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Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 25-4-15

Les technologies de lumière

 

Bien comprendre ce qui est fondamental. L'ouverture de la conscience permet de retrouver des technologies dont la base est la conscience, dont le fonctionnement est holistique, des technologies au service de la vie, de la lumière, de l'harmonie.

L'attention offerte à ces technologies se doit d'être sur la base de la dévotion offerte à la conscience. Cela reste le joyau à honorer, à servir, à chérir, à nourrir.

L'ouverture dans la conscience collective de l'humanité a sa base sur cette attention tout offerte à honorer la conscience et ses attributs dans les différentes avenues de l'incarnation. Ainsi l'humanité s'ouvre à une autre réalité d'elle-même.

 

 

Message de l'Ami reçu par Agnès Bos-Masseron le 11-4-15

Il est plus sacré d'apprendre de la résultante de sa dévotion.

 

L'heure est venue. L'heure est venue de proclamer l'éternel. L'heure est venue d'effacer dans le collectif du temporel ces mémoires qui n'ont jamais été ni la résultante ni le fait de mon passage sur terre.

Mon passage sur terre n'a été que la proclamation du bonheur, la proclamation de l'immortalité, la proclamation de l'hommage à la vie. La fraternité à laquelle j'invite l'humanité est la fraternité de joie.

L'humanité voudrait-elle bien tout offrir à la joie ?

Offrir la plénitude d'ananda à toutes ces mémoires, toutes ces croyances associées avec quelque archétype dénué de sens. Je ne suis pas l'archétype des églises, je suis le frère dévot d'ananda, le frère du frère qui choisit de proclamer sa dévotion.

Choisir par l'intensité de son attention d'imprimer ananda dans le collectif de l'humanité. Sacrée est l'invitation.

Il est vrai, l'humanité peut apprendre des résultantes de ses croyances. Il est plus sacré, plus sain, plus beau, d'apprendre de la résultante de sa dévotion. Tout offrir à ananda, et offrir ananda à tout. Et voyez se déployer l'arbre d'ananda, votre incarnation. L'infini de la joie s'autodépasse éternellement. Voyez l'infini de la joie se déployer dans vos structures physiques. Soyez les témoins de la vie tout offerte à ananda et des fruits portés par cette vie. Les fruits se doivent d'être concrets. La clef est d'intensifier l'attention et de ne laisser rien vous détourner de cette intention d'être le dévot d'ananda.

 

 

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 7-3-15

Comment se connecter davantage à sa profondeur ?

 

Belle était la question "Comment se connecter davantage à sa profondeur ?" Il serait plus avantageux en fait d'exprimer la question sous une forme différente car chaque être est toujours infiniment connecté à sa profondeur.

Alors quels sont ces voiles qui semblent masquer cette connexion ? Quels sont ces voiles qui semblent séparer le un, compartimenter, fragmenter, et qui font que l'être se croit enfermé dans la cage mentale, la cage émotionnelle ou la cage égotique, ou quelquefois même la cage physique, se croyant ainsi séparé, coupé de sa propre source ?

La réunification s'opère en grande partie par l'attention. Même dans leur sincérité, les êtres humains souvent déplacent l'attention, la plaçant sur ce qu'ils ne veulent pas ou ce qu'ils croient devoir combattre au lieu de la placer avec amour, enthousiasme, passion même, sur ce qu'est leur intention profonde, être la pleine expression de leur profondeur.

Déplacer l'attention. Ramener l'attention tout offerte sur sa propre richesse. Ramener l'attention tout offerte sur l'écoute du grand, du beau, incarné de façon unique à travers sa propre unicité. Déplacer l'attention. La replacer sur l'infini de l'amour et l'infini de la joie.

Ne plus vivre comme des combattants de l'ignorance mais comme des dévots de la lumière. L'attitude et l'intention restent la base. Ramener l'intention la plus vaste, la plus holistique. La nourrir de la plénitude de l'attention et la servir avec détermination, intransigeance même.

