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Message de l'Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron le 17-4-16

Les anges se laissent percevoir à travers la conception que l'on a d'eux.

Peut-on parler de différence entre un ange et un être ascensionné ?

Dans l'absolu de l'Être, aucune différence. Dans la structure énergétique ou physiologique, grande est la différence. L'on pourrait dire que l'ange ne connaît pas la physiologie. L'ange est énergie pure, une individualisation qui ne connaît pas l'incarnation. L'être ascensionné vit la réalisation de l'intention profonde de l'incarnation au niveau de sa structure physique, énergétique. L'ange vit la réalisation de l'Être au niveau ultime.

Tout a comme aboutissement cette réalisation de l'Être. Il est magnifique de transcrire cette réalisation également à travers une structure physique, énergétique, qui s'ouvre de par la pleine attention offerte à l'ancrage, qui s'ouvre à la pleine réalisation de l'Être. Au niveau de l'Être, tout est un.

L'on pourrait dire qu'un être pleinement lumineux est ange. Si l'on veut regarder l'étymologie et la structure physiologique, énergétique, l'on ne pourrait dire qu'un être qui n'a jamais connu l'incarnation est être ascensionné, ou qu'un être qui a amené l'incarnation a sa phase la plus ultime que l'on nomme ascension est ange.

Alors il est vrai, ceux qui perçoivent les anges souvent les perçoivent comme ayant un corps. Les anges se laissent percevoir à travers l'imagerie, la perception ou la conception que l'on a d'eux. L'on pourrait dire que les anges se créent une apparence de corps pour satisfaire la perception. L'on pourrait dire que les êtres ascensionnés ont amené leur corps à l'au-delà du corps. Energétiquement, très fine la différence entre cette projection du corps par un ange et cette éternelle projection de l'être qui s'est projeté dans les différentes étapes de l'incarnation pour amener cette incarnation au niveau le plus fin. Comprenez-vous ?

Il est beau de rayonner ainsi la puissance de l'attention, de l'intention, de la plénitude, de l'amitié sur vos villes, vos pays, la terre. Il est beau d'être ainsi l'Être qui s'offre à travers la relation infinie de l'amour.

D'autant plus précieuse cette intention de rayonnement dans ces périodes où fondamental est le choix de chaque moment. Certains parlent de transition. Qui veut choisir d'incarner ce choix clair et conscient d'être le vivant, d'être l'infini de la lumière, l'infini de la vie ? Garder l'infinie détermination d'être pleine présence, d'incarner la plénitude. A travers votre rassemblement, nous offrons l'infinie tendresse et l'infinie puissance à la terre. Harmoniser la planète est le sous-produit de l'harmonisation intérieure.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 9-4-16

Soyez guides et non guidés par le collectif.

Souvenez-vous et inscrivez quotidiennement dans vos cellules… Si l’on regarde le temps linéaire, le temps qui passe n’est en aucun cas nocif. Le temps qui passe n’est que porte ouverte à la réharmonisation du corps, à sa revitalisation, à sa régénération. Enlever irrémédiablement les empreintes de ces croyances dans l’inévitable du vieillissement, de la décadence ou de la dégénérescence. Et même si certains symptômes semblent exprimer un alignement du subconscient à des croyances collectives, garder le regard fixé sur l’harmonie. Garder le regard fixé sur l’infini de la joie. Garder le regard ouvert à la fraternité qui chante l’immortalité.

Ainsi, vous entrez en relation avec toutes les structures de vos vies. Quel que soit le niveau avec lequel vous entrez en relation, que ce soit vos activités, que ce soit vos relations intimes, familiales, conjugales, professionnelles, votre relation avec la société, votre relation avec le cosmos, votre relation avec l’univers, choisissez le regard de l’harmonie. Et quelles que soient les apparences et quels que soient ce que l’on pourrait nommer symptômes, relationnels ou de situation, entrez en relation depuis l’harmonie, depuis l’évidence que Je Suis le créateur de ma réalité et que Je Suis l’Être de perfection que Je Suis.

Faites attention à qui vous écoutez et quelle influence vous choisissez de laisser entrer dans vos corps d’énergie. Soyez guides et non guidés par le collectif. Soyez guides du collectif, laissant les schémas de fermeture et empruntant ceux de puissance, visant là aussi à restaurer la pleine harmonie dans tous les niveaux de vos quotidiens.

Bénissez vos vies et remerciez. Quelles que soient les apparences, bénissez vos vies et remerciez depuis la certitude que tout peut être transmué et ramené dans cette évidence de l’éternité de ce plan où Je Suis l’Être de perfection que j’aspire à devenir et le créateur de la réalité la plus belle, la plus magnifique, la plus sereine, la plus abondante, la plus joyeuse, la plus innovante, la plus créative. Ainsi, entrez en relation avec le cosmos.


Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 8-4-16

Les maîtres-esclaves ont fait croire que le temps est nocif. Les maîtres-liberté vous rappellent que le temps est le don permettant l'intégration de la perfection.

Dans un prisme du temps, la terre est harmonie et chaque être sait être le don vivant. La terre donne aux êtres, les êtres donnent à la terre. Et les êtres et la terre savent être le don du vivant dans la fraternité du cosmos. Le cosmos offre à la terre et la terre offre au cosmos. A travers cette pratique, retrouver le souffle cosmique où tout est un dans le souffle ananda, simplement, loin de toute attente égotique. La simple réalisation de la beauté du don de l'union en conscience au souffle cosmique, offrant ce don à la terre, offrant avec la terre ce don au cosmos.

Retrouver cette gratuité et cette simplicité, loin des désirs égotiques et loin des caprices de l'attachement au désir égotique ou au fonctionnement égotique. Alors que les instruments des forces qui semblent obscures s'infiltrent même pour transmettre les croyances qu'il faut que les ego s'affirment à travers quelque mode de comportement, loin de ces attachements aux croyances égotiques, être simplement le oui à ce don qu'est la nature de la vie à travers le souffle, à cette beauté, à cette divinité du souffle cosmique.

Ils ont fait du souffle des techniques égotiques, oubliant la gratuité et oubliant la puissance de cette attention et de cette attitude de gratuité pour ramener concrètement l'harmonie, pour ramener concrètement dans toutes les instances de la vie, la plénitude et l'abondance. Ils ont déformé, faisant de tout une course vers un devenir qui n'a pas de place dans la gratuité d'être dévotion.

Ils ont agi en sorte que les seules mémoires qui semblent résonner dans les cellules soient celles des blessures ou des ignorances, accrochant ainsi l'attention sur les blessures ou l'ignorance, enfermant ainsi dans l'illusion, et semblant triompher dans leur jeu de maîtres-esclaves. Pourtant, au cœur des cellules, les mémoires de perfection. Et s'il est vrai que nous ramenons les dons, les techniques et les technologies, ces dons ont pour une de leurs conséquences, d'éveiller ces mémoires pour que l'on se souvienne de ces autres prismes d'éternité.

Au cœur des cellules, la mémoire de cette offrande de l'attention au souffle en conscience, pour que vibre le souffle cosmique à travers l'union de l'humain et de la terre, de la terre et du cosmos.

