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  Messages de la dimension de Lumière  

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Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron. 

L’intention est le Verbe de la dimension de lumière. 

La dimension de lumière est régie par l’intention. L’intention n’est pas régie par les lois du temps linéaire. Si les êtres humains ont cru placer une intention et accepter un laps de temps entre l’intention et la réalisation, c’est qu’ils ne connaissent plus la nature de l’intention.

L’intention pourrait être considérée comme étant le verbe de la dimension que l’on nomme lumière - certains parlent de quatrième ou de cinquième dimension - cette dimension qui ne connaît plus la linéarité du temps.

Accepter de retrouver cette simultanéité entre l’intention et sa réalisation. Cela se fait en portant la vision. Vous placez l’intention et vous portez la vision de l’intention réalisée. Porter une vision est vivide, incluant autant de sens que cela est possible. On peut voir la vision réalisée, en sentir le parfum, en sentir la vibration, la texture, en entendre le chant.

Ce qui crée le laps de temps, c’est la croyance dans l’inévitable de ce laps de temps. Parce que la Terre change de fréquence, le temps s’effondre, sauf si on le maintient par une action mentale, par la croyance qu’il est inévitable qu’il y ait un délai. Ce qui se nomme miracle s’opère par cette vision nourrie d’une telle intensité de présence et d’amour que simultanément la vision est précipitée en forme.

Vous vous souvenez, n’est-ce pas, lorsque celle qui est connue sous le nom de Marie sortait de l’enfance, pendant qu’elle contemplait la beauté d’une rose, un infirme a marché devant elle, et parce qu’elle était absorbée par la beauté de la rose, elle a vu la beauté dans cet homme qui s’est trouvé guéri de son infirmité.

En hommage à l’Être, rééduquer sa vision. Au cœur de toute apparence, contempler la beauté. Au cœur de toute vision, contempler la beauté de la réalisation de cette vision, sans admettre qu’il puisse y avoir un laps de temps. Et même si l’apparence ne semble pas suivre l’intention, continuer à nourrir la vision de l’inévitable de sa réalisation maintenant. Le fait de cesser de régir son quotidien par les apparences est acte de dévotion, la dévotion offerte à l’Être et l’Être est perfection, la dévotion offerte au beau, au bon, et ainsi, de cette attention tout offerte au beau et au bon, jaillit naturellement la réalisation de la vision.

Cela s’applique à l’harmonie pour la Terre. Cela s’applique à quelque domaine où vous voulez l’appliquer, quelque intention, quelque désir. Vous portez la vision. Bien sûr, le désir alors est sorti du contexte égotique. Il ne s’agit pas d’êtres humains gâtés qui veulent la réalisation d’un désir comme un enfant veut un jouet. Il s’agit de cette intention profonde de l’acte créateur qu’est le désir exprimé en intention, nourri par la puissance de l’attention dans la vision que l’intention est déjà réalisée. C’est cela une vision.

Dans le monde mental, une intention est posée et l’on accepte toute une succession d’événements qui s’écoulent dans une durée du temps avant la réalisation de cette intention. Dans le monde lumière, l’intention est posée et nourrie par la claire vision que cette intention est déjà réalisée. Et l’énergie que l’on émet ou que l’on offre à la vision ne contient aucun doute, aucune déception quand l’apparence ne semble pas suivre, aucune déception car seule la personne pourrait ressentir de la déception.

L’Être n’a qu’une seule intention, c’est d’aimer et de servir l’Être. Aimer et servir l’Être à travers son incarnation. Et cela génère la joie profonde. La joie profonde est offerte à l’intention et à la vision que l’intention est déjà réalisée.

Faire abstraction irrémédiablement de l’attachement à l’apparence car l’attachement à l’apparence consolide l’apparence, alors que l’amour tout offert à la vision déjà réalisée, ne considérant aucune apparence jusqu’à ce que la vision soit précipitée dans le monde concret et matériel, simplement parce que cela est l’art de la réalisation et que lorsque l’on joue le jeu de la création, l’on veut suivre les règles de l’art, n’est-ce pas ?

