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Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-9-21

Marcher au diapason de la Fraternité qui marche sur la route des hommes.

​Il est vrai, la période actuelle est à la fois élévation, beauté et défi. La vision se doit de rester rivée sur l'essentiel, sur la santé parfaite, sur ce qui paraît juste, précieux et noble. Pour ce faire, l'on ne peut être affecté par ce qui est injuste, même si l'on sait que dans ce qui semble l'un des derniers tournants peut-être, ce qui semble être ombre use de tous les stratagèmes pour résister et vouloir s'imposer. Et peu importe car nous savons que l'ombre est lumière.

Le défi n'est pas de s'apitoyer ou non, de se sentir concerné ou entouré de jugements, d'étroitesse, le défi est d'oser garder la vision.

Vous le savez, dans les sociétés d'harmonie, il est toujours des moments où porter la vision est primordial. Si l'on veut parler en termes de temps linéaire, pour l'humanité, certains qui choisissent de porter la vision, cela est primordial. Ainsi vous voyez l'effet et vous portez la vision sans qu'il soit nécessaire de mettre aucun jugement sur les faits.

L'on pourrait dire que cette situation est initiation car elle invite à accroître sa verticalité, son intégrité et à transformer radicalement sa relation avec le corps.

Il est des périodes dans l'humanité où l'on doit consolider touts les aspects de soi-même pour éviter que des corps en faiblesse, des cœurs en faiblesse ou des structures mentales, émotionnelles, égotiques en faiblesse soient éclaboussés.

Nous l'avons dit depuis si longtemps - si nous voulons parler en temps linéaire - renforcer le corps. S'il est une initiation, c'est que la situation actuelle invite très fortement à renforcer le corps.

Nous avons donné les rythmes justes, les modes justes, le dynamisme et le repos, les aliments qui chantent la vie. Accroître la vitalité, accroître la simplicité, renforcer son corps. Cela maintenant est réel pour double raison, pour le plein épanouissement de soi-même et simultanément pour éviter des éclaboussures de ces fausses ombres qui oublient qu'elles sont lumière et qui essaient d'imposer l'illusion de l'ombre.

L'attitude juste est le bouclier. L'humanité ne peut plus tergiverser et garder un corps affaibli. Cela est s'exposer. L'humanité ne peut que comprendre, appliquer et s'enthousiasmer car de cette façon, la porte s'ouvre grand pour actualiser la vision.

Les maîtres marchent vraiment sur la Terre des hommes. La vibration s'élève. Et lorsque la vibration s'élève, il convient que les modes de vie changent, se transforment. Renforcer le corps est un des prérequis maintenant.

Appliquer les invitations est le cadeau, le cadeau que l'on se fait à soi-même et que l'on fait à l'humanité. Car il faut bien que certains se démarquent, guident et montrent à ces fausses ombres qu'il n'est que la lumière, le montrent de par la vitalité qui s'accroît, la joie qui s'accroît, le dynamisme qui s'accroît. Oser marcher au diapason de cette fraternité qui marche sur la route des hommes pour rappeler le sens profond de l'incarnation. Marcher au diapason  implique aussi la structure physique.

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 18-8-21

Être bâtisseur de lumière.

Selon certaines apparences et un certain registre d'énergie, de taux vibratoire, la Terre, l'humanité, tous les êtres, tous les règnes semblent traverser une apparente souffrance simultanément maintenant. Pour un autre taux vibratoire, un autre regard, une autre attention, la Terre baigne dans la lumière qui est ce que Je Suis. L'humanité, la création, baigne dans cette lumière et est félicité.

L'invitation est de porter la vision de la Terre félicité, de l'humanité félicité. Cela demande la détermination de te nourrir éternellement de l'infinie générosité et de puiser dans cette infinie générosité pour tisser l'énergie de la vision. Ainsi tu t'unis à la Terre, à l'humanité, à la création sur une autre fréquence. Ainsi tu es bâtisseur de lumière.

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 18-8-21

La Fraternité des Immortels. 

Vous le savez, si l’on veut parler en termes du temps linéaire, les périodes d’harmonie de l’humanité - ces périodes où les civilisations savaient mettre le sacré au cœur de chaque moment du quotidien, savaient honorer la beauté, la noblesse dans chaque détail de la vie courante - les périodes d’existence de ces civilisation sont en effet beaucoup plus longues que les périodes des civilisations de rupture d’harmonie. Pourtant dans l’histoire de l’humanité, seule la période de rupture d’harmonie semble prévaloir.

Il est vrai, dans les cycles des temps, cette alternance de jeux entre l’ombre et la lumière jusqu’à ce que l’humanité se souvienne du point de juste milieu.

Longtemps, des civilisations ont imprimé l’harmonie au cœur de la Terre et de l’univers. Pour ces civilisations-là, le temps est éternel, il n’est que maintenant, et ces civilisations existent éternellement. Leur mémoire est imprimée dans la structure de la matière.

Il est une civilisation répondant au nom de la Fraternité des Immortels, ayant retrouvé l’évidence que la matière est lumière et ramené le corps à cette évidence, ayant transcendé la croyance dans le temps linéaire pour que seul soit le temps simultané, le moment de maintenant. Des civilisations dont les êtres savent nourrir leur corps du nectar de l’amour et placer la structure de leur corps dans la trame de l’unité du cosmos. Les corps alors se savent d’éternelle lumière. Cela est la trame d’éternité des êtres humains et cela est imprimé dans la structure de tous les corps physiques et vécu concrètement par tous les êtres.

Maintenant, superposé à cette réalité, en est une autre, celle régie par le temps linéaire. Et dans cette réalité superposée, les à-coups, ce que l’on nomme les ruptures d’harmonie. Et les civilisations d’harmonie dans le cadre du temps linéaire se trouvent chassées. C’est ainsi que la Fraternité des Immortels, dans cette civilisation que l’on nommait l’Atlantide, s’est déplacée vers les hauts plateaux des Himalayas. Certains ont su garder la mémoire de l’immortalité. De là, apparaissent ces frères tel que Babaji ou les sages décrits dans cette tradition devenue la Tradition Védique.

La Fraternité des Immortels déplacée dans les sommets les plus élevés de l’Himalaya puis dans d’autres points du globe et préservant l’union entre la civilisation régie par la troisième dimension et la civilisation régie dans l’au-delà du temps, dans le temps simultané dans ces dimensions de lumière. C’est ainsi qu’est perpétuée la mémoire de l’immortalité. C’est pour cela que dans la tradition védique les textes proclament les êtres humains comme les fils de l’immortalité. Non des civilisations séparées, une même fraternité. Et la réalité éternelle du temps de maintenant et de cette ère de perfection qui ne connaît ni les limites, ni les imperfections, avec superposée cette alternance régie par la perte ou le retour de l’harmonie.