Il est vrai, il semble peut-être plus facile de se cantonner à ces mémoires pesantes, car ces mémoires elles-mêmes sont nourries par la nonchalance de l'attention. Qui osera garder cette intensité de présence ? Et intensifier la présence jusqu'à ce que naturellement résonnent ces autres prismes, ces autres facettes, et que naturellement, hors du temps et de l'espace, Je Suis l'être multidimensionnel dans ses multi-espaces, dans l'infini et l'éternel, offert au souffle, non dans l'intention égotique d'un devenir mais dans la gratuité du don qui a pour sous-produit l'alignement de tous les aspects de l'individualisation.

Voyez, ceux qui jouent aux maîtres-esclaves ont essayé d'étouffer les voix de la liberté. Laissez-les résonner au cœur de vos cellules et choisissez la gratuité d'être humain. Être humain est être service à la vie.

Et s'il est vrai qu'il suffit de la puissance de l'attention, indépendamment de tout acte, pour que vibre la mémoire de perfection dans la structure de la terre, l'acte n'est que la pure expression de cette puissance de l'attention. L'acte est le jeu de l'incarnation.

Cela implique un autre regard peut-être, une autre implication peut-être, une autre intensité d'attention et, en sous-produit, l'intensité de la joie, de la légèreté, de la passion d'être traversé par la perfection et d'être l'acteur de l'incarnation de la perfection dans la structure même de la vie sociale.

Car vous le comprenez, le choix peut être de laisser vibrer ces mémoires de perfection des civilisations d'harmonie et de vie sociale où tout n'est qu'harmonie. Simplement, cela implique accepter l'intensité d'application, l'intensité d'attention, l'intensité de présence. L'incarnation ne connaît pas la facilité. L'incarnation ne connaît pas l'énergie timorée ou en retrait. L'incarnation ne connaît pas l'attente. L'incarnation ne connaît que la passion d'être le oui vivant et d'actualiser ce oui à travers chaque acte, chaque choix, chaque parole, chaque pensée, chaque sentiment.

Nous vous remercions. Nous remercions la partie qui choisit la persévérance de l'attention pour intégrer les dons. Nous remercions la partie qui choisit éternellement de se dresser et de se redresser, et qui choisit de ne jamais accepter l'indolence ou la nonchalance dans ses modes de fonctionnement.

Nous vous le répétons, ramener la structure de vos corps à la pleine vitalité. Cela est un choix. Les maîtres-esclaves ont fait croire que le temps est nocif. Les maîtres-liberté vous rappellent que le temps est le don permettant l'intégration de la perfection de façon toujours plus intense et qu'il n'est que naturel et logique pour un corps de grandir en vitalité au fur et à mesure que passe le temps linéaire, et qu'il n'est que normal et logique pour un corps de danser son incarnation.

Ne vous arrêtez jamais d'intensifier l'attention sur la vitalité de vos corps. Là aussi, sont ramenés bien des dons, bien des technologies, bien des modes. La base des nouveaux dons est de comprendre l'interaction entre matière et conscience. Il ne s'agit pas d'appliquer une technologie à moitié endormi ou d'attendre avec indolence que quelque méthode produise quelque effet, il s'agit d'être le créateur de chaque effet dans l'interaction consciente avec les technologies, les dons et les méthodes. Il s'agit de réaliser que Je Suis le maître de chaque aspect de mon incarnation car Je Suis le dévot d'ananda.

Belle cette intensité d'application. Vous pouvez l'intégrer timidement ou vous pouvez choisir de l'intégrer avec passion.

Quelles que soient les apparences, souvenez-vous de la beauté de la transition. Et souvenez-vous des maîtres-esclaves qui s'amusent à créer des apparences de désastre ou de confusion pour que l'humain reste endormi dans la passivité. L'heure est au grand réveil. N'acceptez plus la nonchalance. N'acceptez plus l'indolence. N'acceptez plus l'inévitable de la fatigue. N'acceptez plus les pièges des ego qui croient devoir triompher de quelque mode pour s'ouvrir à un autre mode. La seule ouverture est dans la dévotion de lâcher prise et l'acceptation totale des modes de lumière. L'affirmation est par la dévotion.

N'oubliez pas, inhérent au piège de l'ego est la croyance dans quelque impossibilité. Même la matière vient maintenant montrer que tout est possible.

Comprenez la relation de chaque être avec sa propre grandeur. Dans cette relation, l'ego ne peut qu'être ramené à sa fonction d'ouvrir à des infinis toujours plus grands. L'ego qui se recroquevillerait sur quelque mémoire de grandeur pour s'en nourrir, ne serait que le jouet des maîtres-esclaves. Ils ont fait croire au pouvoir. L'amour ne laisse de place qu'à la puissance de la dévotion. L'amour ne laisse de place qu'à la vitalité.

Nous vous saluons.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 8-4-16

Ceux et celles qui attendent créent un univers d'attente illusoire.

 

S'il est vrai que l'humanité s'ouvre, à un certain niveau, immense est le fossé qui sépare un certain visage de l'humanité de son visage de perfection, et immense la puissance de ceux qui choisissent d'entraîner le collectif de l'humanité.

L'humanité le sait, il n'y a plus le choix. L'on ne peut tergiverser et l'on ne peut attendre. Ceux et celles qui croient qu'il suffit d'attendre et qu'un jour peut-être viendra une fraternité des étoiles ou de la terre profonde qui les entraînera... Personne n'entraînera personne si ce n'est la splendeur de l'être qui s'éveille à sa propre puissance.

Ceux et celles qui attendent créent un univers d'attente illusoire, mais seule est l'illusion, n'est-ce pas, car seule est l'évidence de perfection. Dans le jeu de cette illusion, il n'y a plus le choix, car les choix entraînent des conséquences. Chacun le sait, n'est-ce pas ? Des conséquences pour la planète, des conséquences pour les corps, des conséquences pour l'atmosphère, des conséquences pour l'harmonie.

Ils croient donner la faute à certains groupes, extrémistes peut-être, qui jouent avec les bombes. Voudraient-ils bien devenir conscients des détonations qu'ils mettent dans l'atmosphère à travers chaque pensée de dysharmonie, chaque pensée de discorde et même le laxisme, et même l'attente ? Voudraient-ils bien comprendre que la vie humaine n'est pas vie d'attente ou de laxisme mais de puissance, de beauté et de sérénité, cette sérénité qui est la conséquence du choix conscient de dire oui à sa propre puissance.

Cela est choix de chaque seconde, de chaque moment, et cela implique une autre intensité de puissance, de positionnement et de présence.

Il est vrai, nous ramenons les dons, les techniques et les technologies. Il est vrai, il est beau que chacun accepte de s'ouvrir aux dons, quels qu'ils soient. Le plus important reste l'attitude intérieure. Le plus important reste cette vitalité, cette attention, cette synergie créée par l'intention incarnée d'être le oui vivant, oui à sa propre puissance et oui aux dons.

La terre s'ouvre, il est vrai, et simultanément les crispations se resserrent. La terre s'ouvre, il est vrai, et simultanément pour certains, l'énergie se referme sur leur propre choix. Ils diront peut-être ne pas savoir ou ne pas comprendre, il suffit pourtant d'accepter d'être le oui vivant, d'apprendre et de persévérer. Ils ont oublié la beauté de la persévérance. Ils ont oublié la beauté de la joie vitale. Ils ont oublié la beauté de l'autodépassement. Ils ont oublié les règles du jeu.

