ne peut l’occulter - la saveur du temps est autre, n’est-ce pas ? Ceux qui croient encore en la course du temps courent et s’essoufflent, et ne trouvent plus le temps. « Où est-il ? Avant, j’avais le temps et maintenant je n’ai plus le temps. Où est-il ? » Et l’Éternel sourit.

Le temps rentre dans le temple de l’éternel. Ceux qui sont sages acceptent un autre rythme peut-être, un autre mode. Non celui de l’immobilité absolue car il reste le regard, le regard que le Vénérable s’offre pour se reconnaître. C’est inhérent à sa nature.

Une valeur du temps reste inhérente à l’éternel. Cela permet l’éternité de la création, une autre valeur de la création. Heureux ceux et celles qui savent rendre l’addiction à l’histoire de la course du temps pour rentrer dans une autre relation avec le temps, le regard. Il ne s’agit pas d’immobilisme. Regarder la beauté du dynamisme, l’offrande.

Heureux ceux et celles qui acceptent de positionner leur attention à ce moment de la boucle où tout se rassemble dans le centre. Pourtant, la boucle n’est pas absorbée dans le point d’éternité. Elle reste la danse tel un huit qui s’offre. Danse de la perfection.

Vous avez été préparés. Heureux ceux et celles qui savent écouter, entendre et appliquer. Et cela est dit sans enjeu car la création tout entière dans sa multidimensionnalité joue à la perfection le jeu de la perfection. Alors l’humanité veut-elle bien être authentique à cela et sortir des histoires forgées d’après les concepts qui sont devenus désuets ?

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 20-4-23

La Terre sort de la linéarité du temps. 

Ecouter le silence. Au cœur du silence est le point du juste milieu. Dans ce point du juste milieu, vous vous reconnaissez. Vous reconnaissez le tout et la source de tout. Dans ce point du juste milieu, vous sortez du temps et retrouvez l’éternel.

Vous le savez, la Terre sort de la linéarité du temps. Comprenez cela concrètement. Bien sûr tous les êtres vivant en mode automatique répliquent la croyance et l’habitude du fonctionnement au sein de la linéarité. Pourtant, tous et toutes peuvent remarquer que la relation au temps change. On semble avoir moins de temps et pendant cette période, le temps semble s’étirer.

La Terre sort de cette croyance de linéarité du temps. Simplement parce qu’elle change de fréquence, de vibration, elle se trouve aspirée, attirée comme par un aimant vers la simultanéité, hors de la linéarité.

Les deux réalités sont parallèles. Les habitudes et les croyances font que seule la linéarité est privilégiée. Et la simultanéité réside comme cachée au point du juste milieu, ce centre qui est la source de tout jaillissement.

La Terre changeant de fréquence, l’accès à la simultanéité, à l’éternité, est plus ouvert. Encore faut-il accepter de déposer les croyances liées au fait que la linéarité est la seule réalité. Elle ne l’a jamais été. Elle est la réalité correspondant à une vibration, à une fréquence. Et là l’éternité semble voilée ou même très cachée. Pourtant de toute éternité, parallèle à linéarité, est la simultanéité du temps.

Le passé n’est pas avant, le futur n’est pas après. Il n’est que maintenant, des milliards de facettes de maintenant. Les croyances dans la linéarité et la vibration correspondant à ces croyances font interpréter le passé et le futur en termes de linéarité. Cela n’est qu’un aspect de la réalité. La Terre changeant de vibration, changeant de fréquence, ouvre à l’évidence de la simultanéité. Ce qui, pour le point de vue de la linéarité, était avant, n’est qu’une autre facette de maintenant. Ce qui, d'après le point de vue de la réalité, est après, est maintenant, une autre facette de maintenant.

Ainsi une autre loi de causes et d’effets. Chaque être est un prisme au millier de facettes. Et la beauté est que l’attention donne vie à la facette correspondant à la vibration de l’attention. Garder les yeux rivés sur l’éternel. Ecouter le silence est donc écouter l’éternité. Ecouter l’éternité est aimer et adorer le-la Vénérable.

Vous le savez, lorsque le temps est ramené à l’éternel, l’espace est ramené à l’infini. C’est ainsi que se fond la notion de distance, d’éloignement. Ecouter le silence est écouter le cœur de la création. Une symphonie de pulsations toutes présentes ici et maintenant.

Ecoutez bien la symphonie de pulsations toutes présentes ici et maintenant. Ainsi chaque parcelle de création peut être rencontrée, peut être appréciée, peut être découverte et adorée ici et maintenant. Ainsi, plus de dimensions, plus de plans, plus de distance, plus d’éloignement. Seule est l’intimité de la symphonie de pulsations du cœur de l’éternité.

Pour que s’opère l’ouverture, pour qu’elle soit, non contenue dans un abstrait mais concrétisée dans la matière de la Terre, il faut bien offrir les habitudes et les croyances qui créent des voiles et des réalités illusoires. Oser cela…

Voyez la beauté, vous abolissez la croyance dans l’espace et dans le temps, et tous les voiles tombent. Cela implique être prêt à offrir les histoires que certains racontent sur le déroulement de l’ouverture inscrit dans le temps et l’espace. Ces histoires ne sont que des reflets très fades de la réalité qui transcende le temps et l’espace. Tout est alors absorbé dans l’ultime simplicité qui est l’ultime intensité, le regard, le regard du Vénérable qui s’offre à lui-même car seul est cela.

Cette offrande du regard est le déploiement de la création. Ce déploiement ne passe pas nécessairement par la croyance dans le temps et l’espace. Ainsi sont actualisées l’éternité et l’immortalité. Ainsi par l’intensité de l’union au sein de ce regard, la matière peut être transmuée et transfigurée. Ce n’est qu’ainsi que s’opèrent les miracles et c’est ainsi que peut être vécue la vie éternelle.

