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Message des Gardiens de la Flamme reçu par Agnès Bos-Masseron le 27-9-15

La vie dans la pleine présence assure l'ancrage en permanence.

 

L'on pourrait dire que la concentration intérieure et la visualisation sont le sous-produit naturel d'une vie basée sur l'harmonie. Et l'harmonie est la résultante naturelle de la pleine implication de l'être qui choisit d'être le rayonnement du cœur. Être écoute.

Comprenez que les méthodes pour s'enraciner ne sont efficaces que sur la base de la pleine présence. Les êtres humains ont perdu le contact avec cette simple présence. Ils dispersent leur énergie dans la nonchalance, dans l'abstraction, même quelquefois peut-être sous des prétextes de spiritualité. La vie se vit dans un profond dynamisme, et ce dynamisme vécu depuis la pleine présence à la source du dynamisme, assure l'ancrage en permanence, que l'on travaille ou que l'on conduise.

Il est erroné de chercher des techniques qui viendraient pallier au fait que la grande majorité des êtres humains - et plus que cela encore, la quasi-totalité des êtres humains - vivent une vie d'indolence ou de nonchalance, à moitié endormis, dans des mécanismes de fatigue ou des fonctionnements affaiblis de leur structure physique, parce qu'ils ont perdu l'art de l'incarnation, parce qu'ils se laissent endormir dans les méandres de la passivité ou de l'indolence.

La question n'est donc pas de chercher une méthode pour être plus enraciné lorsque vous travaillez ou conduisez, la question est de dire pleinement oui à l'incarnation et de comprendre que la pleine présence ouvre à l'évidence d'être enraciné, et que la pleine présence est une attention de chaque moment, une attention bien plus intense que les êtres humains ne le savent.

Certains perdus dans les méandres de croyances spirituelles croient connaître la présence et s'étonnent que leur corps soit dysfonctionnel ou que leur corps montre des symptômes de fatigue à la moindre activité. L'être pleinement présent est jaillissement d'énergie créatrice, d'amour, de lumière, de vie, de béatitude.

Retrouver l'art de l'incarnation, cela est bien plus fondamental et bien plus subtil qu'une simple technique qui permettrait d'être peut-être un peu moins endormi. Être la pleine vitalité d'ananda, la félicité, c'est cela l'incarnation. Cela implique un oui total et une intensité d'attention bien supérieure à celle que connaît l'humanité.

L'une des clefs pour retrouver cette pleine présence est l'attention offerte au souffle. Lorsque vous travaillez ou conduisez, votre souffle est-il en mode automatique, ou êtes-vous pleinement présents au souffle ?

 

 

Message de Frère Lantos reçu par Agnès Bos-Masseron le 15-8-15

La transition et le monde financier

 

Frère Lantos parle au nom des Gardiens de la Flamme :

Il est beau de comprendre la beauté de cette transition qui s'opère dans le collectif de l'humanité et d'appliquer cela à tous les domaines des relations, y compris la relation avec ce que vous appelez le monde financier. N'affirmer que l'évidence de l'abondance. La plus belle contribution est de sortir l'humanité de cette croyance qu'elle a besoin d'être assistée, et de ramener l'humanité à sa divinité. La plus belle contribution est d'affirmer cette évidence que le monde financier est le monde de l'énergie et le monde de l'attraction. Ne rétrécissez pas votre désir de l'abondance en y mettant en parallèle une notion de manque. Ne visualisez pas pour l'humanité une notion de manque ou une nécessité d'assistance.

Les manques ne sont que des croyances. Les apparences de manque ne sont souvent que le résultat de gaspillages, que les gaspillages soient énergétiques, émotionnels ou financiers même.

Sortir l'humanité de cette croyance de manque ou de crise. Ramener l'humanité dans la connaissance des lois de l'abondance. Les lois de l'abondance sont les lois de la plénitude. Les lois de l'abondance sont les lois de l'affirmation.

Les lois de l'abondance sont les lois du cœur. Sortir des mécanismes de la tête qui impose la réalité du manque ou de l'étriqué. Peu d'argent, peu d'énergie, peu de santé, peu de peu… alors que l'univers projeté par l'Être que Je Suis n'est que plénitude et qu'abondance, abondance la plus totale.

Et à celui qui affirme l'abondance ou à celle qui affirme la plénitude, la réponse vient en fonction de l'affirmation. Vous le savez, n'est-ce pas, vous créez vos réalités. La beauté n'est plus d'exister, la beauté est de faire comprendre à l'humanité que la croyance dans le besoin d'assistance est terminée car l'humain est divin.