Garder l’attention rivée sur l’éternité et sur maintenant. Voir toutes les civilisations comme une même fraternité, les langues plus ou moins proches du langage de la nature, plus ou moins audibles par la nature, et à la source de toutes les langues, la langue du cœur, vibration du silence, celle qui n’a pas besoin des mots, qui est l’expression pure et que les mots traduisent.

Ainsi, dans ce qui paraît être la troisième dimension, se sont multipliés les traditions, les civilisations, les langues, les rituels, ayant comme source et origine la Fraternité des Immortels, la fraternité du vivant, cette fraternité qui inclut tous les règnes, tous les plans, tous les êtres.

Pour cette fraternité, l’existence est pur hommage au-à la Vénérable. Dans cette fraternité, l’union est totale. Cette fraternité ne connaît pas les fractionnements de fraternités mais l’unité de la fraternité du vivant.

Selon les lieux géographiques, les conditions climatiques, les traditions expriment l’unicité du lieu. Les civilisations expriment l’unicité de la relation de ce lieu avec le cosmos, avec les planètes. Ainsi se dessine la multiplicité des civilisations sur la base de l’unité.

Apprendre à renouer avec cette éternité de la fraternité du vivant. Ne plus se voir encapsulé ou encadré dans le cadre d’une culture, d’un temps et d’un espace. Se voir depuis l’infini du cœur qui transcende tous les espaces. Retrouver son assise dans cette fraternité qui inclut tous les êtres et qui est mue par le même souffle, celui de l’amour, de la dévotion.

Comprendre le cosmique de l’être humain. Il ne s’agit pas d’individus plantés dans quelques points du temps ou de l’espace mais de l’Être suprême manifesté de façon unique dans des milliards d’expressions et gardant sa nature unique.

Au cours du temps qui passe, garder le regard rivé sur l’éternel. Ainsi déjouer le mirage du temps qui passe pour retrouver l’assise dans maintenant. Maintenant, l’offrande de dévotion. Dans cette assise dans maintenant, se trouve la clef de l’éternelle jeunesse.

Contempler la réalité de l’être humain dans sa divinité. Cette contemplation est don pour l’humanité.

 

 

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 16-8-21  

La réalisation de ses limites est preuve de transparence.

En cette époque où tant souhaitent un changement dans la société dans le contexte général de la vie humaine, être l'initiateur de ce changement en choisissant un autre mode de relation avec soi-même.

Il est vrai, bien souvent l'être humain ne connaît pas l'intense, cette détermination qui permet aux graines de germer car sans intensité de détermination, dans cette énergie de tiédeur qui est commune à l'humanité, rien ne germe ou si peu.

Retrouver ce feu, cette flamme intérieure et nourrir cette flamme du feu de la passion, dans la détermination de dépasser éternellement ses limites, sans tension, sans crispation, sans jugement. La réalisation de ses limites est preuve de transparence. Et le courage de traverser ses limites, mû par le feu de l'amour, démontre la sagesse et la maturité. Tant d'êtres humains ont l'attitude infantile de se rebeller contre les limites. La rébellion n'est que manque de maturité.

Dans cet éternel autodépassement qu'est le jaillissement de la vie, embrasser ses limites, les dépasser avec détermination, persévérance, enthousiasme, sans aucun jugement, seulement mû par l'amour de cet autodépassement qu'est la nature de la vie. Ainsi s'ouvrir toujours plus à soi, sans fausse complaisance, sans dureté non plus, hors de tout jugement. Réaliser la puissance de ce jaillissement qu'est la vie et rendre hommage à ce jaillissement à travers son incarnation, sans s'arrêter nulle part et surtout pas à ces prétendues limites qui ne sont que des invitations à l'autodépassement éternel.

Les tièdes s'arrêtent à chaque limite et se plaignent et se rebellent. Ceux qui brûlent du feu de l'éveil reconnaissent les limites, offrent tout l'amour, toute l'énergie, toute la clarté pour les dépasser, sans aucun jugement. Alors se présentera une autre limite. Telle est la nature de la vie qui peut être dépassée avec tout autant de détermination, d'enthousiasme, de passion, de feu.

Peut-on dire qu'il est un état sans aucune limite ? Cela ne serait pas le fait de l'incarnation. L'incarnation est ce jeu de limites qui s'offrent à l'illimité éternellement. Les limites dépassées laissent place à une limite ayant, à un niveau peut-être plus intense, le visage de l'illimité et pourtant restant limite à dépasser.

C'est cela la beauté d'être humain. Apprendre à déposer tout jugement, tout sens de rébellion et surtout toutes ces plaintes des tièdes qui se croient victimes et toutes ces croyances d'avoir tout essayé et de ne pas parvenir. Cela n'est que le langage des tièdes.

La tiédeur n'est pas le fait de l'incarnation. L'incarnation est faite de détermination et de passion, la passion de polir le miroir de l'individualisation jusqu'à ce que ce miroir soit le reflet pur du divin.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 16-8-21

Maintenant s'opère un recodage dans la structure de l'être humain.

Vous le savez, dans ce moment de maintenant, deux angles de vue. Ce chaos apparent, ce bouleversement d'énergies rigides ou cristallisées, cette apparente fermeture, et l'ouverture totale, simultanément, et cette opportunité magnifique qui est offerte aux êtres humains de dire oui pleinement à leur nature propre.

Être humain, vous le savez, est être divin. Il est particulièrement opportun d'être uni dans le partage de cette vision maintenant.

Il est vrai vous le savez, le temps linéaire n'est qu'illusion, et pourtant maintenant, inscrite dans la chaîne du temps, est une rare opportunité d'ouverture. Maintenant s'opère un recodage dans la structure même de l'être humain. Maintenant s'inscrit la possibilité de retrouver ni des potentiels, ni des opportunités. Bien au-delà des pouvoirs, la puissance d'être humain est de laisser se déployer toutes les potentialités de cet être humain qui est divin.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 7-8-21

Redonnez à l'humanité sa puissance en rayonnant la vôtre.

Être ainsi soleil de tendresse rayonnant l'infinie puissance du simple et du sacré, s'offrant pleinement. C'est cela la fraternité, n'est-ce pas et c'est cela l'humanité.

A l'heure où tant croient encore dans le pouvoir des luttes, être ce soleil de tendresse. Car dans la vision sur l'infini bonheur d'être simplement et de s'offrir pleinement, s'offrir pleinement à la vie est s'offrir au bonheur.