Il conviendrait que l’humanité accepte d’offrir les croyances dans la linéarité et donc dans le devenir. La perfection connaît bien l’autodépassement de façon intrinsèque à sa nature. Cela ne signifie pas le devenir car le devenir implique la linéarité…

Il est réel, pour que l’ouverture soit actualisée, il convient de lâcher prise des habitudes et des croyances qui forgent les histoires, même les histoires décrivant soi-disant l’ouverture. L’on ne peut placer l’ouverture en référence avec le connu, car l’ouverture transcende le connu. La référence ultime est le Un, le retour à l’évidence que seul est le Un et que la fraternité du vivant est ces milliards de facettes du Un qui se projette à l’infini pour découvrir et savourer la perfection de sa nature, la symphonie des battements du cœur, le cœur du Un.

Alors écouter. Ecouter sans projeter. Ecouter simplement; offrant tout voile de croyance, tout voile d’habitude…

Voyez ici et maintenant, se fondent tous les lieux paradisiaques dans l'évidence de cette symphonie de pulsations qu’est la vibration de chaque être, de chaque parcelle de création touchant le cœur de l’éternel, émergeant à peine. Le mental ne peut avoir accès à cela. Le mental est régi par la relation entre le temps et l’espace. Offrir cette relation est bien choisir de le transcender. Alors que tant fabulent sur des histoires d’ouverture forgées à l’image de la réalité mentale, oser s’incliner, se taire et tout déposer.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron

Les mondes célestes ou divins. 

La Terre s'ouvre et les dimensions sont transcendées. Cette ouverture implique un changement fondamental de paradigme, de point de vue. Ne plus placer l'ouverture en termes de linéarité mais la replacer dans son éternité. Ne plus placer son existence en termes de linéarité. Ce sont les croyances qui créent les apparences. Ce grand bouleversement dans la ligne du temps où la ligne retourne à sa source, le point, ne peut que s'accompagner d'une réalité totalement différente.

Cela ne signifie pas nécessairement que l'espace est lui aussi complètement transcendé. Au point où la ligne se fond dans le point, dans sa source, l'espace est le plus subtil, uni à l'infini. L'on nomme cela les mondes célestes ou divins. Là est maintenu le sens de création, même si la création est basée sur d'autres lois, sur une seule loi, celle de la dévotion et de l'adoration.

Ainsi l'on ne peut maintenir la croyance dans la linéarité du temps et acter pleinement l'ouverture. Même au sein du jeu de demain ou d'hier, on peut offrir la plénitude de l'attention à maintenant car ce n'est que cela, maintenant. Au sein de maintenant, offrir la totalité de son attention à ce feu d'amour, ce regard du Suprême sur lui-même qui s'exprime à travers la création. Cela peut sembler abstrait et pourtant c'est cela la création. La ramener à cela par l'attention et l'intention.

Il faut bien déposer les histoires qui ont été forgées autour de l'ouverture. Elles ne sont que des imitations de la réalité connue. Il faut bien oser sortir du connu pour embrasser l'éternel mystère. C'est cela l'ouverture.

Embrasser l'éternel mystère ne peut se faire que par l'amour car pour retrouver cet état d'être, tous les aspects de l'individualisation sont offerts au cœur d'infini. On ne parle même plus de mon cœur mais du cœur, et le cœur est ce regard de l'infini sur lui-même qui se glorifie par la conscience de lui.

Nous le redisons, cela ne nie pas la création mais en amène une autre facette, celle des mondes les plus subtils où la forme chante pleinement le Sans-forme. Ne plus essayer de visualiser l'éternel mystère en termes de ce qui est connu. Donner simplement son attention à la pure présence pleinement, avec toujours plus d'intensité, cette intensité qui est l'amour, et laisser l'inconnu se dévoiler sans préconçu.

Intensifier la présence revient à intensifier l'attention, l'attention sur le cœur de toutes les formes, le cœur de tous les mots, sur le cœur du temps. Dans le cœur du temps est l'éternel, dans le cœur de la forme est l'infini. La forme reste réalité. Au lieu de s'arrêter à la forme, elle est traversée et ainsi révèle l'infini. De même, le temps reste une réalité. Cette réalité est traversée et l'attention s'appuie sur l'éternel. C'est ainsi que peut se concrétiser l'ouverture.

Ainsi le cœur de l'attention est l'infini silence. Et au cœur du silence, se révèlent les sons les plus fins, les harmonies, les mélodies cosmiques.

Toute forme, vous le savez, est vibration de sons. Rencontrer la matière dans cette vibration de sons. Savourer le son et l'offrir à sa source, le silence.

Vous le savez, offrir la pleine attention à la présence revient à rassembler l'énergie. Au nom de la plénitude, actez cela.

Message de Marie-Madeleine reçu par Agnès Bos-Masseron le 14-4-23

Comment offrir et dépasser les peurs ?

Tu demandes comment offrir et dépasser les peurs.

La beauté et la tendresse que tu es te donnent la réponse. L'humanité a trop pris l'habitude d'entrer en référence avec elle-même à travers les masques et les déformations. Il est vrai, souvent les masques parlent et voilent l'autre voix, la voix du cœur du bonheur, la voix de la tendresse. L'on peut à un certain niveau s'en sentir coupé mais tu le sais, le rayon ne peut jamais être coupé du cœur du feu.

Tu réapprends à établir ta relation dans ces termes. Tu sais, les peurs peuvent être comme des bosquets dans un sous-bois. De l'autre côté du bosquet sont la plaine et le plein rayonnement du soleil, et tu sais que tu ne peux t'arrêter à aucun des bosquets. Tu marches simplement, tu traverses, tu traverses. Le but de ta marche n'est aucun des bosquets, c'est le soleil, n'est-ce pas ? Ne regarde que le soleil. Ainsi les bosquets sont là sur la route et bienvenus, pleinement acceptés, pleinement traversés. Et lorsqu'ainsi tu traverses le sous-bois, tu sais que tu n'as pas vraiment d'intérêt à regarder chaque bosquet. Tu les perçois, tu les honores, tu les salues, tu marches et tu traverses.