Cela s’applique à la Terre d’harmonie. Cette attitude ne peut que s’accompagner d’une éthique ultime. Parce que la Terre maintenant est harmonie, le choix de l’être ne peut qu’être de servir l’harmonie en n’émettant que des pensées, des sentiments, des actions purs reflets de l’harmonie.

Le choix est clair et conscient. Le choix est initié par la joie parce que maintenant la Terre est harmonie. Au lieu du laxisme consistant à se lamenter parce que le gouvernement ou les autres, "les autres", génèrent la disharmonie, le dévot de la vie porte la vision de la Terre d’harmonie, n’admettant aucun laps de temps entre sa vision et la réalisation puisqu’il n’est que maintenant, et offre en don gratuit le choix conscient de servir l’harmonie par chaque parole, chaque acte, chaque sentiment.

C’est cela l’invitation pour ceux qui se nomment les artisans de lumière. Et servir l’harmonie s’applique à tous les niveaux de la vie. Ce n’est pas uniquement prononcer des paroles harmonieuses, c’est agir en phase avec l’harmonie dans tous les niveaux de l’individualisation, en phase avec l’harmonie puisque l’harmonie est une fréquence, celle du cœur.

Tout offrir au cœur. Le mental peut résister, l’ego se rebeller, le cœur sert l’harmonie. Le mental peut argumenter, l’ego se raidir ou se gonfler, le cœur sert l’harmonie. Les émotions peuvent rabâcher de vieilles histoires, le cœur sert l’harmonie. Le cœur sert l’harmonie en projetant la vision de la création d’harmonie. Le cœur sert l’harmonie en étant fidèle et loyal à cette vision. Et lorsque le mental argumente, que l’ego se rebelle ou se gonfle, que les émotions rabâchent de vieilles histoires, le cœur leur offre l’harmonie.

Il est vital de réaliser la puissance de l’attention. L’attention sur des raideurs, sur des laps de temps, sur des apparences, sur des ressentis, les fait grandir. C’est une loi. L’attention sur l’harmonie la fait grandir. C’est une loi. La loi de la création est que l’attention donne vie. Cela va bien au-delà de ce que la plus grande partie de l’humanité comprend. Si l’humanité comprenait, elle choisirait autrement.

Heureux ceux et celles qui peuvent entendre et comprendre, et appliquer.

Message de Cagliostro reçu par Agnès Bos-Masseron. 

Ressenti de perte de repères. 

Ce ressenti fait partie du processus et d'un aspect presque inévitable de l'ouverture et de la reprogrammation, d'une façon très spécifique de retrouver la programmation initiale.

De par l'ouverture, de par l'attention, de par le fait de s'offrir à son propre infini, des connaissances, des bribes de sagesse s'impriment et permettent de vivre un peu comme un palier. Puis vient la porte vers un autre palier. Il convient alors que tout soit effacé pour qu'un autre niveau d'intensité soit gravé. Un peu comme le vent vient effacer les œuvres éphémères pour que l'artiste puisse créer une autre œuvre toujours plus belle, toujours plus à l'image de sa propre beauté.

Cela est lié aussi à l'ouverture de la Terre et du collectif de l'humanité. L'heure est venue pour l'humanité de lâcher prise de tout un ensemble de repères, de données, de croyances, pour pouvoir s'établir dans un autre niveau de vastitude, un autre niveau de limpidité, de simplicité, de vérité, vérité entendue dans le sens de transparence à la source.

Donc ceux qui ont développé une sensibilité peuvent ressentir ce lâcher-prise inévitable, ce fait que les données sont effacées pour que d'autres puissent être gravées.