Choisir de ne plus alimenter les histoires ou les drames en y croyant. Choisir d'être simple soleil de tendresse offrant la puissance de ceux qui choisissent d'être créateur de la réalité…

Ne vous souciez pas pour l'humanité, redonnez-lui sa puissance en rayonnant la vôtre. Redonnez-lui sa pureté en incarnant la vôtre. Redonnez-lui sa joie en dansant la vôtre.

Ne plus croire dans ces faux magiciens qui inventent les drames. Maintenant il n'est que cela, être soleil de tendresse, offrant la puissance d'être simplement à travers son unicité et redécouvrant le "tout est possible"...

Reposez au cœur de l'unité. Osez être la voix qui rappelle l'au-delà des histoires, l'infinie tendresse, le vrai visage de l'humanité. Osez.

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 7-8-21

N'en doutez pas, l'heure est à la fin du contrôle.

Unique en effet cette époque. Une belle opportunité de s'ancrer toujours plus dans la création de sa propre réalité.

Le plus important, quelles que soient les circonstances de vos quotidiens, est de ne pas se positionner en celui ou celle qui doit subir. Ne pas subir, créer.

Vous allez dire "les lois sont imposées, les contraintes semblent grandir". Belle invitation à faire grandir votre espace de liberté intérieure.

Ne grossissez pas la pesanteur du contexte actuel en lui donnant de l'importance.

Il est vrai, il est inopportun et préjudiciable pour le bien-être de la société que des substances nocives non testées soient injectées, même à des enfants. Il est dommage que les êtres qui prennent les décisions ne sachent pas avoir la vision juste.

L'opportunité pourrait être pour l'humanité de prendre cette situation sanitaire pour reconsidérer sa relation à la santé, à son corps, à sa vie. Pourquoi certains résistent-ils à tout virus ? Pourquoi d'autres sont-ils si affaiblis ? Qu'est-ce que la santé ? Quel est le rôle de chaque être humain vis-à-vis de son corps ? Comment accroître sa vitalité, sa résistance ?

Tel devrait être le thème envisagé par les leaders de la société. D'autres intérêts, d'autres limites, d'autres étroitesses. Elles ne vous appartiennent pas.

L'attitude et l'invitation est de rester pleinement ancré dans son propre bonheur, d'avoir la clarté de son propre choix et de savoir que rien ne peut influencer ce choix. Vous ne pouvez projeter la situation dans une vision globale, vous ne pouvez que vous positionner, vous, maintenant, face à une situation présente qui toujours évolue, et jouer avec cette situation comme à un jeu.

Le don est que nul ne peut tergiverser. On doit maintenant se positionner. Et le positionnement n'est pas contre ou pour les vaccins ou pour la liberté, le positionnement est pour la vie humaine. Qu'est-ce que je choisis, moi, de rayonner, de promouvoir ?

Il est vrai, d'un côté l'atmosphère est plus pesante. Le don est que cela invite à plus de vigilance. Soyez très à l'écoute de vos corps. Intensifiez le dynamisme. Ne vous laissez pas enfermer par un poids, ne vous laissez pas appesantir, ne vous laissez pas endormir, ne vous laissez pas manipuler. Restez la flamme de vie. Dynamisez vos corps.

Mettez le poids de l'attention sur ce qu'est votre passion de vie. Ne vous laissez pas entraîner dans ce tourbillon qui au départ aime à créer une énergie de souci ou de peur. Que l'on ait peur d'une maladie ou que l'on ait peur des contraintes, le résultat est toujours que l'humanité est entraînée dans la peur, et la peur enchaîne. Gardez les choix clairs. Traversez les inconvénients, sachant en retirer un bienfait pour vous.

La plus belle façon de contribuer à ce que l'humanité retrouve un équilibre est d'incarner cet équilibre. Le plus important maintenant est de ne plus jouer le jeu des drames, quels que soient les drames, de garder l'esprit clair, le cœur joyeux, l'énergie vitale, et de garder votre axe, votre passion.

Il faut avoir la vision juste, bien au-delà de la crise sanitaire, la crise est celle du contrôle. Certains essaient de faire jouer la peur pour réussir à contrôler. Et simultanément, l'heure est à la fin de ce contrôle. Cela est clair et n'en doutez pas. Alors traversez, jouez autant que vous le pouvez. Sachez prendre les inconvénients comme des bienfaits.

Utilisez surtout la suprême clarté qui permet de trouver les solutions à chaque moment de maintenant, devant chaque situation, sans vous enfermer dans une croyance que vous devez subir. Non. L'être libre choisit de ne jamais subir mais de créer.

Il est vrai, les circonstances passagères… Pourtant n'en doutez pas, l'heure est à la fin du contrôle. Soyez ces lumières qui rayonnent la clarté, la plénitude. Utilisez cette opportunité pour entrer en relation différemment avec vos corps, une relation dynamique, intelligente. Apprenez à comprendre comment le corps peut grandir en vitalité, sans résistance. Soyez les témoins de la détente, de la grande vision de l'être qui se sait créateur et qui choisit de ne jamais subir.

N'oubliez pas, chaque jour, bénissez. Quel que soit ce qui vous est présenté, apprenez à trouver le regard qui bénit. Il y a toujours quelque chose à bénir. Et si le regard est rivé sur le fait de bénir, la bénédiction grandit et les circonstances changent. Si le regard est rivé sur quelque histoire enfermante ou même dramatique, ce qui grandit est le drame et l'enfermement. La loi reste éternelle, l'attention donne vie.

Vous avez plus de clarté, faites usage de la clarté pour créer des solutions innovantes. Connectez-vous encore et toujours. Connectez-vous à vous-mêmes. Connectez-vous à la Terre, aux étoiles. N'oubliez pas, l'espace n'existe pas. L'attention donne vie et tout est en interrelation avec tout. Ne doutez pas, l'heure est à la fin du contrôle.

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 3-8-21

Le corps est la précipitation des pensées, des croyances.

Retrouver cette évidence que la matière est lumière. Retrouver cette évidence et l’inscrire dans la structure du corps.

Vous le savez n’est-ce pas, le corps est créé à partir des pensées. Au niveau le plus fin, le plus réel, de la lumière naît le verbe et le verbe se fait chair. La chair alors est lumière. Cette réalité s’applique à tous les corps.

Pour ceux qui ont établi la transparence, le verbe est lumière. Pour d’autres, le verbe reste lumière et autour, se crée comme une cage des pensées désordonnées. Et ce sont les pensées qui créent la structure du corps.