Ton regard reste rivé sur l'autre côté du sous-bois et le soleil flamboyant. Tu ne le vois pas peut-être mais tu sais, il est là. Il est ce que tu aimes. Il est ce vers quoi tu vas. Et parce que l'attention est comme un aimant, tu donnes ton attention au soleil que tu es. Ainsi tu cesses de nourrir de ton attention les peurs. Elles sont là et bienvenues, et peu importe car lorsque resplendit le soleil, toutes les ombres fondent naturellement. Il est épuisant de chercher à faire fondre l'ombre en ne regardant qu'elle. Il est naturel que l'ombre fonde lorsque le regard attire le soleil.

L'heure est venue pour l'humanité de changer de positionnement.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 21-3-23

Plus que jamais les deux extrêmes cohabitent.

Plus que jamais les deux extrêmes cohabitent. A chacun, à chacune de choisir et de créer sa réalité. Plus que jamais s'efface la réalité d'un collectif uniforme. Plus que jamais chaque être est invité à choisir et à créer sa réalité.

Pour celui ou celle qui choisit de résonner selon une vibration propre, les autres vibrations n'existent pas. L'on ne peut choisir d'écouter plusieurs vibrations à la fois. L'on ne peut choisir d'écouter à la fois la voix de la lumière et celle du chaos. L'on s'y perdrait.

L'on ne peut que faire le choix entre les deux extrêmes, le plus lumineux ou le chaos total. Le choix le plus suprême reste le point du juste milieu, celui qui transcende toute dualité…

L'on choisit donc le point du juste milieu allant au-delà de l'ombre et de la lumière.

L'attention se doit alors de rester sur le simple, sur la clarté. Honorer cette lumière qui transcende le lumineux. Garder son attention sur la pure effulgence, la simple lumière au-delà du duel. L'attention se doit d'être rassemblée. Car si l'on veut s'offrir pleinement à la lumière et que l'on fait attention au chaos du monde, l'on s'écartèle pourrait-on dire…

L'attention reste rassemblée sur la vision. L'on ne peut plus perdre son énergie en mettant son attention sur l'ombre qui bouge et semble réelle. Illusion !…

L'humanité pourrait comprendre qu'il est désuet de vouloir contrôler quelque transition, qu'elle soit écologique, sociale ou à quelque niveau. L'invitation reste de cocréer par son attention en portant la vision et en appliquant les détails de cette vision dans sa vie quotidienne. Car chacun, chacune est le créateur de sa réalité.

Nous le disons et le redisons, l'heure est au choix. Le choix est cosmique et simultanément il s'applique à tous les détails de la vie quotidienne. C'est le choix de l'harmonie inconditionnelle dans tous les aspects de la vie quotidienne qui permet d'ouvrir à la vision cosmique. Il ne s'agit plus d'abstrait mais de création. Il ne s'agit plus de rêve mais de faire entrer dans la réalité la vision la plus vaste de la vie divine.

Vous le savez, la Terre est inondée de lumière avec toujours plus d'intensité. Avec toujours plus d'intensité, elle sort de l'empreinte illusoire du temps et de l'espace pour s'établir dans la réalité de l'éternel et de l'infini. Recevoir ces flots de lumière pleinement dans sa structure physique implique de rendre cette structure physique toujours plus vitale. Il ne s'agit plus d'être éthéré mais d'être incarné. La lumière, le verbe s'est fait chair. Vitaliser les corps, optimiser toutes les voies d'hygiène.

Vous avez sans doute remarqué à quel point la parole et la pensée sont créatrices et cela est joyeux. Il ne s'agit pas de s'effaroucher de la puissance des mots ou des pensées. Il s'agit de s'offrir pleinement à la grande régénération de tous les aspects de la vie humaine où la parole est le verbe, et la pensée la pure clarté unie au cœur choisissant inconditionnellement l'harmonie.

L'on ne peut plus continuer à jouer le jeu des croyances d'être faible ou tiraillé. L'on fait le choix de s'offrir dans la clarté et la pleine vigilance, la pleine conscience du sens profond d'offrir sa pensée, sa parole, son action, ses sentiments, à la pure clarté et la pure harmonie. Cela ne présente rien d'astreignant et cela aligne parfaitement avec cette intention éternelle d'autodépassement qui est la base de la vie incarnée. Et cela en soi est service au cœur divin. Ainsi est actualisée la création de la Terre nouvelle.

L'important est de comprendre que plus que jamais il est vital d'offrir toute passivité, tout laxisme. L'on est bien loin là de ces trains des Anges annoncés pour amener une humanité passive qui se ferait porter vers une autre dimension. Il n'est plus ni espace ni dimensions. Il n'est que le cœur divin qui s'actualise à travers la création et se glorifie. Il n'est que chaque parcelle de création qui s'offre pleinement à cela. Ceci est la gloire de l'humain divin.

Et si les petites personnes continuent à jouer le jeu de se sentir incapables ou indignes, alors offrez-leur le feu de l'amour et amenez-les sur les rives vitales de ceux et celles qui sont créateurs de leur réalité.

Voyez, l'actualisation du paradis sur la Terre est cocréation. Elle ne peut plus être accompagnée d'une vision d'une humanité passive qui attendrait d'être sauvée. Chaque être est pleinement cocréateur.

Et nous le redisons car cela, dans ce moment qui se veut transition, est vital, ne mettez pas les pieds dans deux bateaux à la fois. Vous ne pouvez à la fois regarder la lumière relative et l'ombre relative. Choisissez votre camp et servez-le. Et surtout placez-vous dans ce point du juste milieu qui transcende le duel. Dans le corps humain, le cœur est ce point. Car le cœur transcende le bon et le mauvais, le bien et le mal, transcende les opposés, transcende le duel pour être le pur reflet du cœur divin.

Il est vrai, la Terre s'ouvre. L'humanité peut comprendre le sens profond de cela. Ne pas attendre, créer.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-2-23 

Jamais la fraternité ne considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main.

 

La base, nous l’avons dit et le redisons et le redisons, et cela est bien. Il est bien de le dire et de le redire et de le redire pour que cela s’imprime dans la trame de la physiologie et que cela rayonne au sein de l’aura. La base est la passion d’être la vie. La base est la certitude du tout est possible. Rien ne peut empêcher le jaillissement de l’être qui modèle l’unicité de sa perfection.