L'abondance ramène l'humanité hors de cette course pour le temps. Le temps n'existe pas…

N'oubliez jamais cela, on ne peut suivre à la fois les vieilles voies, les vieux modes de comportement, et l'invitation nouvelle. Cela implique la clarté et le dynamisme de l'éternelle remise en question et de l'éternel autodépassement.

 

 

Message de Marie reçu par Agnès Bos-Masseron le 8-8-15

Offrez à l’eau de vos corps les sentiments les plus purs.

 

Vous le savez, il est erroné de croire que la création existe depuis des milliards d’années et que le corps est un élément dans cette création. De toute éternité, seul est le silence. L’individualisation, la conscience qui s’individualise, projette le corps comme la première expression de son individualisation, conscience de sa propre beauté. Et le corps, par nature, est l’expression pure de sa propre beauté, de son harmonie, de sa puissance, de sa vitalité. Nous ne parlons pas là du corps dégénéré. Nous parlons du corps dans sa nature, le corps lumière. Et de cette expression du corps lumière, se projette la création. Retrouver la relation juste avec le corps et rayonner ou exprimer avec une telle intensité que peut être perçue, même par les yeux de la troisième dimension, la forme de lumière du corps. Telle est méditation sacrée.

Ne vous associez pas à vos corps dégénérés. Comprenez que le corps dégénéré est une vision déformée de la réalité du corps déjà présente au sein de cette apparente déformation. Mettez toute votre attention sur le corps lumière et accompagnez cette attention du concret de l’attention. Le concret de l’attention est l’action. L’action implique entrer dans une relation différente avec son corps, le nourrir de façon différente, et l’écouter, l’honorer dans le dynamisme qui est sa nature. Intensifier le dynamisme. Intensifier cette conscience, ralentir le rythme pour que la relation avec le corps devienne la danse de vitalité, l’hommage à la pure expression de perfection qu’est la vie.

Et concrétisez cela à travers les aliments que vous offrez au corps, offrant les aliments à la nature du corps lumière. Offrez la tendresse à la structure du corps, et traduisez cette tendresse par la vitalité juste, par le dynamisme. Et offrez l’eau en abondance au corps. Buvez en abondance l’eau claire. Lorsque vous buvez, souvenez-vous du Frère Deydas Chi qui ramène l’eau à sa nature propre. Buvez en abondance, et souvenez-vous du Frère Deydas Chi qui ramène l’eau à sa pureté originelle. Comprenez la bénédiction qu’est l’eau pour le corps. Comprenez le merveilleux qu’est l’eau pour la planète. Comprenez le sacré de l’eau. Buvez en abondance. Et souvent lavez-vous à l’eau pure et claire. Lavez vos aliments avec l’eau pure et claire. Sortez complètement de cette pollution de l’eau que certains exposent à leur corps. Purifiez votre eau. Même si vous vivez au cœur de vos villes, purifiez votre eau. Attachez une grande importance à cela. Pour ramener l’eau, pour ramener le corps à sa structure originelle, l’eau est bénédiction. Encore faut-il que l’eau soit honorée dans sa pureté originelle. Purifiez votre eau.

Et purifiez votre eau intérieure de toutes les émotions. Comprenez-le bien, il est tellement futile de s’attacher à tels ou tels événements qui n’ont aucun sens, qui ne sont que des jeux d’enfants ou des histoires illusoires, et de crisper son émotion déformant ainsi les molécules d’eau de son corps à tel point que le corps doit lutter pour retrouver un minimum d’harmonie. Ne laissez pas des choses infantiles ou frivoles altérer vos émotions. Cela est prépondérant. Regardez le futile de toutes les histoires humaines, si vous les regardez dans la perspective de l’intention de ramener l’humanité à la perfection.

Ainsi offrant à l’eau de vos corps les sentiments les plus purs, les plus nobles et les plus tendres, vous restaurez la structure de vos corps et vous offrez l’eau en abondance. Vous offrez l’eau en abondance en buvant en abondance. Vous respectez l’eau, en n’exposant plus la structure de vos corps à des émotions dérivées d’attachement à des histoires frivoles, illusoires, infantiles ou banales qui n’ont aucune partie dans la plénitude de la vie, qui ne reflètent ni la beauté ni la transparence, qui ne sont que les délires mentaux d’un monde mental qui s’épuise. Le choix doit être clair.

Si l’on choisit d’être la lumière que Je Suis, l’on choisit alors de sortir irrémédiablement de l’attachement à toutes ces histoires infantiles. Car infantiles sont les histoires et les soi-disant drames et attachements égotiques. Retrouver la dévotion. Œuvrer au beau et au bon. Retrouver cette dévotion et l’exprimer.