Car vous le savez, l'être humain est laxiste. L'on voudrait bien, mais quand même… On se laisse croire dans tout ces soi-disant difficiles, dans tous ces soi-disant empêchements, dans tous ces soi-disant états de fait qui ne sont qu'illusoires.

La base est la plénitude de la joie et la plénitude de l'amour. De cette plénitude, naît l'enthousiasme, la détermination. La détermination amène la vigilance, la vigilance non de se battre mais de nourrir le beau et le bon avec toute son attention. Alors il ne reste plus d'attention pour la fragmentation, et se dissout le voile.

 

 

Message de Babaji reçu par Agnès Bos-Masseron le 27-2-15

Bénissez vos quotidiens.

 

Babaji regarde chaque être, chaque parcelle de création, et reconnaît Cela. Babaji regarde chaque être, chaque parcelle de création, et dans son regard, inscrit en lettres du feu de l'amour, So Ham. So Ham, Shivo Ham.

…Babaji est le frère venant rappeler que chaque être est Cela, que chaque être est Shiva. C'est cela l'amour de Babaji. Cet amour, en savez-vous la passion ? Connaissez-vous la passion de l'Être pour la pleine réalisation de sa nature ? Savez-vous la passion de l'amour ?

Babaji est le frère, le frère très intime. Avec lui, jouez le feu de l'incarnation, jouez le feu car le jeu est passion, la passion de l'amour.

Babaji, vous le savez, vous montre le chemin de l'audace. Jouer le feu de l'incarnation est la voie de l'audace.

…La base permettant de jouer le feu de l'incarnation est l'évidence et la proclamation que seule est la joie. Ils ont fait de la joie la projection de leurs manques, établissant la croyance qu'il faut bien une raison pour un faible ressenti de joie. Qui parle de raison ? Hors de la raison est la pure clarté de la joie, la pure clarté d'ananda qui se sait infini, éternel, immuable et qui se danse à travers chaque être incarné.

Qui aura l'audace de se faire partenaire de la danse en pleine transparence ?

Ramener la vie à la base. Avez-vous jamais osé danser la joie pure, danser tout en étant écoute de l'authentique du mouvement ? Le mouvement exprime-t-il la puissance de l'intention ? Telle est la danse des déesses. Qui osera faire de son quotidien cette danse même ?

Comment ont-ils pu croire que le quotidien est affaire de tiédeur, des routines scandées au rythme des ennuis, des petitesses ? Qui osera rendre le quotidien à ananda, rendre le quotidien au feu de l'amour ? C'est cela jouer le feu de l'incarnation. Le quotidien, les actes simples.

…L'action est dévotion. Qui osera remettre l'attention intense dans chaque geste, dans chaque acte simple, pour que chaque acte soit danse offerte à ananda ? Le quotidien est sacré. Comprenez-vous cela ?

Cela vous a été dit bien souvent, n'est-ce pas, la clef est dans l'intensité. Et la clef de l'intensité est dans la présence. La clef de la présence est dans l'audace, l'audace de dire oui maintenant, oui à incarner cette pleine présence. La pleine présence est la pleine attention. La pleine attention ouvre à l'intense. L'intense ouvre à cette autre fréquence.

Bénissez vos quotidiens. Vos quotidiens sont vos temples. Il ne s'agit pas de sortir dans quelque temple éphémère illusoire au cœur de vos villes, vos quotidiens sont vos temples. Dans le temple, danser la danse de Shiva à travers ces petits gestes, ces petits actes. Ainsi vous faites l'offrande.

Être le dévot d'ananda. Comprenez bien, ananda n'est pas cette joie débridée qui s'éparpille aux vents de quelques excuses, de quelques folies, de quelques débandades, ananda est la sagesse rassemblée, la puissance infinie de l'amour qui se regarde et qui éclate dans le feu de sa nature. Ananda est la plénitude. Ananda est l'énergie rassemblée.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-2-15

L'immortalité n'est pas un devenir.