Notre société a accepté le concept que la pensée est créatrice. Pourtant trop peu savent appliquer ce concept dans la réalité. La pensée est créatrice et la pensée génère l’état du corps. Affiner la pensée, qu’elle soit le miroir de l’intellect le plus fin. Et ainsi, naturellement, en sous-produit, raffiner la structure corporelle.

On peut dire que le corps est la précipitation ou la manifestation des pensées, des croyances, des crispations ou des fluidités. Le corps humain naturel est corps de simplicité et de lumière, corps infiniment vital ne connaissant ni maladies, ni vieillissement parce que la graine qui est sa source est infiniment vitale et pure lumière.

Il est une humanité dont les corps sont pure lumière et dont les structures corporelles ne connaissent que l'éternelle jeunesse, la vitalité, la vibration de la joie. Beaucoup parlent des sociétés d’harmonie. Dans ces sociétés, l’être humain naturel a un corps vibrant de lumière. Le sang est fluide et couleur d’or. Le sang est amour et dévotion. La frontière est presque inexistante entre les sentiments et la projection des sentiments dans la création. Plus les sentiments sont purs, plus la création est pure.

Lorsque les sentiments deviennent émotions lourdes, la création est lourde, crispée, tendue et régie par des lois telles que le vieillissement, la maladie, la cause et l’effet même. Lorsque seule est la lumière, la seule loi régissant la vie est la grâce.

Œuvrer sur le corps implique donc œuvrer sur toutes les structures émotionnelles, égotiques, mentales. Cultiver la simplicité, la noblesse de ce regard qui naturellement ne voit que le beau et le bon. Ainsi naturellement la structure corporelle est affectée et se fluidifie…

Ce qui est prépondérant est de pacifier la structure émotionnelle par une attention tout offerte au beau et au bon. Cela a la plus grande puissance pour transfigurer la structure corporelle.

Vous le savez, la dimension de lumière ne connaît pas le temps linéaire, seulement le temps simultané. Effacer du système de compréhension ou de croyances la notion du temps linéaire. Cela paraît impossible au sein de la troisième dimension, pourtant c’est le changement de regard qui permet de basculer dans une autre dimension.

Message de Kuthumi reçu par Agnès Bos-Masseron le 12-6-21

Je ressens certains effets chez les personnes qui ont reçu le vaccin. Est-il bon de leur donner l'information ?

La plus belle information est ton rayonnement. Parallèlement à cela, informer peut être beau tant que l'information vient de la vision la plus vaste.

L'on peut informer sur les effets des vaccins ; cela n'est pas la vision la plus vaste. La vision la plus vaste est celle qui prend en compte tous les points de vue. Depuis cette vision la plus vaste, l'information est ce qui permet à chaque être de se relier à sa source et d'écouter intérieurement le langage du corps dans cette circonstance concrètement.

Il n'y a pas besoin d'information verbale. Il n'y a pas besoin de dire quelles sont les substances, quels sont les effets, quels sont les mensonges ou les illusions.

Il pourrait être impérieux de la société de retrouver cette autonomie et cette écoute qui fait que le corps dit clairement oui ou non : oui cette substance est bonne et contribue à l'harmonie de mon corps, non cette substance ne contribue pas à l'harmonie de mon corps. Il n'y a pas besoin d'information qui ne serait que mentale.

Il est impérieux de ramener l'humanité à cette clarté. Alors si tu veux informer, informe de cela. Exprime la grande anormalité. Il est anormal que les êtres humains dépendent d'informations pour savoir ce qu'il est juste ou non d'appliquer à leur corps. Leur corps leur dit et leur corps est eux.

Pourquoi l'humanité en est-elle venue à cette dépendance de l'opinion ? Quelle que soit l'opinion, ce ne sont que des mots. Le corps parle un autre langage. Il suffirait que l'humanité retrouve cette simplicité, cette clarté qui lui permet de savoir en entendant un terme. La vibration de ce terme est-elle compatible avec la vibration du corps ? Oui ou non ? Pas besoin de savoir pourquoi elle ne l'est pas ou pourquoi elle l'est. Si elle l'est je prends, si elle ne l'est pas je ne prends pas.

Ce n'est pas l'information qui est nécessaire mais la clarté. L'information ne donnera jamais la clarté. L'information n'est qu'un point de vue. Le corps sait et cela est valable pour tous les aspects de la vie. Le corps sait. Le cœur sait. L'aura sait. Cela est l'autoréférence.

Il est erroné de croire que l'humanité peut avancer si elle reste à marcher sur les béquilles de l'information. Il est juste d'aider l'humanité à retirer les béquilles et à marcher seul à l'écoute de SA réalité. Chaque être est SON univers et SA réalité. C'est cela l'invitation maintenant.

L'humanité doit comprendre qu'il est impérieux de cesser de se fier à des informations et de ramener chaque être à la clarté qui sait ce qui est juste, non dans l'absolu mais pour elle ou lui, sans aucun jugement, sans aucune mentalisation. La vibration de cela est juste, la vibration de cela ne l'est pas ; je prends ce qui est juste, je laisse ce qui ne l'est pas.

Et je vide la tête. Et je vide la tête et j'emplis le cœur de cette clarté qui sait. Chaque être est son propre univers.

La question n'est pas de répandre de l'information, la question est "l'humanité veut-elle bien cesser de se reposer sur l'information au lieu de se fier à la clarté qui sait ?"

Alors si ta générosité t'amène à aider l'humanité, c'est cela que tu peux leur donner, c'est vers cela que tu peux les guider. Leur apprendre avant toute décision, à écouter, non pas l'information transmise par la tête, dans la tête, mais la clarté qui est la résonance de la vibration dans le cœur, dans la physiologie. L'information ne sera toujours que déformation. La connaissance, la simplicité, la sagesse, l'intuition, si ta générosité t'amène à aider, alors œuvre pour déployer cela et pour guider l'humanité vers ce stop radical : cessez de vouloir être informé, formez-vous à votre propre perfection. C'est simple, clair et exigeant.

Peut-être que certains croiront que la plupart de l'humanité n'est pas prête à cela, cela est erroné. Il faut bien trancher un jour, passer l'épée de Michaël sur ce système d'information qui n'est que du brouillard et du brouhaha mental.

On n'a pas besoin d'être informé, l'on a besoin d'écouter la clarté. Il n'est pas difficile pour l'humanité de retrouver cette clarté, il suffit de le vouloir. Le corps a des langages et sait s'exprimer.