Et la première expression, vous l’avez compris, n’est-ce pas, est la relation avec son corps. Souvenez-vous, lorsque vous vous regardez dans vos miroirs, ne voyez que votre corps de lumière. Ne visualisez que votre corps de lumière, le regard amour tendresse s’unit à ce corps. Lorsque vous regardez les autres, ne regardez que leur corps de lumière. Choisissez de ne plus entrer en relation avec les fréquences soi-disant illusoires, basses ou denses. Ne regardez que la lumière dans ce que vous regardez, par dévotion pour la lumière.

Vous le pouvez. Une partie de l’humanité, en apparence, ne le peut encore. Il faut que certains acceptent de guider. L'on guide en incarnant. Ce n’est pas par la parole que l’on guide, c’est par l’incarnation et le rayonnement.

Honorer son corps, le plus beau des services. L’attention se doit d’être déterminée pour sortir de ce laxisme et de cette indolence qui fait que l’on oublie, que l’on néglige ou que l’on choisit de se nourrir de nourriture soi-disant attirante qui n’attire que la lourdeur des émotions ou celle de l’indolence ou de l’apathie. Apprenez à écouter les aliments pour vous nourrir d’aliments qui dynamisent, qui vitalisent. Entrez en relation dans l’amour avec les aliments que vous ingérez.

Choisir d’être semeur de graines, cela implique intensifier l’attention et rassembler l’énergie. Ainsi, naturellement vous lâchez prise des attachements à vos modes de vie futiles ou illusoires. Ralentissez le rythme. Puisse la priorité être de ramener le corps à sa structure de perfection dans le dynamisme, dans l’infini de l’amour et de la tendresse.

Nous vous remercions.

 

 

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 13-6-15

Quoi que vous fassiez, faites-le depuis votre propre grandeur.

 

Nous aimons l'authenticité des partages. Retrouver cette vision juste, cette relation juste avec les différents aspects de son individualisation. Retrouver le sens juste de chaque relation.

Il est merveilleux d'être ainsi dressé seul, car dans la quête qu'est ce retour à l'évidente simplicité de la vie, on est seul, accompagné pourtant seul, dressé face à sa propre perfection, retrouvant les clefs permettant de l'incarner simplement.

L'incarner est œuvre de concret. Certains ont cru que la perfection était une abstraction quelque part, sur quelque plan éthéré. La perfection est œuvre d'incarnation. Ramener ces rôles de parent, d'époux ou d'épouse, de compagnon, ramener toutes les relations à leur valeur juste, profonde et simple, sortant de ces faux critères inculqués par cette éducation qui ne sait que voiler la face du beau.

Il est beau d'être ainsi dressé seul à offrir à l'univers et à l'humanité cette intention profonde de retrouver le sens véritable de chaque relation, le sens véritable d'être le vivant. Il est beau d'être ainsi dressé seul face à son corps pour amener ce corps à la perfection d'un fonctionnement harmonieux.

N'être jamais alarmé par des symptômes, être alarmé par cette indolence qui semble être devenue le propre de l'humanité et qui fait que l'humanité laisse sa propre inhumanité végéter dans une norme à peu près convenable. On est en à peu près bonne santé, on est à peu près tonique, on est à peu près harmonieux. A peu près est à beaucoup près car à peu près ignore la perfection.

Ne pas être mû par la peur de quelque symptôme. Être mû par la passion de retrouver la relation juste avec la vie. Et la relation juste avec la vie est l'expression de la perfection dans la relation avec son corps, dans la relation avec sa parole, dans la relation avec sa pensée, dans la relation avec le silence. Être mû par cette passion pour que la vie redevienne cette unique mélodie d'amour où tout est expression d'amour.

Pouvez-vous concevoir comment un corps resplendit lorsque l'être qui l'habite entre en relation avec lui, non depuis la peur, mais depuis la plénitude de l'amour ?  Pourriez-vous concevoir comment pourrait être ce corps auquel on ne s'adresse qu'à travers la gratitude, qu'à travers la tendresse et qu'à travers l'écoute respectueuse ?  Pourriez-vous concevoir cette étude, cette écoute des mécanismes de ce corps dont l'intelligence est infinie ?  Connaissez-vous ces mécanismes ? Connaissez-vous ce qui fait battre votre cœur ? Connaissez-vous la nature de votre sang ? Connaissez-vous vos cellules ? Nous ne voulons pas dire par quelque étude de biochimie mais par le regard de l'amour qui reconnaît la nature propre de chaque être qu'il regarde.