 

Il n'a jamais été inscrit dans le fonctionnement de l'être humain que le souffle soit un acte automatique que l'on ne vit pas pleinement en conscience.

L'attention offerte au souffle le ramène dans sa structure la plus subtile. Au cœur du souffle est le silence…

L'invitation est très concrète. Il ne s'agit plus de dissocier la sphère que l'on appelle spirituelle de celle du quotidien, mais au contraire d'intégrer le quotidien au sein de sa nature propre. Ramener la vie quotidienne à sa nature de lumière pure. Le souffle unit la structure physiologique à sa source même, le pur silence.

Le souffle n'est pas la respiration grossière, qu'elle soit mentale ou émotionnelle. Car le savez-vous, la respiration selon l'accroche des êtres, peut se limiter à une respiration de surface en phase avec l'agitation mentale ou émotionnelle.

La base de l'art du souffle, vous le savez, est de retrouver le souffle profond qui traverse le corps, ample et subtil...

Voyez la beauté et la simplicité. Beaucoup croient l'existence terrestre comme une maille de complications ou de complexité. La base pour retrouver l'art de l'existence lumineuse est de retrouver l'art du souffle.

N'oubliez pas l'intensité de l'attention. Il ne s'agit pas d'une attention divisée, des bribes d'attention, un centième de l'attention offert au souffle et quatre-vingt-dix-neuf centièmes offerts aux vents du mental déchaîné, des pensées soi-disant folles. Il s'agit de rassembler l'attention, de l'unifier et de l'offrir simplement à cet acte du souffle, et naturellement le souffle devient subtil, et naturellement le souffle révèle sa valeur du feu de l'amour.

Le corps s'embrase, les cellules s'ouvrent. Dans chaque cellule est la création. Et le corps s'ouvre à sa propre valeur d'immortalité.

L'immortalité n'est pas un devenir. Mais une fréquence de maintenant. Nous vous aidons à vous mettre en synchronie, en harmonie avec la fréquence juste, celle de l'incarnation. La fréquence de l'incarnation est la fréquence de l'immortalité. La fréquence de l'incarnation est la fréquence de l'harmonie. Nous vous donnons l'une des clefs, l'attention offerte de façon suffisamment intense au souffle illumine la structure corporelle, l'embrase, révèle la flamme éternelle comme étant la structure même de ce souffle qui traverse le corps.

Le souffle traverse le corps et reste l'immuable. Le souffle est l'amour. L'attention est l'amour. C'est cela la beauté. Il ne s'agit pas d'une ascèse austère et abstraite mais de retrouver la plénitude de sa propre nature.

Savez-vous qu'un corps embrasé est le plus beau don qui puisse être offert à la création ?

 

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 22-2-15

Comment être moins dans le mental ?

 

Une question qui contient "moins" n'est pas la question la plus judicieuse. L'attention reste toujours sur comment être plus. Être plus ce que Je Suis maintenant, telle est ta question, n'est-ce pas ?

Intensifier la présence en intensifiant l'attention. Il ne s'agit plus de rêver la spiritualité. Il ne s'agit plus de rêver de chimères lumineuses. Il s'agit maintenant de s'installer dans la présence avec une intensité multipliée par mille peut-être.

Mettre toute l'attention sur le souffle qui traverse le corps verticalement maintenant. Mettre toute l'attention sur ramener le souffle dans sa nature propre. Le souffle est l'expression, le flot de l'énergie divine, cosmique. Qualifier le souffle de son intention la plus profonde, être le cœur de ce que Je Suis.

Il ne s'agit pas d'une recette magique que Merlin l'Enchanteur aurait pu vous donner du bout de sa baguette. Vous êtes les magiciens de votre propre magie. Vous avez la baguette. La baguette, souvenez-vous, est l'union de l'amour, de l'intention, de l'attention. Intensifier l'amour en intensifiant la présence. Intensifier l'attention sur cette base de l'amour. Sur cette base de l'attention offerte à l'amour, affirmer l'intention, non mentalement. Inscrivez-la dans la structure de vos cellules.