L’ouverture est la puissance du jaillissement de cette évidence. Le choix clair et conscient est que cela ne peut s’accompagner des habitudes de laxisme qui sont le mode de fonctionnement à tous les niveaux de l’humanité. Il vaut mieux attendre, n’est-ce pas ? Cela semble moins contraignant et puis cela va bien venir, et puis tout est déjà accompli…

Cela aussi à un certain niveau est erroné. Pourtant il est vrai, tout est accompli. La perfection ne peut qu’être perfection. La vie ne peut qu’être la vie. Et la joie d’être le jaillissement, cela est éternel. Et la joie de l’autodépassement de l’être qui à travers l’incarnation retrouve un modèle toujours plus beau de l’éternelle perfection. C’est cela le moteur.

Contrairement à ce que bien des courants disent ou insinuent, la facilité reste exclue des modes de l’incarnation…

Jamais la fraternité n’a pu concevoir que l’aide qu’elle apporte à l’humanité est parce qu’elle considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main, et peut-être que la petite humanité parviendra à lever la sienne… Non, cela n’a jamais été la vision qu’a la fraternité des êtres humains. La fraternité considère chaque être dans la perfection du Vénérable. Elle lui rappelle "lève-toi, prends ton grabat et marche. Marche ! Tes jambes sont saines ! Tous les aspects de toi sont la perfection de l’Être. Marche. Je ne te porte pas. Tu es trop beau, tu es trop belle. Jamais je ne te porterai, mais marche. Ressens le don de la Terre, ressens le don des étoiles et ressens ce temple éternel qu’est le cœur, le point du juste milieu, le temple."

Là est le creuset de l’alchimie, et là est le feu.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 25-2-23 

Lorsque les êtres humains appellent comme l’on supplie, personne n’entend. 

La fréquence juste est l’infini de la joie, la joie gratuite. Ainsi s’établit ce sens de la fraternité. Et lorsque dans un cercle d’êtres incarnés dans un corps humain, la fraternité est tangible, toutes les fraternités sont attirées et se joignent, car la fraternité est le vivant.

Cela est votre collectif. Il n’est pas limité à une élite. Il est le droit naturel de chaque être qui choisit de s’harmoniser à la vie. Et la vie est l’infini de la joie.

Lorsque les êtres humains se croient petits et enfermés et appellent comme l’on supplie, personne n’entend. Quand on n’est pas sur le bon registre, la nature ne peut traduire le chant et le laisser résonner. Le registre de l’ouverture est le registre de la joie. Basez votre joie sur cela. La vie est fraternité. Elle est magnifique. De cette certitude, au sein de cette certitude, résonne l’infinie de la joie gratuitement parce que la joie est la fibre qui structure la vie. Dans cette fréquence, tous les êtres peuvent être invités.

Sacrée est l’incarnation. Il suffit d’en connaître les modes de fonctionnement, les modes de déploiement. Et si l’on veut parler du temps linéaire, l’heure peut être très proche où les écoles enseigneront cela, non des savoirs absurdes qui desservent la vie, mais les clefs des modes de fonctionnement, l’art de l’incarnation.

La base, vous le savez, est la pure présence. L’inconditionnel est le dynamisme car la vie est une danse, et sans mouvement tout se fige et se sclérose. La base est aussi la simplicité. Déjouer tous les masques qui veulent compliquer. Déjouer tous les masques qui voudraient faire croire à quelques drames ou histoires. La simplicité unie à la détermination d’être le pur reflet de la splendeur de la vie.

La clarté vigilante est ce jaillissement de l’amour dont l’intention est de servir la vie. Avec elle, vous déjouez toutes les habitudes stériles et toutes les fausses excuses pour ne pas laisser le jaillissement de la vie danser à travers votre incarnation. Cela n’implique que l’attention déterminée à être unie au jaillissement de la joie, l’énergie rassemblée à honorer toutes les parcelles de vie, observant une éthique et une hygiène sans faille. Car vous voyez, lorsque l’énergie est rassemblée, le cœur est le temple. Le temple ne peut qu’être empli de paroles, de sentiments, d’actes nobles, simples et purs.

Et peu importent les autres puisqu’ils n’existent pas. Il n’y a que l’Être qui crée sa création comme l’artiste face à sa toile crée pour la simple joie de créer, la simple joie de créer une création qui soit à l’image et à la ressemblance du-de la suprême Seigneur. Cela implique une éthique et une hygiène dans l’art de manier les pinceaux, de garder la toile vierge si ce n’est par ce que l’on souhaite inscrire. Et cela est la joie d’être offrande.

Lorsqu’on est mû par la passion, cela est la joie. Rien ni personne ne pourrait faire croire que cela est ardu. Il suffit de s’établir au registre juste. Il faut bien que l’humanité dépose la croyance dans la lutte ou le difficile. L’autodépassement nourri par le dynamisme entraîne la passion. Et s’anime le feu de l’amour et danse le feu de l’amour qui nourrit le dynamisme. Ainsi s’autodépasse l’Être dans la simplicité de la vie.

Dans cette fréquence, dans ce registre, la fraternité se rencontre, s’entraide, s’accompagne, s’honore et s’aime, sans masques, sans voiles. Il n’est aucune distance entre le monde des dieux et le plan terrestre. Il n’est aucune distance entre les retraites des maîtres et le plan terrestre. Les fréquences sont les lieux de rencontres si l’on peut dire.

Et le choix, comprenez-le, est gratuit de par la multidimensionnalité. Et bien que gratuit, le choix reste générateur de passion. Rassembler toutes les dimensions de soi dans l’ultime offrande. L’ultime offrande se traduit lorsque le corps s’embrase et que la structure matérielle est le feu de l’amour. Le sang alors est d’or. Les os sont nectar. Un tel corps ne connaît aucune limite. Tout est ouvert. Les planètes ne sont que les amis. Les fraternités sont bien réelles… Dans le cœur de la joie, la relation est très réelle.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 25-2-23 

Sortir des modes compulsifs de comportement. 