Dans le jeu tridimensionnel, le progrès est pas à pas. Chaque pas est victoire, et chaque victoire ouvre sur une autre victoire depuis l'infini de la joie, car l'attention n'est que tournée vers la joie de la victoire. Maintenant qu'ils sont confrontés aux détonations de leurs propres formes-pensées, arrêteront-ils de mettre la responsabilité sur le dos de ceux qui ne sont que les instruments, par leur propre faiblesse ? Choisiront-ils d'être les instruments de la puissance, ou ceux de la faiblesse ?

Il est vrai, nous ramenons les dons, bien au-delà de ce qui est perçu peut-être. Heureux ceux et celles qui ont l'ouverture naturelle de s'intéresser à chaque forme de don, à chaque forme d'ouverture, par passion et par dévotion pour l'humain, pour la vie et pour la terre, cette Mère tendresse, cette Mère lumière, cette Mère générosité, planète de pure beauté.

Nous ramenons les technologies. Et de même que certains sont instruments de la faiblesse du collectif, d'autres sont instruments pour ramener les dons. D'autres sont instruments de par leur capacité, de par leur connaissance, de par leur passion. Les dons ne sont plus qu'intérieurs, car là est la merveille.

Vous le savez, n'est-ce pas, la matière s'unit à la conscience, la conscience d'aller rencontrer la matière. Et maintenant, la matière s'unit, et s'ouvrent des niveaux les plus fins, et s'ouvrent des technologies permettant d'utiliser l'énergie de ces niveaux les plus fins pour nettoyer la terre et nettoyer les corps, pour ramener la vie à une autre intention de vitalité, à une autre intensité.

Belle la transition. L'heure, vous le savez, est au déploiement de l'éveil. L'on ne peut somnoler. L'incarnation, vous le savez, n'a que faire d'indolence. La fatigue n'appartient pas à la constitution de l'être humain.

Ainsi, s'ouvrent concrètement, même au sein de ce qui semble le tridimensionnel, des possibilités offertes par le multidimensionnel. Ainsi le temps s'écrase dans le simultané, ainsi l'espace s'efface dans l'infini. Ainsi concrètement jaillit un autre mode de fonctionnement, celui de l'être humain simplement, celui du vivant.

Nous ne ramenons que les constituants des civilisations d'harmonie. Nous ne ramenons que les connaissances que les sagesses éternelles. L'humanité semble être allée à l'autre bout du pendule. Nous ramenons la voie du juste milieu.

Ceux qui disent qu'il n'est besoin ni des technologies ni des techniques n'ont qu'à, par la simple force de leur intention maintenant, nettoyer la totalité du globe. Ceux qui disent que seule suffit l'attention offerte à l'Être peuvent comprendre que cette attention à travers l'incarnation s'exprime de façon concrète et tangible par une action, un choix et un lâcher-prise, lâcher-prise des vieux modes de fonctionnement, lâcher-prise des vieux modes d'énergie même, lâcher-prise des vieux modes de relation, de comportement, lâcher-prise des vieux modes de parole même. Accepter d'être l'instrument de l'harmonie implique des choix conscients et impliqués.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 8-4-16

L’être humain, dans sa splendeur, a une structure physique bien plus élancée et grande que les êtres dont le corps est dégénéré et qui croient être le standard des êtres humains.

 

Nous vous ramenons l’art de la relation avec le corps. Comprenez à quel point vitaliser le corps est d'importance pour la santé, non seulement du corps physique mais du corps énergétique.

Vous le savez, l’être humain, dans sa splendeur, a une structure physique bien plus élancée et grande que les êtres dont le corps est dégénéré et qui croient être le standard des êtres humains.

La croissance est éternelle. Il conviendrait d’éduquer ses enfants dans l’art de la sagesse de la relation avec le corps. Il conviendrait aux familles d’avoir cet élan vital et dynamique, et d’écarter de leur lieu de vie tous ces appareils et ces appareillages qui ne font qu’embrumer le champ vibratoire ou énergétique. Retrouver les activités saines ensemble permettant au corps de se déployer.

Il conviendrait aux parents de dire à leurs enfants que la croissance est éternelle. Ainsi une autre constitution de la structure osseuse, une autre constitution des organes, des membranes mêmes, des tissus vibrants de vitalité et vibrants de l’énergie de la croissance.

Il conviendrait de s’exposer très régulièrement tous les jours, à l’énergie naturelle.

Il conviendrait de ramener à l’eau sa pureté, non seulement la pureté de sa structure physique mais également sa transparence, la libérant de tous les impacts des émotions ou des énergies lourdes.

Il conviendrait d’exposer le corps à la pureté de l’air. Il conviendrait d’être exposé aux éléments pendant une grande partie de la journée.

Comprendre l’impact d’un corps physique rempli d’apathie sur le corps énergétique, sur l’aura et sur ces antennes naturelles, ces liens énergétiques qui relient l’être humain à chaque point du cosmos.

Nous vous ramenons l’art de la relation avec le corps, simplifier, vitaliser, dynamiser et purifier. Nettoyer vos structures physiques de toute léthargie émotionnelle, de tout attachement à quelque encombrement émotionnel du soi-disant passé et de sa contrepartie d’encombrement physique.

A égales proportions, purifier, simplifier les aliments, dynamiser. Dynamiser dans une échelle de un à cent peut-être. Dynamisme profond et repos profond. Sortir autant qu’il est possible de ces pollutions électromagnétiques.

Ramener le corps à sa structure de conscience a une implication au niveau du style de vie. Il ne s’agit pas de l’abstrait, l’heure est au concret.

N’oubliez pas la puissance de l’eau. Nous vous saluons.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 22-3-16

Par votre rayonnement, vous semez des graines de lumière.

 

Choisir inconditionnellement d'être le dévot de la joie, le plus beau cadeau à offrir au collectif de l'humanité. Ne pas se laisser entraîner par les folies des croyances ou d'interprétations. Garder la vision de la famille humaine inondant de la joie.

Bien comprendre que ceux qui contrôlent, ou voudraient contrôler, le collectif de l'humanité, ont créé les religions, créent les conflits, créent les croyances et les interprétations. Rester le dévot de la joie.

Garder cette image concrète d'une terre de paix. Plus que jamais, l'invitation est d'incarner l'énergie de la paix à travers chaque acte, à travers chaque attention, chaque intention. Plus que jamais se souvenir, chaque moment est choix conscient. Calmement et puissamment, incarner l'harmonie dans chaque moment de maintenant. Calmement et puissamment,  hors des histoires même au sein des apparentes histoires.

Bien comprendre que la masse ne connaît que ce que l'on veut qu'elle connaisse, reconnaître la divinité éternellement. Faire de ce regard sa passion. Rester le dévot de la joie éternellement. Faire de cela son service.

Il est vrai, cela implique une grande verticalité. Il est vrai, cela implique de se démarquer. Cela implique aussi de retrouver ce rythme d'harmonie, de retrouver cette clarté qui fait croître à l'infini le dynamisme au sein de la détente, de retrouver cette rigueur qui fait s'asseoir dans la profondeur de son intention et qui donne la direction à chaque moment, depuis la verticalité, une action claire, une pensée claire.

Accroître l'attention offerte au silence et ainsi faire danser les cellules. Il est bon que le repos soit long et profond. Depuis la verticalité, laisser croître l'assise dans le silence.