Le mental n'est que l'illusion de l'indolence, même pour ceux qui se croient enfermés, dont l'énergie mentale semble se battre comme de vrais guerriers pour briser les chaînes. Ces guerres sont les jeux d'enfants indolents. L'audace et le courage s'actualisent par l'intensification de l'attention sur la base de l'amour offert à l'amour.

Nous vous remercions. Nous vous saluons.

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 6-2-15

L'écoute du silence nourrit et transfigure la structure corporelle.

 

Être écoute. Être écoute de ce bienheureux silence. Être écoute de la joie inhérente au silence. Et par le simple fait d'être écoute, permettre au mental débridé de s'apaiser. Comprenez-vous ?

L'on n'attend pas que le mental s'apaise. On ne lutte pas contre le mental. On devient l'éternel dévot que l'on est.

A travers l'écoute, l'écoute aimante, l'écoute qui vénère, l'écoute ouverte, l'on entre en relation avec ce bienheureux silence et la joie inhérente au silence.

Cette relation est à plusieurs niveaux, dans l'abstrait de la conscience, et le concret des cellules à partir du moment où l'on interagit avec les cellules dans le cadre de cette relation avec le silence. Comprenez-vous cela ?

L'on n'attend pas que les cellules s'ouvrent. L'être, le créateur de sa réalité, par la beauté de l'attention, se fait écoute et réalise son intention la plus profonde. Ne plus attendre, ne plus se dire l'esclave de ses vieux mécanismes erronés, usés.

Vous le savez, l'attention donnée au mental fait grandir le mental. Beaucoup croient ne rien savoir de mieux que de laisser le mental accaparer l'attention. Le mental n'accapare rien, il se nourrit de ce qui lui est donné.

Être écoute. Être écoute dans l'ouverture. Être écoute, posé dans l'émerveillement de la joie inhérente au silence. Cette écoute nourrit et transfigure la structure corporelle.

A chacun, à chacune éternellement de faire le pas. Tant que ce pas n'est pas franchi, les soi-disant progrès spirituels ne sont, eux aussi, que des rêves mentaux.

Nous le disons encore et toujours, en faisant grandir l'attention, en permettant à l'énergie de se rassembler, le rêve mental se fond et est remplacé par la réalité concrète, vécue dans tous les plans de l'incarnation.

A chacun, à chacune de faire le pas, toujours. Ce pas n'est pas un pas que l'on fait une fois, ce pas est éternel car l'attention est éternelle.

Nous vous remercions.

 

 

Message de Deydas Chi reçu par Agnès Bos-Masseron le 13-1-15

L'humanité a trop de sérieux.

 

Encore et toujours dans la structure corporelle, quel que soit l'état de cette structure, animer la joie. Cela est vrai, pour certains, animer la joie lorsque le corps exprime un ressenti désagréable n'est pas simple. Pourtant la joie est la source de toute guérison.

Être relié à cet infini de la joie, cet infini d'ananda qu'est la source du corps, et par le contact conscient avec la joie, ramener le corps à sa source. Faire cela au nom de sa propre structure individuelle et au nom du collectif de l'humanité.

Se souvenir encore et toujours que le corps n'a pas la rigidité qu'on lui attribue. Le corps éternellement fond et renaît du silence. En dépit des apparences, des circonstances, visualiser un corps de perfection. S'appuyer sur la tendresse. Pour visualiser ce corps de perfection, Deydas Chi toujours vous offre la tendresse, car la tendresse est la base de la relation au corps, et de la tendresse découle la joie.

Deydas Chi aime animer à nouveau dans vos structures corporelles les modes de géométrie sacrée.

Imprimer dans la structure des cellules l'affirmation de bonheur, de vitalité, d'harmonie. Oser se différencier des ressentis pour que les ressentis enfin s'harmonisent à l'intention première. Là est la clef.

Deydas chi aime offrir les flots de la tendresse. Qualifier les fluides du corps de cette nature de tendresse pour que les fluides du corps en permanence offrent à la structure corporelle l'infini de la tendresse.