Si tu veux par ta générosité aider l'humanité, ramène-lui l'écoute de ce langage du corps, non pas une information qui serait un nouveau brouillard au milieu de tant de brouillards, basée sur quelque déformation, mais ce langage clair. Un mot est énergie. Tu entends "vaccin", écoute. Tu crois ne pas pouvoir écouter, alors prends le temps et écoute, non depuis l'information déformée, depuis le signal que donne le corps. Si tu veux par ta générosité aider l'humanité, contribue à la ramener à la simplicité.

 

Message reçu par Agnès Bos-Masseron le 11-6-21

L'invitation n'est jamais dans l'abstrait.

…Il est réel, la Terre s'ouvre, du moins pour ceux et celles qui choisissent d'être ouverture. On pourrait dire des terres superposées, et simultanément le nouveau monde créé, reconnu, de nouveaux paradigmes, de nouvelles relations, une nouvelle éthique. L'éthique est fondamentale au sein de l'ouverture. Vous avez reçu l'invitation de quitter irrémédiablement tout mode de critique, tout jugement. Être bienveillance car cela est la vibration qui est en équation avec l'ouverture. La vibration. Ce monde nouveau reconnaît que tout est vibration et que tout est interaction.

L'ouverture est à tous les plans et ne peut que s'accompagner de changement radical de mode de fonctionnement, de point de vue, de regard. Ne pas attendre.

…Partager car le divin est partage et que la vibration du partage est celle de l'ouverture, que la vibration du partage est le registre juste à partir duquel peut être créée la création.

L'invitation n'est jamais dans l'abstrait car l'abstrait n'est pas. L'ouverture se doit d'être signée par l'incarnation. C'est la vibration animée et nourrie qui opère la transmutation corporelle.

Lorsque celui qui a cheminé sur la route des hommes, il y a deux mille ans peut-être, a amené son regard et l'expression de son regard, il aurait fallu comprendre qu'il ne parlait que de vibration, non de morale ou de dogme.

Le divin est partage et rencontre. Non le divin qui viendrait rencontrer quelque non-divin. Cela est aberration, le divin est le tout. Le divin dans sa nature est partage et rencontre. Ramener son incarnation au registre de dévotion, non un sentiment. L'incarnation magnifie le sentiment à travers le concret.

L'on ne peut créer des séparations entre les sphères d'application et de déploiement de la vie. L'esprit, la lumière et la matière ; l'individu, la société, l'univers. Tout cela n'est qu'un. La vision vaste est celle qui comprend l'angle unissant toutes les sphères et ramenant la vie à l'état de grâce. Cela se traduit par la transmutation corporelle.

L'ouverture implique actualiser les dons.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 24-4-21

Dénoncer les apparences négatives, c'est souiller sa perception.

Alors que tant parlent de cette aspiration pour l'humanité à retrouver la civilisation de l'harmonie, qui connaît l'harmonie ? L'harmonie est cette absolue bienveillance qui en soi est la structure des sphères paradisiaques. Aucune critique, aucune implication dans le fait de condamner ou de juger. Le regard reste offrande. Le cœur est l'offrande. Le cœur sait ne voir que la beauté.

L'une des clefs est de contempler la beauté, même au sein de ce qui donne des apparences contraires à la beauté. La seule clef de la transmutation est le regard rivé sur le divin. N'être qu'adoration. Le monde mental croit pouvoir porter un regard critique tout en justifiant qu'il est le cœur, le cœur sait ne regarder que le cœur. Adorer la beauté.

Et maintenant dans cette phase de l'humanité, adorez la beauté même au sein de ces groupes qui semblent donner l'apparence de vouloir contrôler. Ne posez jamais le regard sur autre chose que la beauté. Pour que l'humanité fasse le pas de rétablir la Terre concrètement dans ce paradis qu'elle est, il est vital qu'elle sache ne percevoir que la beauté en tout être. Nous avons dit "tout être". Louez le divin en contemplant chaque être.

Cela n'empêche pas l'extrême autoréférence. L'implication est entre soi et soi-même et chacun est maître de ses choix de vie. Les choix se font dans la plénitude de la liberté. Les choix excluent toute critique ou tout jugement.

Tous les règnes unis dans le même regard. Il n'est que la contemplation du-de la Vénérable. Cela est un absolu. Dénoncer les apparences négatives, c'est souiller sa perception. Le verbe est créateur. L'heure est venue pour le créateur de créer une création à l'image du cœur.

Omettre toute division de sa perception. Il n'est qu'une fraternité, celle du vivant. Quelles que soient les apparences, ne regarder que la fraternité, celle du vivant.

Ceux qui croient qu'il est plusieurs groupes, l'un qui veut dominer et les autres qui commencent à s'insurger, ne comprennent pas la réalité. La base de la transmutation de l'humanité réside dans cette offrande de l'adoration au-à la Vénérable au sein de chaque parcelle de création. Cela est un absolu.

Il faudrait que l'humanité puisse voir la transformation totale de sa physiologie lorsqu'elle s'abstient totalement de toute critique ou jugement. L'on ne peut pas dire que l'on exprime ce qui semble être manipulation sans se souiller. Il est vrai, au sein de l'absolu, aucune souillure. Cependant, l'art de la création et d'être créateur a pour règle absolue que la parole est créatrice, que la pensée est créatrice et que la création est la projection de la vision. 

Message de Maharishi reçu par Agnès Bos-Masseron le 5-3-21

N’essayez pas de vous adapter à l’inadaptable.

Vous le savez, je suis descendu des Himalayas pour ramener l’évidence que la vie est joie pure et que le paradis est sur la Terre. Retrouver cette connexion intérieure. Retrouver l’union avec la source. Sortir de la croyance qu’il est nécessaire de lutter pour retrouver le bonheur, et ramener sa vie dans cette simple évidence que seul est le bonheur.

Il est vrai, beaucoup d’êtres humains croient que la vie est lutte et que seule la volonté peut contrôler l’inévitable de la souffrance. Cela correspond à l’ignorance. La méditation ramène à la clarté, à la sagesse. Apprendre à écouter la voie éternelle, la tradition, ceux qui vivent au bord du fleuve du bonheur et qui savent simplement recevoir le flot du bonheur de l’intérieur. Et de par cette connexion avec le flot du bonheur à l’intérieur, les circonstances extérieures changent…

Beaucoup croient être hors de leur place. Il est juste d’être hors de l’ignorance, il est juste d’avoir cette exigence de pureté, cette exigence de transparence. Il est juste d’aspirer à créer son quotidien à l’image de ses rêves les plus profonds.