Sortir des modes compulsifs de comportement. Cela signifie être Être de choix conscient…

Et œuvrer avec passion et enthousiasme à vivre en conscience, à choisir le comportement le plus idéal qui correspond à votre unicité, avec passion et enthousiasme.

L’une d’entre vous l’a dit, cela peut sembler astreignant. Pour sortir du mode compulsif en effet, il faut choisir la claire vigilance. L’on ne peut suivre les modes endormis et aspirer à l’éveil. L'on ne peut que s’offrir à la plus belle version de soi dans son unicité et œuvrer pour honorer cette beauté dans chaque moment de l’incarnation.

Cela implique la claire vigilance et le choix d’ajuster et de réajuster, et de réajuster avec passion, tel un artiste qui œuvre à apprendre son art. Ajuster et réajuster ses pensées, ses paroles, ses modes de comportement, ses postures corporelles, ses modes d’hygiène, ses modes alimentaires.

Rien n’est figé. Tout ne peut que s’autodépasser et cela est la passion d'être humain. Car l’humain a le privilège et la grâce d’être être de libre arbitre absolu. Tout est possible ainsi. Tout peut se régénérer. Tout peut être reconstruit. Rien ni personne ne doit limiter cela.

Ne laissez aucune croyance vous amener à vous sentir enfermés dans quelque condition ou quelque circonstance qui vous empêcherait d’être le jaillissement de votre propre beauté. C’est cela le mode d’ouverture. L’ouverture est créée par ceux et celles qui savent écouter, se taire, œuvrer et être l’éternelle victoire "I am Je Suis l’Eternelle Lumière".

Chacun et chacune honorant son unicité, chacun et chacune œuvrant pour rentrer en relation avec son unicité non depuis l’ego ou les modes figés d’un mental ou d’émotions qui croiraient se connaître. L’on ne se connaît jamais car seul est l’inconnaissable et l’inconnaissable est l’éternelle perfection à qui est offerte toute la dévotion. Entrer en relation avec son unicité depuis la simplicité et la clarté du cœur.

L’ouverture permet que soient déposés la personnalité et tous les masques pour que jaillisse l’unicité de l’essence et qu’avec passion, persévérance, chaque être soit l’artiste de la plus belle œuvre d’art qui puisse être conçue : son unicité.

Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 25-2-23 

Le collectif  n'a aucune influence sur l’unicité de chaque être.

La clef est de couper la croyance que tu es influencée par le collectif. Cette croyance est engrainée très profondément dans le cerveau, la physiologie et les cellules de tous les êtres humains. Et lorsque nous te disons cela, c’est à l’humanité que nous le disons.

Le collectif en soi est une illusion. Et l’illusion est générée par la croyance dans son existence. Ou plutôt l’assemblée, la société, la fraternité existent bien, mais pour celui ou celle dont le positionnement est vertical, l’assemblée, la fraternité, n’ont aucune l’influence sur l’unicité de chaque être.

La croyance est l’emprisonnement. Et ce qui génère l’apparence correspondant à la croyance, est de pouvoir admettre d'être influencé par un collectif pesant. Cela n’existe que dans la réalité des modes laxistes. Cela ramène toujours à l’invitation : sortir des modes laxistes. L’humanité va dire "c’est trop dur, c’est astreignant, presque impossible". Pourtant, pourtant nous rappelons encore et toujours le sens profond d’être humain.

Beaucoup sont venus marcher sur les routes des hommes, ont été appelés maîtres et considérés comme à part, des élus, des bénis. Chaque être est élu et béni. Le moteur pour couper cette croyance et être en conscience porté par la fraternité au lieu de freiné par ce collectif illusoire - même si, nous en sommes conscients, l’illusion est bien agrippante - le moteur pour réaliser cela est de continuer à intégrer les dons, d’intensifier la verticalité, d’intensifier la présence, de choisir les modes de l’hygiène la plus pure à tous les niveaux en ajustant par la joie de l’artiste… L’incarnation est une œuvre d’art. L’on cisèle, l’on donne les coups de pinceaux et l’on émet les notes musicales qui permettent de créer sa propre unicité...

Apprendre l’art de l’incarnation, cela suscite la plus grande des passions. Le secret est de vivre depuis la passion et non depuis la croyance qu’il puisse être compliqué, difficile, presque impossible de sortir de ce laxisme qui correspond à la fréquence de ce collectif qui semble enfermé. C’est pour cela qu’encore et toujours nous invitons au dynamisme, à cultiver le dynamisme à tous les niveaux, à la vigilance, à la clarté, aux choix conscients. Sortir de la boue du laxisme.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 24-2-23

La beauté de l’ouverture est que chaque être retrouve sa souveraineté.

La beauté de l’ouverture est que chaque être retrouve sa souveraineté. La condition sans aucune exception de vivre l’ouverture est d’accepter de retrouver sa souveraineté. Nous voulons dire par là déposer dans le temple du cœur, déposer dans le feu qu’est le cœur, toute croyance d’impossible, de limite, de petitesse. Déposer et accepter le choix de la noble dignité, celle qui embrasse l’autodépassement et l’autodéploiement avec la passion de l’être qui se sait honoré et qui sait honorer le-la Vénérable en acceptant d’être cet autodépassement.

Nous l’avons toujours dit, la voie sacrée n’est pas offerte aux faibles mais à ceux qui rient de la faiblesse, non nécessairement parce qu’ils se sentent forts mais parce qu’ils s’offrent au courant infini de la vie qui est la force de l’amour. Pour un tel courant, tout est possible.

Nous redonnons concrètement les modes de l’ouverture. Ces modes s’appuient sur la noblesse de l’être. Ces modes s’appuient sur l’harmonie, sur l’écoute et le respect de chaque être pour le tout. Ces modes s’appuient sur l’offrande inconditionnelle de la croyance que quoi que ce soit puisse bloquer le plein déploiement de chaque être. Cela est croyance erronée.