Au sein de la structure corporelle, honorer le silence.

 

 

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 11-1-15

La France se souvient-elle du sens profond de la liberté ?

Puisse Paris se souvenir du sens profond de "ville lumière".

 

Si l'on voulait parler en termes de ce temps linéaire, Paris se souvient-il, dans cette apparence de temps qui n'existe pas et qui pourtant a été une époque tourmentée pour la France et pour Paris, je suis venu rayonner l'énergie de l'amour, l'énergie de la compassion, l'énergie de sagesse, cette sagesse qui sait que seul est le cœur et que tout être est divin et précieux, si précieux.

…Encore et toujours, nous venons rayonner sur Paris cette évidence de la fraternité humaine, de la beauté de l'incarnation, de la divinité de l'être humain. Précieux est chaque être. Comment ont-ils pu l'oublier ?

…Vous savez, n'est-ce pas, à quel point Paris est une ancre, une clef même, dans cet éveil mondial. Vous le savez, Paris est ville lumière. Ce n'est pas par les illuminations dans les rues. Ce n'est pas par les places. Ce n'est pas par toutes ces statues qui rappellent la liberté, la fraternité, l'égalité, la divinité. Paris dans son énergie même, dans son essence, est ville lumière érigée sur l'un des points forts du globe, relié à bien des points de rayonnement.

…Il fallait que cette célébration* soit maintenant, non seulement dans ce maintenant de l'au-delà du temps mais dans ce maintenant inscrit dans le temps, de même qu'il fallait que j'apparaisse à la cour de vos rois en cette période de transition entre monarchie et république. La situation est analogue.

Là encore, nous appelons chaque être humain à incarner le sens profond et véritable de la fraternité. Nous appelons chaque être humain, à se souvenir que chaque tradition a sa source qui est son au-delà même et que l'humanité est une dans cette source de toutes les traditions. Quels que soient les noms des prophètes, quels que soient les noms de ceux qui sont adorés comme les représentants du Divin, eux savent que ce qui est adoré est l'adoration même, la puissance de l'amour, la beauté de la fraternité, cet esprit du vivant, la conscience.

…Unissons-nous pour embraser Paris, l'Europe, la terre et toutes ces âmes passées en apparence dans l'au-delà des corps, leur offrir la tendresse de l'évidence que l'humanité est une fraternité. Leur rappeler la beauté, si l'on veut simplement regarder la beauté au lieu de se figer dans des modes durcis, des modes de jugement, si l'on veut simplement regarder la beauté.

Il en est qui errent encore, s'accrochant à quelques chimères. Nous proclamons la victoire de la lumière ! Ces fantômes mensongers, porteurs de mensonges, qui veulent crisper les âmes dans quelques chimères illusoires…

L'heure est venue de vous rendre à l'évidence de votre propre victoire. Seule est la lumière. Rien ni personne ne viendra diminuer cette évidence. A la face de la terre, nous proclamons la victoire ! Quels que soient les restes d'intrigue de ceux qui s'accrochent à quelques chimères mensongères, nous proclamons la victoire. Rappelez-vous votre beauté, car seul est le Un, n'est-ce pas ? La perfection de la vie, le précieux de la vie, le précieux de cette conscience éternelle qui perdure.

Bas les masques ! Puissent ceux qui errent entendre la voix de l'amour, se retourner et oser recevoir mon regard. Par amour pour l'amour que tu es, oser recevoir le regard de l'amour.

…Nous offrons les torrents de tendresse pour que soient lavées les larmes de ceux qui ne savent pas voir que les deuils appartiennent aux chimères, que le vivant est l'éternelle victoire. Bénies ces âmes qui en apparence ont quitté l'enveloppe corporelle. En apparence, car on ne la prend jamais, on ne la quitte jamais. Cela fait partie du grand jeu.

Puisse maintenant sur Paris s'inscrire la voix de la fraternité.