Il est réel que la société dans son ensemble a oublié ses rêves. Je suis venu ramener l’évidence du droit éternel au bonheur. La première étape est de renaître à soi et de se laisser guider vers ceux et celles qui choisissent la même exigence, la même innocence. On ne pourrait pas mettre un palmier au Pôle Nord. On ne pourrait pas amener la banquise dans le Sahara. Chacun et chacune doivent trouver la place qui leur est propre, l’environnement qui leur est propre et ne pas se laisser avaler par une société qui a perdu les voies de la sagesse.

Vous ici êtes venus dans cette incarnation pour rayonner la voie de la sagesse et faire d’autres choix. Ne vous croyez pas déphasés et n’essayez pas de vous adapter à l’inadaptable. On ne mettrait pas un palmier au Pôle Nord. On ne mettrait pas la banquise dans le Sahara.

Ne pas faire de compromis et ne pas s’exposer à des énergies qui sont trop lourdes. La finesse du système n’est pas faiblesse mais force. Comprenez cela, le raffinement des systèmes n’est pas faiblesse mais force. Il peut amener à se sentir déphasé. Ne vous exposez pas aux énergies rudes. Choisir d’honorer sa propre sagesse, sa propre intégrité, sa propre aspiration à une vie de simple pureté.

Il est vrai, la société voudrait avaler ceux et celles qui sont phares. Retrouvant le contact avec la source de la lumière, le phare rayonne sans se laisser avaler. Cela implique peut-être changer son environnement et dire oui au droit à l’éternel bonheur.

Si le palmier est amené au Pôle Nord, il dépérit. Il a besoin du soleil, de l’air sec et chaud. Si les systèmes raffinés s’exposent dans des milieux de stress, ils dépérissent. Il n’est pas nécessaire de s’adapter à l’ignorance. Il convient de s’établir dans ce qui paraît juste, la simple pureté. Oser s’installer dans cette société qui correspond à son propre raffinement. Et cette société existe. Elle paraît plus restreinte peut-être mais elle existe.

Le palmier amené au Pôle Nord est donc abîmé, flétri. Il doit se régénérer au soleil de sa propre nature…

Retrouver la connexion avec sa source et se donner le droit du simple bonheur, rejoignant ces microsociétés qui vivent et qui travaillent en harmonie avec leur nature propre…

Votre sensibilité est l’inévitable de physiologies raffinées. Cela ne signifie pas que certains qui ont une autre forme de sensibilité et qui sont moins sensibles par nature aux environnements extérieurs sont moins raffinés. Pourtant certaines formes de raffinement amènent cette sensibilité qui invite à trouver ces microsociétés qui sont en résonance avec cette forme de sensibilité… Là vibre le sens de la communauté, de la fraternité et du respect…

Choisir de vivre une existence inspirée s’exposant à la source de l’inspiration. Vivre différemment des courants d’ignorance. Le palmier ne pourra jamais s’adapter aux lois de la nature du grand Nord. Le palmier s’épanouit dans des lieux correspondant à sa propre nature. Ce sont des microsociétés. Le fait de dire oui à cette appartenance aide la société à se transformer pour que les microsociétés deviennent la société. Cette intention est sacrée.

Guru Dev est soleil. Le soleil illumine le ciel.

Et encore et toujours nous disons « Jai Guru Dev ».

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 27-2-21

Honorer l'unicité et non la personnalité.

Très intimement, être l'infini de la joie. L'intimité avec sa nature ouvre à l'intimité avec chaque parcelle de création. L'infini de la joie, l'infinie tendresse inhérents à la nature de chaque être, quelle que soit l'unicité. Tangible l'ouverture pour ceux et celles qui font le choix d'honorer leur unicité et non leur personnalité.

Pendant longtemps l'humanité a cru que la personnalité était son unicité alors qu'elle n'est qu'un masque déformé. La psychologie souvent a mené vers de fausses pistes. La personnalité n'est qu'un masque déformé.

L'essence, le jaillissement de divinité, s'exprime de façon unique pour chaque être. La libération intérieure ne peut être la résultante de laisser libre cours à sa personnalité. La personnalité n'est qu'un masque déformé.

La libération intérieure est l'épanouissement et le jaillissement de son essence. L'essence n'a que des parfums de liberté, de tendresse, de puissance et de créativité car infiniment créatif est l'être qui s'exprime de façon unique au sein de la plénitude. Au sein de l'infini de l'amour, créer sa création. Être l'infinie beauté du jaillissement, exprimant ce jaillissement de façon unique.

Il convient tout d'abord de déposer la personnalité. L'épanouissement ne peut jamais être l'épanouissement de la personnalité car la personnalité n'est qu'un masque déformé. L'ego sait bien cacher la déformation de ce masque, amenant avec lui le mental qui justifie ou les émotions qui semblent crispées de par l'addiction à quelque histoire.

Le dévot, la dévote sait poser le masque déformé. L'ouverture est générée par ceux et celles qui font le choix maintenant de poser les masques, de lâcher les habitudes anciennes, qu'elles soient ancestrales ou personnelles. Ce que certains nomment la nouvelle humanité n'est en fait que l'humanité éternelle débarrassée de ses masques. La relation alors avec tout l'univers n'est que plénitude.

Au nom du collectif de l'humanité, sur le plateau d'or, déposer la personnalité, tous les déguisements, tous les masques, les fausses croyances et les fausses connaissances. L'expression est le jaillissement du beau et du bon, ce beau et ce bon qui est au-delà des opposés. Ainsi est la voie du Un.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 27-2-21

L’humanité éveillée.

Voyez la beauté de l’humanité éveillée. On ne peut juxtaposer l’éveil et l’indolence. L’éveil ouvre à la simplicité totale. De la simplicité totale, jaillissent les flots de l’amour. L’humanité éveillée incarne un autre visage de l’amour jusqu’alors inconnu.

La Douce Mère et Sri Aurobindo le montrent et le répètent, on ne peut juxtaposer l’état éveillé et l’indolence. On ne peut que brûler l’indolence par la passion de l’éveil. Brûler signifie couper les liens. Couper les liens signifie choisir de nourrir l’état éveillé par la passion de l’attention.

On ne peut juxtaposer l’état éveillé et la torpeur corporelle. L’état éveillé embrase les cellules, les dynamise et rétablit des flots jusqu’alors inconnus qui amènent cette autre valeur du corps. La dévotion est la source de l’embrasement.

Toutes les structures alors s’ouvrent à un autre fonctionnement. Ce que l’on nomme le mental disparaît pour que jaillisse la clarté de cet intellect le plus fin qui reflète le cœur. Les émotions disparaissent pour que jaillisse ce sentiment le plus fin, celui des expressions de dévotion qui façonnent le corps des sentiments. L’ego se fond pour que jaillisse l’union qu’est la dévotion, car la dévotion n’a son sens que dans le cœur de l’union.