Réapprendre la vie. C'est cela l'invitation et c'est cela la passion, n'est-ce pas ? Cette passion ne connaît pas la peur. Il faut bien le comprendre, la vaste majorité des êtres humains vivent à moitié morts, alors où est la peur lorsque l'on veut s'éveiller, comprendre et ramener ce corps à sa pure vitalité, à sa pure perfection ? Connaissez-vous la puissance de guérison de l'amour ? Connaissez-vous la puissance de guérison de l'amour ?  Non cet amour mitigé par quelque inquiétude ou quelque rationalisme. Cet amour qui s'offre pleinement. Cet amour qui est le feu de l'amour, qui est ce que Je Suis, n'est-ce pas ?

Savez-vous la danse des cellules ? Pourriez-vous la concevoir lorsqu'elles sont rencontrées dans cet amour ? Et savez-vous les conséquences de cet amour ? Cet autre rythme posé où l'on accepte de ne jamais exposer ses cellules à autre chose que de l'amour, dans un rythme respectueux. Ne plus se presser, ne plus courir, ralentir le rythme. Nous le disons bien souvent, n'est-ce pas ?

S'installer fermement dans cette passion d'être le vivant et changer les relations. Que ce soit avec son corps ou avec ces êtres qui sont chers, changer le regard, changer la relation. Lorsque vous regardez vos parents, vos enfants, votre époux, votre épouse, vos compagnons, regardez-vous la divinité de l'amour ?

C'est cela la beauté de cette époque que l'on dit de transition. Sortir des modes de fonctionnement qui n'amènent qu'au chaos de la demi-mort pour embrasser pleinement le vivant avec passion et avec l'infini de la joie. Car l'infini de la joie est la nature de la création. L'infini de la joie est la nature de chaque cellule. L'infini de la joie est la nature des éléments. L'infini de la joie est la nature de la relation.

Il est vrai, ceux très rares, qui acceptent de prendre pleinement l'invitation et d'y répondre, ont l'impression bien  souvent de nager à contre-courant. Et peut-être que les autres autour d'eux choisissent encore les rouages de la demi-mort. Et peu importe, mus par la passion et mus par cette aspiration d'être au service de la divinité de l'amour, ceux-là, quelques rares, acceptent de se démarquer et de retrouver simplement le sens profond de la vie.

C'est cela l'héroïsme. Bien plus héroïque que ces grandes actions séparées ou isolées, avoir la simplicité et l'audace de retrouver la relation juste avec son corps, de retrouver la relation juste avec toutes ses relations. Depuis la joie, avoir la simplicité et l'audace d'être l'incarnation de l'amour qui s'offre pleinement.

L'amour ne s'offre pas dans l'abstraction, mais à travers le concret de chaque relation, relation à son corps, relation à tous ces rôles, parent, enfant, époux, épouse, profession. Se dresser seul, merveilleusement seul, relevant l'invitation d'incarner la beauté d'être humain.

Cela implique, vous le savez, déposer encore et toujours toutes les croyances. Cela implique, vous le savez, déposer encore et toujours tous les jugements. Cela implique avoir une vision claire de son intention et honorer cette intention en la nourrissant par la plénitude de l'attention. Honorer cette intention en la nourrissant de la plénitude de l'attention. Honorer cette intention concrètement. Avoir une vision claire de ce qu'est l'idéal d'un corps vibrant de santé, de bonheur, de plénitude. Avoir cette vision claire, la nourrir de l'attention et être écoute.

Inhérent à cette vision est le mode de relation correspondant, permettant de réaliser cette intention. Être écoute hors des concepts, hors des jugements et hors de ces paroles déraisonnées de la tête qui toujours fait croire qu'elle ne sait pas, que peut-être ceci ou peut-être cela. Le cœur sait. Cela est indépendant de l'information. Cela donne la ligne directrice de comportement, le rythme, le mode de relation. Cela ouvre la porte permettant de recevoir toutes les informations de façon claire.

Ne connaître que la persévérance sur la base de cette vision de l'intention, et ne pas placer cette vision de l'intention dans la course du temps car le temps n'est pas. Maintenant, vous établissez votre vision de votre intention quelle que soit la relation, que la relation soit avec votre corps, avec vos enfants peut-être, ou vos parents, ou votre quotidien, ou votre profession, ou la relation la plus sublime, avec ce grand merveilleux silence qu'est le tout.

Vous établissez la vision claire, et vous ne placez pas la vision dans la ligne du temps. L'intention n'est pas à atteindre dans quelque futur, l'intention est réalisée maintenant. Et cette vision s'imprime dans la structure de la relation, quelle que soit la relation. Comprenez-vous cela ?