…Bénie l'humanité. Béni l'esprit de fraternité. Béni le triomphe du bien et du beau. Béni cet amour de la liberté.

La France se souvient-elle du sens profond de la liberté ? L'humanité s'en souvient-elle ? Libre celui ou celle qui a brisé les jougs des apparences et qui sait que seule est cette conscience amour silence, cette infinie tendresse, cet océan de compassion, cet océan de joie qu'est la vie tendre et exultante incarnée.

Bénie la liberté offerte à chaque être d'actualiser le triomphe de cette incarnation, le triomphe de l'évidence que la chair est conscience, lumière, amour, que chaque être est l'éternelle flamme, flamme de dévotion offerte à cette vie même, cette conscience, cet Être suprême, cet éternel au-delà, cet éternel mystère, cette éternelle beauté.

Bénis ceux et celles qui retrouvent le sens profond de la liberté. Bénis ceux et celles qui chérissent ce sens profond. Béni ce lieu.

S'unir en conscience à l'infusion de lumière. S'unir en conscience à la conscience de chaque être dont le cœur palpite dans ce Paris qui reste pilier et clef même.

Encore et toujours, je proclame la victoire de la liberté, de la fraternité, de la conscience, de la vie, victoire sur toutes les illusions et toutes les chimères.

Puisse Paris baigner dans le rayonnement de tendresse, dans l'infusion de lumière. Puisse Paris se souvenir du sens profond de "ville lumière".

Nous vous remercions.

 

 

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 1-1-15

Depuis le cœur, danser son incarnation sur l'océan d'ananda.

 

Si l'humanité savait l'infinie puissance de dire oui à l'évidence qu'être le vivant est incarner la joie pure !

Sortir du rationalisme qui veut tout mettre au conditionnel. Sortir de l'esclavage de ces apparences qui ne semblent pas exprimer la plénitude de la joie. Pourtant, comment ceux qui traversent ces expériences peuvent-ils ne pas voir qu'ils sont les créateurs de leurs apparences ?

La clef de l'incarnation est de donner tout le poids de son attention à la plénitude de l'expression, la plénitude de l'affirmation de cette évidence que seul est l'océan de l'amour, de cette évidence que seul est le tout, ce Vénérable. A Lui, à Elle, tout est offert. De Lui, d'Elle tout émerge. Il, Elle, le Sans-visage, reste l'éternel au-delà, et tout en restant l'éternel au-delà, joue pleinement le jeu de l'incarnation avec passion.

Nous vous redonnons les clefs. N'oubliez pas la base. La base est l'attention tout offerte au souffle avec une intensité telle que l'énergie tombe, pourrait-on dire, de cette tête encombrée, pour se poser dans son centre, le cœur.

L'ouverture du cœur. Beaucoup la cherchent, n'est-ce pas ? L'ouverture du cœur. Le cœur par nature est ouverture. Le cœur par nature est l'infini. Le cœur par nature est l'éternel. Le cœur par nature est la vie. Le cœur par nature est ananda. Non depuis la tête qui regarderait le cœur, mais le cœur qui unifie toutes les expressions, tous les canaux d'énergie de l'individualisation.

Depuis le cœur, danser son incarnation sur l'océan d'ananda. Telle est la vie. Et si l'invitation semble abstraite, l'attention la rend concrète.

Toujours et encore, nous répétons, rassembler l'énergie, intensifier l'attention depuis la plénitude avec la passion de cet Être qui se sait le tout, qui choisit d'actualiser sa nature et qui choisit de créer une création à l'image de sa réalité. Non une tête qui regarderait le cœur, non une personne qui rechercherait l'Être, l'Être unifié qui s'honore lui-même à travers son incarnation.

Nous vous remercions. Pour le don de la fraternité partagée, nous vous remercions. Nous vous saluons.

 

A 1-1-15
A 13-1-15
A 6-2-15
A 26-2-15
A 7-3-15
A 27-2-15
A 11-4-15
A 11-1-15
St Germain 22-2-15
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