De là, apparaît un autre corps, une autre structure. Le son retrouve la fréquence de l’amour.

Il est un corps dont le son est soma. Le soma est cette substance générée par l'intensité de dévotion. Les battements du cœur alors sont battements du cœur cosmique.

Voyez, du cœur de l’union naît la dévotion. La dévotion ne connaît que l’union. La Douce Mère aime à le redire, on ne peut juxtaposer l’état éveillé et l’indolence. Se réveiller par dévotion.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-2-21

L'hygiène égotique

L'hygiène égotique est le don de l'amour à toute impulsion égotique, pour que toute impulsion égotique se reconnaisse dans son visage d'amour. L'hygiène égotique est le choix d'offrir à la transparence tout reste d'attachement à des mécanismes égotiques.

L'hygiène égotique a sa base dans la clarté qui ouvre à la vigilance qui ouvre au choix passionné et intransigeant d'offrir son attention exclusivement à la voix du cœur, amenant avec toujours plus de clarté et de conscience ces zones cachées ou qui se cachent, ces angles morts de l'ego qui toujours tente de récupérer quelques bribes, cristallisant ainsi le corps des émotions, la structure mentale.

L'hygiène égotique a sa base dans le souffle de l'amour, le souffle d'ananda. En permanence éternellement, offrir le souffle d'ananda à chaque aspect de l'individualisation. Le souffle reste la porte et le pilier. A cet art du souffle infiniment offert, s'unissent les dons de lumière.

Message de l'Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-2-21

Les planètes s’inclinent devant la simple grandeur de l’être humain divin.

Peut-on dire que la Terre s’ouvre ? Cette ouverture n’appartient ni au temps linéaire ni à l’espace, pourtant elle s’inscrit dans le temps linéaire. L’ouverture, vous le savez, invite à être rencontrée. Ne pas attendre, oser. L’ouverture ne se rencontre pas avec quelque volonté de l’ego, quelque élan du corps d’émotion, l’ouverture se rencontre avec la dévotion…

Ce qui, même il y a peu de temps, ne semblait pas envisageable devient réalité concrète. L’espace se fluidifie et le temps s’arrête.

La fraternité se rencontre sans qu’il n’y ait besoin de voyage ou d’identifier les plans ou les dimensions. Le seul plan, la seule dimension, le cœur. Non ce cœur qui est à la frontière du corps des émotions et qui est voilé par ces émotions. Non le cœur qui est à la frontière de la structure égotique et que l’ego aime à contrôler, même de façon si subtile, si insidieuse. Le cœur qui est le tout, le cœur qui est la vie, le cœur qui est le chant, le cœur qui est le temple. C’est là que la fraternité se rencontre.

Il devient très réel de partout à la surface de la Terre, des êtres éclairés et éclaireurs convergent dans la même attention, la même écoute, la même intention, embraser la Terre. L’humanité pourrait ne pas croire dans toutes ces fausses histoires qui n’ont d’autre objet que de la manipuler. L’humanité pourrait écouter les pas de ces êtres éclairés et éclaireurs qui ensemble convergent dans la même intention, embraser la Terre. Cet embrasement est jaillissement de joie. Les yeux peut-être ne savent pas la voir. Le cœur sait reconnaître le jaillissement du feu.

L’humanité pourrait entendre et percevoir les pas et les voix de ces êtres éclairés et éclaireurs qui convergent dans la même intention. Ils montrent la voie d’une éthique nouvelle, d’une transparence nouvelle, d’une simplicité absolue.

Ne jamais louvoyer, offrir. Penser, parler, agir à l’image de cette éthique. Seule est nourrie la voie du cœur. Le regard choisit de ne voir que le beau et le bon car tout est le beau et le bon, même au milieu des masques ou des déguisements.

L’heure est venue, les planètes s’inclinent devant la simple grandeur de l’être humain divin. Il est tous ces êtres, éclairés et éclaireurs, qui montrent la voie de l’éthique absolue. Comprenez-le, cette voie de l’éthique absolue est le prérequis pour que la Terre se dépollue. Cette voie de l’éthique absolue est le prérequis pour que s’embrase la Terre et qu’en sous-produit de cet embrasement, elle se retrouve planète lumière resplendissante.

 

Message de l'Ami reçu par Agnès Bos-Masseron le 30-1-21

Clef pour sortir de la chaîne d’action-réaction

 

Tu exprimes la douleur d’être confronté à ce qui te semble le mal, le douloureux, le difficile. J’exprime et je redis avec infiniment de tendresse et de clarté qu'au jardin de mon Père, l'on sème et l'on récolte. La création est ainsi faite et la loi très réelle : celui qui sème récolte. Alors il est vrai, au jardin, qu’il s’agisse du jardin de mon Père ou du jardin terrestre, le jardinier peut avoir semé sa graine dans des circonstances d’incompréhension ou de rudesse, quelle que soit la rudesse. La graine est enfouie dans le sol et pousse selon les circonstances dans lesquelles elle a été semée. Pendant longtemps elle n’apparaîtra pas, mais pendant tout ce temps le jardinier peut avoir une autre relation avec son jardin. Il peut l’arroser, enlever les mauvaises herbes, la graine pousse telle qu’elle a été semée.

L’être humain, tant qu’il choisit d’être enfermé dans la loi de l’action et de la réaction, reçoit selon son action. L'action n'est pas nécessairement immédiate, la réaction ne suit pas nécessairement immédiatement l'action. La loi dans ce jeu de l’action et de la réaction est la loi. L’action amène réaction. Et le jardinier se débat, exprime sa souffrance oubliant les actions de vies passées peut-être, oubliant les jugements, oubliant l’enfermement dans des croyances. Le jardinier ne comprend pas qu’il pourrait sortir de cette chaîne et de cet enfermement.

Sortir de cette chaîne et de cet enfermement ne se fait pas au sein de l’enfermement mais se fait par une autre approche. Ce n’est même pas un autre regard, c’est une autre relation. Il est la loi de la cause et de l’effet, il est le registre de la grâce. La grâce comprend, inhérente en elle, une relation. La grâce n’est pas le don gratuit d’un dieu miséricordieux qui efface toutes les graines, corrige ou enlève toutes les croyances. La grâce est la relation de la lumière avec elle-même et la participation : mettre son regard uniquement sur la lumière.
Alors il est deux points de vue, deux approches peut-être. Le jardinier, inscrit dans les souffrances de vivre cette chaîne d’actions et de réactions, de se sentir enfermé et enchaîné et de par sa souffrance de ne voir que la douleur partout, le jardinier s’insurge et ainsi crée des apparentes grilles qui semblent l’enfermer encore plus. Un jour, le jardinier se réveille et regarde son jardin différemment car dans le jardin, il voit la fleur de la grâce. Cela est gratuit peut-être, et pourtant, inhérent à la grâce, il est la relation.