Cela en soi est beau, peut-être déstabilisant. Mais celui ou celle qui se sait le dévot du beau et du bon, du noble et du vrai, sait lâcher prise et toujours regarder vers son propre infini pour accepter que les croyances ancrées soient effacées, que les certitudes le soient aussi, pour que se grave une autre programmation. Un peu comme l'on apprend un autre alphabet, et il y a beaucoup d'alphabets, tu le sais.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron. 

La matière n’est régie par aucun savoir figé. 

La vie humaine est divine. Elle n'est régie par aucun dogme, par aucun savoir figé. Aucune parcelle de matière ne correspond et n’est régie par un savoir figé. Chacune a son originalité, son unicité. A chaque être de découvrir cela et d’oser régir sa vie par cette unicité. La matière ne réagit jamais de la même façon lorsqu’exposée à telle ou telle condition car la matière est lumière et la matière est la projection de l’unicité de la création de celui qui la crée. Cela est la base du "tout est possible". Si l’on essaie de comprendre la réaction de la matière en fonction d’un savoir figé, l'on projette une limite, un cadre. Chaque être est le jaillissement unique du-de la Vénérable. La matière, le corps, tous les aspects de la création de chaque être sont régis par l’unicité. A la base de cette unicité, est le feu de l’amour.

Si l’attention est tout offerte à être le feu de l’amour, ce feu révèle l’unicité et révèle principalement cet éternel autodépassement, cette éternelle découverte, ce déploiement unique. Inscrire dans le registre de sa vision de la vie le "tout est possible". Cela est la base. Cela demande une intensité d’attention telle que l’adhérence des croyances collectives s’en trouve émoussée et fondue. L’on crée alors sa réalité  depuis la puissance du regard de l’amour. L'on crée la relation de chaque expression de sa vie à chaque expression de la vie sur la base de la puissance du feu de l’amour. Le corps alors est embrasé et régi par d’autres lois, d’autres modes de fonctionnement…

…Par la puissance de l’attention offerte à être dévotion, quitter les adhérences aux modes erronés de croyances figées. Aucun corps, aucune individualisation ne réagit de la même manière à une même exposition. On ne peut qu’apprendre et réapprendre à être le feu vivant, à tout offrir, à s’incliner.

La base, vous le savez, est de cesser de vivre dans la linéarité mais de prendre chaque journée comme un tout, comme la plénitude de maintenant. Et dans cette plénitude de maintenant, tout peut être déployé, tout est possible. Tout est possible. Aucune limite, aucun ressenti figé, aucune croyance. L'émerveillement est la liberté de laisser le déploiement s’autodépasser éternellement dans le champ du tout est possible. C’est bien cela l’incarnation, n’est-ce pas ? 

Message de Siddharta le Bouddha reçu par Agnès Bos-Masseron le 25-2-24

Comment concilier l'impermanence enseignée par le Bouddha et l'éternité ? 

L'enseignement bouddhiste n'enseigne qu'une partie de mon enseignement. Comme toutes les religions, l'enseignement a été reçu avec sincérité et très très peu ont su l'entendre dans sa totalité. J'ai ramené l'enseignement de l'éternité.

Lorsque j'ai retrouvé l'éternité, cela a été pour moi le triomphe par rapport à ce qui semblait l'inévitable de la souffrance. J'ai pu montrer à l'humanité de s'appuyer sur l'éternel pour vivre les cycles de la naissance et de la mort. Tout naît, tout meurt, l'Être reste éternel. C'était le triomphe et le début de l'enseignement.

L'enseignement a mûri et j'ai enseigné que l'éternel est au cœur de toutes les formes, que l'éternité est la nature de ce qui vit, de ce qui meurt.

L'enseignement a mûri et je n'ai plus pu voir la mort ou la naissance. Je ne vois que l'éternité. Les religions et les enseignements sont beaux comme de belles vagues. Il vaut mieux rester à la source de toutes les religions et de tous les enseignements.

Je ne vois que l'éternité. L'éternité est le fil sur lequel sont enfilées les perles du mala de la vie relative. Sans le fil, pas de mala et les perles perdent leur sens.