Le temps n'est qu'une illusion. Maintenant, depuis la plénitude et cette certitude que Je Suis la joie que Je Suis éternellement, et que cette joie est l'au-delà même de toutes les relations, et que cette joie est inhérente à toutes les relations, et que cette joie est l'éternité, l'inébranlable, l'inchangeable, car elle est la nature de ce grand, magnifique, merveilleux silence, ce que Je Suis.

Depuis cette plénitude de Je Suis la joie que Je Suis que vous animez en plaçant l'attention encore et toujours sur la joie, vous établissez la vision claire de votre intention, et cette intention est réalisée maintenant.

Et peu importent les apparences, car vous avez compris que les apparences ont été forgées par des projections non judicieuses. Vous ne regardez pas l'apparence, vous la percevez, elle vous sert peut-être de marqueur, vous permettant de voir à quel point vous placez votre intention de façon juste. Vous ne doutez pas que l'apparence n'est qu'un mirage.

Vous placez la plénitude de l'attention sur l'intention, maintenant. Vous gardez la vision de la réalisation de cette intention, maintenant, depuis la plénitude de la joie, et vous acceptez toutes les apparences comme des bribes d'échos de quelque réalité forgée par quelque croyance. Vous ne vous battez pas contre les réalités ou contre les croyances. Vous vous donnez le moyen de ramener des apparences ou des soi-disant réalités à leur vrai visage.

Cela est exigeant, il est vrai. Cela demande une intensité de détermination que l'humanité connaît peu. Et c'est bien cela la transition, et c'est bien cela le choix, sortir de l'indolence.

Sortir de l'indolence au niveau de toutes les relations, et remettre en question chaque relation. Quel est le sens profond de cette relation ? Quelle est la nature profonde d'avoir un corps, d'avoir des enfants, d'avoir des parents, de sa profession ? Quel est le sens profond ? La question ne trouve pas sa réponse par la tête. La question trouve sa réponse par l'écoute depuis la plénitude du silence et l'ouverture du cœur. Et vous alignez vos modes de fonctionnement à la réponse.

Le corps est cosmique. Le corps n'est pas une machine qui peut se dérégler. La croyance a peut-être créé une apparence de machine qui pouvait se dérégler. Le corps est cosmique. Le corps est cette conscience qui vibre et qui est nourrie par la plénitude de l'amour. Le corps est cet amour même. Le corps est la conscience infinie, cosmique.

Honorer le corps. Et honorer chaque relation et honorer tous ces rôles, que l'on soit père ou enfant, époux, épouse ou compagnon, quelle que soit la profession, quels que soient les engagements, honorer tous les rôles, depuis cette passion de ramener chaque rôle, chaque relation à la profondeur de sa nature.

Nous l'avons toujours dit, la plénitude est la source, la base et la clef. Quoi que vous fassiez, quoi que vous abordiez, quoi que vous regardiez, faites-le depuis votre propre grandeur. N'acceptez plus les jeux de l'ignorance qui fait croire aux êtres humains qu'ils sont de petits ignorants qui ne savent pas. Riez aux histoires des ignorants et des maîtres manipulateurs qui font croire à l'humanité qu'elle est emprisonnée dans sa propre petitesse. La petitesse n'est pas.

Cela implique un autre regard. Cela implique une grande détermination. Cela implique de ralentir le rythme. Cela implique une ouverture totale, une authenticité infinie, authentique à sa propre grandeur. Qui osera ? Connaissez-vous la passion d'être le vivant ? Connaissez-vous la grâce d'être le vivant ?

N'oubliez pas, la plénitude est la clef, la base et la source. Voyez la beauté. Nous vous disons et vous redisons et vous redisons et vous redisons. Cela permet de casser les vieux modes de programmation et de restructurer la programmation de liberté. Pour laver les croyances, les empreintes, il est bon d'entendre et de réentendre et de réentendre. Il est bon de s'exposer très fréquemment, selon cette illusion de votre temps linéaire, aux dons. Voyez l'enjeu, il s'agit de retrouver le vrai mode de l'humanité.

Nous vous saluons.

 

 

Message de Babaji reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-5-15

 

Dans ce monde qui simultanément émerge et s'effrite, se positionner ni dans l'émergence, ni identifié à ce qui s'effrite, ni même se confrontant à ce qui s'effrite. Se positionner dans l'espace neutre.