La loi de tous les registres est que l’attention donne vie. Il n’est ni douleur ni bonheur, il est ce qui est. La clef pour transcender ce qui semble du registre du mal est d’être en relation vivante avec la grâce en l’incarnant par le regard, par le don d’énergie ou de vibration.

La relation avec la grâce, la relation inhérente à la grâce, est de choisir de dire merci.

Il est vrai, les êtres humains se sont fourvoyés, ils ont cru devoir dire merci à la souffrance en continuant à regarder la souffrance. Cela est aberration. Dire merci à la grâce au sein d’une apparence retire le sens de la souffrance. Il n’est ni douleur ni bonheur, il est ce qui est. Regarder la grâce au sein de ce qui est, est la clef pour sortir de la chaîne de l’action et de la réaction, de la cause et de l’effet. De l’intérieur du vécu de souffrance, cela n’a aucun sens ; de l’intérieur du choix d’être la relation inhérente à la grâce, la douleur a perdu tout son sens.

Là est la clef.

Au sein de chaque situation, plusieurs registres. Au sein de chaque situation, ni bénédiction ni malédiction, ce qui est.

Par un regard suffisamment intense sur la grâce inhérente à la plante qui pousse, le jardinier peut corriger ce qui semble inéluctable dans la loi de cause et d’effet. Si cette correction ne s’applique pas, intensifier l’attention, la relation au sein de la grâce. Cela est la dévotion, accepter d’être la gratitude offerte à l’inévitable de la grâce. C’est cela qui transmue. C'est cela qui nourrit, qui permet aux plantes de s’épanouir. C’est cela qui défie la loi de cause et d’effet.

Si la personne dit ne pas pouvoir écouter l’autre registre, traverser. Avec tendresse et compassion, traverser les dires de la personne par dévotion, cette dévotion qui est la nature du Père-Mère-Tout, nature inhérente à chaque parcelle de création.

S’ouvrir à ce regard, cette relation au sein de la grâce et regarder avec honnêteté, en service à l’honnêteté comment s'est déployée cette loi de cause et d’effet. Il est vrai, chaque être est sincère. Pourtant, encore et toujours sont répétés jugements, négations.

Savoir prendre comme ferment toute situation pour que jaillisse l’invitation de la grâce et de la relation inhérente à la nature de la grâce. Comprendre quels étaient les gestes faits par le jardinier pour que la graine apparaisse comme elle apparaît, sans s’enfermer dans un jugement, simplement en remerciant.

Non, ne jamais remercier la douleur, être la dévotion qui contemple la grâce au sein de chaque situation. Cela est le ferment de la transmutation. Ce regard, avec une telle intensité, initie les miracles. Le miracle peut être instantané.

Message d'E Morya reçu par Agnès Bos-Masseron le 30-1-21

La fonction des artistes est d'ouvrir les portes des mondes subtils.

Les couleurs tapissent le temple de la vie. Chaque couleur est l’émergence et l’expression d’un des attributs de cet Être suprême.

Chaque couleur est sentiment. Il est beau de retrouver la pureté dans l’expression des couleurs, la simplicité de ce jaillissement de couleur à la base sans aucun mélange avec d’autres couleurs. Cela est très uni au son. Chaque couleur correspond à un des sons primordiaux.

L’une des beautés de l’artiste est d’exprimer à la surface perceptible par tous les sens, la puissance de ces couleurs. Chaque couleur est son et sentiment.

C’est en cela que les artistes sont gardiens des temples, des temples du Suprême, des temples des sentiments les plus fins. Savoir laisser jaillir la couleur dans sa valeur primordiale, puis harmoniser les couleurs entre elles, à l’écoute toujours du sentiment le plus fin. L’artiste se pose dans le silence et le silence est chant. L’artiste se pose dans le bonheur et le bonheur est chant. Harmonie de sons primordiaux et simultanément à l’émergence de ces sons, est la couleur.

L’artiste peint des temples sacrés. A travers les créations de l’artiste, s’ouvrent les portes d’accès à ces temples. Cela est la valeur de l’art. La base pour réaliser cela est de peindre depuis l’assise inébranlable dans l’ouverture. Faire de sa vie une totalité où tout est offert au service suprême.

Magnifique la fonction des artistes pour ouvrir les portes des mondes subtils et les imprimer dans toutes les phases de l’incarnation.

Message de Maharishi reçu par Agnès Bos-Masseron le 29-1-21

La vie est félicité.

La vie est félicité. C'est pour partager cette évidence que Je Suis descendu du silence des Himalayas. Cette évidence a été le cœur de mon cœur, la torche qui a éclairé chaque pas. Guru Dev est la personnification de la félicité.

Pour vivre pleinement cette réalité, il faut lui donner toute son attention. La félicité, vous le savez, n'est pas la joie créée par quelque circonstance, elle est bien au-delà. Si vous écoutez au cœur du silence, jaillit le chant de félicité. Tous les chants que l'on peut chanter ou entendre sont l'expression de ce chant-là. Si vous écoutez au cœur du Véda, vous êtes le chant de félicité.

Il est en effet un état d'être où écouter ne se fait plus par les oreilles. Il suffit de tout déposer et de tout taire pour que jaillisse le chant primordial.

Le Véda est la structure de la félicité. Les Ecritures l'ont dit "de la félicité tout est naît, à la félicité tout retourne, dans la félicité tout est".

Le plus beau don à faire au collectif de l'humanité est d'incarner cela. Pour ce don et parce qu'il nous montre la voie vers la réalisation concrète de ce don, le retour à la source éternelle, l'océan de félicité, nous disons encore et toujours "Jai Guru Dev".

St Germain diapason fraternité 26-9-21
St Germain bâtisseur 18-8-21
Fraternité des Immortels 18-8-21
Recodage 16-8-21
Redonnez à l'humanité 7-8-21
St German fin du contrôle 7-8-21
Sanat Kumara 3-8-21
Kuthumi 12-6-21
Invitation 11-6-21
Dénoncer 24-4-21
Maharishi adapter 5-3-21
Honorer unicité 27-2-21
Humanité éveillée 27-2-21
Hygiène égotique 26-2-21
Planètes 26-2-21
Ami clef 30-1-21
El Morya 30-1-21
Maharishi 29-1-21
Limites 16-8-21
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