Je suis la continuité. L'enseignement mûrit éternellement. 

Message d'El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 24-2-24

Incarner la joie. 

Deux plans simultanés et parallèles. L’un la joie profonde, la félicité, la nature de l’Être. Elle ne peut qu’être omniprésente. Elle ne peut qu’être partout. Elle ne peut qu’être la vie. Elle est ce qui est. Et puis les expressions de la joie, les empreintes des civilisations qui ont altéré la relation avec la joie. Comme si la joie, au lieu d’être l’inévitable, devient un trophée à gagner. Les corps émotionnels et égotiques entrent ainsi en relation avec les expressions de la joie depuis une lutte, quelque chose à conquérir, quelque chose à incarner. Il conviendrait d’offrir cela et de s’établir dans l’inévitable que seule est la joie.

Ce Maître qui est venu changer les concepts de l’humanité, Maharishi, l’a dit. Il est descendu des Himalayas pour rappeler à l’humanité que la vie est la joie profonde. C’est cela qu’il convient d’animer. Non pas une lutte pour conquérir une expérience de joie, mais offrir tous les voiles qui feraient douter que la joie est un inévitable. Exactement comme pour la réalisation de l’Être, l’Être n’est jamais à atteindre. Il suffit d’offrir tous les voiles qui voileraient l’inévitable de sa nature.

Ainsi l’attention est portée différemment. Animer, inviter ce caractère inévitable de la joie profonde parce que, par évidence, l’infini ne peut qu’être la joie profonde. L’infini, l’absolu, ne peut qu’être l’océan du bonheur. De cet océan naissent les opposés, les expériences, l’océan reste l’océan. L’océan contient toutes les expériences, tous les opposés. Il en est la synthèse, le nectar. Cela est l’évidence.

La nature de l’absolu est d’être félicité. C’est un fait. Ramener cela comme une évidence et offrir sans même les disséquer ou entrer dedans, tous les voiles qui pourraient faire douter de cette évidence ou montrer que la relation avec la joie doit être celle d’un conquérant envers une conquête

 

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 23-2-24

Le temps se courbe pour se fondre dans l’infini. 

L’heure est à l’ouverture, l’heure est au grand éveil. Et cette ouverture et ce grand éveil impliquent de retrouver l’art de l’incarnation, bien loin des codes de survie qui régissent l’existence des êtres humains, bien loin même des croyances véhiculées dans les domaines spirituels. Bien sûr, il peut y avoir des degrés de pureté de vie, d’hygiène, d’éthique.

Le grand éveil, l’ouverture, c’est le retour à l’âge d’or. L’âge d’or, l’humanité sait-elle ce que cela signifie ? Il est un état de vie dans lequel la physiologie est ramenée à une fréquence vibratoire telle que le sang est d’or. Porter cette vision.

Les sages de tous les temps ont décrit cette vision. Beaucoup ont aspiré à ramener les codes. Et beaucoup, dans cette illusion du temps linéaire, savaient que l’heure n’était pas venue. Ils ont ramené une vision, des concepts, et cela était beau. Ils ont fait de leur vie des laboratoires d’expérience et cela était beau.

Maintenant, la physique le dit, le temps se courbe pour se fondre dans l’infini. L’infini est maintenant. Maintenant, une autre potentialité. Encore faut-il accepter de déposer les croyances, les concepts et surtout les faux savoirs.

Dans le laboratoire de la conscience, il convient d’analyser les données physiologiques et de voir quel est l’état de la physiologie, quel est l’état des ondes cérébrales, quel est l’état de la composition du sang, quel est l’état de clarté des organes. Le corps est-il une pulsation de lumière qui émerge du silence, retourne au silence ?

Regardez-le ce corps, contemplez-le. Le cerveau, le cœur, les organes sont pure lumière. Les rayons unissent les organes au cosmos, aux planètes, au Grand Soleil Central. Tout dans sa structure est pure joie.