Certains diraient que les conjonctures planétaires favorisent les remous, le dévot de la joie reste l'inébranlable. Ne jamais laisser l'énergie se disperser, la rassembler encore et toujours.

Eternellement, rassembler son énergie.

Souvenez-vous, être pleinement offert à cette vastitude qui éternellement s'autodépasse, l'inqualifiable. En cela se reconnaître, et reconnaître cela comme son au-delà, telle est la relation de dévotion.

En conscience chaque jour, animer l'évidence de la fraternité humaine, non par des actes isolés mais par la relation de dévotion à la joie en tout, par la relation d'amour fraternel envers chaque parcelle de création, en posant son énergie depuis le plein dynamisme et l'infini du silence et de la détente. Ainsi, par son rayonnement, créer l'énergie de la paix.

Être le simple rayonnement d'ananda, au-delà des ressentis et à travers la dévotion tout offerte à l'harmonie, au-delà des ressentis et à travers la dévotion tout offerte au silence et au dynamisme, à l'expansion et la rigueur.

Être dévotion permet d'offrir tout reste de compromis. Ne plus tergiverser. L'attention tout offerte à l'infini de la joie, nourrir les cellules de l'attention, et animer dans la structure des cellules l'intention fondamentale, concrètement.

Veiller surtout à rester l'au-delà des histoires. Veiller surtout à œuvrer, l'assise établie dans cet inqualifiable. Œuvrer afin que l'incarnation soit la pleine expression de la simple beauté, de l'au-delà du temps.

Il est vital d'accroître le dynamisme, la clarté. De même que certains sèment des graines de confusion, vous semez par votre rayonnement et par votre attitude, des graines de lumière. Être semeur de graines, par les paroles un peu, par les actes et par l'incarnation.

Rester le dévot de la joie éternellement. Plus qu'une invitation, une sadhana.

Nous vous saluons.

 

 

Message de l'Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron le 13-3-16

Guider l'humanité vers une autre physiologie

 

Retrouver l'innocence de l'au-delà des histoires. Quelles que soient les histoires, qu'elles semblent reliées à des drames ou à du merveilleux, elles sont voiles. Retirer les voiles. Avoir l'audace et la détermination de sortir de cet engrenage de pensées continues, de ressenti continu, pour retrouver la limpide transparence des sentiments les plus fins. Avoir l'audace et la détermination de baser son quotidien sur cette limpide transparence. Le corps alors est autre.

Comprendre que le corps n'est que la projection soit des pensées, soit des intentions. Comprendre que le corps n'est ni figé, ni même solide. Lui rendre la fluidité et la transparence dans sa structure. L'ossature peut être silence-lumière. Le sang alors est d'or, le nectar. Cela implique sortir de tous les automatismes et appliquer la détermination joyeuse et le choix clair et conscient à toutes les étapes, à tous les niveaux, y compris la nourriture, y compris le mouvement, y compris la relation avec le silence. Ainsi, guider l'humanité vers une autre physiologie.

L'heure est venue d'ouvrir grand les portes.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-2-16

Le devoir n’est que croyance figée.

 

Retrouver cette liberté d’être la plénitude et d’imprimer dans toutes les avenues de son incarnation que seule est la plénitude.

Vous demandez la raison du devoir, et celle qui nous sert de porte-parole l’a dit, il n’y en a aucune. Le devoir n’est qu’une croyance forgée par le mental, l’ego, les émotions, une croyance forgée par cet archétype de l’humain qui n’a rien à voir avec l’être humain. Il est un archétype qui se croit robot ou esclave de quelque devoir, de quelque histoire, de quelque limite, de quelque poids. Il est l’être humain dans son innocente splendeur qui est l’incarnation de la pleine liberté d’être la plénitude.

Cet être est mû par un sens profond de son unicité. Le sens profond de son unicité lui donne une direction d’action, d’incarnation, une fonction peut-être, dans la légèreté de la plénitude et en harmonie parfaite avec la totalité de la vie, la totalité de son plan d’incarnation. La fonction, l’invitation, l’unicité ne sont que le déploiement naturel du plein et du joyeux.

Le devoir n’est que croyance figée. L’archétype s’est cristallisé et s’est forgé. Avec l’archétype, les croyances se sont durcies et transmises comme un faux savoir. L’héritage de l’humanité ne s’inscrit pas dans la ligne du devoir, mais de la joyeuse liberté.

Nous vous avons donné les clefs, et nous vous rappelons l’invitation. Dans chaque moment de maintenant, avec la pleine vigilance et la pleine joie d’êtres qui se savent l’infinie liberté, apprenez à discerner. Vos actes sont-ils des actes d’individus libres mus par leur motivation profonde et intérieure ? Ou sont-ils des empreintes d’un collectif, d’un archétype de croyances stériles ?

L’on croit se démarquer de ce système de croyance. Jusqu’où amenez-vous ce fait de se démarquer ? Avec quelle passion, avec quel enthousiasme, avec quelle joie profonde recréez-vous le vrai visage de l’être humain ?

C’est bien là ce nouveau paradigme, n’est-ce pas ? Passer d’un archétype stérile, enfermé par un système de croyances qui se sont solidifiées par toute une série d’actes, toute une série de systèmes de pensées et de paroles qui ont l’air insignifiants et qui pourtant rythment les journées du martellement de ces croyances, et apprendre à vivre libre et à exprimer en conscience dans chaque mouvement, dans chaque parole, dans chaque pensée, dans chaque intention, la pleine joie de la vie, et traduire cette pleine joie par la plénitude de l'expression de son unicité dans tous les domaines.

Nous vous avons redonné les modes de l’incarnation. Nous vous avons donné ce qu’est la ligne conductrice dans les civilisations d’harmonie. A vous d’apprendre à ne négliger aucun aspect de cette ligne conductrice. Car pour que l’être humain se déploie pleinement, chaque aspect doit se déployer également. L’harmonie est l’équilibre. Si son action ou son attention n’est portée que sur un domaine de déploiement, négligeant les autres domaines, l’harmonie n’est pas respectée. C’est pour cela que dans la ligne conductrice de chaque journée dans les civilisations d’harmonie, chaque aspect est déployé. Ne négligez aucun de ces aspects.

N’oubliez-pas, la plénitude est la base. La plénitude est cette évidence qui transparaît, rayonne et resplendit lorsque tous les voiles des fausses chimères sont écartés. La joyeuse vigilance, la joyeuse exigence est d’écarter tous les voiles. Ne s’identifier qu’à la réalité de la splendeur de l’être humain à tous les niveaux, que ce soit au niveau de la structure corporelle, au niveau de celle mentale, celle des sentiments et même celle de cet ego qui peut être la pleine transparence du sens vibrant de Je. Je, l’unicité de l’Être, transparence de l’ego.

Laisser tomber les carapaces et les œillères. Elles tombent naturellement lorsque toute l’attention est offerte au plein du plein. Elles tombent naturellement lorsque l’attention est tout offerte à cette joyeuse exigence de l’autodépassement. Ne jamais s’arrêter. Ne pas tergiverser. Ne jamais choisir la voie du tiède. La voie du tiède n’appartient pas à l’incarnation.

Nous vous remercions et nous vous saluons.

 

 

Message de Douce Mère reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-2-16

Le collectif de la conscience humaine ouvre la possibilité d’une autre réalité.