L'espace neutre est ananda (félicité, joie suprême). Comme le milieu de la bascule, sortant du duel, s'identifier pleinement au un. Le un est la plénitude d'ananda, le un est la plénitude de la vie.

Pour accompagner le monde qui émerge, ne s'identifier ni à l'émergence ni à ce qui s'effrite, mais au juste milieu. Le point neutre est la plénitude d'ananda.

Vous le savez, cela vous a été dit souvent, vous êtes tels un danseur marchant sur un fil. L'on ne peut mettre le pas ni à droite ni à gauche. Rester sur le juste milieu. Le juste milieu est le point neutre, l'au-delà de tout jugement, l'au-delà même de la quête, ananda.

Certains diraient peut-être "cela nous est étranger". Cela est votre nature, le reste vous est étranger. Quel attachement à l'identification fait que les êtres croient être étrangers à leur propre être ? Ananda est la nature de la vie.

L'heure n'est pas à spéculer, ni sur la victoire ni sur l'ombre. L'heure est au grand rassemblement. Rassembler l'énergie avec passion, détermination et patience. Nous le disons, patience, car il s'agit de retrouver cette intensité de verticalité, retrouver ce qui est éternellement soi. Et pourtant retrouver, comme l'on sort des fils de l'araignée, la toile qu'elle s'est tissée elle-même. Couper les fils avec patience et passion par l'intensité de l'attention tout offerte au centre de la toile, ce point d'infini silence, le point neutre, ananda.

Certains diraient peut-être "ananda n'est pas neutre, le neutre est ananda". Ananda est le plein du plein, l'au-delà même de l'expérience de joie, le plus suprême, la vie qui se sait nectar.

Vous vous souvenez, n'est-ce pas, l'attention donne vie. Alors cessez de donner vie aux illusions et aux chimères. Il ne s'agit plus de résoudre mais de recentrer. Recentrer est la source de toute résolution.

N'oubliez pas l'intense. Il n'est plus question de tiédeur, la tiédeur n'est pas la bonne fréquence. Il n'est plus question de donner l'attention à ces voix illusoires qui font croire "je ne sais pas" ou "je ne peux pas". Il est question de tout offrir au plein du plein, ananda. Tout offrir, et offrir la plénitude de l'attention, car l'attention est tout. L'attention est la pure conscience. L'attention est la pure présence.

Ainsi quels que soient les victoires ou les chaos, comme aimantés par le fil d'ananda, vous sillonnez dans l'infini de l'au-delà de l'espace, tout offerts à l'intention suprême de l'incarnation.

N'oubliez pas, le souffle vous aide. L'on n'arrive jamais vers l'intense, l'on tend vers l'intense jusqu'à cette intensité d'attention qui elle-même est l'intense. Accroître l'intensité se doit d'être joyeux, léger, le fruit de la passion, la passion d'être la présence, pure conscience, le un. Ainsi vous sillonnez entre victoires et chaos. Puissance d'être incarnation, puissance d'être incarné. Notez la puissance de cette intensité d'attention sur la structure corporelle. La transmutation cellulaire n'est pas la résultante de la pratique de quelque technique, mais le sous-produit de l'intensité juste et de l'offrande totale à ananda.

A l'heure où tant voudraient créer une terre nouvelle, peu peuvent répondre à l'invitation du don suprême. L'attention tout offerte en contemplation à l'ananda que Je Suis, vous rayonnez sur la terre le feu d'ananda.

Nous vous l'avons dit bien souvent, rassembler l'énergie. Retrouver la simplicité suprême, au-delà du paraître, au-delà du faire, la dévotion suprême.

Être la personnification de la joie. Cela implique sortir des histoires, être la source, pure présence. La texture de l'attention est ananda. L'on pourrait dire qu'ainsi se retisse le maillage cosmique dans la fibre du créé.

 

 

Message de l'Ami reçu par Agnès Bos-Masseron le 21-5-15

Baser l'éducation sur l'enthousiasme

 

Offrir la joie à l'enfance de la terre. Le cadre le plus juste pour l'éducation est la nature.

Il est en fait erroné d'imposer à des enfants de rester enfermés, assis pendant si longtemps. La plus belle façon d'offrir l'éducation serait au contact de la nature, des éléments. Apprendre aux enfants les lois naturelles. Leur apprendre l'intimité avec la terre, avec les étoiles, avec le monde végétal est la base de l'harmonie.

Il est beau d'exposer les enfants le plus possible aux éléments, à la nature. Leur apprendre à respecter la nature, à la vénérer même, à l'écouter. Leur apprendre à se nourrir de la tendresse de la terre. Leur apprendre le langage des végétaux.