Comprenez-le, il ne s’agit pas d’une personne qui aspirerait à ramener son corps à cette réalité puisque cette réalité est éternelle. Il s’agit d’accepter l’honnêteté suprême, non mentalement, non égotiquement, non émotionnellement, par ce sentiment le plus fin qui est le soma, l’énergie-sentiment-pureté qui est la vie et qui nourrit le corps lumière.

L’heure est venue concrètement à ramener la multidimensionnalité, concrètement. La Douce Mère, les grands sages l’ont pressenti. La multidimensionnalité est l’évidence de maintenant. La linéarité accompagne le monde mental tridimensionnel. La Terre est maintenant paradis de lumière. La dévotion, le service, l’incarnation, c’est d’accepter cela, de servir cela, non mentalement, non émotionnellement, non égotiquement, mais en unissant le fonctionnement mental, émotionnel, égotique, au sentiment le plus fin qui est le soma, la substance la plus fine qu’est le corps.

Alors puisque l’invitation reste au concret de l’incarnation, quelle est la clef ? La clef est révélée depuis l’éternité. Elle est la pleine présence, maintenant. La pleine présence inclut en elle tout un programme de vie, tout un style de vie. Honorer son incarnation en l’offrant à l’ultime, l’ultime incarné. Ramener sa structure corporelle au plein jaillissement pour que l’évidence soit que le corps est lumière.

Vous le voyez, ce phénomène que beaucoup nomment ascension et qui est exprimé depuis tant de niveaux et tant de points de vue, ce phénomène, cet état d’être, cet état de vie, est l’ultime du grand éveil.

On ne peut pas par honnêteté accepter que l’Être soit pure lumière, infini, éternel, et que la matière soit périssable. Où serait la logique ? Quel aveuglement a permis que cela devienne la norme de la compréhension ? Il faut bien que l’Être s’expérimente à travers tous les états comme l’eau peut s’expérimenter sous forme de glace, d’eau courante, d’eau stagnante, de vapeur, de lumière, car tous les éléments ont leur source dans la lumière.

L’ultime honnêteté est de tout rendre et d’accepter les règles ou les lois qui régissent la vie lumière. Cela passe par la pleine présence, la pleine présence au corps lumière. Cela passe par honorer le corps lumière en acceptant cette réalité corporelle uniquement.

Cela est exaltant, magnifique et exigeant car l’on ne peut plus alourdir le corps, l’encombrer, le laisser en stagnation, l’alourdir d’émotions puériles. On ne peut plus si l’on dit oui. Il n’est pas honnête de dire oui tout en disant non. Une évidence, n’est-ce pas ? Un choix, oui ou non. Et ce oui ou non lui aussi est illusoire puisque de toute façon, de toute éternité seule est la lumière et le corps est lumière. Seule est la multidimensionnalité.

La beauté est que dans le jeu du temps qui semble s’étirer, vient le moment de la grande courbe. Le temps entre dans l’infini. Le temps entre dans l’éternel. L’espace entre dans l’infini. L’espace entre dans l’éternel. Toutes les aspirations sont tournées vers ce moment du temps. Et puisqu’il reste quelque illusion du temps qui passe, pourquoi ne pas offrir cette illusion à sa source ?

Concrètement, au-delà de l’abstraction de la pure conscience, concrètement la relation avec la matière peut être dans ce regard que la matière est lumière, ce regard exaltant, magnifique et exigeant.

Les codes ont été redonnés, les codes de l’incarnation qui vont bien au-delà des standards un peu améliorés de ce qui se veut être le nouvel âge ou ce qui se veut être la vie spirituelle, bien au-delà des standards normaux un peu améliorés. C’est cela la beauté car il est fatiguant n’est-ce pas, de monter les marches du progrès. Il est bien plus simple et plus vital de tout rendre et d’accepter de vivre son quotidien selon les lois lumière.