Le collectif n’est que la précipitation de sa propre vision. Il est autant de collectifs qu’il est d’humanités. Il est le collectif de la fraternité. Tous les règnes y sont unis. Tous partagent l’infini respect et l’écoute infinie des besoins de chacun. Tous sont offerts au feu de la joie. Aucun d’entre eux n’aspire à s’approprier la joie par quelque ressenti. En conséquence de cela, la joie danse dans leur structure corporelle et dans toutes leurs structures. C’est la joie qui est le moteur de l’énergie, de la vitalité. C’est la joie qui est à l’origine de l’abondance et de la prospérité. C’est la joie qui honore le sacré.

L’ouverture implique le lâcher-prise. Vous êtes préparés à cela. A chacun, le choix.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 21-2-23

Certains croient que l'ouverture amène plus de facilité…

La terre s'ouvre et libère les feux de la joie, de l'amour. Aller la rencontrer dans cette ouverture et cette libération, c'est choisir la maîtrise, la simple maîtrise sur tous ces mouvements impulsifs, que ce soient les humeurs, les émotions, les appétits, la simple maîtrise, la simple maîtrise qui ouvre à La Maîtrise.

Plus que jamais, choisir. Dans chaque moment, choisir d'actualiser son appartenance à l'évidence d'être lumière. Choisir d'être créateur du monde d'harmonie ou choisir les anciens modes, ceux des esclaves de leur propre léthargie, ceux qui acceptent les limites de l'impulsivité.

Choisir d'être le feu de la joie. Choisir l'autodépassement. Choisir d'écouter dans l'amour tous les mouvements intérieurs et choisir la maîtrise. Embrasser ce qui va dans le sens des anciens modes d'inertie, de léthargie ou d'impulsivité. Choisir d'embrasser les appétits, les impatiences, les humeurs, les émotions pour être le feu du sentiment qui embrase la Terre.

Certains croiront peut-être que l'ouverture amène plus de facilité, elle amène certes plus de simplicité. Elle amène aussi plus de clarté. Elle amène l'invitation à choisir avec plus d'acuité.

Faire de ce choix un acte d'amour intransigeant.

Le choix n'est qu'entre soi et soi-même car l'être qui choisit la maîtrise sait qu'il ou elle est créateur de sa réalité et sait ne plus projeter sa propre vision sur ceux et celles avec qui il ou elle entre en relation.

Aller rencontrer l'ouverture c'est choisir dans chaque moment. L'ouverture ne peut effacer les tendances léthargiques. Chaque être doit agir et choisir. Il est vrai, le choix peut être facilité par la montée d'énergie. Le choix doit rester choix. Le libre arbitre reste absolu. Et que choisit chaque être ? Les anciens modes ? L'impulsivité face au désagrément ? Ou le mode de la noble maîtrise ?

L'ouverture n'implique pas le facile. Cela accroît le simple et cela accroît l'invitation à faire le choix de noblesse dans chaque choix. Le libre arbitre reste la loi absolue et c'est le libre arbitre envers soi-même qui fait choisir la léthargie des anciens modes ou la noble implication par son comportement, par ses pensées, par ses actes, la noble implication de la lumière qui se sait créatrice d'un monde de lumière. Pour un tel être, l'univers sourit et comble des dons de bénédiction.

La Terre s'ouvre. Le plus beau don est d'aller rencontrer l'ouverture avec la beauté de son intention traduite en action. C'est cela qui fait que chaque être devient cocréateur. Cocréer n'est plus acte d'héroïsme, il est acte de simplicité car le choix d'honorer la noblesse et de quitter les anciens modes est le choix le plus simple, le plus grand, le plus beau don qui puisse être fait à l'ouverture.

Le choix prépondérant n'est plus dans l'action mais dans le comportement et la relation. Entrer en relation avec soi et son environnement depuis le choix d'être noblesse.

L'ouverture permet aux relations d'être plus serrées, aux connexions plus intimes. La relation et la connexion de l'être avec lui ou elle-même, la connexion ou la relation entre les êtres, la connexion ou la relation entre chaque être et tous les points du cosmos.

La montée en énergie, en puissance vibratoire, invite à une plus grande simplicité. Garder comme on garde un trésor, une hygiène impeccable à tous les niveaux, corporel mais aussi alimentaire, en faisant le choix d'aliments simples et qui honorent le corps.

Les choix, vous l'avez peut-être senti, sont plus répercutants. Les effets des choix sont plus grands, que ce soit au niveau du choix de ce qui nourrit et embellit, ou au niveau du choix de ce qui alourdit ou masque. Faites le choix d'offrir tous les masques.

Ne laissez pas des émotions masquer le choix de vos aliments. Laissez le cœur vous guider par le choix d'aliments simples et pleins de vie. Ne laissez pas la léthargie guider vos modes de vie, que la léthargie soit physique, corporelle ou qu'elle soit émotionnelle ou même égotique.

Dynamisez les corps. Dans la simplicité, dynamisez les corps. Cela aussi contribue à aller à la rencontre de l'ouverture. Le plus beau don de cette ouverture est de sortir l'être humain de la passivité. Le plus beau don de l'ouverture est que chaque être ne peut que voir en conscience qu'il ou elle est créateur de l'ouverture, non par des actes héroïques mais par les choix de chaque moment.

Il faut bien qu'une page se tourne. Et pour la tourner pour le collectif de l'humanité, il faut bien qu'un certain nombre d'êtres choisissent de la tourner. La page qui est tournée est celle de la passivité, de la compulsivité, de l'impulsivité, de la médiocrité, car rien n'est plus médiocre que de faire le choix de léthargie à quelque niveau que ce soit.

L'ouverture amène la puissance de la lumière pour baigner les choix conscients d'être lumière. Et cette relation entre les choix conscients et la lumière fait croître la lumière. Cela se doit d'être accompagné éternellement de choix conscients…

L'ouverture implique l'offrande de l'amour au silence et le respect aux noms et aux paroles, pour que le cerveau s'ouvre pleinement, libère les codes des grandes lignes de rayonnement et se reconnecte.

Voyez la beauté du silence. Ecouter le silence comme on écoute un ami qui parle peut-être une autre langue mais le cœur sait décrypter.

Enrichissez-vous des flots de gratitude. Allez chercher la gratitude. Ne jamais attendre d'être submergé. Accueillir en rencontrant.