Le plus juste est d'offrir un enseignement dont la base est de un à un, avec des moments de partage de groupe ou d'apprentissage en groupe, et sur la base de cette relation personnelle entre l'enseignant et l'élève, une relation de cœur à cœur.

L'enseignant offre d'abord à l'élève le contact avec l'enthousiasme pour apprendre, la découverte. Baser l'éducation sur l'enthousiasme, cela est beau. Etablir un contact très profond de cœur à cœur. Être à l'écoute de l'enfant et lui apprendre l'art de l'écoute. Unir la profondeur de l'apprentissage et le sens du jeu.

Apprendre l'art d'être écoute en groupe, l'art de la communication, l'art du partage, l'art du jeu commun, l'art de l'émulation et non la compétition. La base devrait être un contact individuel.

Comment apprendre aux enfants à se positionner, et comment se positionner par rapport aux enfants ? La base, pour répondre à cette question, serait une société d'harmonie. Apprenez à vos enfants l'autoréférence. Apprenez à vos enfants d'être à l'écoute de leur propre valeur, leur apprendre à découvrir ces valeurs.

Encore faudrait-il ne pas imposer aux enfants des valeurs toutes faites. Il faudrait démêler les fils emmêlés de la société qui ne sait plus éduquer pour retrouver, dès que l'enfant est bébé, une relation basée sur la divinité de l'être. De par cette relation, l'enfant apprend à reconnaître ses propres valeurs et naturellement à se positionner par rapport à ces valeurs.

Tant que les fils sont emmêlés par le chaos de la société, vous apprenez autant que cela est possible aux enfants l'autoréférence. De cette autoréférence, les enfants naturellement s'épanouissent, prennent leur espace et s'expriment. Ne pas parler en termes de défense, mais d'expression de sa propre individualisation.

Apprendre aux enfants le langage du cœur. Quelquefois s'exprimer et quelquefois se taire parce que le cœur sait que cela est juste.

Sortir l'éducation et sortir les relations des maillages de la peur. Oser être soi-même, pleinement présent. Oser exprimer et affirmer sans forcer. Oser aussi la flexibilité de laisser les autres libres de leurs limites.

Apprendre aux enfants le langage du cœur. Leur apprendre l'écoute, leur apprendre à s'honorer eux-mêmes.

Là encore, le rôle des éducateurs serait d'être présents et vigilants. Un regard qui embrasse saura voir que l'enfant a besoin d'aide, et offrir cette aide. L'éducateur  se veut pleinement vigilant, pleinement présent, non comme un juge qui vient trancher mais comme un ami qui vient aider chaque enfant à se positionner dans la vision la plus juste.

Et se positionner d'être à être face aux enfants. Non un adulte qui sait, non un enfant tyrannique, un être face à un autre être. Oser exprimer les sentiments les plus profonds aux enfants. Leur montrer la valeur et la portée de leurs actes ou de leurs paroles. Les honorer, les respecter. Ainsi les enfants peuvent sortir des modes défensifs.

Soigner les enfants dont la souffrance amène à un comportement loin de l'harmonie. Leur exprimer clairement vos ressentis face à leur comportement. De même que vous apprenez aux enfants à se positionner depuis l'autoréférence, se positionner soi-même depuis l'autoréférence en face des enfants.

La plus belle aide que l'on puisse faire aux enfants de la terre est de ramener l'harmonie dans la société. La plus belle aide pour ramener l'harmonie dans la société est de rayonner l'harmonie, de l'incarner. Se positionner de façon claire par rapport à ses choix d'une société d'harmonie. Oser rayonner la terre nouvelle par son propre positionnement, par ses propres choix dans tous les détails. Oser exprimer ce choix à ses enfants.

… Saturer l'enfance de la terre de bonheur et d'amour, et saturer la société de bonheur et d'amour pour que soient quittées les voies de la peur et adoptées les voies lumineuses.

Oser montrer aux enfants le vrai visage du vivant.

Mesurer la puissance de transmutation d'un être qui choisit d'incarner et de témoigner des voies lumineuses.

Nous vous saluons.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 17-5-15

Beaucoup cherchent l'ouverture, il suffit de trouver la clef.

 

Dans l'au-delà des dimensions, l'au-delà de l'espace et l'au-delà du temps, être ainsi le Un, cet infini de l'amour qui s'offre l'amour à lui-même, à sa nature, pour que naturellement cet amour rayonne et nourrisse la création. L'Être cosmique sait que son individualisation est une porte pour incarner cet infini de l'amour, et chaque être, vous le savez n'est-ce pas, est cosmique. Chaque être est déjà la pleine réalisation de ses aspirations, car vous le savez, le temps linéaire n'est qu'une illusion. Ici, dans le temps simultané, dans ce maintenant, dans cet éternel, au-delà des dimensions, au-delà des règnes, l'amour incarné s'offre pour rappeler à la terre sa nature propre, pour rappeler à l'humanité sa nature propre.