Le soleil est le guide. Le matin, l’heure est à la vitalité. La relation avec tous les plans, tous les niveaux de l’individualisation, est relation d’amour et de respect. Tout est rendu à la source éternelle. Le matin est offert à la vitalité et au silence car la vie quotidienne est cette alternance de silence et de vitalité.

L’hygiène ne peut qu’être absolue. L’hygiène vis-à-vis de l’extérieur n’est qu’un reflet de l’hygiène vis-à-vis de l’Être que Je Suis, ceci exprimé au nom de chaque être. Être en phase simplement avec la réalité de la beauté de l’Être. Non pas une personne qui voudrait monter les marches d’une amélioration, le lâcher-prise total de la personne qui s’offre à l’éternité de la noblesse de l’Être.

Ainsi, tout comme une symphonie, l’outil, l’instrument, doit rester accordé, parfaitement accordé. Cela ne nécessite qu’une oreille fine et l’exigence du musicien ou de la musicienne. Dès une petite déviation, l’instrument est de nouveau accordé joyeusement, car c’est magnifique un instrument qui joue juste la symphonie de la vie.

L’hygiène est donc unie à la plus grande vigilance, et la vigilance est unie au plus grand amour, à la plus grande exaltation. Ainsi, parce que tout est offert et tout est uni à ce plus grand amour, à cette plus grande exaltation, tout est nourri. Plus d’effort, plus de tension, la joie d’être vivant et de rendre hommage à la vie.

Cette hygiène s’applique à tous les niveaux. La relation au corps, celle des sentiments, la relation à l’ego qui sans cesse ne peut que s’offrir pour déposer les voiles, les voiles du faire semblant. Faire semblant d’être spirituel, faire semblant d’être évolué, faire semblant d’être intelligent. Faire semblant et quoi encore ?

C’est bien plus beau que cela l’incarnation, c’est rendre hommage à la pure spiritualité de la vie qui est lumière, et la matière est lumière. Rendre hommage au sentiment le plus fin et offrir tous les voiles des émotions qui pourraient obstruer ces sentiments les plus fins, du moins en apparence. Rendre hommage au corps lumière et servir la lumière dans la relation avec le corps.

La lumière est la vie. Ainsi choisir les modes de vie, les aliments regorgeant de vie et laisser les modes de vie qui sont les sous-produits de la croyance qu’il puisse y avoir dissociation entre matière et lumière.

Entrer en relation avec le corps, le nourrissant de joie, de dynamisme, d’amour et d’aliments vivants, et rendant hommage à son infinie intelligence puisque le corps lumière s’autoguérit, s’autonourrit même, de façon ultime.

Entrer en relation avec la sphère mentale en lâchant prise du contrôle de l’ego qui sert le fonctionnement mental au lieu de le laisser s’unir à la source de l’intuition, la lumière qu’est le cœur. Et là encore accorder avec toujours plus de finesse, accorder, car même s’il est dans la courbe du temps des millions et des millions et des millions d’années lumière où l’humanité se sait être lumière, ce petit laps de temps dans l’illusion de la densité a généré des habitudes, des illusions, un ego qui croit devoir tout diriger et qui récupère, et qui récupère… Et c’est cela, n’est-ce pas, qui a généré la pauvreté de bien des enseignements spirituels, car les êtres croient savoir, croient comprendre, et l’ego récupère. La compréhension, le savoir lumière est placé dans un cadre et coupé de sa source. Bien sûr, rien ne peut être coupé de sa source et simultanément le libre arbitre fait que les illusionnistes génèrent des illusions, comme les magiciens.

Vous pouvez reproduire et diffuser ces messages à condition qu'ils soient dans leur version intégrale, en format texte sans modification (pas de vidéo au son enregistré par un robot), que vous indiquiez le nom de l'auteur, Agnès Bos-Masseron, et le site anandamath.org.

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Tous les messages 

Bouddha le 25-2-24 

Impermanence ou éternité ? 