La Terre s'ouvre. Pour répondre à cette ouverture, chaque être ne peut qu'être bénédiction. La fréquence qui s'harmonise à l'ouverture est la gratitude. Le choix d'être gratitude n'est plus motivé par des circonstances mais est le choix conscient de chaque être qui s'offre à être lumière. L'ouverture s'accompagne d'un choix de clarté d'éternel renouveau, d'éternel autodépassement. Cela est la nature de l'ouverture et de la lumière.

Pour inscrire l'ouverture dans le concret de la réalité qui transforme, chaque être avec passion fait le choix d'être ouverture. Chaque être, jusqu'à ce qu'un nombre suffisant d'êtres faisant ce choix précipitent le collectif à un autre niveau. Le choix restera celui de chaque être.

Ne pas attendre, créer.

La pureté va toujours de pair avec la simplicité, la simplicité avec l'écoute, l'écoute du tout à travers chaque partie dans l'harmonie et le plus grand respect. Le choix est entre soi et soi-même. Il peut transfigurer la réalité terrestre. Faire le choix inconditionnel de pureté, et cela, dans le registre de la joie.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 1-1-23 

Personne ne viendra transformer la Terre, elle est la projection de ce que vous êtes.

 

Nous vous donnons les clefs pour que l’invitation soit réalité. La première clef, vous le savez, est l’absolu de l’ancrage. Il ne s’agit pas de frôler l’ancrage quelquefois. Vous savez que l’ancrage est réel lorsque physiquement l’énergie repose dans le chakra de vos cœurs qui alors est le centre. Tant que l’énergie, à quelque moment que ce soit, s’accumule soit dans la sphère mentale, soit dans les émotions ou l’ego, cela veut dire que l’ancrage n’est pas réalisé. Alors vous continuez et continuez et continuez. La Terre vous offre des racines et le Ciel une flamme, reliées au cœur du Ciel et au cœur de la Terre, concrètement.

La vie, vous le savez - ou l’humanité l’a peut-être oublié - la vie n’est pas d’être tremblotant, balloté par les émotions, par le collectif ou par les babillages mentaux. La vie invite à recentrer l’énergie pour être la vie. La vie invite à être pleinement ancré car c’est lorsque vous êtes pleinement ancrés que vous pouvez savourer la vie. Beaucoup parlent d’ouverture du cœur, oubliant que le cœur est naturellement ouvert lorsqu’il est nourri de l’énergie et de l’attention.

Vous savez que vous êtes ancrés lorsque tout est ouvert et que vous êtes offerts. Alors tout parle, communique, et vous entendez les voix des arbres et des forêts, des herbes et des planètes, les voix de la fraternité, et vous entendez la voix du cœur du silence. Lorsque vous êtes ancrés, tout s’ouvre et tout est possible.

Et si cette année pouvait être l’année du tout est possible ? Comprenez-le, tout est possible lorsque vous le créez. Personne d’autre ne le créera jamais pour vous. Personne ne viendra transformer la Terre car la Terre n’est que la projection de ce que vous êtes et vous la percevez comme vous êtes. Certains la voient comme un feu de lumière et de dévotion. Certains la voient comme le théâtre du tout est possible. D’autres la voient autrement et peu importe. Ce que les autres voient n’est pas votre réalité. Votre réalité est ce que vous projetez.

La base, nous le répétons toujours, est donc la pleine présence à soi. Et l’on ne peut être présent à soi et en même temps être balloté par les émotions, le mental ou l’ego. La présence à soi est la présence au cœur. La présence au cœur est l’ouverture. La présence au cœur est le corps nourri de cette lumière qu’est la vie avec une telle intensité que l’équilibre est rétabli.

L’énergie repose dans le cœur. Le cœur alors est soleil de lumière. Et ce soleil éclaire et vous percevez tout. Et ce soleil éclaire et vous entendez tout. Tout vous entend, tout vous écoute. Et vous savez que ceux qui vous écoutent entendent la voix du tout à travers votre voix, et que ce que vous entendez est la voix du tout à travers chaque voix. C’est cela la vie. Simple, plein, concret, car l’incarnation n’est pas de rêver une vie idéale. L’incarnation est de vivre l’idéal de sa vie maintenant…

Voyez, le cœur est soleil de lumière et nul n’a besoin de se préoccuper de comment résoudre les problèmes que le mental imagine. Lorsque le cœur est vécu concrètement comme soleil de lumière, la puissance de soleil se fait torrent et cascade, et vient inonder toutes les situations et toute la planète. Tout est harmonisé, tout est résolu, tout est nettoyé, tout est orchestré.

La seule attention donc est de faire concrètement du cœur ce soleil de lumière, cette flamme éternelle. Elle l’est de toute façon cette flamme éternelle. Simplement l’incarnation est bien d’actualiser cela. Non une petite flamme vacillant à chaque vent des émotions, le feu de l’amour, le soleil éternel, stable. Et coulent des cascades et des torrents de lumière dans la structure corporelle jusqu’au cœur de la Terre et jusqu’au cœur du Ciel. C’est cela le centre de l’attention car lorsque cela est réalisé, tout est accompli. Lorsque cela est réalisé, l’être danse pleinement la danse de la vie, pleinement actif, simplement actif,  infiniment confiant, parce que la vie n’est que générosité et la vie n’est que bonté et bienveillance.

Alors, dans la pleine confiance que tout ne peut qu’être donné, vous donnez et vous recevez. Le cœur n’a jamais besoin de se soucier des soi-disant problèmes que le mental imagine. Et le comprenez-vous, même la pollution de la planète est un problème imaginé par le mental parce que le cœur sait qu’avec une intensité totale d’amour, d’attention, de lumière, de présence, instantanément la Terre est nettoyée.

L’équilibre, c’est l’amour qui le donne. L’harmonie, c’est l’amour qui la crée. Et l’amour est la joie. C’est pour cela que s’il est un message que nous aimons murmurer, chanter et répéter, c’est le chant de la pleine présence. Les autres n’existent pas. Ils sont la projection de sa réalité intérieure. La création n’est que la projection de la réalité de chaque être.