 

Om Namo Bhagavate Narayana. Le chant des cellules, chant de dévotion. La Douce Mère exulte. Ramener ses cellules au chant de dévotion. Ramener son incarnation à cet ultime lâcher-prise qu’est l’ouverture.

Si l’on veut parler en termes de l’histoire linéaire, l’incarnation de la Douce Mère a préparé cette actualisation de cet autre paradigme inscrit dans les cellules.

Le rêve commun, la passion commune, ne pouvait alors qu’être un idéal vers lequel on tend. Le collectif de la conscience humaine, dans ce qui semble le passé linéaire, n’a mené qu’à cela. Le collectif de la conscience humaine dans ce qu’est ce présent de maintenant, ouvre la possibilité d’une autre réalité. La Douce Mère exulte.

Encore faut-il avoir l’audace de s’offrir pleinement à cette possibilité. Encore faut-il avoir l’audace de tout donner inconditionnellement. Dans ce qui semble le passé linéaire, cette incarnation de Douce Mère, l’impératif était déjà de se donner pleinement. Le laboratoire de la conscience impliquait cela.

On ne pouvait s'approcher de ce laboratoire tout en continuant des voies de tiédeur. Certains qui ont cru pouvoir le faire, ne se sont jamais approchés. Maintenant la possibilité concrète de transmutation cellulaire, non seulement l’abstrait de la conscience mais la transmutation cellulaire. Cela implique un don total, une offrande totale. S’offrir à sa propre perfection, n’est-ce pas cela l’incarnation ? La Douce Mère exulte.

Reconnaître le chant dans la structure des cellules, reconnaître la dévotion dans la structure de la matière, le son alors est nectar, une autre physiologie, un autre paradigme.

Maintenant la porte s’ouvre. Avoir l’audace de l’ouvrir pleinement et de franchir le seuil. Avoir l’audace de tout poser. On ne peut garder à la fois l’ancien paradigme et le nouveau. On doit trancher avec le fil d’amour, de discernement, de discrimination, trancher encore et toujours pour quitter les voies anciennes et s’ouvrir au nouveau.

Cela implique dévotion. Le chant offert à Narayana, le suprême Seigneur, est la structure des cellules. Cela en soi est merveille.

Considérer la structure de son corps, des millions ou milliards de cellules. Vénérer le Vénérable au cœur des cellules. Et de par la nature des cellules, voyez cet autre paradigme. L’on est si loin d’un corps que l’on connaît à peine. Dans le nouveau paradigme, le corps est chant de dévotion et Narayana se laisse connaître. Au sein même de la nature des cellules, être écoute. Un autre paradigme où le son est nectar, car tout est dévotion. La matière alors chante, la matière alors exulte, et la structure matérielle est nectar. Le sang est nectar, d’or est le sang. C'est cela le concret de la structure humaine, si l’on veut bien tout offrir, si l’on veut bien franchir le seuil.

La Douce Mère s’approchait de l’intense. On ne peut s’approcher de l’intense qu'avec ferveur et dévotion, avec passion même. Intense est le feu de l’amour. L’intense est l’éternel, l’infini. L'intense est l’absolu. On ne peut s’approcher de l’intense qu'avec ferveur et dévotion, mu par cet enthousiasme et cet émerveillement qu’est l’incarnation, qu’est la vie, bien loin des attachements à ces petitesses qui n’ont ni queue ni tête et qui épaississent la structure physique.

Loin de la stagnation, l’offrande à l’intense dans chaque moment d’infini dynamisme de la quête, tout en sachant que la quête n’est pas recherche et que la quête est l’éveil et l’éternelle découverte de cet être qui se reconnaît dans sa propre perfection, touchant sa nature d’absolu, touchant sans jamais atteindre, sans jamais enfermer.

La Douce Mère exulte. L’ouverture, tout offrir à cette réalité que les cellules sont chant de dévotion, non depuis l’abstrait d’une conscience ou d’un rêve mental, mais depuis le concret d’une relation de dévotion au cœur de la structure corporelle.

On ne peut rester sur l’ancienne berge et être hommage à la nouvelle.

Le laboratoire de la conscience, l’on savait que les émotions, les pensées, les paroles étaient empreintes ou s'imprimaient dans la fluidité de la structure physique. On savait l’absolue nécessité, pourrait-on dire - invitation peut-être - à ne faire aucun compromis. Rester sur le fil d’équilibre. L’on savait la passion de cet autodépassement où rien n’est impossible.

Ramener sa physiologie à l’infinie fluidité d’un chant de dévotion, à l’infinie légèreté. Om Namo Bhagavate Narayana, le chant des cellules. Ramener le corps à son éternité, chant de dévotion.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 23-2-16

Lorsque les portes s'ouvrent, les derniers craquements semblent prendre bien de l'ampleur.

 

A l'heure où tout s'ouvre, ce qui semble vouloir rester fermeture craque, et les craquements font semblant de couvrir le silence. Sages ceux et celles qui savent être tout offerts à la simplicité du silence. Sages ceux et celles qui savent sortir de l'emprise des histoires.

L'humanité pourrait passer des éternités à ressasser ses vieilles histoires et chercher à comprendre et retrouver le fil… Le seul fil est celui de l'éternité. Le seul fil est celui de la puissance de simplicité.

Avoir la ferme détermination empreinte de tendresse, de sortir des méandres, de sortir de cette croyance qu'il faut repasser par tous les couloirs du labyrinthe pour retrouver le fil d'un passé qui n'est pas, retrouver le fil, l'histoire, qui ne sont que des fantômes, des fantasmes, même s'il est vrai, fantômes et fantasmes semblent bien réels dans leur propre domaine. Pourtant leur domaine n'est qu'illusion.

Sages ceux qui savent rire de l'illusion et choisir la simple dévotion de regarder l'ouverture et d'être l'ouverture. Sages ceux et celles qui savent la simplicité de la dévotion et la ferme détermination d'actualiser cette dévotion.

Il est vrai, lorsque tout s'ouvre, les derniers craquements semblent résonner à l'infini peut-être, et pourraient engouffrer dans quelque labyrinthe ou dans quelque spirale dont on aurait l'impression de ne pouvoir sortir, alors que l'on n'entre dans aucune spirale, car seul est maintenant.

Maintenant est le silence. Maintenant est plein. Maintenant ne connaît pas le passé. Le passé n'est que mental. L'histoire n'est que mentale. Le futur n'est que mental. Maintenant est la simple dévotion de l'Être qui actualise la simplicité de la puissance..

Cela est dévotion, comprenez-le. Cela, peut être dans ce moment d'ouverture, est la dévotion la plus ultime. Le plus grand service fait à l'humanité n'est pas maintenant de reprendre les fils des labyrinthes pour essayer de comprendre quelque passé illusoire ou de s'accrocher à quelque empreinte, l'ultime dévotion offerte à l'humanité est de choisir dans la détermination, de rester la plénitude de maintenant.

Vous le savez, l'histoire n'est pas. Vous le savez, le regard crée l'histoire. Ceux qui se croient enfermés dans des drames, ne font que projeter les drames. L'histoire semble réelle pour le monde illusoire. Celui dont le regard reste rivé sur maintenant se sait l'au-delà des histoires, se sait l'éternelle dévotion de l'éternel nouveau qui se reconnaît dans sa splendeur uniquement et qui ne sait regarder que la splendeur et la divinité.