El Morya le 24-2-24 

Incarner la joie. 

L'Être le 23-2-24 

L'intention est le Verbe de la dimension de lumière. 

L'Être le 23-2-24 

Le temps se courbe pour se fondre dans l'infini.

L'Être le 30-1-24 

L'année du grand éveil. 

Cagliostro le 28-1-24 

Ressenti de perte de repères. 

L'Être le 27-1-24 

La matière n'est régie par aucun savoir figé. 

 

St Germain le 26-1-24

Jouer le jeu de l'abondance. 

L'Être le 31-12-23

Plans de vie. 

L'Être le 29-12-23

Sortir des habitudes addictives de l'humanité. 

L'Être le 29-12-23

Pour la création, l'heure est au grand alignement. 

L'Être le 28-12-23

L'humanité sacrée est prête à émerger. 

St Germain le 17-12-23

Transition de l'année et mondes parallèles. 

L'Être le 5-12-23

Par l'attention exclusive à l'ouverture, les craquements cessent. 

L'Être le 11-11-23

Message de la Fraternité à l'humanité 

L'Être le 10-11-23

Il n'est pas concevable de se croire suffisamment présent.

L'Être le 10-11-23

L'heure est venue des flots de la grâce.

L'Être le 10-11-23

La réalité d’une civilisation revient à animer la même fréquence. 

L'Être le 7-11-23

Le choix d’être plénitude détend profondément les structures. 

L'Être le 28-10-23

La régénération spirituelle ramène la spiritualité dans l'au-delà des concepts. 

L'Être le 28-10-23

Lien entre le corps de lumière et le corps physique.

El Morya le 28-10-23

Y a-t-il un mode d'emploi pour débusquer les croyances ?

L'Être le 27-10-23

L'invocation des rayons.

L'Être le 27-10-23

Une croyance est un amas d'inertie rigidifiée

Douce Mère le 7-10-23

L'expérience de Douce Mère et Sri Aurobindo

L'Être le 3-10-23

Être le premier signe de l’éclosion de la divinité au cœur de l’humanité. 

L'Être le 21-8-23

Visualiser cette vie pour toute l’humanité...

L'Être le 20-8-23

La passion d'être vivant. 

L'Être le 19-8-23

Il ne s'agit plus de rêve. 

L'Être le 19-8-23

Les voiles illusoires s'estompent. 

L'Être le 18-8-23

Nous aimons donner les codes et les clefs. 

L'Être le 18-8-23

Seul l'amour guérit, n'est-ce pas ? 

L'Être le 17-8-23

Rien n'est figé si ce n'est la croyance que quoi que ce soit puisse être figé. 

L'Être le 2-8-23

Réveiller les mémoires sacrées. 

L'Être le 1-8-23

La puissance d'un être humain divin est infinie. 

L'Être le 1-8-23

Ainsi naît une autre société. 

L'Être le 31-7-23

L'ascension n'est pas une envolée que l'on attend passivement.

 

L'Être le 30-7-23

Le oui total à la plénitude permet à la structure du corps d'être transfigurée. 

El Morya le 10-6-23

Le fil des réincarnations est devenu une croyance. 

El Morya le 22-4-23

L'art de la manifestation, le processus de création. 

L'Être le 21-4-23

Le temps rentre dans le temple de l'éternel. 

L'Être le 20-4-23

La Terre sort de la linéarité du temps. 

L'Être le 18-4-23

Les mondes célestes ou divins. 

Marie-Madeleine le 14-4-23

Comment offrir et dépasser les peurs ? 

L'Être le 21-3-23

Plus que jamais les deux extrêmes cohabitent. 

L'Être le 26-2-23

Jamais la fraternité ne considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main.

L'Être le 25-2-23

Lorsque les êtres humains appellent comme l’on supplie, personne n’entend. 

L'Être le 25-2-23

Sortir des modes compulsifs de comportement. 