Et si cette année nouvelle était l’année où chaque être accepte pleinement d’être le créateur de sa réalité, ne trouvant plus aucune excuse qui pourrait empêcher la pleine présence à soi ?

Il est vrai, beaucoup disent être entraînés par les flots du mental ou des émotions. Nous disons tout est un choix. Si vous voulez vivre la vie cosmique, faites le choix de ramener le corps à son état originel. Le cœur, soleil de présence et soleil d’amour, déverse des torrents et des cascades de lumière dans tous les organes, dans tous les membres, jusqu’au cœur de la Terre et jusqu’au cœur du Ciel. L’être ainsi infiniment connecté, éternellement est un éclat de rire offert au Divin, et cela dans le cœur du silence et de l’énergie rassemblée.

Voyez, nous ne parlons pas de poésie ou d’abstraction. Nous parlons de la vie sur la Terre telle qu’elle est conçue originellement. Et c’est maintenant qu’elle est conçue, maintenant. Dans ce jour ou cette année qui s’ouvre, maintenant, dans cette éternité qui est. Faire de cette année la réalisation de cela.

Comprendre qu’il est une intensité de présence qui est la clef du tout est possible. Par cette intensité de présence, le corps change de fréquence, change de densité. Traverser des murs, se téléporter, aller au cœur des étoiles ou au cœur des océans, cela fait partie du tout est possible. La clef pour cela est l’intensité de présence.

Vous continuez ainsi à intensifier la présence. Vous faites de cela le cœur de votre dévotion. Ainsi tout s’harmonise. Tout est donné. La vie est bonté et bienveillance. La vie est le flot de la grâce. Imprimez cela dans le cœur du collectif de la Terre et de l’humanité.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 1-1-23

L’heure est révolue des transformations progressives.

Glorieux est le choix de l’incarnation. Glorieux est le choix de créer éternellement sa création. La créer depuis la vision la plus vaste. Il est glorieux de rappeler à l’humanité qu’à travers le passage du temps, l’éternité est célébrée. Ainsi, le temps retrouve sa gloire. Ainsi, chaque moment retrouve sa pure beauté dans la simplicité.

Prendre cette année qui s’ouvre comme une page vierge dans laquelle chaque être écrit la gloire de l’éternel simplement. Il n’est pas besoin de grands accomplissements. Avoir l’authenticité d’être simplement la beauté de l’Être. Avoir l’authenticité de tout offrir, de se taire, pour être le jaillissement du chant vivant. Partout, ne contempler que la beauté. Dans chaque moment de maintenant, ne contempler que la beauté. Puisse chaque être entendre cela.

L’heure est révolue des conflits, des critiques, des oppositions, même sous le parapluie de haute spiritualité. L’heure est révolue de séparer l’ombre de la lumière. Il n’est que la lumière et l’ombre n’est pas.

Puisse cela être inscrit au cœur de cette page vierge qu’est l’année qui démarre. Il n’est que la lumière et l’ombre n’est pas. L’apparence d’ombre est créée par le regard que certains mettent sur elle. Le triomphe de la lumière est manifesté par la dévotion de ceux et de celles qui choisissent de ne servir qu’elle, de ne voir qu’elle, de la contempler, de l’incarner, de l’offrir inconditionnellement. Inconditionnellement. Et peu importent les sociétés et les transitions. Peu importe, chaque être crée sa réalité et peut choisir de tout offrir pour incarner la plus sublime, celle de l’union qui va bien au-delà de l’harmonie entre les êtres. L’harmonie entre les êtres est le sous-produit naturel d’une civilisation qui choisit de reconnaître que seul est le Un. Le sous-produit naturel.

L’heure est révolue de transformations progressives. Ce ne peut qu’être un changement total de paradigme. L’heure est venue d’offrir à l’humanité la voie sacrée, une humanité basée sur la réalisation que l’incarnation est adoration. Une humanité qui choisit de ne servir que la beauté en ne regardant que la beauté, partout, en tout, en soi, en l’autre, en les autres, dans les sociétés. Ainsi resplendit la face du Sans-visage à travers chaque face.

Puisse l’humanité, dans ce moment de célébration de l’éternel, se rappeler que chaque être, seul, est créateur de sa réalité. Ce n’est pas la société. Ce ne sont pas les gouvernements. Des milliers ou des milliards de mondes superposés, chacun étant la projection de chaque être. Et chaque être vit dans le monde qu’il crée. Heureux ceux qui choisissent de créer un monde de dévotion, de simplicité absolue, d’hommage. Chaque être qui fait ce choix transfigure les mondes de tous les êtres. Puisse l’humanité comprendre cela.

Le rayonnement d’un être qui choisit d’être l’ouverture infinie, l’hommage vivant dans la transparence et la simplicité totale, le rayonnement de cet être transfigure tous les mondes. Il est vrai, chaque être crée sa réalité. Il est une création qui est don pour chaque parcelle. Puisse l’humanité choisir de faire ce don. Puisse l’humanité choisir inconditionnellement de faire de cette année un hymne à la joie…

Ainsi, naturellement, sans même devoir mettre son attention sur des détails, transfigurer les milliards de mondes car chaque être choisissant de vivre la voie sacrée, la voie de l’unité, offre un don d’une puissance infinie à tous les mondes, simplement par son rayonnement, la plus grande puissance de transmutation et de transfiguration.

Puisse l’humanité choisir inconditionnellement d’être le chant vivant de la paix. Le chant peut être chanté dans le silence. S’il n’est accompagné d’aucun contre-signal, il a la puissance d’un raz-de-marée. Puisse l’humanité avoir l’humilité de se rappeler sa puissance.

El Morya 22-4-23
Temple éternel 21-4-23
Linéarité 20-4-23
MMadeleine 14-4-23
2 extrêmes 21-3-23
Humanité non déchue 26-2-23
Modes compulsifs 25-2-23
Non influence collectif 25-2-23
Ouverture 21-2-3
Terre projection 1-1-23
Transformations 1-1-23
Mondes célestes
Souveraineté
Supplie
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