Il est vrai, lorsque les portes s'ouvrent, les derniers craquements semblent résonner à l'infini. Il est vrai, contempler la divinité au sein des craquements implique l'ultime dévotion, et cela est l'ultime service.

Car comprenez-le, cette ouverture n'apparaît pas de nulle part, cette ouverture est l'ouverture du collectif, tout au moins un cercle qui choisit de changer son regard, de sortir de ces histoires illusoires qui enferment l'humanité dans une spirale ou un labyrinthe qui n'existe que dans le domaine mental.

Vous vous souvenez, n'est-ce pas, l'on dit que les saints ne voient que la beauté. Et qui est saint ?  L'Être, l'unique, celui qui sait qu'il n'est que maintenant, qu'il n'est que l'éternel présent et sa plénitude simple et puissante. Car il n'est plus d'histoire, et maintenant est éclat de rire. L'on dit que le Divin a ri, et l'on dit que la création est le rire divin.

Pourquoi certains s'attachent-ils à voiler ce rire de larmes ou de cris qui n'ont de sens que dans l'illusion de ces faux drames qui ne sont que mentaux ? Pourquoi l'humanité ne comprend-elle pas que l'attention portée sur les drames fait grandir les drames, que l'attention donnée sur des passés imaginaires fait grandir les passés ?

Et s'il faut dénouer quelques fils, ne le faire que depuis la plénitude, la simple présence de maintenant, hors de l'histoire. Car donner son attention à l'histoire refait vivre l'histoire et crée une autre spirale ou une autre boucle de la spirale, celle qui semble sans fin et qui pourtant n'est qu'illusoire.

Nous le redisons, l'ultime service dans ces jours d'ouverture, est de rester ancré maintenant, honorant la simplicité de cet Être qui se reconnaît dans sa simple divinité et qui donc ne sait que voir cette simple divinité. Enlever les œillères pour retrouver la vision saine que l'on appelle sainte.

Il est vrai, lorsque les portes s'ouvrent, les derniers craquements semblent prendre bien de l'ampleur. Pourquoi ne pas en rire ? Ceux et celles qui choisissent d'honorer maintenant, ceux et celles qui choisissent la dévotion suprême, l'ultime service.

Être l'humain maintenant est être hors de l'histoire. Être l'humain maintenant est être la pleine présence au cœur des cellules. Car vous le savez, l'attention donne vie et l'attention tout offerte à la simplicité de maintenant anime la pleine présence. Et les cellules s'ouvrent. La Douce Mère exulte.

Voyez, les deux extrêmes du pendule, l'un ramène en son centre et l'autre écarte du centre. Avec ce semblant de vitalité qu'est l'illusion, avec ce semblant d'importance, on s'accroche aux drames et l'on veut les comprendre, oubliant que l'attention donne vie. A l'heure où l'humanité se rassemble dans sa simple bonté et sa simplicité, qui choisira l'ultime service ? Maintenant, avoir l'intransigeance de couper le fil de toutes les histoires réellement, non dans l'abstrait d'un monde mental tout en restant accroché à quelque "mais" ou "peut-être", mais dans la certitude de l'ultime service ?

Nous vous avons donné bien des outils. Comprenez, l'histoire est aspirée au cœur de la spirale jusqu'à ce que l'humanité ne connaisse plus que l'éternel comme son histoire, la perfection comme son credo, et la simplicité comme son vécu. Retrouver la force de la joie car la joie coupe les fils des histoires et ramène en son centre.

 

 

Message de l'Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron le 11-2-16

L'éducation devrait mener, non à entrer dans un moule mais à en sortir.

 

Comprendre que l'éducation est inhérente à la vie même.

Il est erroné de croire que les enfants ont besoin d'être éduqués pour atteindre un standard, se fondre dans un moule, et puis que l'enfant devenu adulte, son éducation s'arrête et il applique cette éducation.

L'accompagnement des enfants devrait permettre à ceux-ci de déployer leur sagesse et non d'entrer dans un moule. Les adultes devraient comprendre que l'éducation est permanente, non comme cela est entendu dans vos sociétés, perfectionner quelques savoirs, mais s'autodépasser, s'exercer à de nouveaux talents, de nouvelles passions, de nouveaux arts, de nouvelles sciences.

L'éducation n'est pas affaire de savoirs mais de sagesse. La sagesse est le plein déploiement de la vie. Parfaire son éducation devrait être l'un des moteurs, l'une des passions de chaque journée. Apprendre, découvrir, réaliser, s'autodépasser. Chaque jour, l'être humain devrait s'ouvrir à de nouvelles sciences, de nouvelles connaissances, de nouveaux angles de sagesse, et les appliquer et les intégrer. Ainsi la vie est vécue dans l'éternel autodépassement.

L'éducation devrait mener, non à entrer dans un moule mais à en sortir. Retrouver son unicité. S'autodépasser. Oser explorer de nouveaux horizons, entraînant ainsi d'autres parties de son cerveau. S'ouvrir à l'inconnu. Ne pas se limiter à ce qui est trop connu et qui reste inconnu quand on n'en connaît que la surface. Aller au plus profond de chaque aspect de la vie. Ne pas se limiter à quelques connaissances. Comprendre que l'on ne sait jamais l'infini de la vie. S'émerveiller de par ce processus de découverte et d'autodépassement chaque jour. Chaque jour s'ouvrir à un aspect inconnu, et appliquer chaque jour quelque science, quelque art, quelque discipline corporelle, allant toujours vers l'inconnu, intégrant cet inconnu et ne s'arrêtant jamais à ce qui est connu. Cela doit être l'impulsion naturelle et fondamentale de chaque être humain.

Encourager cela, tant chez les enfants que chez les adultes, permettrait au cerveau de se développer sans cesse, permettrait à tous les aspects de l'individualisation de se déployer.

Inclure le silence comme la base de ce processus de découverte, d'autodépassement. Comprendre qu'il ne s'agit pas simplement d'acquisition de connaissances, mais d'intégration de cette sagesse innée à chaque être. S'émerveiller de la vastitude de l'inconnu. S'émerveiller d'apprendre et d'intégrer. S'émerveiller de s'ouvrir. S'émerveiller de cet autodépassement qu'est la danse de la vie.

Oser intégrer des directions diamétralement opposées. Cela devrait être la base de l'existence pour tout être. Ne pas se cantonner à quelque spécialité, ne pas se cantonner à ce qui semble être la tendance naturelle, aller vers les tendances qui semblent diamétralement opposées de la sienne pour les explorer, les intégrer, développant ainsi d'autres parties de soi. Retrouver cette valeur holistique de l'être et retrouver cet enthousiasme, cette beauté et cet émerveillement de l'autodépassement. Cela devrait être la base de l'existence pour tout être humain.

L'exploration n'est pas qu'intellectuelle. S'encourager aussi à l'exploration intuitive basée sur l'écoute, basée sur le silence, basée sur l'ouverture. S'encourager aussi à l'exploration basée sur le partage. Partager ses connaissances, ses voies de sagesse, ses ouvertures. Les partager dans le silence, les partager à travers l'expression, les partager à travers le rayonnement. Être l'exemple vivant de cet autodépassement.