L'Être le 24-2-23

La beauté de l'ouverture est que chaque être retrouve sa souveraineté. 

El Morya le 25-2-23

Le collectif n'a aucune influence sur l’unicité de chaque être.

L'Être le 21-2-23

Certains croient que l'ouverture amène plus de facilité

 

L'Être le 1-1-23

Personne ne viendra transformer la Terre. 

L'Être le 1-1-23

L'heure est révolue des transformations progressives. 

L'Être le 31-12-22

Maintenant est le temps. 

Melchisédech le 29-12-22

La Lune est-elle artificielle ?

L'Être le 28-12-22

L'année nouvelle est porte ouverte. 

L'Être le 13-12-22

Le fossé se comble entre le concret de la matière et la lumière. 

L'Être le 26-8-22

Cette civilisation est retournée bien en deçà de la préhistoire. 

 

L'Être le 24-8-22

Ce n'est pas la situation qui cause le ressenti mais la fréquence à laquelle on s'harmonise. 

L'Être le 11-6-22

Pourquoi la guerre en Ukraine ? 

L'Être le 22-3-22

Ce dont on vous informe est le reflet d’une intention bien précise.

 

L'Être le 11-2-22

Si tout est Un, pourquoi parler d'êtres extérieurs, anges... ? 

L'Être le 11-2-22

Le noyau d'harmonie entraîne l'humanité dans une spirale. 

L'Être le 3-1-22

Le prisme qu'est chaque être. 

L'Être le 3-1-22

La bienveillance ouvre à la multidimensionnalté. 

L'Être le 31-12-21

Les dimensions ne sont générées que par les croyances humaines.

L'Être le 30-12-21

Chaque règne a ses codes. 

L'Être le 29-12-21

Nul n'est spécial. 

L'Être le 28-12-21

Déposer l'addiction au jugement. 

L'Être le 28-12-21

Faire une autre lecture de l'année. 

L'Être le 28-12-21

Sortir de l'illusion. 

L'Être le 22-10-21

Si l'attention est enlevée des apparences, elles s'effondrent. 

L'Être le 14-12-21

Les dés - si jeu il y avait - sont joués.

L'Être le 10-10-21

La joie est le plus puissant des aimants. 

L'Être le 10-10-21

Il n'est aucun péril.

L'Être le 9-10-21

Alors que certains croyaient que viendrait le train des anges…

 

St Germain le 26-9-21

Marcher au diapason de la Fraternité. 

St Germain le 18-8-21

Être bâtisseur de lumière.

L'Être le 18-8-21

La Fraternité des Immortels. 

L'Être le 16-8-21

La réalisation de ses limites est preuve de transparence. 

 

L'Être le 16-8-21

Maintenant s'opère un recodage dans la structure de l'être humain. 

L'Être le 7-8-21

Redonnez à l'humanité sa puissance en rayonnant la vôtre.

St Germain le 7-8-21

L'heure est à la fin du contrôle. 

Sanat Kumara le 3-8-21

Le corps est la précipitation des pensées, des croyances.

Kuthumi le 12-6-21

Donner ou non l'information sur l'effet des vaccins.?

 

L'Être le 11-6-21

L'invitation n'est jamais dans l'abstrait.

L'Être le 24-4-21

Dénoncer les apparences négatives, c'est souiller sa perception.

 

Maharishi le 25-3-21

N'essayez pas de vous adapter à l'inadaptable. 

L'Être le 27-2-21

L'humanité éveillée.

L'Être le 27-2-21

Honorer l'unicité et non la personnalité.

L'Être le 26-2-21

L'hygiène égotique

L'Être le 26-2-21

Les planètes s'inclinent devant la simple grandeur de l'être humain divin.

L'Ami le 30-1-21

Clef pour sortir de la chaîne action-réaction.

El Morya le 30-1-21

La fonction des artistes est d'ouvrir les portes des mondes subtils.

Maharishi le 29-1-21

La vie est félicité.

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