Le plus beau service est le rayonnement. Le rayonnement est la résultante spontanée de l'assise dans cette évidence que seul est le cœur, que seul est l'amour. Le rayonnement est la résultante spontanée de cette attention tout offerte à la présence. L'humanité ne connaît pas l'intensité de l'attention. Elle tend vers plus d'attention, plus d'attention. Qui osera incarner la plénitude de cette attention offerte à être présence ? Simple est l'union, simple la présence, et puissante cette simplicité.

L'humanité s'ouvre à cette évidence qu'il ne s'agit pas de mentaliser la présence, la lumière, le cœur, l'amour même, mais de l'incarner, l'incarner et le rayonner. L'humanité s'ouvre à cette évidence de la simplicité et de la puissance d'accepter de se taire pour que chante l'amour à travers les cellules…

Et vous le savez, n'est-ce pas, la création n'est pas à l'extérieur. Le corps n'est pas limité, le corps est cosmique. Chaque cellule ouverte à son propre infini embrasse la création. La création est au cœur de chaque cellule. Cela n'est pas une parole mais la réalité de ceux et de celles qui choisissent de se taire, de s'incliner et d'être l'ouverture de l'amour...

Souvenez-vous, chaque être est la totalité de l'humanité. Beaucoup se demandent comment partager cette intention de transfigurer la terre. Dans cette planète lumière-amour qui est sa nature, beaucoup se demandent comment corriger tout ce qui a été infligé à la terre par l'ignorance de l'humanité. Beaucoup se demandent comment nourrir chaque enfant, chaque être. La réponse est simple, chaque être est la totalité. Qui osera incarner la plénitude de "Je Suis la totalité de l'amour" simplement ?

Il ne s'agit plus d'exploit, il s'agit de la simplicité de la vie. Il s'agit de retrouver l'art de l'incarnation, être la plénitude de l'Être, être le vivant. Celui et celle qui osent intensifier encore et toujours la plénitude de l'attention sur cette intention de "Je Suis la plénitude de l'amour", ceux-là offrent leur rayonnement par cette simple attention et cette simple présence à la totalité de la création. Rien n'est extérieur.

Être rayonnement, le plus beau des services. Pour ceux-là, tout est ouvert. Beaucoup cherchent l'ouverture, il suffit de trouver la clef. Il suffit d'être la source de l'ouverture. Être présence, être présence est l'incarnation de "Je Suis l'infini de l'amour, Je Suis le plein du plein, Je Suis le tout". Il n'est que cela.

L'humanité s'ouvre à la réalisation de sa divinité. Le Divin n'est pas sur un piédestal, le Divin est la plénitude de l'Être, le Divin est la plénitude du créé. Car la création, n'est-ce pas, est l'hommage que le Divin se rend à lui-même pour être toujours plus conscient de sa nature.

 

 

Message de Deydas Chi reçu par Agnès Bos-Masseron le 12-5-15

 

Mesurez la puissance d'une intention que vous inscrivez dans les fluides de vos corps, non l'intention d'une réalisation mais l'intention de l'incarnation de votre nature propre, l'intention d'être l'infini de la joie. Mesurez la puissance d'une intention offerte à la joie que vous imprimez dans les fluides de vos corps.

Comprenez que ce phénomène se passe de toute façon éternellement. Quelle que soit votre attention, quelles que soient vos intentions, elles s'impriment dans les fluides de vos corps, et la nature de ces fluides y magnifie ces intentions ou ces attentions. C'est une des raisons pour laquelle il est sage de mettre une attention particulière dans la sélection des objets de son attention.

Mesurez l'importance de vivre toujours dans un rythme mesuré. Mesurez l'importance de ne jamais exposer les fluides de vos corps à quelque énergie chaotique. Et s'il semble inévitable de vous exposer à ces énergies chaotiques dans votre environnement, contrebalancez par un moyen de diffusion d'énergie harmonieuse.

Mesurez l'importance d'offrir le respect et l'hommage aux fluides de vos corps en les exposant à des énergies d'harmonie, en respectant un rythme d'harmonie. Les fluides précipités dans un rythme de chaos adoptent une structure de chaos.

Considérez dans le silence la fluidité de vos structures corporelles…

 

 

 

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