Encourager cela, même chez ces êtres que l'on nomme âgés. Ne jamais se croire âgé. Se croire éternellement jeune, entreprenant, passionné, enthousiaste.

Et s'ouvrir à d'autres inconnus éternellement. Baser cette découverte sur le déploiement de l'intuition, de l'écoute fine. Ecouter le monde subtil avec respect pour le silence et émerveillement. Cela devrait être la base de la vie pour chaque être humain.

Ne pas limiter l'éducation à l'acquisition de connaissances ou de savoirs, ramener l'éducation à l'art de la sagesse. L'art de la sagesse est l'art du déploiement. Se déployer pleinement dans la joie.

Pour ceux qui sont ouverts, la création tout entière déploie les voies de sagesse. Apprendre éternellement la nature des astres, de l'univers. Apprendre et rayonner. Le cœur reste le centre. L'on n'apprend pas avec la tête, on écoute et l'on découvre avec le cœur, et on laisse résonner la sagesse du cœur, l'appliquant et l'intégrant à tout son être. Ainsi, l'on entre en résonance avec les corps célestes.

Nous vous remercions.

 

 

Message de l'Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron le 5-2-16

Ramener les extrêmes au point du juste milieu.

 

J'aime cheminer sur les routes des hommes, le compagnon, le frère, l'ami, pour rappeler le chant de la vie, rappeler la simplicité, rappeler la puissance.

Au creux même de ces méandres créés par les maîtres magiciens pour donner l'illusion de drame, ramener l'évidence de l'au-delà de toute illusion, la simplicité du bonheur, la simplicité de cette confiance inébranlable dans sa propre puissance.

Il est vrai, le pendule oscille entre le positif et le négatif. Au milieu est le point neutre, le point de transparence, le point de la conscience pure qui reconnaît qu'elle est le tout à travers le jeu de l'incarnation.

Ramener cette infinie confiance dans sa propre puissance par le simple fait que le tout, la vie, la conscience, est l'éternelle source et l'éternelle référence, et que l'être peut, retrouvant l'art de l'incarnation, retrouver la transparence et retrouver cette référence avec sa propre clarté, sa propre puissance.

Ne plus dépendre du regard ou des actes de ceux que l'on nomme autrui. Être le maître sage qui sait que, de sa propre verticalité, de son propre repos dans le point neutre, point du milieu, naît le jaillissement de la joie infinie et que de ce point neutre, naissent tous les balancements. Ramener les extrêmes au point du juste milieu.

Ne même pas regarder la négativité, la jugeant négative. Tout ramener à l'innocence de ceux qui savent qu'ils sont ce point neutre, cette transparence de conscience, et qui choisissent de ne pas dévier leur regard, de ne plus se perdre dans les méandres des extrêmes.

Il est vrai, pris par les apparences et les histoires, l'on croit suivre le déroulement de son existence, oubliant que l'on peut être le créateur de la réalité la plus belle, la plus simple et la plus puissante, depuis la simplicité de ce regard tout offert à cette transparence, à cet infini, à ce point neutre, le juste milieu.

Dans le corps, le juste milieu, ce que vous nommez le chakra du cœur, uni au feu de l'énergie au-dessous du nombril. Là, établir l'assise de l'énergie, l'assise depuis la transparence et la confiance dans sa propre puissance, non la puissance de ceux qui voudraient jouer aux jeux de pouvoir, la puissance de l'innocence de ceux qui sont tout offerts à la transparence, tout offerts en dévotion à la totalité, et qui restent le point neutre, le juste milieu.

Retrouver là son assise. Cela passe par une énergie verticale. Cela passe par un autre positionnement. Sortir des histoires, des attachements et des rôles. Dans le jeu de pouvoir, tout n'est que rôle. Dans le jeu de l'infinie puissance, tout n'est que simplicité, transparence et dévotion, le regard rivé sur la simplicité de cette réalité qui est le tout.

Ainsi, honorer la beauté du silence. Ainsi, honorer la simplicité de l'au-delà des rôles. Tout rendre et s'offrir pleinement à son propre infini. Tout rendre. Ne plus jouer les jeux des rôles ou les jeux des pouvoirs, pour retrouver la simple puissance de l'innocence. Être ouvert et offert concrètement et pleinement dans chaque moment. Ouvert et offert.

Ne jamais lâcher prise de ce qu'est son intention la plus profonde. Ne faire aucun compromis et ne jamais tergiverser. Rester axé sur cette intention de transparence, la simplicité de l'Être qui se reconnaît comme le tout, la simple puissance de l'innocence. Cette puissance est hors des jeux des pouvoirs et donc inatteignable.

Au niveau des extrêmes, les pouvoirs s'affrontent ; sages ceux qui savent la voie du juste milieu. Au niveau des extrêmes, les apparences se succèdent, les drames ou les bonheurs ; dans la voie du juste milieu, la simple puissance d'être le tout et la dévotion offerte.

C'est cela l'attention, la dévotion offerte à cette évidence, à cette beauté de la transparence qui se sait le tout, hors des jeux des pouvoirs et hors de l'emprise des maîtres magiciens qui ne sont que des marionnettes prises dans les fils de leur propre pouvoir, et les fils se cassent… Rester la simple transparence, hors des histoires, hors des drames, hors des complexités. Rester la simplicité de l'être qui se sait le créateur de sa réalité et qui crée la réalité à l'image de sa propre beauté pour la simple joie d'être la vie.

J'aime cheminer sur les routes des hommes, ramenant cet art, cette évidence et cette science du juste milieu.

Honorer le silence. Le silence est la source et le berceau. Le silence contient toutes les harmonies, toutes les mélodies, tous les jeux de création. La création peut se vivre depuis le juste milieu. Là, tout est possible sans que rien ne soit primordial. Le seul primordial est d'aimer le silence et d'être, à travers son incarnation, cet amour. Le seul primordial est la transparence, la simple innocence et la simple puissance de l'être qui se sait le tout et qui s'honore à travers sa création.

Beaux sont les jeux de création depuis le juste milieu. Invincible, ce niveau d'existence. Concrètement invincible, car hors de portée des extrêmes. Les extrêmes jouent les jeux des grands vents, des grands drames ou des grandes histoires. Sages ceux et celles qui savent la voie du juste milieu, qui sortent de l'emprise de croyances dans quelque pouvoir, pour retrouver la simple puissance d'être le tout qui s'honore à travers le jeu de la création.

Inatteignables ces êtres hors de l'emprise des extrêmes, hors des grand vents. Là, la brise est légère. Le silence se façonne lui-même dans le jeu de la création. Beau est ce jeu.

Il ne s'agit pas de sortir de la création. Il ne s'agit pas de sortir du jeu des intentions, car le jeu de l'incarnation est le jeu de la création. Il s'agit de retrouver le berceau de la création, la voie du juste milieu, de retrouver l'art de créer tout en se sachant l'au-delà de la création, et de retrouver l'art de jouer tout en se sachant la source du jeu et tout en sachant l'inévitable, non du bonheur appartenant aux extrêmes mais de la félicité, nature du tout.

La base, vous le savez, reste la verticalité et le positionnement. Embrasser son propre infini. Sortir de l'emprise des drames ou des croyances, ou même des faux glorieux. Sortir des jeux de pouvoir. Retrouver la puissance depuis la verticalité, la puissance, sous-produit du positionnement juste de ceux qui connaissent la voie du milieu. Retrouver la verticalité.

Ne plus se perdre dans les méandres ou les volutes des excitations mentales ou émotionnelles. Ne pas s'abstraire du jeu de création ; y entrer pleinement, car là est le jeu de l'incarnation. Depuis le positionnement juste, y entrer pleinement, restant hors des volutes, des méandres de ces émotions, des échos de ce mental qui se croient les maîtres à bord. Ramener les enfants au cœur du cœur pour qu'ils jouent sereinement le jeu de la création. Les ramener dans le juste milieu.

La base reste la verticalité et le lâcher-prise, le lâcher-prise des croyances, le lâcher-prise des attachements dans les rôles. On n'entre plus en référence avec soi-même depuis quelque rôle ou depuis quelque pouvoir. La seule référence est la simple confiance que seul est le tout et que donc Je Suis cela, et que le proclamer à travers son incarnation est la seule humilité et la seule vérité.

J'aime cheminer sur les routes des hommes pour accompagner tous ceux et toutes celles qui veulent bien entendre et écouter, hors des jeux des rôles, des jeux de pouvoir, vers le simple bonheur, la simple transparence et la toute-puissance de la voie du juste milieu.

Cela implique l'intransigeance de couper les modes d'attachement ou de résignation, les modes des extrêmes. Se retrouver entier, le centre, le cœur, l'immuable, l'éternel, sans histoire. Se retrouver entier, le palpitement du vivant, sans histoire, et s'émerveiller d'être le juste milieu, cette ouverture totale, ce point qui se sait le tout et qui accepte l'innocente puissance de la transparence.

Concrètement, nous aimons redonner les clefs à ceux et celles qui veulent bien entendre et écouter. Nous vous saluons.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 30-1-16

L'enthousiasme déterminé de l'incarnation.

 

Il est beau de contempler ainsi cette détermination qui est la pure essence du fonctionnement de l'incarnation. Il est beau de contempler ainsi cette essence de la joie, cette joie inconditionnelle, cet amour inconditionnel qui est ce que Je Suis éternellement.

Offrir à la joie l'enthousiasme déterminé de l'incarnation. Souvenez-vous de cela.

J'offre à la joie que Je Suis, l'enthousiasme déterminé de l'incarnation. Se court-circuitent ainsi tous les méandres de ces mécanismes nébuleux, ces vieilles habitudes.

Comprenez bien cette affirmation "j'offre à la joie que Je Suis l'enthousiasme déterminé de l'incarnation". Je ne parle pas de ressenti joyeux. Je parle de cette offrande totale de l'incarnation à la joie que Je Suis. Et l'offrande ne peut qu'être depuis l'enthousiasme déterminé, l'enthousiasme car seule est la joie, la détermination car seul est l'autodépassement. Vivre passionnément pour la simple beauté d'être le vivant. Vivre passionnément le jeu de l'incarnation par la grâce d'être l'incarnation de la joie et de tout offrir à cette totalité, à cet infini.

A travers chaque geste, honorer l'éternel, l'immuable, concrètement, simplement, le regard tout offert à cet éternel au-delà, depuis cette simplicité déterminée de l'être qui choisit d'être son propre hommage à travers l'incarnation.

Beau le choix d'être la flamme vivante et d'incarner la simple beauté de la flamme dans chaque lieu. Ramener ainsi le sens profond de l'incarnation.

Réaliser la grâce d'être être incarné. Car l'incarnation est une grâce. S'ouvrir à cette détermination permettant à la grâce de couler et d'infuser chaque fibre de la structure physique et chaque avenue du quotidien. Cela est le plus beau don que l'on puisse faire à la création. Vivre la pleine conscience de son propre infini.

Nous vous saluons.

 

 

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 24-1-16

Evaluer le contexte actuel

 

Pour évaluer le contexte actuel, qu'il soit planétaire ou individuel, l'on peut parler des grands vents de la transmutation qui quelquefois secouent. Il est vain de dire dans l'absolu ce qu'il en est car, vous le savez, chaque être crée sa création.

Pour certains, l'heure est à la grande ouverture. Les vents peut-être secouent, mais dans le contexte de la grande ouverture et du renouveau, accueillir les vents avec gratitude et rester centré sur son axe de vie, centré sur la présence.

Pour d'autres, l'ouverture passe par la désintégration de vieux mécanismes. Ceux-là accepteront-ils de lâcher prise de ces vieux mécanismes ? Car ceux qui s'accrochent ne peuvent ouvrir grand la porte aux vents du renouveau.

Ainsi, vous voyez les deux réalités parallèles. L'une se crispe, l'autre s'élance. Rester, non même parmi ceux qui s'élancent, mais dans cet infini silence de la jonction entre les deux courants. Il est très précieux, plus que jamais, d'être axé sur la simplicité et la plénitude de sa force d'intention et de sa force de vie. Lâcher prise des chimères. Rester pleinement établi, rivé sur l'essentiel depuis cet infini silence qu'est ananda. Être peut-être au cœur de l'action, tout en restant l'au-delà de l'action.

Infiniment précieux d'être pleinement disponible. Cela implique soi-même lâcher prise de vieilles chimères. Rester la simplicité d'être, rester tourné sur la joie d'être. Appliquer ce style de vie auquel nous invitons, union de silence et de dynamisme, l'attention tout offerte à restaurer son corps, l'attention tout offerte à créer la pure expression de la joie que Je Suis.

Être vitalité, être ouverture, être joie simple, sortir des méandres. Ainsi, animer cet infini de la joie qui est la jonction, le silence, entre les deux courants, sans même s'impliquer dans aucun des courants nécessairement. Accompagner peut-être les élans, et promouvoir et favoriser depuis la non-implication, le non-attachement, la transparence. Être le champ de la joie incarnée et rester ouvert à sa propre réalité tout en étant la source de tous les courants. Être la joie animée qui permet à ceux qui se crispent de lâcher prise depuis le non-attachement du libre arbitre.

Rien n'est réel si ce n'est le silence. Même les vents, même les courants, même les tornades ne sont que des jeux. Et la joie est le jeu suprême de l'incarnation. Inscrire la joie dans la structure des cellules. Offrir cela aux êtres aimés depuis le repos. Mettre en place des situations qui permettent le repos pour être la présence de la joie pour ceux que l'on aime. Cela est le vrai don. Détendre l'énergie. Être toujours plus présent à la santé de son corps depuis l'infini de la joie. Être l'amour qui régénère.

Être pleinement, clairement et lucidement présent à son quotidien dans cette intention d'incarner l'infini de la joie concrètement, et de mettre en place les situations, les solutions et les attitudes ancrant cela. Et depuis cette attitude, offrir les dons avec toujours plus de légèreté, d'enthousiasme, de passion même, se souvenant qu'il n'est aucune obligation. S'il en est une, c'est d'être l'incarnation de la joie, mais cela n'est que boutade car la vie ne peut qu'être l'incarnation de la joie.

Nous vous saluons.

 

A 9-4-16
A 17-4-16
A 8-4-16 maîtres-esclaves
A 8-4-16 ceux et celles
A 8-4-16 l'être humain
A 22-3-16
A 13-3-16
A 26-2-16 le devoir
A 26-2-16 le collectif
A 23-2-16
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A 5-2-16
A 30-1-16
A 24-1-16
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